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http://dx.doi.org/10.1063/1.5026556
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des radiofréquences (la gamme des longueurs d'onde est de 200 à 600 m) est étudiée théoriquement.
À l'aide de simulations numériques et d'une décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadripolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la pyramide dans les conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat.
Il s'avère que les chambres de la pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas d'une pyramide placée sur un substrat, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres aux longueurs d'onde les plus courtes, ce qui produit des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les concentre dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.
« Intrigant », la grande Pyramide de Gizeh concentre de l’énergie électromagnétique dans ses chambres internes
Et si l’intérieur de la Grande Pyramide de Gizeh pouvait concentrer les ondes électromagnétiques ? En tout cas, c’est ce que suggère une étude menée par l’université ITMO, en Russie.
La Grande Pyramide de Gizeh, également connue sous le nom de pyramide de Khéops, est la plus ancienne des sept merveilles du monde antique. Ce monument construit il y a plus de 4 500 ans par les Égyptiens de l’Antiquité mesure actuellement près de 137 mètres de haut. Au-delà de son aspect historique, le tombeau du pharaon Khéops, qui a régné sur l’Égypte vers 2600 av. J.-C, intrigue les scientifiques par sa mystérieuse structure. En collaboration avec des chercheurs du centre laser de Hanovre (Laser Zentrum Hannover), en Allemagne, des scientifiques de l’Université d’État en technologie de l’information, mécanique et optique de Saint-Pétersbourg (ITMO), en Russie, ont évalué la capacité de l’édifice à concentrer l’énergie électrique et magnétique.
Un phénomène intrigant
L’équipe a détaillé les résultats de leurs travaux dans une étude parue dans le Journal of Applied Physics. Pour ce faire, ils ont créé un modèle pour simuler la pyramide sous forme de calcaire solide sans compartiments internes. Ils ont ensuite étudié l’impact de l’éventuelle présence de cavités internes sur les ondes radioélectriques. Concrètement, les chercheurs ont évalué les interactions avec des ondes électromagnétiques ayant une longueur de résonance allant de 200 m à 600 m. Les simulations ont montré que les compartiments internes agissaient comme des résonateurs, concentrant l’énergie électromagnétique à l’intérieur de la pyramide.
Joyeux équinoxe.
En ce jour les marées sont plus fortes. Marée de mer et celles de Terre ?
Est-ce que ça provoque des séismes ?
Est-ce que l'on peut récupérer l'énergie sismique ?
Justement c'est le sujet de ma nouvelle vidéo.
Il semble bien que de nombreux sites archéologiques anciens ont des propriétés sonores. J'émets l'hypothèse que ce sont aussi des capacités à capter les ondes sismiques.
Ce qui justifie une géométrie particulière, une géolocalisation particulière, un alignement sur les points cardinaux, un alignement sur des phénomènes astronomiques.
Une façon de voir tout ceci est également lié à la géobiologie, aux réseaux telluriques et autres phénomènes éthériques qui pourraient bien être le son de la Terre, des ultra-sons.
Les anciens savaient-il capter cette énergie ? Construire un SASER, un laser sonore ?
A méditer, garde l'esprit ouvert.
Question n° 1 (id=3184) en lien avec "Ondes scalaires" :
Q : Existe-t-il un lien entre ton travail et les ondes de torsion ? Si oui, comment et quel niveau ?
R : Je parle effectivement des ondes de torsion dans mes livres les plus récents, en les interprétant comme des vibrations de l'espace hors du temps (et infinitésimales). Mais il faut déjà savoir que la physique mainstream n'admet pas l'existence de ces ondes (de l'espace), qui sont d'ailleurs liées aux fameuses ondes scalaires qu'elle qualifie de pseudo-science. Elles auraient toutefois aujourd'hui de bonnes raisons d'exister, depuis que l'espace apparaît comme un milieu élastique et même doté d'une certaine viscosité, avec la découverte de l'existence des ondes gravitationnelles et du champ de Higgs, ce dernier étant lié au fait que le vide est loin d'être vide et offre une résistance. La physique réssuscite ainsi d'une certaine manière la notion d'éther qu'elle avait enterré avec Einstein. A partir de là, il est logique d'envisager d'autres types d'ondes de l'espace (du vide) que les seules ondes gravitationnelles de type transversales. Le problème est qu'aussi longtemps que la physique n'introduit pas un temps additionnel, elle ne peut pas décrire ces autres types d'ondes qui se propagent à travers l'espace-temps, mais pas dans le temps ordinaire. Pour que ces ondes soient acceptées, alors qu'elles ont l'air de se propager, dans ce temps ordinaire, à des vitesses inférieures ou supérieures à la vitesse de la lumière, il faut introduire un nouveau temps (que je qualifie de cybernétique) dans lequel l'espace-temps vibre partout dans sa structure, c'est-à-dire simultanément dans le passé et dans le futur. Se reporter aux métaphores du tunnel flottant sur un océan, ou encore du GPS, pour comprendre cette évolution hors du temps. Il y aurait alors tant à dire sur ces ondes dont la modélisation manque cruellement, mais je terminerai cette réponse en précisant qu'elles ne s'atténuent pas avec la distance et permettent d'adresser des points de l'espace-temps arbitrairement éloignés, ce qui devrait conduire à les mettre en rapport avec le phénomène d'intrication, dans une physique... du futur !
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Imbitable (775) Nébuleuse (841) Convenable (700) Pertinente (599) Géniale (997) .......(3912 avis: note=3)
β – ondes Bêta : Elles vont de 13 à 30 Hz. Ce sont les ondes émises lorsque votre cerveau est en alerte, à l’éveil quoi. Quand vous vous concentrez sur un problème de maths, que vous parlez ou comptez le nombre de grains de sable sur la plage, c’est celles-ci qui sont actives.
α – ondes Alpha : Elles vont de 8 à 13 Hz chez les adultes. Ce rythme est présent lorsqu’on se sent bien, quand on se relaxe, par exemple après avoir bien mangé et qu’on renverse la tête en faisant « aaaAAahhh ».
θ – ondes Thêta : Là, on rentre dans la catégorie poids lourd. Sous 7 Hz se situe le rythme que l’on produit lorsqu’on s’endort par exemple, ou quand on est en état de profonde méditation. De manière assez incroyable, et vous le ressentez probablement si vous méditez, les ondes alpha et thêta se rapprocheront, ce qui donnera cette sensation de la pleine conscience.
δ – ondes Delta : Allant de 0,5 à 4 Hz, elles sont lentes. C’est le rythme que produit notre cerveau lorsque nous sommes profondément endormis ou inconscients.
Une petite dernière, plus rare et pas vraiment officielle : Les ondes Gamma (γ) sont émises en état d’excitation extrême, genre « il faut absolument que vous sauviez une vie ». Elles peuvent aller jusqu’à 80 Hz !
Allez ! Essayez de deviner : 4Hz, 8Hz, 9Hz… Ça ne vous rappelle rien ?
Bien sûr ! Le battement binaural ! Encore lui. Plus tôt, vous avez lu que, soumis à deux sons particuliers, le cerveau produisait ce battement, n’est-ce pas ? Rien de plus vrai. Et il produit aussi ce rythme cérébral, ces ondes bêta, alpha…
Wilhelm Dove se dit alors : « et si on créait des sons spéciaux qui obligeaient notre cerveau à produire un battement particulier ? » Si on le force à produire un battement binaural de 15Hz, on sera donc dans le rythme bêta ! Et si on le force à produire du 2Hz, il rentrera dans le rythme delta.
Donc quand on balançait nos deux sons précédents (qui avaient 10Hz de différence) notre cerveau produisait un battement de 10Hz et rentrait dans le rythme ALPHA ! Celui de la relaxation.
C’est extraordinaire non ?
Ces jolies figures, appelées les Figures de Chladni, font partie des célèbres découvertes par Ernst Florence Friedrich Chladni (1756-1827), musicien et physicien de Leipzig. Pour les produire, Chladni saupoudrait une plaque métallique carrée avant de la faire vibrer avec un archet. En frottant le bord de la plaque aux différents endroits, Chladni a su produire des sons différents. De plus, sous l'action de la vibration, la poudre se déplaçait pour s'accumuler en des points stationnaires de la plaque, donnant ainsi les figures qui portent son nom.
En 1787, Chladni a publié ses figures dans son ouvrage "Entdeckungen über die Theorie des Klanges". Dès leur publication, les expériences de Chladni ont suscité beaucoup d'intérêt partout en Europe, non seulement parmi les scientifiques, mais aussi chez le grand public. Napoléon a même invité Chladni à Paris en 1809. Ensuite, de nombreux chercheurs ont successivement développé un modèle mathématique permettant de calculer, pour chaque plaque, les différents sons possibles, ainsi que les figures correspondantes : on compte Sophie Germain, Lagrange, Poisson, Kirchhoff et Lord Rayleigh parmi les contributeurs. Mais il faut attendre jusqu'en 1909 pour que Walther Ritz, physicien valaisan, invente une méthode utilisable en pratique pour calculer ces figures ainsi que les fréquences associées.
À l'occasion du centenaire de la mort de Ritz, deux chercheurs à la section de mathématiques, le Prof. Martin J. Gander et le Dr. Felix Kwok, ont publié un article exposant des algorithmes modernes pour calculer les figures de Chladni. Ils ont comparé leurs résultats à ceux obtenus par Chladni et Ritz. L'accord entre les résultats historiques et modernes est remarquable : les fréquences calculées par Ritz diffèrent des résultats modernes de quelques pour cents seulement, malgré l'absence des ordinateurs puissants à l'époque. Les résultats de Chladni sont encore plus surprenants : les fréquences qu'il a notées (à l'oreille!) ont une précision comparable, sans mentionner qu'il est quasiment impossible de distinguer les figures générées par l'ordinateur de celles dessinées par Chladni il y a 225 ans !
Une expérience que nous avons menée de 2012 à 2013, qui n'avait pas été rapportée auparavant, visait à explorer les effets psychophysiques possibles résultant de l'interaction d'un esprit humain avec un système quantique. Les participants ont concentré leur attention vers ou loin des fentes d'un système optique à double fente pour voir si le motif d'interférence serait affecté. Les données ont été recueillies auprès de 25 personnes lors de sessions individuelles d'une demi-heure ; chaque personne a répété le test dix fois pour un total de 250 sessions planifiées. Des sessions "fictives", conçues pour imiter les sessions expérimentales sans la présence d'observateurs, ont été organisées immédiatement avant et après à titre de contrôle. Sur la base de l'analyse prévue, aucune preuve d'un effet psychophysique n'a été trouvée. Comme cette expérience différait de deux façons essentielles des expériences similaires à double fente rapportées précédemment, deux analyses exploratoires ont été développées, l'une basée sur une simple analyse spectrale du schéma d'interférence et l'autre sur la visibilité des franges. Pour les données expérimentales, les résultats ont corroboré le modèle de résultats prédit par un effet psychophysique causal, la métrique spectrale entraînant un effet de 3,4 sigma (p = 0,0003), et la métrique de la visibilité des franges entraînant 7 des 22 franges testées au-dessus de 2,3 sigma après ajustement pour l'inflation des erreurs de type I, l'une de ces franges étant à 4,3 sigma au-dessus du hasard (p = 0,00001). Les mêmes analyses appliquées aux données sur le simulacre ont montré des résultats uniformément nuls. D'autres analyses explorant la possibilité que ces résultats soient dus à des artefacts banals, tels que des fluctuations de température ou de vibration, n'ont montré aucune preuve de telles influences. De futures études utilisant les mêmes protocoles et méthodes d'analyse seront nécessaires pour déterminer si ces résultats exploratoires sont idiosyncratiques ou reflètent une véritable influence psychophysique.
Radin, D., Wahbeh, H., Michel, L., & Delorme, A. (2021). Psychophysical interactions with a double-slit interference pattern: Exploratory evidence of a causal influence. Physics Essays, 34(1), 79-88.
doi.org/10.4006/0836-1398-34.1.79
- Les particules ont des charges électriques.
- elles échangent des photons virtuels.
- action = réaction => répulsion ou attraction
- un champ électrique permet de déplacer des électrons = électricité.
- si au bord du fil, il y a ... une pomme ! ... elle bouge pas. => rien de spécial
- si la pomme bouge. => relativité restreinte. => longeur qui se contractent.
- les électrons du courant électrique qui se déplacent dans le même sens ne se contractent pas.
- les protons du fil, du point de vue de l'observateur s'allongent...
- déséquilibre entre proton et électron => force de répulsion de la pomme
- c'est une force magnétique.
- chaque particule, électron qui se déplace génère un champ magnétique.
- maxwell a 4 équations: définition de la charge comme source électrique, définition d'une polarisation obligatoire du champ magnétique, nord et sud. Induction électrique depuis une perturbation du champ magnétique on a une mise en mouvement du champ électrique, variation de champ électrique (courant) perturbe le champ magnétique... qui lui même perturbe le champ électrique... et hop... c'est parti on a généré une onde électro-magnétique !
11.09.2014
Résonance à Göbekli Tepe, Turquie
Hiéroglyphes de Göbekli Tepe
par Alex Putney pour Human-Resonance.org
9 novembre 2014
Les temples mégalithiques de Göbekli Tepe, en Turquie, ont été mis au jour pour la première fois en 1994 après la découverte par un agriculteur local de grands blocs de calcaire rectangulaires dépassant de la terre. Deux décennies de fouilles archéologiques ont permis de découvrir des artefacts paléolithiques et d'exposer des caractéristiques architecturales psychoacoustiques observées sur d'autres sites mégalithiques comme Stonehenge. Le format ouvert de Göbekli Tepe rappelle les enceintes des temples en calcaire de Malte, mais présente des dizaines de pictogrammes animaliers et de hiéroglyphes inscrits.
Göbekli Tepe, en Turquie (37.223°N 38.922°E) se trouve à 672 miles de la Grande Pyramide de Gizeh, en Égypte, soit 2,70% de la circonférence moyenne de la Terre. Le site se trouve à peu près à la même distance des pyramides de Gizeh que le temple antique de Nemrud Dag, en Turquie, ce qui correspond approximativement aux valeurs de Fibonacci n° 133 (279...) en pourcentage de la circonférence moyenne de la Terre, et de Fibonacci n° 355 (694...) en kilomètres.
Les fouilles de Göbekli Tepe ont révélé des configurations complexes de dizaines de pierres dressées en forme de "T" disposées dans plusieurs enceintes circulaires adjacentes entourées de hauts murs. Nombre de ces pierres massives sont sculptées de fascinantes représentations symboliques en relief, composées de nombreuses formes d'ondes en zigzag et d'animaux - serpents, scorpions, lions, renards, sangliers, oiseaux et aurochs.
Les formes hautement géométriques des mégalithes et les pictogrammes animaliers idéalisés qui les ornent correspondent étroitement aux formes géométriques du langage de la culture mondiale paléosanscrite, associée dans toutes les régions de notre planète à des temples piézoélectriques monumentaux dédiés à la planète Jupiter. Identifiée comme le Divin, la planète géante Jupiter était représentée dans le monde entier au cours de l'ère paléolithique par le glyphe carré d'Indra, reflété dans le format carré ou rectangulaire des parties supérieures des mégalithes de Göbekli Tepe.
Les niveaux les plus bas de l'occupation ancienne de ce site sophistiqué de temple mégalithique correspondent à une période prolongée d'utilisation primaire impliquant des bassins en calcaire qui étaient également formés dans le format carré pour signifier la divinité transmettant les bienfaits par infrason résonnant focalisé sur ce site par la Grande Pyramide.
La forte teneur en calcite du calcaire piézoélectrique permettait une transduction efficace de l'énergie acoustique et mécanique en une charge électrique qui était appliquée pour la purification de l'eau et la lévitation de l'eau légère. La séparation acoustique du protium du deutérium a également été réalisée par les bassins de lévitation de l'eau autour des pyramides et dans les chambres de passage comme Gavrinis, Newgrange, Knowth et Dowth.
L'analyse en laboratoire des surfaces calcaires des bassins carrés a révélé la présence d'oxalates, ce qui a donné lieu à des spéculations sur la production de bière. Cependant, la présence d'oxalates résulte des procédés de moulage de pierres géopolymères employés à Göbekli Tepe pour produire des mégalithes à partir d'une bouillie liquide de sable, de cendres volantes et d'eau. L'acide oxalique était utilisé pour désagréger chimiquement la roche-mère disponible en grains fins. En Amérique du Sud, des résidus d'acide oxalique ont été identifiés sur les mégalithes du temple de Saqsaywaman et sur les surfaces de la porte du Soleil de Tiwanaku. Les pierres debout de Göbekli Tepe conservent également des oxalates résiduels.
L'un des réceptacles d'eau a reçu le format carré Indra divisé en un double bassin (ci-dessus). Le périmètre surélevé du résonateur présente une série de cupules créant visuellement une ligne de points qui avait à la fois un rôle fonctionnel et un rôle symbolique d'écriture. La composition géométrique audacieuse du double bassin permet de lire une ligature de glyphes : Indra ra * , qui signifie "Jupiter accordant, l'unique, l'unique...".
Une phrase similaire montrant un carré au-dessus d'une ligne de points lisant Indra a été identifiée sur les murs de la grotte de Lascaux, en France, peinte à l'aérographe avec des peintures noires au charbon sur des murs en géopolymère qui avaient été soigneusement préparés et blanchis à la chaux. Cette continuité linguistique évidente entre la grotte de Lascaux (~30 000 ans avant notre ère) et les cercles mégalithiques de Göbekli Tepe (~15 000 ans avant notre ère) dément les démentis répétés des archéologues traditionnels concernant l'identité culturelle védique des bâtisseurs paléolithiques de Göbekli Tepe.
L'élévation de la planète déifiée Jupiter en tant que principal bienfaiteur de la vie et de la conscience sur Terre a également été exprimée à Göbekli Tepe dans le format carré des sommets des mégalithes debout qui correspondent au glyphe d'Indra. Un lion représenté en 3D sur un mégalithe s'ajoute aux textes des glyphes qui se lisent sur la face latérale : Indra-as ra raua ris adhi , signifiant "Pour Jupiter accordant la délivrance rugissante et décroissante...". (ci-dessus).
Tels qu'ils sont peints au fond de la grotte Chauvet, en France, des pictogrammes de lionnes rugissantes ont été inscrits sur plusieurs mégalithes debout à Göbekli Tepe, se lisant comme suit : raua raua adhi upama * adhi kar adhi ra ris , ce qui signifie "Rugissant, rugissant..., délivrant le plus haut..., celui qui délivre, les œuvres délivrant, octroyant diminuant...". (ci-dessus).
Les piqûres profondes visibles au sommet des mégalithes ont été produites par les coups de marteau répétés des sociétés néolithiques ultérieures, lorsque Göbekli Tepe a été comblé par des débris de roche calcaire et du sable. Le sable de quartz a contribué à l'utilisation néolithique secondaire et délibérée des temples comme résonateurs géants générant des infrasons en frappant le sommet des pierres debout. La même période de construction primaire paléolithique et de reconstruction néolithique est observée aux pyramides de Visoko, où les tunnels de Ravne montrent des phases distinctes d'excavation primaire il y a plus de 30 000 ans, puis de remblayage par des cultures néolithiques beaucoup plus tardives.
Le plus grand mégalithe debout de Göbekli Tepe est couvert de pictogrammes représentant une figure humaine avec, en guise de bras, des ondes debout réfléchies, qui mènent à une paire de mains au-dessus d'un pagne en peau d'animal ceinturé (ci-dessus, partiellement fouillé). Incarnant Indra, les glyphes sous la tête rectangulaire indiquent : Indra ra * ra-as nau adhi , signifiant "Jupiter qui accorde, celui qui accorde, qui livre des vaisseaux spatiaux" (ci-dessus).
Une autre ligature hiéroglyphique représentée sous le grand mégalithe figuratif est le pictogramme d'un canard répété en une rangée le long de la plate-forme calcaire de base, se lisant : ra mi-is ra , ce qui signifie "Accorder la synchronisation, accorder" (ci-dessus). Des pictogrammes sacrés de canards ou d'oiseaux aquatiques ornent également d'autres pierres debout mégalithiques à Göbekli Tepe, et fournissent une explication physiologique des effets psychoacoustiques des temples.
La partie inférieure de la pierre anthropomorphe debout présente une déclaration pictographique conçue comme des mains, une ceinture et un pagne en peau d'animal, le tout se lisant comme suit : as-ris ra adhi adhi ra-as ra-as ra-as ris , ce qui signifie "Pour la diminution de l'octroi de la délivrance, de la délivrance de l'octroi..., pour l'octroi de la diminution" (ci-dessus).
Un mégalithe soutenu par un mur fournit un long ensemble de textes pictographiques couvrant plusieurs côtés en colonnes verticales, conçus avec un sommet carré bien délimité signifiant Indra, la planète Jupiter. Le côté large du texte du mégalithe se lit de haut en bas comme suit : Indra-as ra mi-is ra raua ra-as vi adhi kar , ce qui signifie "Pour Jupiter qui accorde la synchronisation..., qui accorde le rugissement, qui accorde de délivrer des œuvres" (ci-dessus).
Le côté étroit du texte du mégalithe présente des hiéroglyphes qui se lisent de haut en bas, le long de la colonne centrale : Indra raua-as ra-as vi raua kar adhi kundalini , ce qui signifie "Jupiter pour le rugissement..., pour l'octroi de travaux de rugissement délivrant Kundalini".
La colonne centrale de glyphes, légèrement en retrait, est accompagnée d'une paire de colonnes latérales avec des lignes verticales répétées de glyphes : adhi as-adhi kar kar kar kar upama Indra , ce qui signifie "Délivrant, pour délivrer..., des œuvres, des œuvres... (du) plus haut : Jupiter, Jupiter..." (ci-dessus).
Des pictogrammes d'animaux ont été sculptés en relief sur le format carré du sommet d'un autre mégalithe, ainsi que des carrés en rangées signifiant Indra, avec un pictogramme de scorpion avec des pattes présentant le glyphe asu pour " vie " (ci-dessus). Le texte du glyphe exposé fournit une explication des effets bénéfiques sur la reproductivité masculine : Indra-as kara vira Indra adhi mi-is kundalini ra-as adhi ra rias asu, ce qui signifie "Pour Jupiter : action de virilité..., Jupiter délivrant... la synchronisation (de) Kundalini, pour accorder..., délivrant l'octroi pour la vie décroissante...". Les rangées de blocs carrés sont reliées par des glyphes "délivrant" ayant la forme de 3 ondes stationnaires arquées dans un rapport de taille de Fibonacci (redécouvert et modélisé mathématiquement par Cervenka et al., 2003).
Un texte comparable orne un autre mégalithe : Indra Indra ra mi-is ra adhi raua ra , signifiant " Jupiter..., Jupiter : accordant la synchronie, accordant... délivrant le rugissement accordant... ". (ci-dessus). La gueule hargneuse du pictogramme du sanglier reprend le glyphe raua pour "rugir", tandis que les pattes reprennent le glyphe ra pour "accorder".
Une grande pierre debout était ornée d'un motif envoûtant de formes de serpents à dos de diamant représentant les serpents Kundalini, avec des glyphes indiquant : "Indra-as adhi ya adhi", ce qui signifie "Pour que Jupiter délivre.. : Indra-as adhi ya adhi , signifiant "Pour Jupiter délivrant..., initiant délivrant...". (ci-dessus).
Un autre mégalithe debout représente des pictogrammes d'aurochs, de renards et d'oiseaux avec des séries répétées de phrases glyphiques intégrées fournissant les déclarations votives familières : as-adhi : ra-as kar ra raua kar * ra mi-is ra , ce qui signifie "Pour délivrer, les deux ... pour accorder .... Pour accorder le rugissement... Celui qui accorde la synchronie, accorde" (ci-dessus).
Le vaste complexe de Göbekli Tepe, situé au sommet d'une colline, présente de grandes surfaces de sols en ciment calcaire géopolymère bien préservés qui, tout comme les douzaines de mégalithes en forme de "T", ont été confondus par les archéologues sur place avec des sols naturels sculptés. La connaissance paléolithique de la chimie des géopolymères a été clairement démontrée aux pyramides de Visoko et peut être facilement vérifiée à Göbekli Tepe.
En fait, de grandes plateformes de ciment artificielles ont été coulées et utilisées à des fins psychoacoustiques avancées qui n'ont pas encore été discernées par les chercheurs modernes à Göbekli Tepe. Les surfaces lisses des plates-formes ont été produites artificiellement pour permettre un contact pieds nus avec la pierre piézoélectrique sacrée qui convertit les infrasons en un champ électromagnétique localisé au profit de l'homme. La plate-forme géopolymère piézoélectrique a été aménagée selon un plan spécifique délimitant des sentiers, des bordures et des zones surélevées autour de plusieurs éléments permanents, notamment ce qui semble être de grands trous de poteau et des fentes oblongues pour fixer les bases des mégalithes (ci-dessus).
La fonction des grandes cupules a échappé aux chercheurs pendant de nombreuses années, et il ne peut s'agir simplement de trous de meulage puisqu'on les trouve en grand nombre sur les surfaces verticales des murs ainsi que sur les surfaces horizontales. Cette énigme peut maintenant être définitivement résolue grâce au recoupement précis de textes paléosanscrits qui fournissent des déclarations directes des bâtisseurs eux-mêmes quant à l'objectif de ce vaste complexe de temples.
Les marques de cupules sont le résultat de coups répétés de marteaux contre la paroi rocheuse. Des études reproduisant le processus avec des matériaux comparables confirment que plusieurs milliers de coups de marteau ont été portés pour former chaque grande cupule, générant de l'électricité lorsque l'énergie mécanique est également transformée.
Les petits objets en grès mis au jour à Göbekli Tepe comprennent des symboles de fertilité masculins et féminins qui contiennent des formes linguistiques intégrées non encore reconnues. La représentation la plus explicite sur le plan anatomique et la plus identifiable sur le plan culturel trouvée dans le temple mégalithique aux murs annulaires est un lingam symbolique sanskrit, dont les testicules sont aplatis pour donner la phrase glyphique de base vue de profil : adhi-as adhi , ce qui signifie "délivrer, pour délivrer" (ci-dessus, à gauche).
Une petite tablette de pierre retrouvée lors de fouilles présente des glyphes louant les effets bénéfiques des pratiques de méditation électroacoustique de la Kundalini effectuées dans les temples ouverts de Göbekli Tepe, avec la phrase suivante : adhi-as traya kundalini , signifiant "Pour délivrer, protection : Kundalini" (ci-dessus, à droite). Cette petite tablette offre l'explication la plus simple des fonctions électro-acoustiques sophistiquées des temples piézoélectriques, qui rugissaient autrefois des réverbérations de Jupiter focalisées par la Grande Pyramide.
Des glyphes aussi clairs gravés dans cet artefact de pierre méritent certainement une attention particulière de la part des archéologues et des épigraphistes, mais il devient évident que de tels artefacts sont délibérément ignorés par les responsables du gouvernement turc et les services de médias de masse parce qu'ils prouvent l'origine culturelle sanskrite du site. Le contrôle étroit des cercles académiques et des déclarations publiques sur les sites paléolithiques est lié à la suppression des technologies pyramidales.
Une sculpture en grès plus petite que nature d'une tête chauve a été retrouvée à Göbekli Tepe, avec seulement les traits de base du visage (ci-dessus). Le mouvement électrique de l'énergie ressenti par les adeptes pendant la méditation de la Kundalini sous l'influence d'infrasons focalisés sur les sites mégalithiques est représenté par le glyphe du serpent de la Kundalini. Le sommet de la tête ronde montre le glyphe du serpent s'élevant jusqu'au chakra de la couronne, offrant l'énoncé simple du glyphe : adhi kundalini , qui signifie "Délivrer la Kundalini".
Le sujet de la fertilité masculine est abordé dans un autre passage hiéroglyphique enchâssé dans les formes grossièrement sculptées d'une figure masculine, coulée dans du calcaire géopolymère, qui se termine par un simple poteau enfoncé dans le sol. Les glyphes se lisent verticalement, en commençant par la tête : as-adhi vira ris adhi-as , ce qui signifie "Les deux pour la virilité, le déclin pour la... "(ci-dessus).
Des liens culturels clairs et cohérents avec les pratiques védiques de bioélectrification aux pieds nus et de guérison du qi par les mains qui ont été bien préservées en Asie, mais qui reflètent l'héritage avancé d'une culture mère paléosanscrite qui reste à la racine de toutes les pratiques spirituelles dans le monde. Des centaines de pictogrammes animaux simples ont été découverts au fond des grottes paléolithiques de Lascaux, Chauvet et des dizaines d'autres dans la France actuelle, tous construits à l'aide des mêmes techniques de reconstitution des pierres géopolymères.
Les fouilles en cours sur les sites des temples groupés de Göbekli Tepe sont en train de mettre au jour des dizaines d'autres textes de pictogrammes hiéroglyphiques inscrits en bas-relief qui ne sont aujourd'hui que partiellement visibles. L'un de ces exemples de passages partiellement enfouis de texte glyphique se trouve sur une partie fragmentée de la base d'un mégalithe debout, où l'on peut lire : vi vi vi vi vi vi , ce qui signifie "de, de..." (ci-dessus). (ci-dessus). Le reste des pictogrammes sera probablement révélé dans les mois et les années à venir, à mesure que le site livrera des vestiges provenant des niveaux les plus profonds.
Alors que la plupart des archéologues persistent à dire que Göbekli Tepe n'a aucune affiliation culturelle avec d'autres sites dans le monde, des preuves indubitables de techniques de moulage de pierres géopolymères et de styles architecturaux psychoacoustiques révèlent des liens culturels particulièrement étroits avec plusieurs sites antiques majeurs de la région méditerranéenne, en particulier les enceintes à ciel ouvert des îles de Malte et, plus encore, les temples des îles Baléares situés au large de la côte de l'Espagne actuelle.
Le temple de Torralba Den Salord (ci-dessus), sur l'île de Minorque (40,00°N 3,85°W), présente une ressemblance remarquable avec les enceintes annulaires et les mégalithes debout de Göbekli Tepe, et présente également la géoposition hautement sélective pour l'alignement des infrasons par son emplacement exact de résonance le long de la 40e latitude nord. Le langage et les technologies partagés confirment que ces sites sont tous des composants d'un oscillateur global résonnant.
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des fréquences radio (la gamme de longueur d'onde est de 200-600 m) est étudiée théoriquement. À l'aide de simulations numériques et de la décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadrupolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la Pyramide aux conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la Pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat. Il est révélé que les chambres de la Pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas de la Pyramide sur le substrat, aux longueurs d'onde plus courtes, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres fournissant des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la Pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les focalise dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.