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C'est une dégustation unique en son genre. Les astronautes de la Station spatiale internationale (ISS) vont manger, lundi 10 août, de la salade cultivée dans l'espace. L'expérience n'a rien d'anodine. Le potager de l'espace est une étape importante pour partir à la découverte de la planète Mars.
C'est une idée qui trotte dans la tête des astronautes depuis quinze ans. Mais le projet, intitulé "Veg-01", n'a vu le jour qu'il y a un peu plus d'un an. Un kit de culture est arrivé à la Station spatiale internationale dans un module de ravitaillement envoyé par la société privée SpaceX le 14 avril 2014, explique le magazine Sciences et avenir. En mai 2014, les astronautes ont fait pousser une première série de laitues romaines rouges qui ont été envoyées sur Terre pour analyses, indique la Nasa sur son site (en anglais). Cette nouvelle poussée intervient 33 jours après la plantation de la graine par l'astronaute Scott Kelly le 8 juillet, remarque par ailleurs France Info.
https://www.sciencesetavenir.fr/espace/la-salade-venue-de-l-espace_27288
Comment la salade a-t-elle poussé ?
L'expérience a demandé un peu d'ingéniosité. Le potager spatial n'a pas grand chose à voir avec une plantation réalisée sur Terre. Les salades poussent dans un incubateur équipé de lampes spéciales. Ces lames sont alors exposées à une lumière artificielle. Un panneau de diodes projette des rayons rouges, bleus et verts sur les plantes. "Les longueurs d’ondes bleues et rouges sont le minimum requis pour obtenir une bonne croissance des plantes. Ce sont probablement les plus efficaces en termes de conversion de l’énergie électrique", explique Ray Wheeler, l'un des scientifiques qui pilotent l'expérience.
Un physicien dénommé Hong Quin, qui travaille au laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du département américain de l’Energie (DOE) vient de concevoir un algorithme informatique défiant les lois de la physique.
Le physicien a conçu cet algorithme afin de prédire les orbites planétaires dans le système solaire. Pour ce faire, le scientifique a inculqué à l’algorithme les données des orbites de Mercure, de Vénus, de la terre, de Mars, de Cérès et de Jupiter. A noter que l’invention de Hong Quin incorpore l’apprentissage automatique (machine learning). Il s’agit d’un processus d’IA qui permet à la machine de mettre automatiquement à jour ses connaissances, au fil de sa propre expérience.
A partir des données qui lui ont été donné, l’algorithme a pu correctement prédire d’autres orbites planétaires dans le système solaire, dont des orbites paraboliques et hyperboliques. Mais le plus surprenant, c’est que l’algorithme n’a appris à aucun moment les lois du mouvement de Newton ni de la gravitation universelle. Il semblerait même, selon Big Think, qu’il les ait compris de lui-même.
Il y a 0.002737909311 année par jour
Orbite autour de la Terre avec un passage tous les 2 jours sur une bande de terre fixe. Le satellite est au delà de la ceinture de Van Allen, avec un satellite toujours au soleil.
Etrangement une telle orbite passe au dessus de l'équateur penché, avec plein de sites mégalithiques d'importance...