207 liens privés
Ces jolies figures, appelées les Figures de Chladni, font partie des célèbres découvertes par Ernst Florence Friedrich Chladni (1756-1827), musicien et physicien de Leipzig. Pour les produire, Chladni saupoudrait une plaque métallique carrée avant de la faire vibrer avec un archet. En frottant le bord de la plaque aux différents endroits, Chladni a su produire des sons différents. De plus, sous l'action de la vibration, la poudre se déplaçait pour s'accumuler en des points stationnaires de la plaque, donnant ainsi les figures qui portent son nom.
En 1787, Chladni a publié ses figures dans son ouvrage "Entdeckungen über die Theorie des Klanges". Dès leur publication, les expériences de Chladni ont suscité beaucoup d'intérêt partout en Europe, non seulement parmi les scientifiques, mais aussi chez le grand public. Napoléon a même invité Chladni à Paris en 1809. Ensuite, de nombreux chercheurs ont successivement développé un modèle mathématique permettant de calculer, pour chaque plaque, les différents sons possibles, ainsi que les figures correspondantes : on compte Sophie Germain, Lagrange, Poisson, Kirchhoff et Lord Rayleigh parmi les contributeurs. Mais il faut attendre jusqu'en 1909 pour que Walther Ritz, physicien valaisan, invente une méthode utilisable en pratique pour calculer ces figures ainsi que les fréquences associées.
À l'occasion du centenaire de la mort de Ritz, deux chercheurs à la section de mathématiques, le Prof. Martin J. Gander et le Dr. Felix Kwok, ont publié un article exposant des algorithmes modernes pour calculer les figures de Chladni. Ils ont comparé leurs résultats à ceux obtenus par Chladni et Ritz. L'accord entre les résultats historiques et modernes est remarquable : les fréquences calculées par Ritz diffèrent des résultats modernes de quelques pour cents seulement, malgré l'absence des ordinateurs puissants à l'époque. Les résultats de Chladni sont encore plus surprenants : les fréquences qu'il a notées (à l'oreille!) ont une précision comparable, sans mentionner qu'il est quasiment impossible de distinguer les figures générées par l'ordinateur de celles dessinées par Chladni il y a 225 ans !
VIVONS-NOUS DANS UNE SIMULATION INFORMATIQUE ?
Je trouve qu’il est difficile d’argumenter contre la possibilité que l’on vive d ans une simulation… NEIL DEGRASSE TYSON – Astrophysicien
J’aime à penser que la Lune est toujours là, même si je ne suis pas en train de la regarder. ALBERT EINSTEIN – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1921
Il se pourrait que nos esprits n’appartiennent pas à l’humanité originelle, mais plutôt à des personnes simulées par les descendants avancés d’une humanité originelle. NICK BOSTROM – Philosophe
Le bon sens qui voudrait que les objets existent de manière objective, indépendamment de notre observation, devient obsolète lorsque l’on considère la physique quantique. NIELS BOHR – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1922
On peut voir des jeux vidéo ultra-réalistes aujourd’hui. Ils deviendront peut-être un jour indiscernables de la réalité. Comment pouvons-nous savoir que ça ne s’est pas déjà produit dans le passé, et que nous ne sommes pas, nous-mêmes, dans l’un de ces jeux vidéo ? ELON MUSK – PDG DE SPACEX
Je veux apporter des preuves concrètes que nous vivons dans une simulation. TOM CAMPBELL – Physicien, essayiste
L’étude du monde objectif nous mène à la conclusion que le contenu de la conscience est l’ultime réalité. EUGENE WIGNER – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1963
––––
LE VIRTUEL À L’ÉPREUVE
Pour ce faire, les physiciens sont repartis de l’expérience des doubles fentes, qu’ils ont adaptée à leur problématique. La première expérience consistera à détecter le trajet pris par la particule au sein des fentes 1 ou 2 grâce à un détecteur, mais sans enregistrer le résultat. L’information ne sera donc pas disponible pour l’observateur : dans un monde simulé informatiquement, la décohérence n’aurait pas lieu, une figure d’interférence devrait de ce fait se dessiner sur l’écran.
La seconde expérience, quant à elle, cherchera à décaler dans le temps la destruction de l’information – qui était immédiate dans la manipulation précédente, car non enregistrée. Cette fois, les chercheurs placeront deux détecteurs, respectivement au niveau des fentes et à celui de l’écran. À l’issue du bombardement de photons, les résultats seront enregistrés par les membres de l’équipe sur deux clés USB séparées – la clé « écran », et la clé « fentes ». Là, il y aura bien détection au niveau de la fente, la mesure aura été faite, l’information sera disponible sur une clé USB. Elle devrait normalement provoquer une décohérence et donc l’absence de figure d’interférence.
Mais… si la clé USB fente est détruite avant d’avoir été lue par quelqu’un ? Dans le scénario d’une réalité simulée, l’information contenue n’aurait en fait jamais existé, puisqu’elle n’aurait jamais été soumise à la conscience d’un observateur. Et la lecture des données stockées sur la clé USB « écran » devrait montrer une figure d’interférence, prouvant que ce n’est pas la mesure mais l’observateur qui sélectionne la réalité ! « Les expériences peuvent paraître simples d’un point de vue conceptuel mais elles sont très délicates à réaliser, car elles requièrent de contrôler le nombre de photons émis par unité de temps« , pointe Houman Owhadi.
Nous modélisons un morceau de texte de langage humain racontant une histoire au moyen de la structure quantique décrivant un gaz de Bose dans un état proche d'un condensat de Bose-Einstein à la température du zéro absolu.
Pour cela, nous introduisons des niveaux d'énergie pour les mots (concepts) utilisés dans l'histoire et nous introduisons également la nouvelle notion de "cogniton" comme quantum de la pensée humaine.
Les mots (concepts) sont alors des cognitons dans différents états d'énergie comme c'est le cas pour les photons dans différents états d'énergie, ou états de fréquence radiative différente, lorsque le gaz boson considéré est celui des quanta du champ électromagnétique.
Nous montrons que la statistique de Bose-Einstein fournit un très bon modèle pour ces morceaux de textes racontant des histoires, aussi bien pour les histoires courtes que pour les histoires longues de la taille de romans.
Nous analysons un lien inattendu avec la loi de Zipf dans le langage humain, le classement de Zipf relatif aux niveaux d'énergie des mots, et le graphique de Bose-Einstein coïncidant avec le graphique de Zipf.
Nous étudions la question de "l'identité et de l'indiscernabilité" dans cette nouvelle perspective et nous conjecturons que la façon dont on peut facilement comprendre comment deux "mêmes concepts" sont "absolument identiques et indiscernables" dans le langage humain est également la façon dont les particules quantiques sont absolument identiques et indiscernables dans la réalité physique, fournissant ainsi de nouvelles preuves pour notre interprétation conceptuelle de la théorie quantique.
On suppose généralement, et on tient pour acquis, que la réalité est entièrement contenue dans l'espace.
Cependant, en examinant de plus près le comportement étrange des entités du micro-monde, nous sommes contraints d'abandonner un tel préjugé et de reconnaître que l'espace n'est qu'une cristallisation temporaire d'un petit théâtre pour la réalité, où les entités matérielles peuvent prendre place et se rencontrer.
Plus précisément, des phénomènes tels que l'intrication quantique, les effets d'interférence quantique et l'indiscernabilité quantique, lorsqu'ils sont analysés attentivement, nous indiquent qu'il y a beaucoup plus dans notre réalité physique que ce qui rencontre nos yeux humains tridimensionnels.
Mais si les éléments constitutifs de notre réalité physique sont non spatiaux, qu'est-ce que cela signifie ?
Pouvons-nous comprendre quelle est la nature d'une entité non spatiale ? Et si oui, quelles sont les conséquences pour notre vision du monde dans lequel nous vivons et évoluons en tant qu'espèce ?
Cet article a été rédigé en gardant à l'esprit l'un des objectifs du Centre Leo Apostel d'études interdisciplinaires, à savoir une large diffusion des connaissances scientifiques. Il s'adresse donc à un public transversal de lecteurs, universitaires ou non, en espérant stimuler ainsi le dialogue interdisciplinaire sur les questions fondamentales de la science.
Comment pouvons-nous expliquer le comportement étrange des entités quantiques et relativistes ? Pourquoi se comportent-elles d'une manière qui défie notre intuition sur la façon dont les entités physiques devraient se comporter, compte tenu de notre expérience ordinaire du monde qui nous entoure ?
Dans cet article, nous répondons à ces questions en montrant que le comportement des entités quantiques et relativistes n'est pas si étrange après tout, si nous considérons seulement ce que leur nature pourrait être : non pas une nature objectale, mais une nature conceptuelle.
Non pas dans le sens où les entités quantiques et relativistes seraient des concepts humains, mais dans le sens où elles partageraient avec ces derniers une même nature conceptuelle, de la même manière que les ondes électromagnétiques et sonores, bien que des entités très différentes, peuvent partager une même nature ondulatoire.
Lorsque cette hypothèse est adoptée, c'est-à-dire lorsqu'une interprétation conceptuelle de la nature profonde des entités physiques est prise au sérieux, de nombreuses difficultés d'interprétation disparaissent et notre monde physique retrouve un sens, même si notre vision de celui-ci devient radicalement différente de ce que nos préjugés classiques nous faisaient croire au départ.
Comment l'interprétation conceptualiste peut rendre la mécanique quantique intuitive et compréhensible.
Cette vidéo est la traduction en français de la conférence que j’ai donné (avec Diederik Aerts) au « VII International Workshop on Quantum Mechanics and Quantum Information, April 15-16 and 22-23, 2021 », sur le thème de l’ontologie e métaphysique quantique.
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-018-9557-z
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-020-09719-4
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-019-09633-4
https://www.massimilianosassolidebianchi.ch/
Version anglaise: https://www.youtube.com/watch?v=m0gebmi2_VY
––––
C'est hyper technique. Mais le gars il te lance sur l'interprétation conceptualiste de la physique quantique.
→ Les physiciens sont trop attaché au modèle spatial, à jouer avec des objets. C'est pour ça que pour la plupart des physiciens la physique quantique n'est pas compréhensible intuitivement.
Selon l'idée conceptualiste la physique quantique c'est un langage fait de concepts. On a donc des paradoxes, comme le fait qu'une tomate 🍅 peut être à la fois un fruit 🍎 et un légume 🍅 (on voit les propositions d'image de ma "touch bar" quand j'écris.. elle fait un choix de type légume pour la tomate.. alors que botaniquement on parle de fruit pour la tomate !)
Quand tout est concept linguistique, hop.. la physique quantique devient simple.
En fait c'est ainsi que ce mouvement conceptuel est arrivé en physique, c'est d'abord en appliquant des lois de la mécanique quantique à la linguistique. Par exemple on explique tout à fait bien la loi de Zipf. Celle qui classe la fréquence des caractères dans un texte. (qui ouvre sur les lois fractales aussi). C'est un des fondements de la compression des Zip.. la loi de Zipf... d'où le nom qui est proche. Ce qui introduit directement l'explication suivante:
Les intrications quantiques sont juste des liens de sens comme on le fait très souvent avec les mots ! C'est pour ça que deux "objets" spatialement non lié on un lien quand même.
→ ça me fait penser aux synchronicités de Jung. Des relations non causales, mais des relations de sens.
→ Ces idées me conforte de plus en plus que nous vivons dans un jeu vidéo. C'est le sens qui primes dans notre réalité, pas la logique de spatialisation des objets.
Trois ou quatre grands groupes de Quasars ? : Quatre semble être la meilleure solution pour le multivers de 12x Raspberry.
Quatre zones de contact pour d'énormes groupes de quasars ? Quatre semble être la meilleure solution pour un multivers à équilibre vectoriel en forme de framboise 12x. (Cube Octahedron)
voir aussi mon ancienne suggestion 2/3x : :Deux ou trois énormes groupes de grands quasars (LQG) situés au début de 2 ou 3 systèmes Lyman Alpha faisant partie du multivers Raspberry ?
voir : https://vixra.org/pdf/1301.0088v2.pdf
Ci-dessous : la recherche d'un Raspberry Multiverse 8 ou 12x, avec trois ou quatre zones de contact ? le Cube Octahedron Multiverse semble le mieux adapté.
Cela fait quelques années que l'idée fait son chemin, mais jamais jusqu'ici elle avait été appuyée par des preuves aussi robustes : une équipe internationale vient de confirmer, imagerie cérébrale à l'appui, que notre pensée suit les lois quantiques.
C’est de pensée qu’on parle et non pas de biologie : cette étude dit non pas que le cerveau et ses milliards de neurones sont un système physique quantique, mais que notre pensée, la manière dont on traite les informations, dont on apprend et dont on fait des choix, suit une logique quantique.
Commençons par un exemple. Supposons que l’on soit au restaurant face au choix « fromage ou dessert ». Selon les modèles classiques de la pensée, les centres de décision du cerveau vont considérer séparément chaque alternative, dérouler un scénario « camembert » et un scénario « crème brûlée » pour sonder les réactions d’appétit, les comparer puis prendre acte de l’alternative qui déclenche le plus d’expectative : la décision s’impose.
Dans un modèle de pensée quantique, l’hypothèse est que le cerveau ne sépare pas l’alternative « camembert ou crème brulée » : il déroule des scénarios où les deux coexistent, faisant varier la part de l’un et de l’autre dans une sorte de superposition de pensées où il y aurait plus ou moins de camembert, plus ou moins de crème brûlée.
Surtout, ce modèle stipule que le choix ne résulte pas du sondage d’un désir préexistant qu’il suffit d’exhumer : il se définit au moment même où il se fait. Et alors, il modifie l’état d’esprit de celui qui l’a fait.
Lire aussi : L’erreur d’Einstein : un voyage dans un espace-temps cérébral
« Pensée quantique » : Une première confirmation neurologique
Ceux qui sont familiers des étranges lois de la physique quantique auront reconnu la similitude : alors qu’en physique classique, on considère que l’état des particules (ou de tout autre système physique) est toujours bien déterminé – en vitesse, en énergie, en position – même quand on ne les observe pas, en physique quantique ces paramètres sont indéterminés jusqu’au moment où on les mesure : c’est seulement alors qu’ils se précisent, changeant alors l’état des particules mesurées.
Or voilà, depuis quelques années, des tests de comportement ont conduit les psychologues et cogniticiens sur la piste d’un modèle quantique plutôt que classique, mais l’analyse ne portait que sur les comportements.
Or dans la nouvelle étude, les clichés du cerveau de volontaires en train d’apprendre à faire un bon choix (dans la perspective d’un gain d’argent) prouveraient que l’hypothèse est la bonne. C’est là la première confirmation neurologique de l’hypothèse.
Les modèles quantiques plus efficaces
Concrètement, les chercheurs ont soumis 101 volontaires à un test très utilisé en sciences cognitives : l’Iowa Gambling Task (en anglais), un jeu de cartes avec récompense ou punition (en argent) qui permet de suivre le processus d’apprentissage d’une personne, aussi bien du point de vue du comportement que par des mesures physiologiques et de l’imagerie IRM fonctionnelle.
Les chercheurs ont alors observé (statistiquement) que le cerveau des volontaires activait simultanément et en parallèle plusieurs zones (dont celles impliquées dans les récompenses et les punitions) d’une manière bien mieux explicable par des modèles de traitement des informations de type quantique que par des modèles classiques.
Ce n’est bien sûr qu’une première preuve, surtout que les modèles quantiques incluent d’autres phénomènes de la pensée qui n’ont pas été testés ici, comme l’interférence, l’intrication ou l’oscillation.
Mais compte tenu de la supériorité prouvée du calcul quantique sur le calcul classique, qui peut être vu comme un calcul massivement parallèle plutôt que séquentiel, il n’y a pas d’étrangeté à supposer que durant l’évolution le cerveau – champion du traitement des informations – a mis en place une stratégie basée sur ce type de calcul. D’où l’adéquation des modèles suivant une logique quantique.
Un article initialement publié en mai 2020.
Tout modèle doit être réfutable, "falsifiable" au sens de Popper, c'est-à-dire se prêter à un test susceptible d'invalider, ou de valider cette théorie. On présente un test fondé sur l'effet de lentille gravitationnelle négatif (negative weak lensing).
LIENS VERS LES PAPIERS CITÉS DANS LA VIDÉO :
Piran, T. (1997). "On Gravitational Repulsion". Gen. Rel. Grav. 29: 1363-1370.
https://arxiv.org/abs/gr-qc/9706049
Izumi, K. et al. (2013). "Gravitational lensing shear by an exotic lens object with negative convergence or negative mass". Phys. Rev. D 88: 024049.
https://arxiv.org/abs/1305.5037
00:00 – Introduction
01:48 – On attend de la science qu’elle nous permette de mieux maitriser le monde dans
lequel nous vivons.
01:58 – Retour dans l’histoire. Les épicycles de Ptolémée : meilleur modèle que le
modèle héliocentrique, tant qu’on n’a pas tenu compte du fait que les trajectoires des
planètes étaient des ellipses et non de cercles.
02:57 – Tycho Brahé rejette à son tour le modèle héliocentrique pour cause de non
observation du phénomène du parallaxe.
03:18 – Le concept de réfutabilité.
03:47 – Karl Popper : une théorie non réfutable n’est pas crédible.
05:00 – Rappel ( épisode 4 ) du succès de la théorie newtonienne à travers la prédiction
par Le Verrier de l’existence d’une nouvelle planète : Neptune
05:24 – La théorie newtonienne réfutée car incapable de rendre compte de l'avance du
périhélie de Mercure.
06:00 – La réfutabilité permanente est la seule garantie de la vitalité d'une théorie.
06:15 – Evocation du paradoxe EPR ( traité dans l’épisode 6 )
07:25 – Le modèle de Friedmann conforté par la découverte du CMB
07:55 – Un modèle par la suite réfuté par la découverte de l’accélération cosmique.
08:00 – Naissance des concepts de matière sombre et d’énergie noire
09:00 – Le modèle ΛCDM conforté par l'analyse du CMB
10:00 – Le modèle Janus est-il réfutable ( "falsifiable" )
10:45 – Un modèle qui prédit une structure lacunaire de l’univers à très grande échelle
11:05 – … qui correspond à l’observation
11:40 – La cartographie de Tsvi Pirán, une matière "en bulles jointives"
12:20 – Cartographie cosmique basée sur le weak lensing
12:45 – Base de cette méthode, schématiquement
16:29 – L'effet d’un weak lensing négatif, base d’une nouvelle cartographie cosmique
18:00 – D’où un test de la validité ou de la non-validité du modèle Janus.
- L’énergie du vide quantique, ou énergie du point 0, est infinie.
- [catastrophe du vide] Il existe une différence de 122 ordres de magnitudes entre la valeur estimée de l’énergie noire (10-29g/cm3) et la valeur de l’énergie du vide quantique renormalisée (1093g/cm3).
- Ces valeurs sont toutes les deux correctes mais en apparence inégales parce qu’elles sont exprimées sur deux échelles différentes.
Einstein conclut son exposé sur l'éther par le résumé suivant :
« Nous pouvons résumer comme suit : selon la théorie de la relativité générale, l'espace est pourvu de propriétés physiques, et dans ce sens, par conséquent, il existe un éther. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est impensable, car dans un tel espace non seulement il n'y aurait pas de propagation de la lumière, mais aussi aucune possibilité d'existence pour un espace et un temps standard (mesuré par des règles et des horloges), ni par conséquent pour les intervalles d'espace-temps dans le sens physique du terme. Cependant, cet éther ne peut pas être conçu comme pourvu des qualités des medias pondérables et comme constitué de parties ayant une trajectoire dans le temps. L'idée de mouvement ne peut pas lui être appliqué. »
Une équipe internationale d’astrophysiciens a fait une découverte surprenante en analysant certains amas d’étoiles. Il se trouve que ces amas stellaires affichent une asymétrie inattendue en matière de distribution d’étoiles ; or, ceci vérifie davantage la théorie de la dynamique newtonienne modifiée (théorie MOND) — qui s’impose comme une alternative au concept de matière noire — que la théorie de la gravité largement admise aujourd’hui.
Une expérience que nous avons menée de 2012 à 2013, qui n'avait pas été rapportée auparavant, visait à explorer les effets psychophysiques possibles résultant de l'interaction d'un esprit humain avec un système quantique. Les participants ont concentré leur attention vers ou loin des fentes d'un système optique à double fente pour voir si le motif d'interférence serait affecté. Les données ont été recueillies auprès de 25 personnes lors de sessions individuelles d'une demi-heure ; chaque personne a répété le test dix fois pour un total de 250 sessions planifiées. Des sessions "fictives", conçues pour imiter les sessions expérimentales sans la présence d'observateurs, ont été organisées immédiatement avant et après à titre de contrôle. Sur la base de l'analyse prévue, aucune preuve d'un effet psychophysique n'a été trouvée. Comme cette expérience différait de deux façons essentielles des expériences similaires à double fente rapportées précédemment, deux analyses exploratoires ont été développées, l'une basée sur une simple analyse spectrale du schéma d'interférence et l'autre sur la visibilité des franges. Pour les données expérimentales, les résultats ont corroboré le modèle de résultats prédit par un effet psychophysique causal, la métrique spectrale entraînant un effet de 3,4 sigma (p = 0,0003), et la métrique de la visibilité des franges entraînant 7 des 22 franges testées au-dessus de 2,3 sigma après ajustement pour l'inflation des erreurs de type I, l'une de ces franges étant à 4,3 sigma au-dessus du hasard (p = 0,00001). Les mêmes analyses appliquées aux données sur le simulacre ont montré des résultats uniformément nuls. D'autres analyses explorant la possibilité que ces résultats soient dus à des artefacts banals, tels que des fluctuations de température ou de vibration, n'ont montré aucune preuve de telles influences. De futures études utilisant les mêmes protocoles et méthodes d'analyse seront nécessaires pour déterminer si ces résultats exploratoires sont idiosyncratiques ou reflètent une véritable influence psychophysique.
Radin, D., Wahbeh, H., Michel, L., & Delorme, A. (2021). Psychophysical interactions with a double-slit interference pattern: Exploratory evidence of a causal influence. Physics Essays, 34(1), 79-88.
doi.org/10.4006/0836-1398-34.1.79
- Les particules ont des charges électriques.
- elles échangent des photons virtuels.
- action = réaction => répulsion ou attraction
- un champ électrique permet de déplacer des électrons = électricité.
- si au bord du fil, il y a ... une pomme ! ... elle bouge pas. => rien de spécial
- si la pomme bouge. => relativité restreinte. => longeur qui se contractent.
- les électrons du courant électrique qui se déplacent dans le même sens ne se contractent pas.
- les protons du fil, du point de vue de l'observateur s'allongent...
- déséquilibre entre proton et électron => force de répulsion de la pomme
- c'est une force magnétique.
- chaque particule, électron qui se déplace génère un champ magnétique.
- maxwell a 4 équations: définition de la charge comme source électrique, définition d'une polarisation obligatoire du champ magnétique, nord et sud. Induction électrique depuis une perturbation du champ magnétique on a une mise en mouvement du champ électrique, variation de champ électrique (courant) perturbe le champ magnétique... qui lui même perturbe le champ électrique... et hop... c'est parti on a généré une onde électro-magnétique !
Quelle est la nature du temps? Qu'est-ce qu'une ligne de temps? Oui, on peut programmer son futur et changer son passé !
Un test avec des paires de photons intriqués émis depuis l'espace vers le sol a battu un record en montrant, dans un premier temps, que l'intrication subsistait sur une distance de 1.200 km, et, dans une seconde expérience, qu'il permettait une téléportation jusqu'à 1.400 km via le satellite chinois Mozi.