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Forces et flèche d’une tyrolienne statique
Le logiciel ci-dessous permet le calcul d’une tyrolienne statique, c’est-à-dire avec la charge immobilisée sur la corde porteuse.
<<< Télécharger le logiciel tyro_statique >>>
http://mdemierre.speleologie.ch/wp-content/uploads/tyro_statique.zip
Les résultats sont exporté sous la forme d’un tableau CSV facile à éditer dans un tableur. Les paramètres sont modifiables dans le fichier « parameters.txt ». Ces paramètres sont :
- Distance horizontale D0 [m]
- Dénivellation H0 [m]
- Tension initiale de la corde T0 [daN]
- Masse linéique de la corde Mc [kg/m]
- Allongement de la corde Ec [%/100 daN]
- Masse mobile M [kg]
En jouant avec ses paramètres, il est possible de mieux comprendre la physique d’une tyrolienne.
Simulation d'une tyrolienne statique
D’une manière générale, en mettant la tyrolienne sous charge, l’allongement de la corde limite significativement l’augmentation des forces sur les amarrages. En pratique, les forces exercées lors de la mise sous tension sont même souvent plus importantes que celles lors de son utilisation. Selon la manuel du SSF, les forces lors de la mise sous tension peuvent dépasser 600 daN, mais des pertes de charge non maîtrisables font descendre la force à 220 daN avec un descendeur auto-bloquant et 145 daN avec un demi-nœud d’amarre. Lors du chargement, il faut ajouter à la tension initiale 80 à 120% de la masse de la charge. Pour une charge de 80 daN (80 kg), cela donne 220 daN+120%*80 daN = 320 daN. Ces tensions sont acceptables.
A noter que si une tyrolienne fait un angle de 5 degrés, la force sur l’amarrage est déjà de 574 daN pour une charge de 100 daN (100 kg) en tyrolienne horizontale (poids de la corde négligé). L’angle de la corde porteuse sera donc toujours supérieure à 5 degrés et il faut en tenir compte lors de l’installation.
http://mdemierre.speleologie.ch/wp-content/uploads/tyrolienne-resume-des-essais-ssf-1994-et-96.pdf
- L’impact de l’observateur et des pensées
L’idée que l’observateur influence la réalité physique a suscité beaucoup de débats philosophiques et spirituels. Certains interprètent ce phénomène comme une preuve que la conscience joue un rôle actif dans la construction de la réalité. Cependant, du point de vue strictement scientifique, ce n’est pas la conscience de l’observateur qui cause l’effondrement de la fonction d’onde, mais l’interaction physique du système avec l’appareil de mesure.
Cependant, certains courants, notamment en physique quantique interprétative (comme l’interprétation de Copenhague ou l’hypothèse de l’esprit quantique), suggèrent que la conscience pourrait être impliquée d’une manière encore mal comprise.
- Interprétations et débats
- Interprétation de Copenhague (Bohr) : Une particule existe en superposition jusqu'à ce qu’elle soit mesurée, mais l’effondrement est lié à l’interaction avec un appareil de mesure, et non directement à la conscience.
- Interprétation des mondes multiples (Everett) : L’univers se divise en plusieurs réalités alternatives à chaque observation, sans effondrement de la fonction d’onde.
- Interprétation de la conscience participative (Wheeler) : L’univers serait "incomplet" sans un observateur conscient, ce qui suggère une implication plus profonde de la conscience.
Le transfert de chaleur dans les solides s'effectue généralement par l'intermédiaire d'électrons ou de vibrations atomiques appelées phonons.
Dans le vide, on a longtemps pensé que la chaleur était transférée par rayonnement, mais pas par les phonons, en raison de l'absence de "milieu". Une théorie récente a cependant prédit que les fluctuations quantiques des champs électromagnétiques pourraient induire un couplage de phonons dans le vide et faciliter ainsi le transfert de chaleur.
La révélation expérimentale de cet effet quantique unique apporterait des connaissances fondamentales sur la thermodynamique quantique et des implications pratiques pour la gestion thermique dans les technologies à l'échelle du nanomètre.
Nous démontrons ici expérimentalement le transfert de chaleur induit par les fluctuations quantiques entre deux objets séparés par un vide. Nous utilisons des systèmes nanomécaniques pour réaliser un couplage fort des phonons à travers les fluctuations du vide, et nous observons l'échange d'énergie thermique entre les modes de phonons individuels.
L'observation expérimentale concorde bien avec nos calculs théoriques et se distingue sans ambiguïté d'autres effets tels que le rayonnement en champ proche et l'interaction électrostatique.
Notre découverte du transport de phonons par le biais de fluctuations quantiques représente un mécanisme de transfert de chaleur inconnu jusqu'à présent, qui s'ajoute à la conduction, à la convection et au rayonnement conventionnels. Elle ouvre la voie à l'exploitation du vide quantique dans le transport d'énergie à l'échelle nanométrique.
Les scientifiques espèrent toujours trouver la théorie de grande unification qui désigne la théorie physique susceptible de décrire de manière cohérente de l'ensemble des trois interactions fondamentales (nucléaire forte, nucléaire faible et électromagnétique).
Toutefois, en 1967, Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg (prix Nobel 1979), ont décrit l'interaction électrofaible qui unifiait :
- l'interaction électromagnétique,
-l'interaction nucléaire faible.
Sheldon Lee Glashow, Mohammad Abdus Salam et Steven Weinberg
(lors de la remise du Nobel de physique en 1979 )
Vue d'ensemble de l'interaction électrofaible
Lorsque l'univers était plus chaud et plus dense (énergie > 100 GeV, pendant l'ère électrofaible), l'interaction électromagnétique et l'interaction nucléaire faible auraient été les deux facettes d'une même interaction appelée " électrofaible ".
Pourtant, ces deux forces paraissent inconciliables bien qu'elles dépendent de l'énergie à laquelle on les considère.
- La force électromagnétique :
- est de portée infinie (observable macroscopiquement),
- croît lentement avec l'énergie,
- est médiée par le photon, particule sans masse.
- La force de l'interaction faible :
- est concevable uniquement à l'échelle atomique,
- croît très rapidement avec l'énergie des particules en présence,
- est médiée par les bosons W± et Z0, particules massives (100 fois la masse du proton).
Séparation des quatre forces fondamentales
Par contre, vers une centaine de GeV, ces deux forces possèdent le même ordre de grandeur.
- Dans le modèle standard à haute température, les symétries ne sont pas brisées et les particules sont sans masse.
- La force gravitationnelle est encore plus faible mais elle croît encore plus vite avec l'énergie que l'interaction faible, ce qui laisse ouverte la possibilité d'une unification de toutes les interactions élémentaires.
Comment la matière s'organise-t-elle et sous quelles forces ? Dans ce second article sur les mécanismes fondamentaux de la matière, Élucid vous propose de mieux comprendre les forces à l’œuvre dans les noyaux atomiques et la diversité de l'univers qui nous entoure.
1 - Atomes : au cœur de la matière
2 - Les forces nucléaires à l'origine des éléments chimiques
3 - Stabilité et instabilité : Fusion, Fission et Radioactivité
4 - Fabriquer un élément : les alchimistes modernes
I. La force nucléaire
La force fondamentale régissant la matière est la force nucléaire qui attire les nucléons (i.e les protons et les neutrons qui composent le noyau) entre eux et maintient la cohésion du noyau, permettant de créer les atomes. Transmise par les gluons à l’intérieur des nucléons (qui ont un rayon d’environ 0,8 fm (femtomètre ou fermi, valant 10-15 m), elle a différentes particularités :
- à plus de 2,5 fm de distance, la force nucléaire devient faible, et elle est négligeable au-delà de 4 fm ;
- à 1,3 fm, distance typique des nucléons d’un noyau, la force nucléaire connait son maximum, générant une attraction extrêmement intense ;
- en dessous de 0,8 fm, la force nucléaire s’inverse selon le principe d’exclusion de Pauli et devient très fortement répulsive, empêchant les nucléons de s’effondrer les uns sur les autres. Ils se « collent », mais gardent une très faible distance entre eux.
Ainsi, la force nucléaire n’agit qu’à de très courtes distances, d’environ 3 à 4 fois le diamètre des nucléons, ce qui a des conséquences importantes pour les gros noyaux, comme nous le verrons dans les sections à venir.
Le Nether est une dimension infernale remplie de lave, de feu et de créatures dangereuses. On y accède via des portails en obsidienne.
Voyage rapide
Le Nether est huit fois plus petit que le monde normal, on y voyage 8 fois plus rapidement. La distance parcourue dans le Nether est donc multipliée par 8, faisant du Nether une zone de voyage rapide qui permet de parcourir une grande distance alors qu'un laps de temps réduit s'est écoulé dans le monde normal.
=> Ceci me fait penser au modèle cosmologique Janus de Jean-Pierre Petit qui a deux face de l'espace temps dans lequel la vitesse de la lumière n'est pas la même. On peut ainsi se déplacer plus vite dans un espace.
Le portail peut être un trou noir.
Nikola Tesla U.S. Patent 787,412 - Art of Transmitting Electrical Energy through the Natural Mediums (Art de transmettre l'énergie électrique à travers les milieux naturels)
NIKOLA TESLA, DE NEW YORK, N. Y.
ART DE TRANSMETTRE L'ÉNERGIE ÉLECTRIQUE À TRAVERS LE MILIEU NATUREL.
SPECIFICATION faisant partie des lettres patentes n° 787.412, datées du 18 avril 1905.
Demande déposée le 16 mai 1900. Renouvelée le 17 juin 1902. Numéro de série 113 034 (pas de modèle).
A tous ceux que cela peut concerner :
Sachez que moi, NIKOLA TESLA, citoyen des États-Unis d'Amérique, résidant dans l'arrondissement de Manhattan, dans la ville, le comté et l'État de New York, j'ai découvert une amélioration nouvelle et utile dans l'art de transmettre l'énergie électrique à travers les milieux naturels, dont le texte suivant est une spécification, en référence aux dessins qui l'accompagnent et qui en font partie intégrante.
On sait depuis longtemps que les courants électriques peuvent se propager à travers la terre, et cette connaissance a été utilisée de nombreuses façons pour la transmission de signaux et le fonctionnement de divers dispositifs de réception éloignés de la source d'énergie, principalement dans le but de se passer d'un fil conducteur de retour.
On sait également que les perturbations électriques peuvent être transmises à travers des parties de la terre en mettant à la terre un seul des pôles de la source, et j'ai utilisé ce fait dans les systèmes que j'ai conçus dans le but de transmettre des signaux intelligibles ou de l'énergie à travers les milieux naturels et qui sont maintenant familiers ;
Mais toutes les expériences et observations faites jusqu'à présent tendent à confirmer l'opinion de la majorité des hommes de science selon laquelle la terre, en raison de son immense étendue, bien que possédant des propriétés conductrices, ne se comporte pas, en ce qui concerne les perturbations produites, à la manière d'un conducteur de dimensions limitées, mais, au contraire, comme un vaste réservoir ou un océan qui, bien qu'il puisse être localement perturbé par une agitation quelconque, reste insensible et calme dans une grande partie ou dans l'ensemble.
Un autre fait, aujourd'hui bien connu, est que lorsque des ondes ou des oscillations électriques sont imprimées sur un chemin conducteur tel qu'un fil métallique, une réflexion se produit dans certaines conditions aux extrémités du fil et, en conséquence de l'interférence des oscillations imprimées et réfléchies, le phénomène des "ondes stationnaires" avec des maxima et des minima à des positions fixes définies est produit. Dans tous les cas, ces ondes ont atteint les limites du chemin conducteur et ont été réfléchies par celui-ci.
J'ai maintenant découvert que, malgré ses vastes dimensions et contrairement à toutes les observations faites jusqu'à présent, le globe terrestre peut, en grande partie ou dans son ensemble, se comporter à l'égard des perturbations qui lui sont imprimées de la même manière qu'un conducteur de taille limitée, ce fait étant démontré par de nouveaux phénomènes que je décrirai ci-après.
Au cours de certaines recherches que j'ai menées dans le but d'étudier les effets des décharges de foudre sur l'état électrique de la terre, j'ai observé que des instruments récepteurs sensibles, disposés de manière à pouvoir répondre aux perturbations électriques créées par les décharges, ne réagissaient parfois pas lorsqu'ils auraient dû le faire, et en m'enquérant des causes de ce comportement inattendu, j'ai découvert qu'il était dû au caractère des ondes électriques produites dans la terre par les décharges de foudre et dont les régions nodales suivaient à des distances définies la source mouvante des perturbations.
Ces résultats et certaines déductions théoriques m'ont amené à la conclusion que des ondes de ce type peuvent se propager dans toutes les directions sur le globe et qu'elles peuvent avoir des longueurs encore plus différentes, les limites extrêmes étant imposées par les dimensions et les propriétés physiques de la terre.
Reconnaissant dans l'existence de ces ondes une preuve indubitable que les perturbations créées ont été conduites depuis leur origine jusqu'aux parties les plus éloignées du globe et ont été réfléchies de là, j'ai conçu l'idée de produire de telles ondes dans la terre par des moyens artificiels dans le but de les utiliser à de nombreuses fins utiles pour lesquelles elles sont ou pourraient être trouvées applicables.
Ce problème était rendu extrêmement difficile en raison des immenses dimensions de la planète et, par conséquent, des énormes mouvements d'électricité ou de la vitesse à laquelle l'énergie électrique devait être fournie afin d'approcher, même à un degré éloigné, les mouvements ou les vitesses qui sont manifestement atteints dans les manifestations des forces électriques dans la nature et qui semblaient d'abord irréalisables par des agences humaines ; mais par des améliorations graduelles et continues d'un générateur d'oscillations électriques, que j'ai décrit dans mes Brevets Nos.
Grâce à cet appareil, il m'a été possible de reproduire chaque fois que je le souhaitais des phénomènes terrestres identiques ou similaires à ceux dus aux décharges de la foudre.
Grâce à la connaissance des phénomènes que j'ai découverts et aux moyens dont je dispose pour obtenir ces résultats, je suis en mesure non seulement d'effectuer de nombreuses opérations à l'aide d'instruments connus, mais aussi d'offrir une solution à de nombreux problèmes importants impliquant le fonctionnement ou le contrôle d'appareils à distance qui, faute de cette connaissance et de ces moyens, étaient jusqu'à présent totalement impossibles à réaliser.
Par exemple, en utilisant un tel générateur d'ondes stationnaires et des appareils récepteurs correctement placés et réglés dans n'importe quelle autre localité, même éloignée, il est possible de transmettre des signaux intelligibles ou de contrôler ou d'actionner à volonté l'un ou l'ensemble de ces appareils à de nombreuses autres fins importantes et précieuses, par exemple pour indiquer l'heure exacte d'un observatoire ou pour déterminer la position relative d'un corps ou sa distance par rapport à un point donné ou pour déterminer la trajectoire d'un objet en mouvement, tel qu'un navire en mer, la distance qu'il a parcourue ou sa vitesse, ou pour produire de nombreux autres effets utiles à distance en fonction de l'intensité, de la longueur d'onde, de la direction ou de la vitesse du mouvement, ou de toute autre caractéristique ou propriété des perturbations de ce type.
J'illustrerai typiquement la manière d'appliquer ma découverte en décrivant l'une des utilisations spécifiques de la même chose, à savoir la transmission de signaux ou de messages intelligibles entre des points éloignés.
La figure 1 représente schématiquement le générateur qui produit des ondes stationnaires dans la terre, et la figure 2 un appareil situé dans une localité éloignée pour enregistrer les effets de ces ondes.
Dans la figure 1, A désigne une bobine primaire faisant partie d'un transformateur et consistant généralement en quelques tours d'un câble robuste de résistance inappréciable, dont les extrémités sont reliées aux bornes d'une source d'oscillations électriques puissantes, représentée schématiquement par B. Cette source est habituellement un condensateur chargé à un potentiel élevé et déchargé en succession rapide à travers le primaire, comme dans un type de transformateur inventé par moi et maintenant bien connu ; mais lorsqu'on désire produire des ondes stationnaires de grande longueur, une dynamo alternative de construction appropriée peut être utilisée pour exciter le primaire A.
C est une bobine secondaire enroulée en spirale à l'intérieur du primaire, dont l'extrémité la plus proche de ce dernier est reliée à la masse E' et l'autre à une borne élevée E. Les constantes physiques de la bobine C, qui déterminent sa période de vibration, sont choisies et réglées de telle sorte que le système secondaire E' C E soit en résonance aussi étroite que possible avec les oscillations qui lui sont imprimées par le primaire A. Il est, en outre, de la plus haute importance, pour augmenter encore la montée de la pression et accroître le mouvement électrique dans le système secondaire, que sa résistance soit aussi faible que possible et son auto-induction aussi grande que possible dans les conditions imposées.
La mise à la terre doit être effectuée avec le plus grand soin, afin de réduire sa résistance. Au lieu d'être directement mise à la terre, comme indiqué, la bobine C peut être reliée en série ou autrement au primaire A, auquel cas ce dernier sera connecté à la plaque E' ; mais que la bobine C ne contienne aucune ou une partie ou la totalité des spires primaires ou excitatrices, la longueur totale du conducteur entre la plaque de masse E' et la borne élevée E doit être égale au quart de la longueur d'onde de la perturbation électrique dans le système E' C E ou bien égale à cette longueur multipliée par un nombre impair.
Cette relation étant respectée, la borne E coïncidera avec les points de pression maximale dans le circuit secondaire ou excité, et le flux d'électricité le plus important se produira dans ce circuit. Afin d'amplifier autant que possible le mouvement électrique dans le secondaire, il est essentiel que sa connexion inductive avec le primaire A ne soit pas très étroite, comme dans les transformateurs ordinaires, mais lâche, de manière à permettre une libre oscillation - c'est-à-dire que leur induction mutuelle doit être faible.
La forme spiralée de la bobine C assure cet avantage, tandis que les spires proches du primaire A sont soumises à une forte action inductive et développent une force électromotrice initiale élevée. Ces ajustements et relations étant soigneusement réalisés et les autres caractéristiques constructives indiquées rigoureusement observées, le mouvement électrique produit dans le système secondaire par l'action inductive du primaire A sera énormément amplifié, l'augmentation étant directement proportionnelle à l'inductance et à la fréquence et inversement à la résistance du système secondaire.
J'ai constaté qu'il était possible de produire de cette manière un mouvement électrique des milliers de fois plus grand que le mouvement initial, c'est-à-dire celui qui est imprimé au secondaire par le primaire A, et j'ai ainsi atteint des activités ou des taux de flux d'énergie électrique dans le système E' C E mesurés par plusieurs dizaines de milliers de chevaux-vapeur.
Ces immenses mouvements d'électricité donnent lieu à une variété de phénomènes nouveaux et frappants, parmi lesquels ceux déjà décrits. Les puissantes oscillations électriques du système E' C E, communiquées au sol, provoquent des vibrations correspondantes qui se propagent dans des parties éloignées du globe, où elles sont réfléchies et produisent, par interférence avec les vibrations sortantes, des ondes stationnaires dont les crêtes et les creux s'inscrivent dans des cercles parallèles dont la plaque de sol E' peut être considérée comme le pôle.
En d'autres termes, le conducteur terrestre est mis en résonance avec les oscillations qui lui sont imprimées, tout comme un fil. De plus, un certain nombre de faits que j'ai constatés montrent clairement que le mouvement de l'électricité à travers lui suit certaines lois avec une rigueur presque mathématique.
Pour l'instant, il suffira de dire que la planète se comporte comme un conducteur parfaitement lisse ou poli, d'une résistance inappréciable, dont la capacité et l'auto-induction sont uniformément réparties le long de l'axe de symétrie de la propagation des ondes et qui transmet de lentes oscillations électriques sans distorsion ni atténuation sensibles.
En outre, les trois conditions susmentionnées semblent être essentielles à l'établissement de la condition de résonance.
Premièrement. Le diamètre de la terre passant par le pôle doit être un multiple impair du quart de la longueur d'onde, c'est-à-dire du rapport entre la vitesse de la lumière et quatre fois la fréquence des courants.
Deuxièmement. Il est nécessaire d'employer des oscillations dans lesquelles le taux de radiation de l'énergie dans l'espace sous forme d'ondes hertziennes ou électromagnétiques est très faible.
Pour donner une idée, je dirais que la fréquence devrait être inférieure à vingt mille par seconde, bien que des ondes plus courtes soient possibles. La fréquence la plus basse semble être de six par seconde, auquel cas il n'y aura qu'un seul noeud, au niveau de la plaque de sol ou à proximité, et, aussi paradoxal que cela puisse paraître, l'effet augmentera avec la distance et sera le plus important dans une région diamétralement opposée à l'émetteur.
Avec des oscillations encore plus lentes, la terre, à proprement parler, ne résonnera pas, mais agira simplement comme une capacité, et la variation de potentiel sera plus ou moins uniforme sur toute sa surface.
Troisièmement. La condition la plus essentielle est cependant que, quelle que soit la fréquence, l'onde ou le train d'ondes se poursuive pendant un certain intervalle de temps, que j'ai estimé à pas moins d'un douzième ou probablement 0,08484 de seconde et qui est pris en passant et en revenant de la région diamétralement opposée au pôle sur la surface de la terre avec une vitesse moyenne d'environ quatre cent soixante-et-onze mille deux cent quarante kilomètres par seconde.
(ndt: 471 240 km/s => plus grand que les 299 792 km/s de la vitesse de la lumière !!!)
La présence des ondes stationnaires peut être détectée de plusieurs façons. Par exemple, un circuit peut être connecté directement ou par induction au sol et à un terminal surélevé et réglé pour répondre plus efficacement aux oscillations. Une autre méthode consiste à relier un circuit accordé à la terre en deux points situés plus ou moins sur un méridien passant par le pôle E' ou, de manière générale, à deux points quelconques de potentiel différent.
La figure 2 montre un dispositif de détection de la présence des ondes tel que je l'ai utilisé dans une nouvelle méthode d'amplification des effets faibles que j'ai décrite dans mes brevets n° 685 953 et 685 955.
Il se compose d'un cylindre D, en matière isolante, qui est mû à une vitesse uniforme par un mouvement d'horlogerie ou toute autre force motrice appropriée et qui est muni de deux anneaux métalliques F F', sur lesquels portent des brosses a et a', reliées, respectivement, aux plaques terminales P et P'. Des anneaux F F' partent d'étroits segments métalliques s et s' qui, par la rotation du cylindre D, sont alternativement mis en contact avec des balais doubles b et b', portés par et en contact avec des supports conducteurs h et h', soutenus par des paliers métalliques G et G', comme illustré. Ces derniers sont reliés aux bornes T et T' d'un condensateur H, et il faut comprendre qu'ils sont capables de se déplacer angulairement comme des supports de brosses ordinaires.
L'utilisation de deux balais, b et b', dans chacun des supports h et h', a pour but de faire varier à volonté la durée du contact électrique des plaques P et P' avec les bornes T et T', auxquelles est relié un circuit de réception comprenant un récepteur R et un dispositif d, qui a pour fonction de fermer le circuit de réception à des intervalles de temps prédéterminés et de décharger l'énergie emmagasinée à travers le récepteur.
Dans le cas présent, ce dispositif se compose d'un cylindre constitué en partie d'un matériau conducteur et en partie d'un matériau isolant e et e', respectivement, que l'on fait tourner à la vitesse voulue par tout moyen approprié. La partie conductrice e est en bonne liaison électrique avec l'arbre S et est pourvue de segments effilés f f', sur lesquels glisse un balai k, supporté par une tige conductrice l, pouvant être ajustée longitudinalement dans un support métallique m. Un autre balai, n, est disposé pour porter sur l'arbre S, et l'on verra que chaque fois qu'un des segments f' entre en contact avec le balai k, le circuit incluant le récepteur R est complété et le condensateur déchargé à travers lui. En réglant la vitesse de rotation du cylindre d et en déplaçant le balai k le long du cylindre, on peut faire en sorte que le circuit s'ouvre et se ferme dans une succession aussi rapide que possible et qu'il reste ouvert ou fermé pendant les intervalles de temps que l'on désire. Les plaques P et P', par lesquelles l'énergie électrique est transmise aux brosses a et a', peuvent être situées à une distance considérable l'une de l'autre dans le sol ou l'une dans le sol et l'autre dans l'air, de préférence à une certaine hauteur.
Si une seule plaque est reliée à la terre et l'autre maintenue en hauteur, l'emplacement de l'appareil doit être déterminé en fonction de la position des ondes stationnaires établies par le générateur, l'effet étant évidemment plus important dans une région maximale et nul dans une région nodale. D'autre part, si les deux plaques sont reliées à la terre, les points de connexion doivent être choisis en fonction de la différence de potentiel que l'on souhaite obtenir, l'effet le plus fort étant évidemment obtenu lorsque les plaques sont à une distance égale à la moitié de la longueur d'onde.
Pour illustrer le fonctionnement du système, supposons que les impulsions électriques alternatives du générateur produisent des ondes stationnaires dans la terre, comme décrit ci-dessus, et que l'appareil récepteur est correctement placé par rapport à la position des régions nodales et ventrales des ondes.
La vitesse de rotation du cylindre D est modifiée jusqu'à ce qu'il tourne en synchronisme avec les impulsions alternées du générateur, et la position des balais b et b' est ajustée par déplacement angulaire ou autre, de manière à ce qu'ils soient en contact avec les segments S et S' pendant les périodes où les impulsions sont à leur maximum d'intensité ou presque. Ces conditions étant remplies, des charges électriques de même signe seront acheminées à chacune des bornes du condensateur et, à chaque nouvelle impulsion, elles seront chargées à un potentiel plus élevé.
La vitesse de rotation du cylindre d étant réglable à volonté, l'énergie d'un nombre quelconque d'impulsions distinctes peut ainsi être accumulée sous forme de potentiel et déchargée par le récepteur R lorsque le balai k entre en contact avec l'un des segments f'.
On comprendra que la capacité du condensateur doit être telle qu'elle permette d'emmagasiner une quantité d'énergie beaucoup plus grande que celle qui est nécessaire au fonctionnement ordinaire du récepteur. Comme cette méthode permet de mettre à la disposition d'un récepteur une quantité d'énergie relativement importante et sous une forme appropriée, il n'est pas nécessaire que ce dernier soit très sensible ; mais lorsque les impulsions sont très faibles ou que l'on désire faire fonctionner un récepteur très rapidement, on peut utiliser, de la manière indiquée ou d'une autre manière, n'importe lequel des dispositifs sensibles bien connus capables de répondre à des influences très faibles.
Dans les conditions décrites, il est évident que pendant la durée des ondes stationnaires, le récepteur sera soumis à des impulsions de courant plus ou moins intenses, en fonction de son emplacement par rapport aux maxima et minima desdites ondes ; mais en interrompant ou en réduisant le flux du courant, les ondes stationnaires disparaîtront ou diminueront d'intensité. Il est donc possible de produire une grande variété d'effets dans un récepteur, selon le mode de contrôle des ondes. Il est cependant possible de déplacer les régions nodales et ventrales des ondes à volonté à partir de la station émettrice, comme en faisant varier la longueur des ondes dans le respect des conditions susmentionnées.
De cette manière, les régions d'effet maximum et minimum peuvent coïncider avec n'importe quelle(s) station(s) réceptrice(s). En imprimant à la terre deux ou plusieurs oscillations de longueur d'onde différente, on peut faire en sorte que l'onde stationnaire résultante se déplace lentement sur le globe, ce qui permet de produire une grande variété d'effets utiles. Il est évident que la trajectoire d'un navire peut être facilement déterminée sans l'utilisation d'une boussole, comme par un circuit relié à la terre en deux points, car l'effet exercé sur le circuit sera le plus important lorsque les plaques P P' sont situées sur un méridien passant par la plaque de sol E' et sera nul lorsque les plaques sont situées sur un cercle parallèle.
Si les régions nodales et ventrales sont maintenues dans des positions fixes, la vitesse d'un navire transportant un appareil récepteur peut être calculée exactement à partir de l'observation des régions maximales et minimales successivement traversées.
On comprendra que les projections de tous les nœuds et boucles sur le diamètre de la terre passant par le pôle ou l'axe de symétrie du mouvement des vagues sont toutes égales. Par conséquent, dans n'importe quelle région de la surface, la longueur d'onde peut être déterminée à partir de simples règles de géométrie.
Inversement, en connaissant la longueur d'onde, on peut facilement calculer la distance de la source. De la même manière, la distance d'un point à un autre, la latitude et la longitude, l'heure, etc. peuvent être déterminées à partir de l'observation de ces ondes stationnaires.
Si plusieurs générateurs d'ondes stationnaires de ce type, de préférence de longueurs différentes, étaient installés dans des endroits judicieusement choisis, le globe entier pourrait être subdivisé en zones définies d'activité électrique, et de telles données, ainsi que d'autres données importantes, pourraient être immédiatement obtenues par un simple calcul ou par des relevés effectués à l'aide d'instruments convenablement gradués.
De nombreuses autres applications utiles de ma découverte se présenteront d'elles-mêmes et, à cet égard, je ne souhaite pas me limiter. Ainsi, le plan spécifique décrit ici pour produire les ondes stationnaires pourrait être modifié. Par exemple, le circuit qui imprime les puissantes oscillations sur la terre pourrait être connecté à cette dernière en deux points. Dans le cadre de cette application, j'ai présenté diverses améliorations des moyens et méthodes de production et d'utilisation des effets électriques qui, soit en relation avec ma présente découverte, soit indépendamment de celle-ci, peuvent être appliquées de manière utile.
Je souhaite qu'il soit entendu que les caractéristiques nouvelles qui ne sont pas expressément revendiquées dans la présente demande feront l'objet de demandes ultérieures.
Ce que je revendique maintenant est...
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre l'énergie électrique à distance qui consiste à établir des ondes électriques stationnaires dans la terre, comme indiqué.
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre l'énergie électrique à distance qui consiste à imprimer à la terre des oscillations électriques de nature à y produire des ondes électriques stationnaires, tel qu'exposé.
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre et d'utiliser l'énergie électrique qui consiste à créer des ondes électriques stationnaires dans les milieux conducteurs naturels et à faire fonctionner ainsi un ou plusieurs appareils récepteurs éloignés de la source d'énergie, tel qu'exposé.
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre et d'utiliser l'énergie électrique qui consiste à établir dans le milieu conducteur naturel des ondes électriques stationnaires de longueur prédéterminée et à faire fonctionner ainsi un ou plusieurs dispositifs de réception éloignés de la source d'énergie et correctement situés par rapport à la position de ces ondes, comme indiqué dans le présent document.
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre et d'utiliser l'énergie électrique, qui consiste à établir dans les milieux conducteurs naturels des ondes électriques stationnaires et à faire varier la longueur de ces ondes, comme indiqué ci-dessus.
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Le perfectionnement dans l'art de transmettre et d'utiliser l'énergie électrique, qui consiste à établir dans les milieux conducteurs naturels des ondes électriques stationnaires et à déplacer les régions nodales et ventrales de ces ondes, comme décrit.
NIKOLA TESLA.
Témoins :
M. LAWSON DYER,
BENJAMIN MILLER.
Les magasins sans caissiers "alimentés par l'IA" d'Amazon utilisent donc beaucoup de... humains. Voici pourquoi cela ne devrait pas vous surprendre
The Guardian (États-Unis)11 Apr 2024James Bridle
Photographie : Niklas Halle'n/AFP/Getty Images
''Just walk out'' a peut-être fait son temps, mais l'élision du confort du consommateur et du déni plausible est bien vivante dans la grande rue.''
En 2021, lorsqu' Amazon a lancé sa première épicerie "Just walk out" au Royaume-Uni à Ealing, dans l'ouest de Londres, ce journal a publié un article sur les technologies de pointe qui, selon Amazon, rendaient tout cela possible : caméras de reconnaissance faciale, capteurs sur les étagères et, bien sûr, "intelligence artificielle". Les premiers clients ont fait la queue à l'extérieur, impatients de découvrir le futur. "Je suis un early adopter", a déclaré l'un d'entre eux. "J'ai hâte de voir comment fonctionne cette nouvelle technologie et je pense qu'elle sera bientôt omniprésente.
La promesse des magasins "just walk out" était que les clients n'auraient pas besoin de faire la queue devant un caissier, de scanner leurs propres articles ou même de faire une pause en sortant. Ils pouvaient simplement prendre ce dont ils avaient besoin, passer la porte et l'œil bienveillant et omniscient de la technologie fixerait le prix de leurs marchandises, débiterait leur compte et leur enverrait un reçu.
En réalité, des gens regardaient les clients d'Amazon faire leurs achats. Plus d'un millier d'entre eux, comme l'a rapporté The Information, regardaient les caméras et étiquetaient les images des clients. Un employé qui a travaillé sur la technologie a déclaré que de véritables humains - bien que distants et invisibles, basés en Inde - examinaient environ 70 % des ventes effectuées dans les magasins "sans caissiers" à partir de la mi-2022 (Amazon a répondu que "la caractérisation du rôle et du nombre d'examinateurs humains n'est pas exacte"). Aujourd'hui, Amazon serait en train de s'éloigner de l'idée du "Just walk out" et de mettre en place des "chariots intelligents" à la place (un scanner dans votre chariot - big whoop).
Je ne saurais trop insister sur le fait que cela ne devrait pas être une surprise. Tout d'abord, l'histoire des faux robots est très, très ancienne. Elle remonte au moins à 1770 et au "Turc mécanique" original, un robot joueur d'échecs qui a séduit les cours d'Europe pendant des décennies jusqu'à ce qu'il soit révélé qu'il s'agissait en fait d'une série de grands maîtres cachés dans une boîte. Parmi les mises à jour récentes, on peut citer l'"assistant intelligent" de Facebook, M, qui prétend être une IA mais qui renvoie toute question complexe à des personnes, et Cruise, l'entreprise de voitures autopilotées dont les opérations nécessitent l'intervention de travailleurs à distance tous les deux miles et demi à cinq miles.
Toutes ces histoires, prises séparément, sont assez drôles. Mais collectivement, elles brossent le tableau d'une société et d'une culture totalement incapables d'enregistrer la violence qui leur est faite, simplement parce que le processus historique est drapé dans les rubans de la "technologie". Cette violence est perpétrée simultanément dans les grandes rues et sur la scène mondiale. Ce qui me met en colère dans le fait que nous continuons à tomber dans le panneau, ce n'est pas seulement le fait que nous devrions être mieux informés, mais aussi le coût que cela représente.
Le salaire minimum national au Royaume-Uni est de 11,44 livres sterling. Une petite épicerie comme celle d'Amazon Fresh peut compter une demi-douzaine d'employés. En supposant qu'ils soient tous
soient tous payés à plein tarif (ce qui est peu probable) et que tous soient payés au salaire le plus bas (c'est-à-dire qu'ils ne soient pas cadres), le salaire individuel moyen serait d'environ 20 000 livres et la masse salariale annuelle de 130 000 livres. Lorsque ce travail est externalisé par le biais de caméras vidéo, il est confié à des étiqueteurs de données. Les étiqueteurs de données à distance d'Amazon peuvent être payés une ou deux livres de l'heure, s'ils ont de la chance. Si vous pouvez remplacer une demi-douzaine d'employés britanniques par une demi-douzaine de data labellers en Inde, au Kenya ou aux Philippines, la différence dans la seule facture annuelle de personnel pourrait être de près de 100 000 livres sterling par an.
Jeff Bezos est la deuxième personne la plus riche du monde, avec une valeur d'environ 205 milliards de dollars (163 milliards de livres sterling). Cet argent ne sort pas de nulle part. Il ne sort pas d'une machine à sous située au bout d'une jetée et intitulée "J'ai appris à coder à Princeton et c'est pour cela que je suis meilleur que vous". C'est le résultat de la dissimulation délibérée du travail réel - concevoir, fabriquer, trier, emballer, cuisiner, cultiver, livrer - derrière de petites icônes sur l'écran de votre smartphone, afin de le dévaloriser. C'est l'utilisation systématique de l'astuce du faux robot pour diminuer la valeur du travail, jusqu'à ce que les gens dorment dans des tentes aux portes de l'usine, et qu'ils mettent la différence en banque.
La taille de la fusée de Bezos est très précisément déterminée par la différence de coût entre le salaire d'un travailleur britannique et celui d'un travailleur indien - y compris toute l'inégalité raciste et colonialiste historiquement déterminée que ce calcul implique. Mais ne vous y trompez pas : Bezos et ses semblables paieront un robot encore moins cher, dès que cela sera possible. La seule leçon à tirer d'Amazon Fresh est que nous n'en sommes pas encore - tout à fait - là.
L'histoire du faux robot a également un autre objectif : c'est une distraction. En 2021, Amazon et Google ont signé conjointement un contrat de 1,2 milliard de dollars pour fournir à l'État israélien, y compris à l'armée, des systèmes d'informatique en nuage et d'intelligence artificielle. Bien qu'il n'y ait aucune preuve que Google ou
Si rien ne prouve que la technologie de Google ou d'Amazon ait été utilisée pour tuer des civils, cet accord permanent témoigne d'une volonté de s'engager avec une armée qui a tué 30 000 personnes et dont l'utilisation du ciblage par "IA" lui permet de dire : "C'est la machine qui a fait le coup : "C'est la machine qui l'a fait".
Le slogan "Just walk out" a peut-être fait son temps, mais l'élision du confort du consommateur et du déni plausible est bien vivante dans les grandes surfaces. Tesco a ouvert son premier magasin GetGo en 2021, promettant le même type de commodité sans caisse que "Just walk out" - il y a maintenant des magasins à Londres, Birmingham et Welwyn Garden City. Tesco se targue d'utiliser la reconnaissance faciale, mais GetGo crée des "contours squelettiques" de vous. La technologie sous-jacente du service est fournie par Trigo, une société israélienne qui se vante que la quasi-totalité de ses ingénieurs ont été "triés sur le volet dans des unités militaires d'élite", notamment l'unité 8200, l'agence de surveillance militaire de Tsahal, et l'unité 9900, sa division spécialisée dans la surveillance et la cartographie. Le suivi point par point de corps inconnus dans l'espace bâti, basé sur l'analyse algorithmique de la démarche et de la posture ? Je me demande où ils ont appris à faire cela.
James Bridle est écrivain et artiste, et l'auteur de Ways of Being : Beyond Human Intelligence
Article Name:Les magasins sans caissiers "alimentés par l'IA" d'Amazon utilisent beaucoup d'êtres humains. Voici pourquoi cela ne devrait pas vous surprendre
Publication:The Guardian (USA)
Auteur:James Bridle
À partir du développement du principe holographique par Bekenstein-Hawking, Susskind et 't Hooft, nous considérons une approche de l'entropie statistique et de la thermodynamique d'un rapport holographique généralisé surface-volume défini dans des travaux antérieurs.
En appliquant cette analyse, nous traçons une approximation de premier ordre d'un coefficient d'échelle utilisant une représentation de l'espace-temps par une structure cristalline à centre de cube de face.
L'échelle qui en résulte, de l'échelle de Planck à l'échelle universelle, trouve un ajustement étonnamment périodique pour organiser la matière dans l'univers.
En conséquence, nous pouvons calculer des valeurs exactes définissant les facteurs d'échelle fondamentaux des interactions physiques. En les appliquant aux rayons et aux masses à l'échelle hadronique, électronique et de la constante de Hubble, nous obtenons des résultats cohérents avec les mesures actuelles.
À partir des premières explorations de la thermodynamique et de la caractérisation du rayonnement du corps noir, Max Planck a prédit l'existence d'une valeur d'attente non nulle pour la densité d'énergie électromagnétique du vide quantique ou énergie du point zéro (ZPE).
À partir de la mécanique d'un oscillateur quantique, Planck a dérivé le spectre du corps noir, qui répondait à la loi de Stefan-Boltzmann avec un terme de non-vanification restant où la somme de tous les modes d'oscillation divergeait à l'infini en chaque point du champ.
Dans la dérivation moderne, les fonctions de corrélation sont utilisées pour dériver le comportement cohérent des opérateurs de création et d'annihilation.
Bien qu'une approche courante consiste à normaliser l'hamiltonien de sorte que tous les modes de l'état fondamental s'annulent, fixant artificiellement l'énergie du point zéro à zéro, l'énergie du point zéro est essentielle pour la cohérence mathématique de la mécanique quantique car elle maintient la non-commutativité des opérateurs de création et d'annihilation, ce qui aboutit au principe d'incertitude d'Heisenberg.
Notre calcul démontre que les modes cohérents des fonctions de corrélation au temps caractéristique du proton résultent correctement dans l'émergence de sa masse directement à partir des modes de fluctuation du vide quantique.
Nous constatons également que cette valeur énergétique est compatible avec une cavité de Casimir de la même distance caractéristique.
En conséquence, nous avons développé une solution analytique décrivant à la fois la structure de l'espace-temps quantique en tant que fluctuations du vide et extrapolant cette structure à la dynamique de surface du proton afin de définir un mécanisme d'écrantage des fluctuations électromagnétiques à une échelle donnée.
A partir d'un premier écrantage à la longueur d'onde Compton réduite du proton, nous trouvons une relation directe avec les équations de champ d'Einstein et la solution de Schwarzschild décrivant un terme source pour l'énergie interne du proton émergeant des fluctuations électromagnétiques du point zéro.
Un second écrantage des fluctuations du vide est trouvé au rayon de charge du proton, ce qui donne avec précision la masse au repos.
En tenant compte de l'écran initial, nous calculons la valeur du rayonnement de Hawking de la structure centrale de Schwarzschild et constatons qu'elle est équivalente à l'énergie de la masse au repos qui se diffuse dans la structure interne du proton.
Le gradient de pression ou les forces de pression qui en résultent sont calculés et correspondent très bien à toutes les valeurs mesurées de la force de couleur et de la force forte résiduelle typiquement associées au confinement des quarks-antiquarks et des tubes de flux de gluons.
En conséquence, nous sommes en mesure d'unifier toutes les forces de confinement avec la force gravitationnelle émergeant de la courbure de l'espace-temps induite par les fluctuations électromagnétiques quantiques du vide.
Enfin, nous avons appliqué le mécanisme d'écrantage de la densité d'énergie du vide quantique à l'univers observable et calculé la densité d'énergie critique correcte généralement donnée pour la masse-énergie totale de l'univers.
Lors de l’annonce de la création de notre nouvelle organisation – la International Space Federation (ISF) – faite par notre directeur de la recherche, le physicien Nassim Haramein, une série de séminaires et d’ateliers techniques ont également été annoncés dans le but d’examiner le premier d’une série d’articles scientifiques détaillant la théorie d’unification des forces. La session enregistrée est disponible ici : Atelier technique sur l’origine de la masse.
Ce premier article, intitulé « L’origine de la masse et la nature de la gravité« , explique comment la masse du proton émerge directement des fluctuations du vide quantique, grâce à un processus de double filtrage qui tamise les fluctuations du vide quantique en deux étapes, en passant par sa masse de trou noir (oui, vous avez bien lu, un proton trou noir !). La théorie peut être considérée comme le filtrage (ou écrantage) de cette densité d’énergie de Planck à travers l’horizon, de la densité d’énergie de Planck à la masse au repos du proton.
Lors des séminaires techniques en français et en anglais qui ont eu lieu respectivement le mercredi 27 septembre et le jeudi 28 septembre, les physiciens Nassim Haramein, Cyrpien Guermonprez et Olivier Alirol ont passé en revue leur article au cours d’une session de deux heures et demie (suivie d’une séance de questions-réponses) qui changera probablement l’histoire de la physique et de la science en général
http://dx.doi.org/10.1063/1.5026556
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des radiofréquences (la gamme des longueurs d'onde est de 200 à 600 m) est étudiée théoriquement.
À l'aide de simulations numériques et d'une décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadripolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la pyramide dans les conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat.
Il s'avère que les chambres de la pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas d'une pyramide placée sur un substrat, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres aux longueurs d'onde les plus courtes, ce qui produit des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les concentre dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.