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Trois ou quatre grands groupes de Quasars ? : Quatre semble être la meilleure solution pour le multivers de 12x Raspberry.
Quatre zones de contact pour d'énormes groupes de quasars ? Quatre semble être la meilleure solution pour un multivers à équilibre vectoriel en forme de framboise 12x. (Cube Octahedron)
voir aussi mon ancienne suggestion 2/3x : :Deux ou trois énormes groupes de grands quasars (LQG) situés au début de 2 ou 3 systèmes Lyman Alpha faisant partie du multivers Raspberry ?
voir : https://vixra.org/pdf/1301.0088v2.pdf
Ci-dessous : la recherche d'un Raspberry Multiverse 8 ou 12x, avec trois ou quatre zones de contact ? le Cube Octahedron Multiverse semble le mieux adapté.
Cela fait quelques années que l'idée fait son chemin, mais jamais jusqu'ici elle avait été appuyée par des preuves aussi robustes : une équipe internationale vient de confirmer, imagerie cérébrale à l'appui, que notre pensée suit les lois quantiques.
C’est de pensée qu’on parle et non pas de biologie : cette étude dit non pas que le cerveau et ses milliards de neurones sont un système physique quantique, mais que notre pensée, la manière dont on traite les informations, dont on apprend et dont on fait des choix, suit une logique quantique.
Commençons par un exemple. Supposons que l’on soit au restaurant face au choix « fromage ou dessert ». Selon les modèles classiques de la pensée, les centres de décision du cerveau vont considérer séparément chaque alternative, dérouler un scénario « camembert » et un scénario « crème brûlée » pour sonder les réactions d’appétit, les comparer puis prendre acte de l’alternative qui déclenche le plus d’expectative : la décision s’impose.
Dans un modèle de pensée quantique, l’hypothèse est que le cerveau ne sépare pas l’alternative « camembert ou crème brulée » : il déroule des scénarios où les deux coexistent, faisant varier la part de l’un et de l’autre dans une sorte de superposition de pensées où il y aurait plus ou moins de camembert, plus ou moins de crème brûlée.
Surtout, ce modèle stipule que le choix ne résulte pas du sondage d’un désir préexistant qu’il suffit d’exhumer : il se définit au moment même où il se fait. Et alors, il modifie l’état d’esprit de celui qui l’a fait.
Lire aussi : L’erreur d’Einstein : un voyage dans un espace-temps cérébral
« Pensée quantique » : Une première confirmation neurologique
Ceux qui sont familiers des étranges lois de la physique quantique auront reconnu la similitude : alors qu’en physique classique, on considère que l’état des particules (ou de tout autre système physique) est toujours bien déterminé – en vitesse, en énergie, en position – même quand on ne les observe pas, en physique quantique ces paramètres sont indéterminés jusqu’au moment où on les mesure : c’est seulement alors qu’ils se précisent, changeant alors l’état des particules mesurées.
Or voilà, depuis quelques années, des tests de comportement ont conduit les psychologues et cogniticiens sur la piste d’un modèle quantique plutôt que classique, mais l’analyse ne portait que sur les comportements.
Or dans la nouvelle étude, les clichés du cerveau de volontaires en train d’apprendre à faire un bon choix (dans la perspective d’un gain d’argent) prouveraient que l’hypothèse est la bonne. C’est là la première confirmation neurologique de l’hypothèse.
Les modèles quantiques plus efficaces
Concrètement, les chercheurs ont soumis 101 volontaires à un test très utilisé en sciences cognitives : l’Iowa Gambling Task (en anglais), un jeu de cartes avec récompense ou punition (en argent) qui permet de suivre le processus d’apprentissage d’une personne, aussi bien du point de vue du comportement que par des mesures physiologiques et de l’imagerie IRM fonctionnelle.
Les chercheurs ont alors observé (statistiquement) que le cerveau des volontaires activait simultanément et en parallèle plusieurs zones (dont celles impliquées dans les récompenses et les punitions) d’une manière bien mieux explicable par des modèles de traitement des informations de type quantique que par des modèles classiques.
Ce n’est bien sûr qu’une première preuve, surtout que les modèles quantiques incluent d’autres phénomènes de la pensée qui n’ont pas été testés ici, comme l’interférence, l’intrication ou l’oscillation.
Mais compte tenu de la supériorité prouvée du calcul quantique sur le calcul classique, qui peut être vu comme un calcul massivement parallèle plutôt que séquentiel, il n’y a pas d’étrangeté à supposer que durant l’évolution le cerveau – champion du traitement des informations – a mis en place une stratégie basée sur ce type de calcul. D’où l’adéquation des modèles suivant une logique quantique.
Un article initialement publié en mai 2020.
Tout modèle doit être réfutable, "falsifiable" au sens de Popper, c'est-à-dire se prêter à un test susceptible d'invalider, ou de valider cette théorie. On présente un test fondé sur l'effet de lentille gravitationnelle négatif (negative weak lensing).
LIENS VERS LES PAPIERS CITÉS DANS LA VIDÉO :
Piran, T. (1997). "On Gravitational Repulsion". Gen. Rel. Grav. 29: 1363-1370.
https://arxiv.org/abs/gr-qc/9706049
Izumi, K. et al. (2013). "Gravitational lensing shear by an exotic lens object with negative convergence or negative mass". Phys. Rev. D 88: 024049.
https://arxiv.org/abs/1305.5037
00:00 – Introduction
01:48 – On attend de la science qu’elle nous permette de mieux maitriser le monde dans
lequel nous vivons.
01:58 – Retour dans l’histoire. Les épicycles de Ptolémée : meilleur modèle que le
modèle héliocentrique, tant qu’on n’a pas tenu compte du fait que les trajectoires des
planètes étaient des ellipses et non de cercles.
02:57 – Tycho Brahé rejette à son tour le modèle héliocentrique pour cause de non
observation du phénomène du parallaxe.
03:18 – Le concept de réfutabilité.
03:47 – Karl Popper : une théorie non réfutable n’est pas crédible.
05:00 – Rappel ( épisode 4 ) du succès de la théorie newtonienne à travers la prédiction
par Le Verrier de l’existence d’une nouvelle planète : Neptune
05:24 – La théorie newtonienne réfutée car incapable de rendre compte de l'avance du
périhélie de Mercure.
06:00 – La réfutabilité permanente est la seule garantie de la vitalité d'une théorie.
06:15 – Evocation du paradoxe EPR ( traité dans l’épisode 6 )
07:25 – Le modèle de Friedmann conforté par la découverte du CMB
07:55 – Un modèle par la suite réfuté par la découverte de l’accélération cosmique.
08:00 – Naissance des concepts de matière sombre et d’énergie noire
09:00 – Le modèle ΛCDM conforté par l'analyse du CMB
10:00 – Le modèle Janus est-il réfutable ( "falsifiable" )
10:45 – Un modèle qui prédit une structure lacunaire de l’univers à très grande échelle
11:05 – … qui correspond à l’observation
11:40 – La cartographie de Tsvi Pirán, une matière "en bulles jointives"
12:20 – Cartographie cosmique basée sur le weak lensing
12:45 – Base de cette méthode, schématiquement
16:29 – L'effet d’un weak lensing négatif, base d’une nouvelle cartographie cosmique
18:00 – D’où un test de la validité ou de la non-validité du modèle Janus.
- L’énergie du vide quantique, ou énergie du point 0, est infinie.
- [catastrophe du vide] Il existe une différence de 122 ordres de magnitudes entre la valeur estimée de l’énergie noire (10-29g/cm3) et la valeur de l’énergie du vide quantique renormalisée (1093g/cm3).
- Ces valeurs sont toutes les deux correctes mais en apparence inégales parce qu’elles sont exprimées sur deux échelles différentes.
Einstein conclut son exposé sur l'éther par le résumé suivant :
« Nous pouvons résumer comme suit : selon la théorie de la relativité générale, l'espace est pourvu de propriétés physiques, et dans ce sens, par conséquent, il existe un éther. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est impensable, car dans un tel espace non seulement il n'y aurait pas de propagation de la lumière, mais aussi aucune possibilité d'existence pour un espace et un temps standard (mesuré par des règles et des horloges), ni par conséquent pour les intervalles d'espace-temps dans le sens physique du terme. Cependant, cet éther ne peut pas être conçu comme pourvu des qualités des medias pondérables et comme constitué de parties ayant une trajectoire dans le temps. L'idée de mouvement ne peut pas lui être appliqué. »
Une équipe internationale d’astrophysiciens a fait une découverte surprenante en analysant certains amas d’étoiles. Il se trouve que ces amas stellaires affichent une asymétrie inattendue en matière de distribution d’étoiles ; or, ceci vérifie davantage la théorie de la dynamique newtonienne modifiée (théorie MOND) — qui s’impose comme une alternative au concept de matière noire — que la théorie de la gravité largement admise aujourd’hui.
Une expérience que nous avons menée de 2012 à 2013, qui n'avait pas été rapportée auparavant, visait à explorer les effets psychophysiques possibles résultant de l'interaction d'un esprit humain avec un système quantique. Les participants ont concentré leur attention vers ou loin des fentes d'un système optique à double fente pour voir si le motif d'interférence serait affecté. Les données ont été recueillies auprès de 25 personnes lors de sessions individuelles d'une demi-heure ; chaque personne a répété le test dix fois pour un total de 250 sessions planifiées. Des sessions "fictives", conçues pour imiter les sessions expérimentales sans la présence d'observateurs, ont été organisées immédiatement avant et après à titre de contrôle. Sur la base de l'analyse prévue, aucune preuve d'un effet psychophysique n'a été trouvée. Comme cette expérience différait de deux façons essentielles des expériences similaires à double fente rapportées précédemment, deux analyses exploratoires ont été développées, l'une basée sur une simple analyse spectrale du schéma d'interférence et l'autre sur la visibilité des franges. Pour les données expérimentales, les résultats ont corroboré le modèle de résultats prédit par un effet psychophysique causal, la métrique spectrale entraînant un effet de 3,4 sigma (p = 0,0003), et la métrique de la visibilité des franges entraînant 7 des 22 franges testées au-dessus de 2,3 sigma après ajustement pour l'inflation des erreurs de type I, l'une de ces franges étant à 4,3 sigma au-dessus du hasard (p = 0,00001). Les mêmes analyses appliquées aux données sur le simulacre ont montré des résultats uniformément nuls. D'autres analyses explorant la possibilité que ces résultats soient dus à des artefacts banals, tels que des fluctuations de température ou de vibration, n'ont montré aucune preuve de telles influences. De futures études utilisant les mêmes protocoles et méthodes d'analyse seront nécessaires pour déterminer si ces résultats exploratoires sont idiosyncratiques ou reflètent une véritable influence psychophysique.
Radin, D., Wahbeh, H., Michel, L., & Delorme, A. (2021). Psychophysical interactions with a double-slit interference pattern: Exploratory evidence of a causal influence. Physics Essays, 34(1), 79-88.
doi.org/10.4006/0836-1398-34.1.79
- Les particules ont des charges électriques.
- elles échangent des photons virtuels.
- action = réaction => répulsion ou attraction
- un champ électrique permet de déplacer des électrons = électricité.
- si au bord du fil, il y a ... une pomme ! ... elle bouge pas. => rien de spécial
- si la pomme bouge. => relativité restreinte. => longeur qui se contractent.
- les électrons du courant électrique qui se déplacent dans le même sens ne se contractent pas.
- les protons du fil, du point de vue de l'observateur s'allongent...
- déséquilibre entre proton et électron => force de répulsion de la pomme
- c'est une force magnétique.
- chaque particule, électron qui se déplace génère un champ magnétique.
- maxwell a 4 équations: définition de la charge comme source électrique, définition d'une polarisation obligatoire du champ magnétique, nord et sud. Induction électrique depuis une perturbation du champ magnétique on a une mise en mouvement du champ électrique, variation de champ électrique (courant) perturbe le champ magnétique... qui lui même perturbe le champ électrique... et hop... c'est parti on a généré une onde électro-magnétique !
Quelle est la nature du temps? Qu'est-ce qu'une ligne de temps? Oui, on peut programmer son futur et changer son passé !
Un test avec des paires de photons intriqués émis depuis l'espace vers le sol a battu un record en montrant, dans un premier temps, que l'intrication subsistait sur une distance de 1.200 km, et, dans une seconde expérience, qu'il permettait une téléportation jusqu'à 1.400 km via le satellite chinois Mozi.
Dans la théorie de la relativité d'Einstein, le temps d'objets se déplaçant à des vitesses distinctes ne s'écoule pas au même rythme. En mécanique quantique, un même objet peut se trouver dans plusieurs états distincts. Conclusion : un même objet peut avoir plusieurs temps distincts. Hallucinant.
Le résultat de cette étude menée par deux chercheurs américains est impressionnant surtout parce qu'elle a trait au temps, à sa dilatation ou contraction, et elle montre qu'un même objet physique peut suivre deux flux de temps... en même temps - à ce niveau, les mots de la langue courante deviennent des pièges.
Un physicien dénommé Hong Quin, qui travaille au laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du département américain de l’Energie (DOE) vient de concevoir un algorithme informatique défiant les lois de la physique.
Le physicien a conçu cet algorithme afin de prédire les orbites planétaires dans le système solaire. Pour ce faire, le scientifique a inculqué à l’algorithme les données des orbites de Mercure, de Vénus, de la terre, de Mars, de Cérès et de Jupiter. A noter que l’invention de Hong Quin incorpore l’apprentissage automatique (machine learning). Il s’agit d’un processus d’IA qui permet à la machine de mettre automatiquement à jour ses connaissances, au fil de sa propre expérience.
A partir des données qui lui ont été donné, l’algorithme a pu correctement prédire d’autres orbites planétaires dans le système solaire, dont des orbites paraboliques et hyperboliques. Mais le plus surprenant, c’est que l’algorithme n’a appris à aucun moment les lois du mouvement de Newton ni de la gravitation universelle. Il semblerait même, selon Big Think, qu’il les ait compris de lui-même.
En physique nucléaire, un nombre magique est un nombre de protons ou de neutrons pour lequel un noyau atomique est particulièrement stable ; dans le modèle en couches décrivant la structure nucléaire, cela correspond à un arrangement en couches complètes.
Les sept nombres magiques vérifiés expérimentalement sont : 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126a (suite A018226 de l'OEIS). Une approche théorique montre que 184 pourrait être le 8e nombre magique,
La photosynthèse permet aux plantes d'absorber l'énergie de la Lumière (alias Photon). Sans la chlorophylle, la vie sur Terre telle que nous la connaissons cesserait d'exister.
La formule moléculaire de la chlorophylle est C55H72MgN4O5 qui, étonnamment, se résume à 137 atomes (55+72+1+4+5 = 137).
Ce nombre 137 et son réciproque 1/137 est la constante de structure fine, vénérée par les plus grands physiciens comme Einstein et Feynman, qui détermine à quelle vitesse un atome excité émet un photon. Cela montre clairement qu'il existe une relation cachée entre les atomes de la création et la nature.
La molécule de chlorophylle est constituée d'un atome central de magnésium entouré d'une structure contenant de l'azote appelée anneau porphyrine ; à cet anneau est attachée une longue chaîne latérale carbone-hydrogène, connue sous le nom de chaîne phytol.
La chlorophylle est le principal pigment utilisé par les plantes pour capter l'énergie lumineuse. Une molécule de chlorophylle est constituée d'une tête de porphyrine (quatre anneaux de pyrrole contenant de l'azote disposés en anneau autour d'un ion magnésium) et d'une longue queue d'hydrocarbure.
Le rôle de la chlorophylle dans une plante est d'absorber la lumière - généralement la lumière du soleil. L'énergie absorbée de la lumière est transférée à deux types de molécules qui stockent l'énergie. Grâce à la photosynthèse, la plante utilise l'énergie stockée pour convertir le dioxyde de carbone (absorbé dans l'air) et l'eau en glucose, un type de sucre.
Il est intéressant de noter que la chlorophylle peut être liée au sang humain : La plupart des chlorophylles sont classées comme des chlorines, qui sont des parents réduits des porphyrines (présentes dans l'hémoglobine ou le sang). Cela signifie qu'au microscope, le mandala du sang humain rouge et celui de la chlorophylle verte sont identiques, à l'exception de leur atome central.
La chlorophylle a du magnésium dans son noyau, et le sang humain a du fer, alias Fe, ou de l'hémoglobine, alias Heme. Quel lien incroyable nous avons avec les plantes. Jain 108
L'équation de la photosynthèse est la suivante : 6CO2 + 6H20 + (énergie) → C6H12O6 + 6O2 Dioxyde de carbone + eau + énergie de la lumière produit du glucose et de l'oxygène.