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la grande immensité
L'article (qui est extrait de Anthroposophical Quaterly, printemps 1977, traduit par Martin Quantin) retrace la jeunesse et le travail de Mme Kolisko. Rudolf Steiner lui avait donné comme tâche de démontrer scientifiquement les connections entre les planètes, les plantes et les métaux. Mme Kolisko publia "L'influence des étoiles sur les substances terrestres" et son activité se poursuivit par son travail expérimental en agriculture. A la suite d'un cycle de conférences, donné en 1924, par Rudolf Steiner, destiné aux agriculteurs et aux jardiniers..., un cercle expérimental fut créé. Mme Kolisko fut invité à en devenir membre. Elle prit en charge tous les tests expérimentaux en lien avec la fertilisation naturelle et artificielle, les préparations du compost et les pulvérisations, les maladies du bétail et les remèdes, ainsi que le contrôle des adventices et des ravageurs. Mme Kolisko publia, en 1946, "Agriculture de demain". Toutes ses expériences sur le lien des métaux avec le monde des planètes se poursuivirent, de même que son travail sur les extraits végétaux (étude de près d'une centaine de plantes). Elle développa aussi son expérience dans l'utilisation de la dynamolyse capillaire (pour le diagnostic médical). Son travail a été intimement lié à l'anthroposophie.
Objet Minimum Maximum Moyen
en conjonction inférieure Moyen
en opposition Réf.
Soleil 31′ 27″ 32′ 32″ 1
Mercure 0′ 4,5″ 0′ 13″ 0′ 11″ 2
Vénus 0′ 9,7″ 1′ 6″ 1′ 0,2″ 3
Mars 0′ 3,5″ 0′ 25,1″ 0′ 17,9″ 4
Lune 31′ 36″ 5
Jupiter 0′ 29,8″ 0′ 50,1″ 0′ 46,9″ 6
Saturne 0' 14,5" 0′ 20,1″ 0′ 19,5″ 7
Uranus 0′ 3,3″ 0′ 4,1″ 0′ 3,9″ 8
Neptune 0′ 2,2″ 0′ 2,4″ 0′ 2,3″ 9
Pluton 0′ 0,06″ 0′ 0,11″ 0′ 0,08″ 10
Sinon j'ai aussi refait le planétarium en entier sur google earth.
J'ai mis les périhélies et aphélies de toutes les planètes.
Je trouve que c'est très harmonieux !!
Il y a certainement une géométrie liée au nombre d'or... ou a son approximation, la suite de fibonacci.
Pour vraiment compléter l'harmonie, j'ai du inclure l'orbite de cérès. Cérès est la planète naine, le plus gros objet de la ceinture d'astéroide.
Pour moi ça complète la vision d'Anton Parks avec la grosse planète Mulge qui était à cet endroit, puis elle a été détruite et son satellite Mulge-tab a été ejecté de son orbite... s'est baladé comme une comète pendant 900 ans... et a fini par se stabiliser sous la forme de Vénus.
J'ai également complété avec les planètes plus lointaines, jupiter, saturne, uranus, neptune.
C'est harmonieux.
Ensuite j'ai aussi vérifié l'ancienne "planète" pluton. J'ai vu avec amusement que l'orbite plausible de pluton la "fausse" planète correspond à l'emplacement de la pyramide de meidoum.... la "fausse" pyramide !!!!
Incroyable !!
Il y a aussi un truc étonnant. C'est la pyramide rouge et la pyramide romboïdale. Elle sont exactement sur le tracée aphélie et périhélie d'une planète placée harmonieusement........
Mais quelle planète ?? J'ai pas trouvé... J'en déduis qu'il y a un emplacement pour une planète entre saturne et uranus.
Le nom de ces pyramides est aussi révélateur qu'elle vont ensemble.
Leur nom sont:
- La brillante (pyramide rouge)
- Celle qui brille au sud (pyramide romboïdale)
Il y a cette idée de "briller"....
Les objets les plus éloignés de la ceinture de Kuiper (KBO) semblent être regroupés en longitude du périhélie et en position de pôle orbital. Jusqu'à présent, les deux seules suggestions pour expliquer ces regroupements apparents ont été soit les effets d'un biais d'observation, soit l'existence d'une planète géante lointaine sur une orbite inclinée excentrique connue sous le nom de Planète Neuf. Pour déterminer si le biais d'observation peut être la cause de ces amas apparents, nous développons une méthode rigoureuse de quantification des biais d'observation dans les observations de la longitude du périhélie et de la position du pôle orbital. À partir de cette compréhension plus complète des biais, nous calculons que la probabilité que ces KBO distants soient regroupés aussi fortement que ceux observés à la fois en longitude du périhélie et en position du pôle orbital est seulement de 0,2%. Bien qu'il soit possible de trouver un jour des explications autres que la planète 9, la signification statistique de ce regroupement est aujourd'hui difficile à écarter.
Au cours des deux dernières décennies, des études d'observation ont révélé la structure orbitale intriquée de la ceinture de Kuiper, un champ de corps glacés en orbite autour du Soleil au-delà de Neptune. En plus d'un grand nombre de comportements orbitaux facilement prévisibles, le nouveau recensement des objets trans-neptuniens révèle des phénomènes dynamiques qui ne peuvent être expliqués par les seules interactions avec le système solaire connu de huit planètes. En particulier, les explications de la concentration physique observée d'orbites ayant des axes semi-majeurs en excès of∼250 AU, le détachement de la périhélie de certains objets de la ceinture de Kuiper de Neptune, ainsi que l'origine dynamique de bits à longue période fortement inclinés/rétrogradés restent insaisissables dans le contexte de la vision classique du système solaire. Cette nouvelle architecture dynamique du système solaire lointain met en évidence l'existence d'une nouvelle planète de masse ofm9∼5-10M⊕, située sur une orbite modérément inclinée (i9∼15-25 deg) avec une semi-majorité axisa9∼400-800 AU et eccentricitybetweene9∼0.2-0.5. Cet article examine les motivations de l'observation, les contraintes dynamiques et les perspectives de détection de cet objet proposé, connu sous le nom de Planète Neuf.
Les orbites étranges d'une dizaine d'objets très lointains laissent penser qu'une neuvième planète encore inconnue et très massive se cacherait dans les confins du Système solaire. Mais un tout petit peu moins loin que prévu initialement, d'après de nouveaux travaux de synthèse parus en ce début d'année.