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Le 21 janvier, les sept planètes principales de notre système solaire – Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune – seront visibles dans des positions particulièrement remarquables. Si un tel regroupement dans le ciel est déjà rare, ce qui rend cette date encore plus spéciale, c’est la visibilité simultanée de cinq de ces planètes à l’œil nu : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter et Saturne.
Calcul des positions planétaires - un tutoriel avec des exemples pratiques
Par Paul Schlyter, Stockholm, Suède
WWW : http://stjarnhimlen.se/
Sortir d'un cadre
1. Principes de base
2. Quelques fonctions utiles
3. Coordonnées rectangulaires et sphériques
4. L'échelle de temps. Une date test
5. La position du soleil
6. Le temps sidéral et l'angle horaire. Altitude et azimut
7. Position de la Lune
8. Position de la Lune avec une plus grande précision. Perturbations
9. Position topocentrique de la Lune
10. Les éléments orbitaux des planètes
11. Les positions héliocentriques des planètes
12. Plus grande précision - perturbations
13. Précession
14. Positions géocentriques des planètes
15. L'élongation et les éphémérides physiques des planètes
16. Les positions des comètes. Comète Encke et Levy
Comment calculer les positions des planètes
Calcul des heures de lever et de coucher
Aujourd'hui, il n'est pas très difficile de calculer la position d'une planète à partir de ses éléments orbitaux. La seule chose dont vous avez besoin est un ordinateur et un programme approprié. Si vous souhaitez écrire un tel programme vous-même, ce texte contient les formules dont vous avez besoin. Le but est d'obtenir les positions des planètes à n'importe quelle date du 20ème et 21ème siècle avec une erreur d'une ou deux minutes d'arc au maximum, et de calculer la position d'un astéroïde ou d'une comète à partir de ses éléments orbitaux.
Aucun programme n'est fourni, car les ordinateurs et les calculatrices sont programmés dans des langages différents.
Une implémentation de cet algorithme pour calculer la position du soleil (azimut et élévation) depuis un lieu.
https://fr.planetcalc.com/320/
19,47°
la grande immensité
L'article (qui est extrait de Anthroposophical Quaterly, printemps 1977, traduit par Martin Quantin) retrace la jeunesse et le travail de Mme Kolisko. Rudolf Steiner lui avait donné comme tâche de démontrer scientifiquement les connections entre les planètes, les plantes et les métaux. Mme Kolisko publia "L'influence des étoiles sur les substances terrestres" et son activité se poursuivit par son travail expérimental en agriculture. A la suite d'un cycle de conférences, donné en 1924, par Rudolf Steiner, destiné aux agriculteurs et aux jardiniers..., un cercle expérimental fut créé. Mme Kolisko fut invité à en devenir membre. Elle prit en charge tous les tests expérimentaux en lien avec la fertilisation naturelle et artificielle, les préparations du compost et les pulvérisations, les maladies du bétail et les remèdes, ainsi que le contrôle des adventices et des ravageurs. Mme Kolisko publia, en 1946, "Agriculture de demain". Toutes ses expériences sur le lien des métaux avec le monde des planètes se poursuivirent, de même que son travail sur les extraits végétaux (étude de près d'une centaine de plantes). Elle développa aussi son expérience dans l'utilisation de la dynamolyse capillaire (pour le diagnostic médical). Son travail a été intimement lié à l'anthroposophie.
Objet Minimum Maximum Moyen
en conjonction inférieure Moyen
en opposition Réf.
Soleil 31′ 27″ 32′ 32″ 1
Mercure 0′ 4,5″ 0′ 13″ 0′ 11″ 2
Vénus 0′ 9,7″ 1′ 6″ 1′ 0,2″ 3
Mars 0′ 3,5″ 0′ 25,1″ 0′ 17,9″ 4
Lune 31′ 36″ 5
Jupiter 0′ 29,8″ 0′ 50,1″ 0′ 46,9″ 6
Saturne 0' 14,5" 0′ 20,1″ 0′ 19,5″ 7
Uranus 0′ 3,3″ 0′ 4,1″ 0′ 3,9″ 8
Neptune 0′ 2,2″ 0′ 2,4″ 0′ 2,3″ 9
Pluton 0′ 0,06″ 0′ 0,11″ 0′ 0,08″ 10
Sinon j'ai aussi refait le planétarium en entier sur google earth.
J'ai mis les périhélies et aphélies de toutes les planètes.
Je trouve que c'est très harmonieux !!
Il y a certainement une géométrie liée au nombre d'or... ou a son approximation, la suite de fibonacci.
Pour vraiment compléter l'harmonie, j'ai du inclure l'orbite de cérès. Cérès est la planète naine, le plus gros objet de la ceinture d'astéroide.
Pour moi ça complète la vision d'Anton Parks avec la grosse planète Mulge qui était à cet endroit, puis elle a été détruite et son satellite Mulge-tab a été ejecté de son orbite... s'est baladé comme une comète pendant 900 ans... et a fini par se stabiliser sous la forme de Vénus.
J'ai également complété avec les planètes plus lointaines, jupiter, saturne, uranus, neptune.
C'est harmonieux.
Ensuite j'ai aussi vérifié l'ancienne "planète" pluton. J'ai vu avec amusement que l'orbite plausible de pluton la "fausse" planète correspond à l'emplacement de la pyramide de meidoum.... la "fausse" pyramide !!!!
Incroyable !!
Il y a aussi un truc étonnant. C'est la pyramide rouge et la pyramide romboïdale. Elle sont exactement sur le tracée aphélie et périhélie d'une planète placée harmonieusement........
Mais quelle planète ?? J'ai pas trouvé... J'en déduis qu'il y a un emplacement pour une planète entre saturne et uranus.
Le nom de ces pyramides est aussi révélateur qu'elle vont ensemble.
Leur nom sont:
- La brillante (pyramide rouge)
- Celle qui brille au sud (pyramide romboïdale)
Il y a cette idée de "briller"....
Les objets les plus éloignés de la ceinture de Kuiper (KBO) semblent être regroupés en longitude du périhélie et en position de pôle orbital. Jusqu'à présent, les deux seules suggestions pour expliquer ces regroupements apparents ont été soit les effets d'un biais d'observation, soit l'existence d'une planète géante lointaine sur une orbite inclinée excentrique connue sous le nom de Planète Neuf. Pour déterminer si le biais d'observation peut être la cause de ces amas apparents, nous développons une méthode rigoureuse de quantification des biais d'observation dans les observations de la longitude du périhélie et de la position du pôle orbital. À partir de cette compréhension plus complète des biais, nous calculons que la probabilité que ces KBO distants soient regroupés aussi fortement que ceux observés à la fois en longitude du périhélie et en position du pôle orbital est seulement de 0,2%. Bien qu'il soit possible de trouver un jour des explications autres que la planète 9, la signification statistique de ce regroupement est aujourd'hui difficile à écarter.