236 liens privés
J’ai un gentil visiteur qui a fait le calcul du rapport de ces fréquences de résonance de l'hypogée de Malte… 114/70 = 1.6285714286 ….
Le nombre d'or !!
Je veux refaire le calcul… je tape "114/70" dans mon moteur de recherche (brave search) qui me sert aussi de calculatrice… et je vois l’auto-complétion "114/70 blood pressure child"
→ et oui.. c’est aussi un rapport qu’on peut retrouver là…. encore une fois le nombre d’or ?? ça paraitrait plausible
Voici le bla bla de l'IA de Brave (en anglais que j'ai traduit avec deepl)
Une tension artérielle de 114/70 mmHg chez un enfant est considérée comme normale. Chez les enfants, la tension artérielle est plus basse que chez les adultes et varie en fonction de l'âge, de la taille, du poids et du sexe.
Que signifie cette valeur ?
- Pression systolique : 114 mmHg est le chiffre le plus élevé, qui représente la pression dans les artères lorsque le cœur bat (pression systolique).
- Pression diastolique : 70 mmHg est le chiffre du bas, qui représente la pression dans les artères lorsque le cœur est au repos (pression diastolique).
Quelle est la tension artérielle normale chez l'enfant ?
Selon l'American Heart Association, les plages de tension artérielle normales pour les enfants sont les suivantes :
- Nourrissons (1-12 mois) : 60-90/40-60 mmHg
- Enfants (1-12 ans) : 70-110/40-70 mmHg
- Adolescents (13-19 ans) : 80-130/50-80 mmHg
Facteurs qui influencent la tension artérielle chez les enfants :
- Âge : la tension artérielle augmente avec l'âge.
- Taille et poids : Les enfants plus grands et plus lourds ont tendance à avoir une tension artérielle plus élevée.
- Le sexe : Les garçons ont tendance à avoir une tension artérielle légèrement plus élevée que les filles.
- Surpoids ou obésité : Les enfants en surpoids ou obèses sont plus susceptibles d'avoir une tension artérielle élevée.
Réflexion intéressante sur radio libre:
Est-ce que le conseiller fédéral Alain Berset subit des pressions de l'extérieur ? (sexe ?) Pendant la crise covid il était en lien direct avec les médias de Ringier, semble-t-il pour faire sortir dans le presse les nouvelles mesures anti-covid, avant que ce ne soit discuté au conseil fédéral.
A méditer..
Voici le texte repris de radiolibre.ch:
La Suisse a probablement trouvé son petit Machiavel.
Alain Berset fût très zélé comme chef d’orchestre de la crise Covid, avec apparemment des paquets de mesures stricts sorti d’on ne sait pas bien où et qu’il a su imposer à ses autres collègues du Conseil fédéral.
Mais comment s’y prenait-il ? C’est un article de Covidhub.ch, intitulé « Covidleaks: président suisse sous enquête parlementaire » qui en parle, se basant sur des articles parus dans la presse alémanique. Presse alémanique qui fait passer la presse romande pour une muette lorsqu’il s’agit de parler des frasques de Berset.
Parce qu’ici en Romandie, on aime avoir des chouchous, et Berset en est un pour la presse. De plus en Romandie, on a un peu la mentalité centralisée française, on obéit, c’est ce qu’on sait faire de mieux quand même, pourquoi s’en priver, ce qui compte, c’est sauver les apparences. Pour le sourire de Berset.. sourire qui se fait de plus en plus rare il faut dire. Et à raison.
Selon la presse alémanique, un collaborateur d’un autre Conseiller fédéral aurait dit que si l’affaire des fuites d’informations vers le groupe de presse Ringier pendant le Covid avait été connue avant l’élection de Berset comme président de la Confédération, il n’aurait pas été élu. On se rappelle qu’une centaine de députés sur les 242 que compte le parlement n’ont pas soutenu la nomination de Berset à la présidence du pays. Un camouflet pour celui que certains adulent, mais qui cumule les faux-pas depuis plusieurs années.
Que c’est-il passé de si grave me direz-vous? Et bien premier constat, de mars à novembre 2020, le collaborateur le plus proche de Berset, Peter Lauener, son chef de la communication pendant 10 ans, qui a étrangement quitté son poste juste avant d’être mis en examen par un procureur spécial dans le cadre d’une autre affaire de fuite, et bien ce cher collaborateur, qui accompagnait Berset partout, a informé avant tout le monde le chef du groupe de presse Ringier, Marc Walder, des propositions de mesures de Berset.
Le chef de presse était donc informé avant même les collègues de Berset au Conseil fédéral, brisant ainsi la collégialité. Et pourquoi Lauener faisait-il ça? Et bien certains médias alémaniques pensent que c’était pour faire pression sur le reste du Conseil fédéral pour qu’ils acceptent les paquets de mesures stricts proposées Berset. Et c’est là que c’est machiavélique. Berset, via Lauener, informait son ami Marc Walder de ses projets de nouvelles mesures la veille, pour que le jour où le Conseil fédéral se réunissait pour négocier et voter les mesures de Berset, il y avait déjà des articles dans la presse à leur sujet, parlant favorablement de ces nouvelles propositions.
Du coup, les Conseillers fédéraux qui était pour des mesures moins sévères étaient pris en otage et devait s’aligner, pour éviter que l’opinion publique n’ait l’impression que le Conseil fédéral change d’avis comme une girouette sur un sujet aussi important. Si on annonce dans la presse que le Conseil fédéral va imposer le port du masque dans les transports publics par exemple, si le lendemain on doit lire l’inverse dans la presse, ça donne mauvais genre.
Mais vous me direz, comment est-on certain que Berset avait besoin de ça pour faire passer ses mesures? Et bien la réponse se trouve dans un des e-mails de Lauener à Ringier. On y apprend je cite qu’*obtenir une majorité au Conseil fédéral n’est guère réaliste pour le moment ». Sous-entendu, sans un petit coup de pouce du groupe Ringier?
Et comment on peut dire que Berset était au courant ? Idem, email de Lauener à Walder, qui transmet ses « Salutations amicales, aussi du conseiller fédéral Berset ». Berset fait semblant maintenant de ne pas avoir été au courant de ces échanges mais les connaisseurs des coulisses du pouvoir à Berne ne croient pas une seconde à ses propos. Walder et Berset sont de plus considérés comme des amis de longue date.
Walder avait été épinglé dans une vidéo censée restée en cercle restreint en train d’avouer qu’il avait donné comme instruction à ses rédactions, de soutenir la politique Covid des gouvernements. Ringier emploie plus de 6000 personnes en Suisse et à l’étranger. Marc Walder justement, en janvier 2023, vient d’être démis de ses fonctions à cause de cette affaire d’échanges d’email avec Lauener. Ce sont apparemment les journalistes du groupe Ringier qui ont fait pression pour regagner leur indépendance rédactionnelle vis-à-vis de la direction. C’est une décision forte vu que Walder est également en partie propriétaire du groupe et est un ami de Michael Ringier. Affaire à suivre.
Quand au parlement, il réagit enfin, avec la création d’un groupe de travail chargé d’enquêter sur ces fuites impliquant Lauener et très certainement Berset. Berset, cet homme mystérieux, partant seul en France en avion de tourisme, où en soirée échangiste avec sa maitresse de l’époque, en voiture de fonction, avec chauffeur payé par nos impôts, maîtresse qui recevra plus tard la visite de l’unité de police d’élite Tigris, pour une simple affaire privée. Il aura ensuite placé à la tête de Swissmedic son ami qui a mené la Task force mise sur pied pour gérer cette affaire. Entre autres frasques et mensonges, dont celui sur l’efficacité du vaccin, la vie de Berset ressemble à celle d’un agent secret. On le voit au dernier forum économique mondial à Davos en photo avec Mme Zelensky, Mme Ursula von der Leyen et le vénérable maître du nouvel ordre élitiste mondial, Klaus Schwab. Est-il sous influence ? Est-ce que quelqu’un fait pression sur lui avec du matériel issu de ces fameuses soirées échangistes ? La question mérite d’être posée dans un monde qui a déjà connu pire scandale dans les hautes sphères du pouvoir.