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Nouvelles exigences concernant le TCF de l'IAB
Les éditeurs devront s'assurer qu'ils collaborent avec une plate-forme de gestion du consentement (CMP, Consent Management Platform) certifiée par Google pour diffuser des annonces auprès des utilisateurs de l'Espace économique européen (EEE) ou du Royaume-Uni. Les CMP certifiées par Google sont évaluées par Google selon les critères de certification Google axés sur la conformité avec le TCF.
Calendrier
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À partir de mai 2023 : Google a entamé le processus de certification des CMP qui collaborent avec nos éditeurs partenaires. Google collaborera avec les CMP pour les certifier sur la base des critères de certification.
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À compter du 16 janvier 2024, en plus de nos Règles relatives au consentement de l'utilisateur dans l'UE, les éditeurs et les développeurs qui ont recours à Google AdSense, Ad Manager ou AdMob devront utiliser une plate-forme de gestion du consentement (CMP) certifiée par Google qui intègre le Transparency and Consent Framework (TCF) de l'IAB pour diffuser des annonces auprès des utilisateurs de l'Espace économique européen (EEE) ou du Royaume-Uni. Nous vous communiquerons ultérieurement plus d'informations sur les délais.
-À partir du 1er février 2024 : les nouvelles exigences concernant les CMP entreront en vigueur pour les partenaires qui utilisent nos produits d'annonces sur le Réseau de Recherche destinés aux éditeurs (AdSense pour les recherches, AdSense pour les domaines ou Programmable Search Engine). Pour en savoir plus, consultez les Exigences concernant la gestion du consentement pour les éditeurs d'annonces sur le Réseau de Recherche (APR/APD/ProSE) ci-dessus ainsi que cette annonce.
La liste des bases légales
https://www.edoeb.admin.ch/edoeb/fr/home/datenschutz/grundlagen.html
liste de document:
https://www.edoeb.admin.ch/edoeb/fr/home/deredoeb/infothek/infothek-ds.html
Il y a la lettre type pour demander les infos qu'on a sur soi…
Musterbrief_Auskunftsrecht_FR.docx
risque à l'enregistrement de conversation téléphonique !!
ds01_02_06b Aufzeichnung von Gesprächen - schematische Übersicht_FR.pdf
https://www.edoeb.admin.ch/dam/edoeb/fr/Dokumente/datenschutz/ds01_02_06b%20Aufzeichnung%20von%20Gespr%C3%A4chen%20-%20schematische%20%C3%9Cbersicht_FR.pdf.download.pdf/ds01_02_06b%20Aufzeichnung%20von%20Gespr%C3%A4chen%20-%20schematische%20%C3%9Cbersicht_FR.pdf
en vigueur depuis le 1.9.23
Recommandations de la NASA aux entités spatiales : Comment protéger et préserver la valeur historique et scientifique des objets lunaires du gouvernement américain
20 juillet 2011
Télécharger une copie des recommandations complètes (PDF, 4.2 MB)
https://www.nasa.gov/sites/default/files/617743main_NASA-USG_LUNAR_HISTORIC_SITES_RevA-508.pdf
La NASA reconnaît l'augmentation constante des capacités techniques des entités commerciales spatiales et des nations du monde entier, et reconnaît également que beaucoup sont sur le point de faire atterrir des vaisseaux spatiaux sur la surface de la lune. Au cours des 50 années qui se sont écoulées depuis les premières missions lunaires, la communauté des vols spatiaux n'a pas formulé de recommandations officielles à l'intention de la prochaine génération d'explorateurs lunaires sur la manière de préserver les artefacts originaux et de protéger les travaux scientifiques en cours contre les effets potentiellement dommageables des atterrisseurs à proximité.
En attendant que des orientations plus formelles soient élaborées - peut-être par le biais d'une approche multilatérale - la NASA a rassemblé dans ce document les connaissances techniques de son personnel. Des experts externes issus des communautés historiques, scientifiques et de planification des vols ont revu ces recommandations techniques à l'intention des équipes chargées de la conception des véhicules lunaires et de la planification des missions. Ce document ne représente pas des exigences américaines ou internationales obligatoires ; il est plutôt proposé pour informer les planificateurs de missions de vaisseaux spatiaux lunaires intéressés par la préservation et la protection des artefacts historiques lunaires et des opportunités scientifiques potentielles pour les missions futures.
La NASA recommande de délimiter les artefacts à 75 m de l'étage de descente du module lunaire Apollo 11.
Ces recommandations s'appliquent aux artefacts du gouvernement américain présents sur la surface lunaire. Ces artefacts sont les suivants
- Le matériel d'atterrissage et d'exploration de la surface lunaire d'Apollo ;
- les sites d'atterrissage robotisés sur la surface lunaire (par exemple, les sites Surveyor)
- Sites d'impact (par exemple, Ranger, S-IVB, LCROSS, étage de remontée du module lunaire [LM]) ;
- Expériences de l'USG laissées sur la surface lunaire, outils, équipements, matériel EVA divers ; et des indicateurs spécifiques de la présence humaine et humano-robotique des États-Unis sur la Lune, notamment des empreintes de pas, des traces de rover, etc., bien que tous les indicateurs anthropogéniques ne soient pas protégés comme indiqué dans les recommandations.
En raison de la pertinence de ces recommandations pour les éléments lunaires actuels et futurs déposés par d'autres entités spatiales, la NASA a entamé un dialogue avec les agences spatiales commerciales et internationales afin de partager le document et d'ouvrir le débat sur les améliorations à apporter aux recommandations.
RECOMMANDATION :
Il est recommandé que les sites d'Apollo 11 et 17 soient protégés par des AB, et donc soustraits à l'inspection minutieuse des systèmes robotiques en visite.
d'une inspection rapprochée par des systèmes robotiques en visite. La limite d'exclusion de la mobilité des véhicules visiteurs
La limite d'exclusion de la mobilité des véhicules visiteurs englobera tous les artefacts (matériel, empreintes, etc.) de ces sites.
A. Pour le site Apollo 11, la zone d'exclusion s'étend à 75 m de l'étage de descente du module lunaire et englobe tous les artefacts (matériel, empreintes, etc.).
de descente du module lunaire pour englober tout le matériel et l'activité humaine (figure 4).
B. Pour le site Apollo 17, la zone d'exclusion s'étend à 225 mètres de l'étage de descente du module lunaire (figure 5).
RAISON :
Il est souhaitable de maintenir l'intégrité des sites Apollo 11 et Apollo 17. Étant donné que le site Apollo 11 est d'une grande importance historique et qu'il est relativement confiné en ce qui concerne le matériel et les empreintes de pas, les atterrisseurs peuvent toucher le sol au-delà de l'horizon, les atterrisseurs peuvent se poser au-dessus de l'horizon pour protéger le site de tout dommage, et les systèmes de mobilité peuvent s'approcher du site aussi longtemps que possible.
peuvent s'approcher du site tant qu'ils restent en dehors de la zone d'exclusion de mobilité.
Le rayon de 75 m pour Apollo 11 garantit que toutes les activités humaines liées à ce vol sont contenues dans la zone d'exclusion.
Il est souhaitable d'isoler également un site de mission Apollo J. Apollo 11 étant le premier site et Apollo 17 le dernier.
Cette recommandation préserve et protège chaque site pour de futures investigations scientifiques.
Il convient également de noter que le rétro-réflecteur ALSEP d'Apollo 11 continue d'être une expérience scientifique active et qu'il peut être facilement dégradé par la contamination particulaire et chimique.
La future loi sur la protection des données divise les experts
ANOUCH SEYDTAGHIA
TECHNOLOGIE Mercredi, le Conseil fédéral a tranché: la future loi sur la protection des données entrera en vigueur le 1er septembre 2023. Trois experts analysent d'un oeil critique le texte de la législation à venir, moins contraignant que le RGPD européen
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Cette fois, c'est officiel: c'est le 1er septembre 2023 qu'entrera en vigueur la nouvelle loi sur la protection des données. C'est donc dans un an que la Suisse sera dotée d'une législation modernisée. Esquissée par les autorités en mars, la date de septembre 2023 a été définitivement validée par le Conseil fédéral mercredi, qui en a profité pour faire quelques adaptations à la suite d'une procédure de consultation. Des experts, contactés par Le Temps, jugent sévèrement ce texte.
D'abord, le contexte. La loi actuellement en vigueur date de... 1992. Il aura donc fallu attendre trente et un ans pour sa révision. Sa mise en route date de 2011, mais le parlement ne l'a adoptée qu'en septembre 2020. Depuis, le Conseil fédéral n'a eu de cesse de dire qu'il fallait laisser du temps aux entreprises pour s'adapter au nouveau cadre. Il leur reste donc encore un an.
Nouvelles obligations
Les nouveautés sont nombreuses. « La loi prévoit de nouvelles obligations pour la personne responsable du traitement des données, comme une obligation de notification en cas de violation de sécurité, et introduit des principes de protection des données par défaut et dès la conception, concepts qui n'étaient pas présents dans l'ancienne loi », résume Juliette Ancelle, avocate spécialisée dans la propriété intellectuelle et la technologie.
Les entreprises suisses seront concernées de près. « Elles devront allouer davantage de moyens à la protection des données, pour recenser les données qu'elles traitent, comprendre les flux de données, s'assurer qu'elles sont en mesure de respecter les droits des personnes concernées. Elles devront aussi documenter tous les traitements et les transferts des données à l'étranger et assurer la sécurité de leurs systèmes de traitement », poursuit Juliette Ancelle. L'experte prévient: « C'est une activité qui prend beaucoup de temps et qui requiert un certain degré de spécialisation, ce qui peut vite représenter un coût important pour des PME. L'ordonnance semble alléger certaines obligations pour ces dernières (notamment l'obligation de tenir un registre des données), mais cela ne signifie pas qu'elles n'auront aucune mesure à adopter. »
Paul-Olivier Dehaye, directeur de Hestia.ai, la société qui gère le projet HestiaLabs, spécialisée dans les données, estime qu' « une mise à jour complète de la connaissance dans ces domaines et un changement de nombreuses pratiques sont plus que jamais nécessaires et urgents pour les entreprises n'ayant pas encore entamé cette démarche » . Son collègue chez Hestia.ai Yann Heurtaux avertit: avec la nouvelle loi, « le risque lié à la sous-traitance de services numériques pour les entreprises qui souhaitent être exemplaires augmente fortement » . Yann Heurtaux estime qu'il faut par exemple « cartographier tous les outils numériques internes et externes de son entreprise, et tenir cette cartographie à jour », mais aussi renoncer aux services tiers en infraction avec l'esprit et la lettre de la loi, pour préférer des acteurs locaux (suisses ou européens). « Et enfin cesser définitivement la collecte de certaines données sensibles, pour s'en tenir à la frugalité la plus stricte », conclut le spécialiste.
La future loi suisse a souvent été décrite comme une sorte de version allégée du RGPD européen. Que pensent les experts? « Cette nouvelle loi reprend de nombreux concepts du RGPD, jusque dans la terminologie, et l'objectif est d'ailleurs une compatibilité avec ce dernier. La différence principale réside dans le régime de mise en oeuvre et les sanctions en cas de non-conformité, la nouvelle loi suisse ne prévoyant par exemple pas des amendes en pourcentage du chiffre d'affaires global, comme c'est le cas du RGPD », répond Juliette Ancelle. En Suisse, l'amende maximale sera de 250 000 francs contre un individu au sein d'une entreprise, mais pas contre celle-ci.
Davantage de protection
Pour Paul-Olivier Dehaye, « c'est un RGPD avorté. Un simulacre d'obligations essayant de copier le RGPD, mais ne procurant pas le minimum essentiel pour assurer une base de confiance et essayer de construire une nouvelle économie de la donnée. »
De son côté, Juliette Ancelle estime que « par rapport à la loi actuelle, les internautes suisses bénéficieront d'un régime légal plus favorable, avec des nouveaux droits, un régime de droit d'accès à leurs données facilité, une plus grande transparence en cas de cyberattaques, etc. La question se posera toutefois de savoir si cela est suffisant et si une loi nationale, visant uniquement la protection des données personnelles, est un outil adéquat à l'ère du big data et de la globalisation des échanges de données »
« Vu les nouvelles obligations, la loi pourra vite représenter un coût important pour des PME »
JULIETTE ANCELLE, AVOCATE
« C'est un simulacre d'obligations essayant de copier le RGPD mais ne procurant pas le minimum »
PAUL-OLIVIER DEHAYE, DIRECTEUR DE HESTIA.AI
Contexte : La Iota-Carrageenan (I-C) est un polysaccharide sulfaté synthétisé par des algues rouges, dont l'activité antivirale et l'efficacité clinique ont été démontrées en tant que spray nasal dans le traitement du rhume. In vitro, l'I-C inhibe l'infection par le SARS-CoV-2 dans une culture cellulaire.
Question de recherche : Un spray nasal à base de Iota-Carraghénane peut-il être utile dans la prophylaxie du COVID-19 chez les travailleurs de la santé prenant en charge des patients atteints de cette maladie ?
Conception et méthodes de l'étude : Il s'agit d'une étude pilote pragmatique multicentrique, randomisée, en double aveugle, contrôlée par placebo, évaluant l'utilisation d'un spray nasal contenant de l'I-C dans la prophylaxie de la COVID-19 chez le personnel hospitalier se consacrant aux soins des patients atteints de la maladie COVID-19. Des médecins, des infirmières, des kinésiologues et d'autres prestataires de soins de santé cliniquement sains prenant en charge des patients hospitalisés pour COVID-19 ont été assignés dans un rapport 1:1 à recevoir quatre doses quotidiennes de spray I-C ou un placebo pendant 21 jours. Le principal critère d'évaluation était le COVID-19 clinique, tel que confirmé par le test d'amplification en chaîne par polymérase de la transcriptase inverse, sur une période de 21 jours. L'essai est enregistré sur ClinicalTrials.gov (NCT04521322).
Résultats : Au total, 394 personnes ont été réparties au hasard pour recevoir l'I-C ou un placebo. Les deux groupes de traitement présentaient des caractéristiques de base similaires. L'incidence de COVID-19 diffère significativement entre les sujets recevant le spray nasal avec I-C (2 sur 196 [1,0%]) et ceux recevant le placebo (10 sur 198 [5,0%]). Réduction du risque relatif : 79,8% (IC 95% 5,3 à 95,4 ; p=0,03). Réduction du risque absolu : 4 % (IC 95 % : 0,6 à 7,4).
Interprétation : Dans cette étude pilote, un spray nasal avec I-C a montré une efficacité significative dans la prévention du COVID-19 chez les travailleurs de la santé prenant en charge des patients atteints de la maladie du COVID-19.
Enregistrement des essais cliniques : NCT04521322.
Mots-clés : COVID-19, prophylaxie, spray nasal, personnel hospitalier.
Cette limitation, dans la durée, du traitement des données, n'est rien d'autre qu'une application concrète du principe de proportionnalité, qui est également consacré par la loi fédérale sur la protection des données (LPD).
Extrait d'eucalyptus chinois, huile de Litsea Cubeba, extrait de D-limonène, linalol, géraniol, éthanol
https://doi.org/10.1177/1534735416642862
Contexte. Le kéfir est un produit de culture unique qui contient des probiotiques bénéfiques. Les cultures de kéfir provenant d'autres régions du monde présentent de nombreuses qualités bénéfiques telles que des effets anti-inflammatoires, immunomodulateurs et anticancéreux. Néanmoins, les cultures de kéfir de différentes parties du monde exercent des effets différents en raison de la variation des conditions et des milieux de culture. Le cancer du sein est le principal cancer chez la femme, et les métastases sont la principale cause de décès associée au cancer du sein. Les effets antimétastatiques et antiangiogéniques du kéfir d'eau fabriquée à partir de grains de kéfir cultivés en Malaisie ont été étudiés sur des cellules 4T1 de cancer du sein. Méthodes. Les cellules cancéreuses 4T1 ont été traitées avec de l'eau de kéfir in vitro pour évaluer ses effets anti-migration et anti-invasion. Des souris BALB/c ont été injectées avec des cellules cancéreuses 4T1 et traitées oralement avec de l'eau de kéfir pendant 28 jours. Résultats. L'eau de kéfir était cytotoxique pour les cellules 4T1 à une CI50 (concentration inhibitrice semi-maximale) de 12,5 et 8,33 mg/mL pendant 48 et 72 heures, respectivement. Une réduction significative de la taille et du poids de la tumeur (0,9132 ± 0,219 g) et une augmentation substantielle des cellules T auxiliaires (5 fois) et des cellules T cytotoxiques (7 fois) ont été observées dans le groupe traité à l'eau de kéfir. Les marqueurs pro-inflammatoires et proangiogéniques ont été réduits de manière significative dans le groupe traité au kéfir d'eau. Conclusions. Le kéfir d'eau a inhibé la prolifération des tumeurs in vitro et in vivo principalement par l'apoptose des cellules cancéreuses, l'immunomodulation en stimulant les cellules auxiliaires T et les cellules T cytotoxiques, et les effets anti-inflammatoires, antimétastatiques et antiangiogéniques. Cette étude a mis en évidence le potentiel de la boisson probiotique eau de kéfir dans le traitement du cancer.
Il apparaît par ailleurs que certaines communautés microbiennes des fromages traditionnels au lait cru, composées de microorganismes natifs, peuvent protéger efficacement les fromages à cœur et en surface du risque pathogène (comme Listeria monocytogenes). Cette protection dépend de la nature des espèces microbiennes présentes. Par ailleurs, outre les effets bénéfiques liés au pâturage évoqués précédemment, les fromages au lait cru pourraient avoir d’autres effets bénéfiques. C’est ce que suggèrent les études chez les jeunes (enfants/adolescents), montrant un effet protecteur de la consommation de lait cru vis-à-vis des allergies, de l’asthme, du rhume des foins et de la sensibilisation atopique. L’origine de cet effet protecteur n’est pas encore bien caractérisée.