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Les ingénieurs de la poste britannique inspectent l'équipement de télégraphie sans fil (radio) de Guglielmo Marconi, lors d'une manifestation sur l'île de Flat Holm, le 13 mai 1897. C'était la première démonstration au monde de la transmission de signaux radio en pleine mer, entre Lavernock Point et Flat Holm Île, une distance de 3 miles. À l'arrière-plan se trouve l'émetteur d'éclateur, une bobine d'induction (à droite) qui génère des impulsions haute tension qui créent des étincelles entre les billes de l'éclateur de Righi (à gauche), qui excite des courants oscillants dans une antenne fil suspendue en haut par le pôle vu au centre, ratifiant les ondes radio. Les informations sont transmises en allumant et éteignant l'émetteur rapidement à l'aide d'un interrupteur appelé clé télégraphique (non visible), épelant les messages texte en code Morse. Au premier plan se trouve le récepteur. Lors de la réception de la station Lavernock, la tension oscillante de l'antenne est appliquée à un cohéreur; un détecteur d'ondes radio primitif constitué d'un petit tube contenant deux électrodes avec de la limaille métallique entre elles. Lorsqu'une onde radio d'un émetteur éloigné frappe l'antenne et est appliquée au cohéreur, les dépôts s'agglutinent et conduisent l'électricité. Un deuxième circuit est attaché au cohéreur constitué d'une batterie qui actionne un relais (objets cylindriques sur les côtés), qui à son tour envoie une impulsion de courant à un magnétophone en papier Morse (au centre). Lorsqu'une onde radio active le cohéreur, elle envoie une impulsion à l'enregistreur, qui fait une marque sur une bande de papier. Le message de code Morse de l'émetteur à distance peut être lu sur la bande, comme le fait l'homme assis. Les relais sont contenus dans des blindages métalliques cylindriques pour empêcher leurs étincelles d'interférer avec le cohéreur sensible. Informations tirées de la rétrospective: ondes radio sur l'eau, TheFreeLibrary.com
Le pectoral
Sa composition de pierres est très instructive.
Première rangée : sardoine (calcédoine brune) silice, topaze (silicate fluoré d’aluminium cristallisé) et émeraude (silicate d’aluminium et de béryllium).
Deuxième rangée : escarboucle — ancien nom du grenat — (silicate double, de différents métaux), saphir — corindon bleu — (alumine cristallisée ; l’alumine, c’est de l’oxyde d’aluminium), diamant (carbone pur cristallisé).
Tabernacle-2.jpg
Troisième rangée : opale (silice hydratée), agate (roche siliceuse formée de couches parallèles de calcédoine (quartz incolore et améthyste), améthyste (quartz violet).
Quatrième rangée : chrysolite (péridot vert clair jaunâtre ; le péridot est un mélange de silicate de magnésium et de fer), onyx (calcédoine noire), jaspe (roche siliceuse formée de couches de calcédoine jaune, rouge, brune et noire ; autrement dit d’opale, de sardoine et d’onyx notamment). L’ordonnancement de ces différents cristaux n’est pas dû au hasard. Il est mûrement réfléchi. Du reste, les instructions reçues par Moïse, là encore, sont formelles, et une fois de plus c’est fort troublant. Car, ces cristaux sont des semi-conducteurs et leur disposition est celle… des TRANSISTORS !
L’éphod semble donc bien être composé de 4 transistors dont la fonction est d’amplifier le courant, d’engendrer des oscillations électriques, détecter et moduler. Ils ne réclament, pour fonctionner, qu’une très faible puissance d’alimentation. Ainsi, les faibles variations du courant modulé (par les paroles du prêtre) transmis par le cordon de l’épaulette au condensateur (éphod, doublure, pectoral) alimentent les transistors qui les amplifient et émettent. C.Q.F.D.
canal appel solaris => PMR 12 ctcss 13
Canal 12.13 => Fréquence 446.143750
à 9h45.. et 10h15...