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Communiqué de presse
25.07.2017
Comprendre les mécanismes impliqués dans le contrôle viral et la maîtrise de l’infection par le VIH chez les patients appelés « contrôleurs » reste un enjeu majeur de la recherche sur le VIH, promesse de possibles nouvelles stratégies thérapeutiques. Deux études menées par l’équipe du Dr Asier Sáez-Cirión (Institut Pasteur) et ses collègues du CEA, des universités Paris Descartes, Paris sud et Paul Sabatier Toulouse, de l’Inserm et de l’AP-HP permettent de mettre en lumière les particularités des lymphocytes T CD8+ ainsi que les facteurs pouvant optimiser leurs fonctionnalités chez les individus contrôlant l’infection. Ces travaux sont soutenus par l’ANRS, la fondation MSDAVENIR, la Commission Européenne et Sidaction. Ces résultats sont présentés le 25 juillet lors de la 9ème conférence sur le VIH/Sida (IAS 2017) organisée par l’International Aids Society et l’ANRS, qui se déroule du 23 au 26 juillet 2017, à Paris.
Publié le 25/07/2017.
Comprendre les mécanismes impliqués dans le contrôle viral et la maîtrise de l’infection par le VIH chez les patients appelés « contrôleurs » reste un enjeu majeur de la recherche sur le VIH, promesse de possibles nouvelles stratégies thérapeutiques. Deux études menées par l’équipe du Dr Asier Sáez-Cirión (Institut Pasteur) et ses collègues du CEA, des universités Paris Descartes, Paris sud et Paul Sabatier Toulouse, de l’Inserm et de l’AP-HP permettent de mettre en lumière les particularités des lymphocytes T CD8+ ainsi que les facteurs pouvant optimiser leurs fonctionnalités chez les individus contrôlant l’infection. Ces travaux sont soutenus par l’ANRS, la fondation MSDAVENIR, la Commission Européenne et Sidaction. Ces résultats sont présentés le 25 juillet lors de la 9ème conférence sur le VIH/Sida (IAS 2017) organisée par l’International Aids Society et l’ANRS, qui se déroule du 23 au 26 juillet 2017, à Paris.
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Je vous joins le manuscrit de mon livre "Contes et Pandémies" dans lequel je retrace l'histoires de plusieurs d'entre elles, à partir de 1915, à travers les vécus des humains qui les subirent. Vous y verrez qu'il y eut des secrets, des retards d'annonces lorsque d'autres intérêts étaient en jeu, des solutions écartées d'emblé de n'être pas assez "attrayantes", des recherches et des erreurs lors de vaccinations qui conduiront à un nombre impressionnant de personnes malades ou décédées, des découvertes médicales majeurs par des médecins qui refusaient de renoncer, les combats de tous, les mauvaises intentions, et l'acharnement de certains pour détruire ceux qui sont jugés différents de n'être que malades (1ère vague de génocide par Hitler). J'avais entamé la rédaction de ce livre en mars 2019, n'en pouvant plus de n'avoir pas les mêmes droits qu'un autre humain, ayant constaté comme nous étions légion à subir cela depuis des décennies, par l'indifférence polie et le déni. Je découvris qu'il y avait de grandes pandémies telles que celle du SIDA qui pouvait être enrayées, mais pour lesquelles les moyens n'étaient pas mis en place, malgré un nombre de patients compté en dizaine de millions et un nombre programmé de morts à venir, étourdissant. J'en suis restée à une version romancée pour respecter les vies privées des personnages et pour libérer l'écriture des contraintes scientifiques qui auraient nécessité, dans cet ouvrage, trop d'explications imbuvables. Mais j'ai conservé tous mes sujets de recherches et depuis, appris que ce que j'avais imaginé en 2019 comme une solution à une pandémie que je pu nommer "Covid" en mars 2020, n'était pas sans rappeler l'un des plus vaste secret scientifique de ces 15 dernières années: l'existence des contrôleurs VIH. (secret levé officiellement par l'OMS et l'ONUSIDA en mars 2020
Le vaccin de l'Université du Queensland ne fera pas l'objet d'autres essais cliniques parce que chaque participant auquel il a été injecté a obtenu un résultat faiblement positif à certains tests de dépistage du VIH.
Parce qu'il emprunte une protéine du VIH, cela a toujours été un risque pour ce vaccin particulier.
Étant donné que, et le fait que plusieurs autres vaccins prometteurs sont sur le point d'être approuvés, l'université et le fabricant CSL ont pris cette semaine la décision déchirante d'arrêter le projet. L'essai actuel de phase 1 sera autorisé à se poursuivre, mais le vaccin ne passera pas aux essais de phase 2.
Malheureusement, le meilleur emballage que l'équipe de l'université du Queensland a trouvé provenait du virus de l'immunodéficience humaine - le VIH.
"La réalité est que nous avons testé plusieurs constructions différentes dès les premiers jours de leur développement. Les fragments du VIH offraient les plus hauts niveaux de stabilité", a déclaré le professeur Young.
Cette protéine d'enveloppe, connue sous le nom de GP41, enveloppe les protéines que le VIH utilise pour infecter les cellules en un paquet bien ordonné. L'équipe du professeur Young a découvert qu'elle pouvait l'extraire et l'utiliser pour faire exactement la même chose avec la protéine de pointe COVID-19.
Un faux positif faible
Le système immunitaire humain est construit pour générer des anticorps contre tout virus étranger qu'il rencontre.
Il a toujours été difficile de concevoir un vaccin contenant un fragment du VIH sans que celui-ci ne déclenche la production d'anticorps anti-VIH.
Pour ce faire, l'équipe de l'université du Queensland a soigneusement éliminé les sites connus sur la protéine du VIH à laquelle les anticorps se lient. On espérait ainsi que le vaccin ne produirait pas d'anticorps anti-VIH, mais seulement des anticorps contre le COVID-19.
"Ils ont essayé d'arrêter cela en éliminant les parties qui sont connues pour être les plus susceptibles de déclencher cette réponse immunitaire", a déclaré Ian Mackay, virologue et professeur associé à l'université du Queensland.
"Il s'avère juste que nous ne savons pas tout".
Ils n'ont pas le VIH.
Grâce au vaccin, leur système immunitaire a généré une défense naturelle [contre le VIH]. Il est juste regrettable que cette défense naturelle soit exactement ce que les tests VIH courants recherchent.
L'équipe espérait que les niveaux baisseraient rapidement, mais ce n'est pas le cas. Ils ont exploré d'autres options avec des spécialistes du VIH. Mais au final, il a été décidé que le fait que toute la population australienne soit testée positive à un test de dépistage du VIH standard n'était pas un résultat acceptable.