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avec un temps de pause de 6 mois !!! (en sténopé) on peut voir la course du soleil dans le ciel.
Pour le Dr. Hawass, le coucher du soleil aligné au-dessus du sphinx ne serait donc pas un hasard.
Ceci suggère, selon l'égyptologue, que la statue de 20 mètres de haut et 73 mètres de long a été érigée à cet endroit dans un objectif astronomique et religieux. "Ce phénomène prouve que les archéologues se trompaient quand ils disaient que les Égyptiens avaient trouvé une pierre par hasard et l'avait changée en une statue à visage humain et au corps non-humain", écrit le ministère dans sa publication.
La photo publiée par le ministère égyptiens des antiquités:
https://www.facebook.com/moantiquities/photos/a.979988385380145/2935261899852774/?type=3&theater
Une série d'explosions à la surface du Soleil pourrait provoquer des aurores boréales (et peut-être aussi des aurores australes) d'ici mardi, tout en perturbant les services de radio et de satellite.
"Un filament magnétique connecté à la tache solaire AR3229 a éclaté le 24 février, produisant une réaction en chaîne d'événements qui pourraient conduire à une tempête géomagnétique sur Terre", a expliqué l'astronome Dr Tony Phillips à Spaceweather.com.
Cet éclatement de la tache solaire AR3229 a déclenché une éruption solaire de classe M (intensité moyenne) de longue durée. Le rayonnement de cette éruption a voyagé à la vitesse de la lumière pour atteindre la Terre en moins de dix minutes et perturber les communications en mer pendant près d'une heure.
Le Soleil est entré dans son 25ème cycle d’activité en décembre 2019. Son prochain pic d’activité devrait être enregistré en juillet 2025 et jusque-là, le nombre de tempêtes solaires devrait croître. Mais est-ce dangereux pour nous ? Pour notre système planétaire ? Pour la Terre ? À la fin du mois dernier, le 28 octobre, l’éruption solaire qui se produisit inquiéta l’espace d’un instant plusieurs analystes. Car l’éjection fut crachée par notre étoile dans notre direction, envoyant vers le Sud de la Terre un colossal nuage de particules qui nous frôla de peu.
Astronomy Engine : calcul multilingue des positions du Soleil, de la Lune et des planètes. Prédit les phases lunaires, les éclipses, les transits, les oppositions, les conjonctions, les équinoxes, les solstices, les heures de lever et de coucher, et d'autres événements. Fournit des transformations de coordonnées vectorielles et angulaires entre les orientations équatoriale, écliptique, horizontale et galactique.
Cet article cherche à établir un lien entre les volcans et la variabilité solaire. Les événements solaires ont été étudiés en tant qu'interférences possibles avec des événements naturels dangereux sur Terre. Les premiers résultats ont souligné que pendant le minimum solaire, la fréquence et la force des volcans augmentaient. Cependant, la variabilité solaire n'est pas le seul facteur qui perturbe les éruptions volcaniques ; il y a aussi la saisonnalité. Il y a une double interférence du Soleil sur les volcans, l'une provenant des cycles solaires, et la seconde des saisons.
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https://sylvainbiquette.xyz/presentation-horloge-temps-naturel/
40 satellite détruit sur 49 fraichement lancés
→ Cette vidéo confirme le modèle cosmologique Janus de Jean-Pierre Petit.... un espace temps dans l'envers du décors..
→ le soleil est une porte dimensionnelle... utilisée par des vaisseaux.. → Nassim Haramein en parlais en 2003 dans une conférence, image à l'appui..
https://www.youtube.com/watch?v=5oH8S0Jc29g
cette hypnose dit aussi que le réchauffement climatique n'est du qu'à 20% à l'activité humaine.... le soleil flash... mais aussi le soleil central......
→ Bascar le disait dans une vidéo.. l'humain a peur de ne rien contrôler... donc mieux vaut dire que tout est d'origine humaine... car ainsi on a l'impression d'avoir la possibilité de faire qq chose.... s'est rassurant !
https://www.youtube.com/watch?v=pXMUtFPAxKI
Contexte. Il n'y a pas de consensus sur l'amplitude du forçage solaire historique. L'ampleur estimée de la différence d'irradiance solaire totale (TSI) entre le minimum de Maunder et le temps présent varie de 0,1 à 6 W m -² rendant la simulation du climat passé et futur incertaine. Une des raisons de ce désaccord est l'évolution appliquée de la luminosité du Soleil calme dans les modèles de reconstruction de l'irradiance solaire. Ce travail aborde le rôle du choix du modèle du Soleil calme et des proxies de l'activité magnétique solaire mis à jour sur la reconstruction du forçage solaire. Objectifs. Nous cherchons à établir une gamme plausible pour la variabilité de l'irradiance solaire sur des échelles de temps décennales à millénaires. Méthodes. L'irradiance solaire spectrale (SSI) est calculée comme une somme pondérée des contributions de l'ombre des taches solaires, de la pénombre des taches solaires, des facules et du Soleil calme, qui sont précalculées avec le code de synthèse spectrale NLTE (NESSY). Nous introduisons des ceintures d'activité des contributions des taches solaires et des facules et un nouveau modèle de structure pour l'état le plus calme du Soleil. Nous supposons que la luminosité du Soleil calme varie dans le temps proportionnellement à la variation séculaire (lissée sur 22 ans) du potentiel de modulation solaire. Résultats. Une nouvelle reconstruction de la TSI et de la SSI couvrant la période 6000 avant notre ère - 2015 CE est présentée. Le modèle simule bien la variabilité de l'irradiance solaire pendant l'ère des satellites. La variation de la TSI entre les minima de Maunder et les minima récents varie entre 3,7 et 4,5 W m -² selon le potentiel de modulation solaire appliqué. La mise en œuvre d'un nouveau modèle de Soleil le plus calme réduit, d'un facteur deux environ, le forçage solaire relatif par rapport à la plus grande estimation précédente, tandis que l'application d'un potentiel de modulation solaire actualisé augmente de 25 à 40 % la différence de forçage entre le minimum de Maunder et le présent.
27.03.2017 – 08:00
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Expliquer le climat du passé
Les scientifiques concernés se retrouvent à la fin du mois de mars 2017 pour une conférence à Davos afin de discuter des résultats finaux du projet. Ce dernier regroupe les savoir-faire de différentes institutions en matière de modélisation des effets climatiques: le PMOD a calculé le forçage radiatif du Soleil en prenant en compte son rayonnement électromagnétique mais aussi particulaire, l'ETH Zurich a étudié les autres répercussions sur l'atmosphère et l'Université de Berne a examiné les interactions entre l'atmosphère et les océans.
Les chercheurs suisses sont partis de l'hypothèse que le rayonnement parvenant sur Terre accuse des variations bien plus importantes que prédites par les modèles antérieurs. "C'est la seule approche qui permette d'expliquer les variations climatiques naturelles des derniers millénaires", avance Werner Schmutz. Pour lui, les autres hypothèses qui s'appuient entre autres sur les effets d'éruptions volcaniques majeures sont moins concluantes.
Savoir comment le Soleil se comportera au cours des prochaines années relève cependant toujours de la spéculation: les séries de données ne sont disponibles que depuis quelques décennies et ne révèlent pas de variations sur cette période. "Nos derniers résultats demeurent donc une hypothèse, souligne Werner Schmutz. Il reste toujours difficile pour les physiciens solaires de prévoir le prochain cycle". Toutefois, étant donné que nous observons depuis 1950 une phase de grande intensité, il est probable que nous connaissions à nouveau un creux au cours des cinquante à cent prochaines années. Celui-ci pourrait être aussi marqué que le minimum de Maunder, qui a correspondu à une période particulièrement froide au XVIIe siècle.
L'importance des données historiques
La perspective historique a également été intégrée au projet de recherche. Le Centre Oeschger de recherche sur le climat de l'Université de Berne a comparé des séries de données sur l'activité solaire passée à des conditions climatiques concrètes. Les taches solaires, dont le nombre est en étroite corrélation avec l'activité du Soleil, font l'objet de relevés depuis plus de trois siècles. Il est toutefois beaucoup plus difficile d'estimer la température de l'époque. "Nous savons que les hivers étaient extrêmement rigoureux lors du dernier minimum, en tout cas en Europe du Nord", note Werner Schmutz. Il faudra néanmoins encore du travail pour établir une image détaillée du rapport entre l'activité solaire et le climat global - qu'il s'agisse de notre passé ou de notre avenir.
Sinergia: rendre la recherche interdisciplinaire possible
Au travers du programme Sinergia, le FNS soutient la coopération entre deux et quatre groupes menant des recherches interdisciplinaires visant une recherche pionnière. Le financement dépend du nombre de groupes de recherche et de la durée d'un projet. Il varie entre 50 000 et 3,2 millions de francs. Les projets durent entre un et quatre ans.
Contact:
Werner Schmutz
Observatoire physico-météorologique de Davos
Dorfstrasse 33
CH-7260 Davos Dorf
E-mail werner.schmutz@pmodwrc.ch
Tel. +41 58 467 5145
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L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
C’est à 12 heures 13 que le phénomène sera le plus marqué à Genève et, à ce moment, 7% du Soleil sera caché. Après 13 heures, tout sera terminé.
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