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https://sylvainbiquette.xyz/presentation-horloge-temps-naturel/
40 satellite détruit sur 49 fraichement lancés
→ Cette vidéo confirme le modèle cosmologique Janus de Jean-Pierre Petit.... un espace temps dans l'envers du décors..
→ le soleil est une porte dimensionnelle... utilisée par des vaisseaux.. → Nassim Haramein en parlais en 2003 dans une conférence, image à l'appui..
https://www.youtube.com/watch?v=5oH8S0Jc29g
cette hypnose dit aussi que le réchauffement climatique n'est du qu'à 20% à l'activité humaine.... le soleil flash... mais aussi le soleil central......
→ Bascar le disait dans une vidéo.. l'humain a peur de ne rien contrôler... donc mieux vaut dire que tout est d'origine humaine... car ainsi on a l'impression d'avoir la possibilité de faire qq chose.... s'est rassurant !
https://www.youtube.com/watch?v=pXMUtFPAxKI
Contexte. Il n'y a pas de consensus sur l'amplitude du forçage solaire historique. L'ampleur estimée de la différence d'irradiance solaire totale (TSI) entre le minimum de Maunder et le temps présent varie de 0,1 à 6 W m -² rendant la simulation du climat passé et futur incertaine. Une des raisons de ce désaccord est l'évolution appliquée de la luminosité du Soleil calme dans les modèles de reconstruction de l'irradiance solaire. Ce travail aborde le rôle du choix du modèle du Soleil calme et des proxies de l'activité magnétique solaire mis à jour sur la reconstruction du forçage solaire. Objectifs. Nous cherchons à établir une gamme plausible pour la variabilité de l'irradiance solaire sur des échelles de temps décennales à millénaires. Méthodes. L'irradiance solaire spectrale (SSI) est calculée comme une somme pondérée des contributions de l'ombre des taches solaires, de la pénombre des taches solaires, des facules et du Soleil calme, qui sont précalculées avec le code de synthèse spectrale NLTE (NESSY). Nous introduisons des ceintures d'activité des contributions des taches solaires et des facules et un nouveau modèle de structure pour l'état le plus calme du Soleil. Nous supposons que la luminosité du Soleil calme varie dans le temps proportionnellement à la variation séculaire (lissée sur 22 ans) du potentiel de modulation solaire. Résultats. Une nouvelle reconstruction de la TSI et de la SSI couvrant la période 6000 avant notre ère - 2015 CE est présentée. Le modèle simule bien la variabilité de l'irradiance solaire pendant l'ère des satellites. La variation de la TSI entre les minima de Maunder et les minima récents varie entre 3,7 et 4,5 W m -² selon le potentiel de modulation solaire appliqué. La mise en œuvre d'un nouveau modèle de Soleil le plus calme réduit, d'un facteur deux environ, le forçage solaire relatif par rapport à la plus grande estimation précédente, tandis que l'application d'un potentiel de modulation solaire actualisé augmente de 25 à 40 % la différence de forçage entre le minimum de Maunder et le présent.
27.03.2017 – 08:00
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Expliquer le climat du passé
Les scientifiques concernés se retrouvent à la fin du mois de mars 2017 pour une conférence à Davos afin de discuter des résultats finaux du projet. Ce dernier regroupe les savoir-faire de différentes institutions en matière de modélisation des effets climatiques: le PMOD a calculé le forçage radiatif du Soleil en prenant en compte son rayonnement électromagnétique mais aussi particulaire, l'ETH Zurich a étudié les autres répercussions sur l'atmosphère et l'Université de Berne a examiné les interactions entre l'atmosphère et les océans.
Les chercheurs suisses sont partis de l'hypothèse que le rayonnement parvenant sur Terre accuse des variations bien plus importantes que prédites par les modèles antérieurs. "C'est la seule approche qui permette d'expliquer les variations climatiques naturelles des derniers millénaires", avance Werner Schmutz. Pour lui, les autres hypothèses qui s'appuient entre autres sur les effets d'éruptions volcaniques majeures sont moins concluantes.
Savoir comment le Soleil se comportera au cours des prochaines années relève cependant toujours de la spéculation: les séries de données ne sont disponibles que depuis quelques décennies et ne révèlent pas de variations sur cette période. "Nos derniers résultats demeurent donc une hypothèse, souligne Werner Schmutz. Il reste toujours difficile pour les physiciens solaires de prévoir le prochain cycle". Toutefois, étant donné que nous observons depuis 1950 une phase de grande intensité, il est probable que nous connaissions à nouveau un creux au cours des cinquante à cent prochaines années. Celui-ci pourrait être aussi marqué que le minimum de Maunder, qui a correspondu à une période particulièrement froide au XVIIe siècle.
L'importance des données historiques
La perspective historique a également été intégrée au projet de recherche. Le Centre Oeschger de recherche sur le climat de l'Université de Berne a comparé des séries de données sur l'activité solaire passée à des conditions climatiques concrètes. Les taches solaires, dont le nombre est en étroite corrélation avec l'activité du Soleil, font l'objet de relevés depuis plus de trois siècles. Il est toutefois beaucoup plus difficile d'estimer la température de l'époque. "Nous savons que les hivers étaient extrêmement rigoureux lors du dernier minimum, en tout cas en Europe du Nord", note Werner Schmutz. Il faudra néanmoins encore du travail pour établir une image détaillée du rapport entre l'activité solaire et le climat global - qu'il s'agisse de notre passé ou de notre avenir.
Sinergia: rendre la recherche interdisciplinaire possible
Au travers du programme Sinergia, le FNS soutient la coopération entre deux et quatre groupes menant des recherches interdisciplinaires visant une recherche pionnière. Le financement dépend du nombre de groupes de recherche et de la durée d'un projet. Il varie entre 50 000 et 3,2 millions de francs. Les projets durent entre un et quatre ans.
Contact:
Werner Schmutz
Observatoire physico-météorologique de Davos
Dorfstrasse 33
CH-7260 Davos Dorf
E-mail werner.schmutz@pmodwrc.ch
Tel. +41 58 467 5145
The Neglected Sun: Why the Sun Precludes Climate Catastrophe: Amazon.fr: Livres anglais et étrangers
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
C’est à 12 heures 13 que le phénomène sera le plus marqué à Genève et, à ce moment, 7% du Soleil sera caché. Après 13 heures, tout sera terminé.
C’est à 12 heures 13 que le phénomène sera le plus marqué à Genève et, à ce moment, 7% du Soleil sera caché. Après 13 heures, tout sera terminé.
L'astronome A.E. Douglass est généralement reconnu comme le père fondateur de la dendrochronologie. Il a étudié les cernes des arbres à la recherche de preuves que les variations solaires (telles qu'observées dans les taches solaires) se reflètent dans les variations climatiques. Il était convaincu du succès de sa quête. L'analyse de certaines de ses premières données à l'aide de la décomposition de Fourier et la comparaison des périodogrammes des cernes des arbres avec ceux basés sur les cycles solaires connus suggèrent que les cycles qu'il a trouvés n'existent peut-être pas ou ne sont peut-être pas d'origine purement solaire. Les résultats rapportés ici suggèrent une influence beaucoup plus forte des marées sur les enregistrements des cernes que ce qui est généralement considéré. Le grand mérite de Douglass en tant que pionnier de la datation des cercles d'arbres en archéologie et de la climatologie basée sur les cercles d'arbres n'est pas affecté par les résultats présentés ici.
L’idée que des variations de l’activité solaire puissent expliquer le changement climatique en cours, bien qu’invalidée, est très répandue dans la blogosphère climatosceptique.
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Depuis l'invention des Horloges à pendule,
dont il y en a qui marquent les minutes & les
fteondes, fans varier d'une féconde en plu-
-
• B 3 iîeurs
A l'égard des perfonnes qui n'ont point de
connoiflance d'aucune de ces mefures, ils
pourront employer les Pendules , dont la
longueur doit être à Paris de 3 pieds huit
lignes 7, pour que leurs vibrations foient exac-
tement d'une féconde de temps. Cette mefu-
re eft fenfîblement la même dans prefque
toute V Europe y & on pourroit la regarder
comme univerlelle, fi les Pendules étoient
d'égale longueur dans -teus les Païs, ce qJi
delà Te RRE. Partie II. 307
n'eft pas conforme aux expériences qui enxnt
été\ feLtes à Qayennc en Amérique -, & au
Cap-verd en Afrique, comme on peut le voir
dans le Livre des Voyages de V Académie.
•îie.pied dé Paris fe idivife en douze pouces,
& chaque pouce en dou^e lignes ; c'éft pour-
quoi^ (i on fuppofe chaque ligne divifce eQ
dix parties, on aura le pied de Paris
de .... . . . . . i 1440 parties.
Le pied de Bologne de a J ; 1682 de ces
.«.-•-• ' tti&riès parties*
■Le pied, de^ Danemark d e ; . ' « • . 1 404'
Le pied.de ^/fe/» qu de Leyde #£1390 %
Le pied de Londres de . . : . : 1,5^0
Le pied de Suéde de . . . 1316
Le pied Romain du Capitole de 1306
Le pied de Dantzik de # .." ~. 1272 '.
Le pied à!Amfterdam de . . j . 1 25*8
Le palme de Naples de . ' : ;l 1169 ' " (
Le palme de de . > ^ , I T13
Le palme te Palertnc de r . 1073
Le palme Romain de . . ♦ 990
La brafle de Bthgne de . 2.640 . "
La 'brafle de Florence à terre de 2430
La brafle de Parme & de Plai»
famé de' lu ; *. . . 2423
La brafle de Reggio de , ! Y 7.348 £ ,
La brafle de Milan te V i: . 1166 ' '
La brafle de -Br^ de ... 207^
La brafle de Mantonë de . # . 2062
Suivant nos dimeniïons une Tierce de la
Circonférence de la Terre eft au pied de
Paris comme 2282 à 1440.
Cette mefure eft moyenne entre celle de la
brafle de plufieurs Villes d'Italie, & on pour-
roit Tappeller brafle Géographique.
»
X
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go De la Grandeur et de la Figure
fieurs révolutions journalières des Etoiles, on
peut s'en fervir pour trouver la Méridienne en
cette manière.
On dréfle une Lunette à l'horifon , à l'en-
droit où le Soleil fe levé aux jours des Solfti-
ces , & on obferve à la Pendule le temps au-
quel les deux bords du Soleil paffent par le fil
vertical de cette Lunette, pour avoir le temps
auquel le centre du Soleil a paffé par le fil
vertical, & on remarque fur l'horifon l'endroit
qui eft coupé par le fil vertical.
On obferve enfuite avec un Quart de Cercle
ou avec quelque autre infiniment , des hau-
teurs égales du Soleil quelques heures avant
& après midi , marquant les momens de ces
hauteurs correfpondantes. Partageant en deux
l'intervalle de temps qui eft entre deux obler-
vations faites à la même hauteur , & ajoûtant
U moitié à l'heure qui a été obfervée avant
midi , ou la retranchant de celle de l'aprèfdî-
iiéè^ ori a l'/nftant du midi exactement aux
jours-des 5olftices , & aux autres jours de
l'année avec une petite Equation connue des
Aftronomes. w
On prend enfuite la différence entre l'heure
du pafïàge du centre du. Soleil par le vertical
obfervée le matin , & l'heure du midi à la-
quelle on ajoute cette différence pour avoir le
temps auquel le centre du Soleil doit paffer le
foir par un vertical également éloigné de la
Méridienne que celui du matin. Le foir étant
venu, on dreffe la Lunette à l'endroit où le '
Soleil doit fe coucher, & on fait enforte que
le centre du Soleil paffe par le fil vertical à
l'heure déterminée ci-devant , <Ht on marque
fur l'horifon l'endroit où répond le fil vertical