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Bienvenue à tous ! Dans ce billet, nous allons examiner caractère par caractère le code source du vaccin ARNm SARS-CoV-2 de BioNTech/Pfizer.
Mise à jour : après que plus de 1,7 million de personnes ont visité cette page, j'ai décidé d'écrire un livre sur un thème similaire. Pour devenir un lecteur bêta, rendez-vous sur cette page consacrée à la technologie de la vie. Je vous remercie.
Je tiens à remercier les nombreuses personnes qui ont passé du temps à vérifier la lisibilité et l'exactitude de cet article. Toutes les erreurs restent les miennes, mais j'aimerais qu'on me les signale rapidement à l'adresse bert@hubertnet.nl ou @bert_hu_bert.
Le vaccin est un liquide que l'on s'injecte dans le bras. Comment parler de code source ?
C'est une bonne question, alors commençons par une petite partie du code source du vaccin BioNTech/Pfizer, également connu sous le nom de BNT162b2, également connu sous le nom de Tozinameran, également connu sous le nom de Comirnaty.
Les 500 premiers caractères de l'ARNm BNT162b2.
Source : Organisation mondiale de la santé : Organisation mondiale de la santé
Les 500 premiers caractères de l'ARNm BNT162b2.
Source : Organisation mondiale de la santé : Organisation mondiale de la santé
Le vaccin à ARNm BNT162b2 est constitué d'un code numérique. Il comporte 4 284 caractères, ce qui correspond à une série de tweets. Au tout début du processus de production du vaccin, quelqu'un a téléchargé ce code sur une imprimante à ADN (oui), qui a ensuite converti les octets sur le disque en véritables molécules d'ADN.
Une machine à ADN Kilobaser Express
De cette machine sortent de minuscules quantités d'ADN qui, après de nombreuses transformations biologiques et chimiques, se retrouvent sous forme d'ARN (nous y reviendrons) dans le flacon de vaccin. Une dose de 30 microgrammes contient en fait 30 microgrammes d'ARN. En outre, un astucieux système d'emballage lipidique (gras) permet d'introduire l'ARNm dans nos cellules.
Mise à jour : Derek Lowe, du célèbre blog In the pipeline de Science, a rédigé un article complet intitulé "RNA Vaccines And Their Lipids" (Les vaccins ARN et leurs lipides) qui explique clairement les éléments lipidiques et d'administration des vaccins que je ne suis pas en mesure de décrire. Heureusement, Derek l'est !
Mise à jour 2 : Jonas Neubert et Cornelia Scheitz ont écrit cette page impressionnante qui contient de nombreux détails sur la manière dont les vaccins sont produits et distribués. A recommander !
L'ARN est la version volatile de la "mémoire de travail" de l'ADN. L'ADN est en quelque sorte la mémoire flash de la biologie. L'ADN est très durable, redondant en interne et très fiable. Mais tout comme les ordinateurs n'exécutent pas le code directement à partir d'une clé USB, avant qu'un événement ne se produise, le code est copié dans un système plus rapide, plus polyvalent mais beaucoup plus fragile.
Pour les ordinateurs, il s'agit de la mémoire vive, pour la biologie, c'est l'ARN. La ressemblance est frappante. Contrairement à la mémoire flash, la RAM se dégrade très rapidement, à moins d'être entretenue avec amour. La raison pour laquelle le vaccin ARNm de Pfizer/BioNTech doit être stocké dans le plus profond des congélateurs est la même : l'ARN est une fleur fragile.
Chaque caractère d'ARN pèse de l'ordre de 0,53-10-²¹ gramme, ce qui signifie qu'il y a environ 6-10¹⁶ caractères dans une seule dose de vaccin de 30 microgrammes. Exprimé en octets, cela représente environ 14 pétaoctets, bien qu'il faille préciser qu'il s'agit d'environ 13 000 milliards de répétitions des mêmes 4 284 caractères. Le contenu informatif réel du vaccin dépasse à peine un kilo-octet. Le SARS-CoV-2 lui-même pèse environ 7,5 kilo-octets.
Mise à jour : dans le message original, ces chiffres étaient erronés. Voici une feuille de calcul avec les calculs corrects.
Le contexte le plus bref
L'ADN est un code numérique. Contrairement aux ordinateurs, qui utilisent 0 et 1, la vie utilise A, C, G et U/T (les "nucléotides", "nucléosides" ou "bases").
Dans les ordinateurs, nous stockons les 0 et les 1 sous la forme de la présence ou de l'absence d'une charge, d'un courant, d'une transition magnétique, d'une tension, d'une modulation d'un signal ou d'un changement de réflectivité. En bref, le 0 et le 1 ne sont pas une sorte de concept abstrait - ils vivent sous la forme d'électrons et dans de nombreuses autres incarnations physiques.
Dans la nature, A, C, G et U/T sont des molécules, stockées sous forme de chaînes dans l'ADN (ou l'ARN).
Dans les ordinateurs, nous regroupons 8 bits en un octet, et l'octet est l'unité typique des données traitées.
La nature regroupe 3 nucléotides en un codon, et ce codon est l'unité typique de traitement. Un codon contient 6 bits d'information (2 bits par caractère d'ADN, 3 caractères = 6 bits. Cela signifie que 2⁶ = 64 valeurs de codon différentes).
Pour l'instant, c'est plutôt numérique. En cas de doute, consultez le document de l'OMS contenant le code numérique pour vous en convaincre.
Des lectures complémentaires sont disponibles ici - ce lien ("Qu'est-ce que la vie") peut aider à comprendre le reste de cette page. Ou, si vous aimez les vidéos, j'ai deux heures pour vous.
Que fait ce code ?
L'idée d'un vaccin est d'apprendre à notre système immunitaire à combattre un agent pathogène, sans que nous tombions malades. Historiquement, cela s'est fait par l'injection d'un virus affaibli ou incapacité (atténué), plus un "adjuvant" pour effrayer notre système immunitaire et le pousser à agir. Il s'agissait d'une technique résolument analogique impliquant des milliards d'œufs (ou d'insectes). Elle nécessitait également beaucoup de chance et de temps. Parfois, un virus différent (non apparenté) était également utilisé.
Un vaccin à ARNm permet d'atteindre le même objectif ("éduquer notre système immunitaire"), mais à la manière d'un laser. Et je l'entends dans les deux sens du terme : très étroit mais aussi très puissant.
Voici donc comment cela fonctionne. L'injection contient du matériel génétique volatil qui décrit la fameuse protéine "Spike" du SRAS-CoV-2. Par des moyens chimiques astucieux, le vaccin parvient à introduire ce matériel génétique dans certaines de nos cellules.
Celles-ci se mettent alors consciencieusement à produire des protéines Spike du SRAS-CoV-2 en quantités suffisamment importantes pour que notre système immunitaire entre en action. Confronté aux protéines Spike et aux signes révélateurs de la prise de contrôle des cellules, notre système immunitaire développe une réponse puissante contre de multiples aspects de la protéine Spike ET du processus de production.
C'est ce qui nous permet d'obtenir un vaccin efficace à 95 %.
Le code source !
Commençons par le tout début, un très bon point de départ. Le document de l'OMS contient cette image utile :
Il s'agit d'une sorte de table des matières. Nous commencerons par la "casquette", qui est en fait un petit chapeau.
De la même manière qu'on ne peut pas simplement placer des opcodes dans un fichier sur un ordinateur et l'exécuter, le système d'exploitation biologique a besoin d'en-têtes, d'éditeurs de liens et de conventions d'appel.
Le code du vaccin commence par les deux nucléotides suivants :
GA
Cela peut être comparé à tous les exécutables DOS et Windows commençant par MZ, ou aux scripts UNIX commençant par # ! Dans la vie comme dans les systèmes d'exploitation, ces deux caractères ne sont en aucun cas exécutés. Mais ils doivent être présents, car sinon rien ne se passe.
Le "cap" de l'ARNm a un certain nombre de fonctions. Tout d'abord, il indique que le code provient du noyau. Dans notre cas, ce n'est évidemment pas le cas, notre code provient d'une vaccination. Mais nous n'avons pas besoin de le dire à la cellule. Le capuchon donne à notre code une apparence légitime, ce qui le protège de la destruction.
Les deux nucléotides initiaux de l'AG sont également chimiquement légèrement différents du reste de l'ARN. En ce sens, l'AG est doté d'une signalisation hors bande.
La "région non traduite en cinq points" (five-prime untranslated region)
Un peu de jargon ici. Les molécules d'ARN ne peuvent être lues que dans un seul sens. La partie où la lecture commence est appelée 5' ou "cinq-prime", ce qui peut prêter à confusion. La lecture s'arrête à l'extrémité 3' ou trois-prime.
La vie est constituée de protéines (ou de choses fabriquées par des protéines). Ces protéines sont décrites dans l'ARN. La transformation de l'ARN en protéines s'appelle la traduction.
Ici, nous avons la région 5' non traduite ("UTR"), ce qui fait que cette partie ne se retrouve pas dans la protéine :
GAAΨAAACΨAGΨAΨΨCΨCΨGGΨCCACAGACΨCAGAGAGAACCCGCCACC
C'est ici que nous rencontrons notre première surprise. Les caractères normaux de l'ARN sont A, C, G et U. U est également connu sous le nom de "T" dans l'ADN. Mais ici, nous trouvons un Ψ, que se passe-t-il ?
C'est l'un des aspects les plus intelligents du vaccin. Notre corps dispose d'un puissant système antivirus ("l'original"). C'est pourquoi les cellules ne sont pas très enthousiastes à l'égard de l'ARN étranger et s'efforcent de le détruire avant qu'il ne fasse quoi que ce soit.
C'est en quelque sorte un problème pour notre vaccin, qui doit se faufiler dans notre système immunitaire. Après de nombreuses années d'expérimentation, on a découvert que si le U de l'ARN est remplacé par une molécule légèrement modifiée, notre système immunitaire s'en désintéresse. Pour de vrai.
Ainsi, dans le vaccin BioNTech/Pfizer, chaque U a été remplacé par le 1-méthyl-3'-pseudouridylyl, désigné par Ψ. Ce qui est vraiment astucieux, c'est que bien que ce Ψ de remplacement apaise (calme) notre système immunitaire, il est accepté comme un U normal par les parties concernées de la cellule.
Dans le domaine de la sécurité informatique, nous connaissons également cette astuce : il est parfois possible de transmettre une version légèrement corrompue d'un message qui déroute les pare-feu et les solutions de sécurité, mais qui est tout de même acceptée par les serveurs dorsaux - qui peuvent alors être piratés.
Nous récoltons aujourd'hui les fruits de la recherche scientifique fondamentale menée dans le passé. Les découvreurs de cette technique Ψ ont dû se battre pour que leurs travaux soient financés puis acceptés. Nous devrions tous leur être très reconnaissants, et je suis sûr que les prix Nobel arriveront en temps voulu.
De nombreuses personnes ont demandé si les virus pouvaient également utiliser la technique Ψ pour déjouer nos systèmes immunitaires. En bref, c'est extrêmement improbable. La vie ne dispose tout simplement pas de la machinerie nécessaire pour fabriquer des nucléotides 1-méthyl-3'-pseudouridylyl. Les virus dépendent de la machinerie de la vie pour se reproduire, et cette machinerie n'existe tout simplement pas. Les vaccins ARNm se dégradent rapidement dans le corps humain et il est impossible que l'ARN modifié par le Ψ se réplique avec le Ψ encore présent. Le document "No, Really, mRNA Vaccines Are Not Going To Affect Your DNA" (Non, vraiment, les vaccins ARNm ne vont pas affecter votre ADN) est également intéressant à lire.
Ok, revenons à l'UTR 5'. Que font ces 52 caractères ? Comme tout ce qui existe dans la nature, presque rien n'a de fonction précise.
Lorsque nos cellules doivent traduire l'ARN en protéines, elles le font à l'aide d'une machine appelée ribosome. Le ribosome est une sorte d'imprimante 3D pour les protéines. Il ingère un brin d'ARN et, sur la base de celui-ci, il émet une chaîne d'acides aminés, qui se plient ensuite pour former une protéine.
C'est ce que nous voyons se produire ci-dessus. Le ruban noir en bas est l'ARN. Le ruban qui apparaît en vert est la protéine en cours de formation. Les éléments qui entrent et sortent sont les acides aminés et les adaptateurs qui leur permettent de s'insérer dans l'ARN.
Ce ribosome doit s'asseoir physiquement sur le brin d'ARN pour pouvoir travailler. Une fois installé, il peut commencer à former des protéines sur la base de l'ARN qu'il ingère. On peut donc imaginer qu'il ne peut pas encore lire les parties sur lesquelles il se pose en premier. Ce n'est là qu'une des fonctions de l'UTR : la zone d'atterrissage du ribosome. L'UTR fournit un "lead-in".
En outre, l'UTR contient également des métadonnées : quand la traduction doit-elle avoir lieu ? Et dans quelle mesure ? Pour le vaccin, les chercheurs ont utilisé l'UTR le plus "immédiat" qu'ils aient pu trouver, extrait du gène de la globine alpha. Ce gène est connu pour produire de manière robuste un grand nombre de protéines. Au cours des années précédentes, les scientifiques avaient déjà trouvé des moyens d'optimiser encore davantage cet UTR (selon le document de l'OMS), de sorte qu'il ne s'agit pas tout à fait de l'UTR de la globine alpha. C'est mieux.
Le peptide signal de la glycoprotéine S
Comme nous l'avons vu, le but du vaccin est d'amener la cellule à produire de grandes quantités de la protéine Spike du SARS-CoV-2. Jusqu'à présent, nous avons surtout rencontré des métadonnées et des "conventions d'appel" dans le code source du vaccin. Mais nous entrons maintenant dans le territoire des protéines virales proprement dites.
Cependant, il nous reste encore une couche de métadonnées. Une fois que le ribosome (de la splendide animation ci-dessus) a fabriqué une protéine, celle-ci doit encore aller quelque part. Cette destination est codée dans le "peptide signal de la glycoprotéine S (séquence leader étendue)".
Cela signifie qu'au début de la protéine, il y a une sorte d'étiquette d'adresse - codée comme faisant partie de la protéine elle-même. Dans ce cas précis, le peptide signal indique que la protéine doit sortir de la cellule par le "réticulum endoplasmique". Même le jargon de Star Trek n'est pas aussi sophistiqué que cela !
Le "peptide signal" n'est pas très long, mais lorsque nous examinons le code, nous constatons des différences entre l'ARN viral et l'ARN du vaccin :
(À des fins de comparaison, j'ai remplacé le Ψ modifié par un U d'ARN normal.)
3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3 3
Virus : UG UUU GUUU UUU CUU GUU UUA UUG CCA CUA GUC UCU AGU CAG UGU GUU
Vaccin : AUG UUC GUG UUC CUG GUG CUG CUG CCU CUG GUG UCC AGC CAG UGU GUG
! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Que se passe-t-il donc ? Ce n'est pas par hasard que j'ai classé l'ARN par groupes de 3 lettres. Trois caractères d'ARN constituent un codon. Et chaque codon code pour un acide aminé spécifique. Le peptide signal du vaccin se compose exactement des mêmes acides aminés que le virus lui-même.
Comment se fait-il alors que l'ARN soit différent ?
Il y a 4³=64 codons différents, puisqu'il y a 4 caractères d'ARN et qu'il y en a trois dans un codon. Pourtant, il n'y a que 20 acides aminés différents. Cela signifie que plusieurs codons codent pour le même acide aminé.
La vie utilise le tableau presque universel suivant pour établir la correspondance entre les codons de l'ARN et les acides aminés :
La table des codons de l'ARN (Wikipedia)
https://en.wikipedia.org/wiki/DNA_and_RNA_codon_tables
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_g%C3%A9n%C3%A9tique#Table_des_codons_d'ARN_messager
Dans ce tableau, nous pouvons voir que les modifications dans le vaccin (UUU -> UUC) sont toutes synonymes. Le code de l'ARN du vaccin est différent, mais il produit les mêmes acides aminés et la même protéine.
Si nous regardons de plus près, nous constatons que la majorité des modifications se produisent dans la troisième position du codon, notée par un "3" ci-dessus. Et si l'on consulte le tableau des codons universels, on constate que cette troisième position n'a souvent pas d'importance pour l'acide aminé qui est produit.
Les changements sont donc synonymes, mais alors pourquoi sont-ils là ? En y regardant de plus près, nous constatons que tous les changements, sauf un, conduisent à davantage de C et de G.
Pourquoi donc ? Comme indiqué plus haut, notre système immunitaire voit d'un très mauvais œil l'ARN "exogène", c'est-à-dire le code ARN provenant de l'extérieur de la cellule. Pour échapper à la détection, le "U" de l'ARN a déjà été remplacé par un "Ψ".
Or, il s'avère que l'ARN contenant une plus grande quantité de G et de C est également converti plus efficacement en protéines,
C'est ce qui a été fait dans l'ARN du vaccin en remplaçant de nombreux caractères par des G et des C lorsque cela était possible.
Je suis légèrement fasciné par la seule modification qui n'a pas entraîné l'ajout d'un C ou d'un G, à savoir la modification CCA -> CCU. Si quelqu'un en connaît la raison, qu'il me la communique ! Je suis conscient que certains codons sont plus fréquents que d'autres dans le génome humain, mais j'ai également lu que cela n'influençait pas beaucoup la vitesse de traduction. MISE À JOUR : un certain nombre de lecteurs ont fait remarquer que ce changement pourrait empêcher la formation d'une "épingle à cheveux" dans l'ARN. Vous pouvez faire l'essai vous-même sur le service RNAFold.
Ce merveilleux article de Chelsea Voss traite en profondeur de la forme et du contenu de l'ARN du SARS-CoV-2.
La protéine Spike proprement dite
Les 3 777 caractères suivants de l'ARN du vaccin sont également "optimisés par codon" pour ajouter de nombreux C et G. Pour des raisons d'espace, je ne vais pas énumérer tout le code ici, mais nous allons nous concentrer sur un élément exceptionnellement spécial. Dans un souci d'espace, je n'énumérerai pas ici tout le code, mais nous allons nous concentrer sur une partie exceptionnellement spéciale. Il s'agit de la partie qui fait fonctionner le système, celle qui nous aidera à retrouver une vie normale :
* *
L D K V E A E V Q I D R L I T G
Virus : CUU GAC AAA GUU GAG GCU GAA GUG CAA AUU GAU AGG UUG AUC ACA GGC
Vaccin : CUG GAC CCU CCU GAG GCC GAG GUG CAG AUC GAC AGA CUG AUC ACA GGC
L D P P E A E V Q I D R L I T G
! ! !! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Nous voyons ici les changements synonymes habituels de l'ARN. Par exemple, dans le premier codon, nous voyons que CUU est transformé en CUG. Cela ajoute un "G" supplémentaire au vaccin, ce qui, nous le savons, contribue à améliorer la production de protéines. CUU et CUG codent tous deux pour l'acide aminé "L" ou leucine, de sorte que rien n'a changé dans la protéine.
Lorsque nous comparons l'ensemble de la protéine Spike dans le vaccin, tous les changements sont synonymes, à l'exception de deux, et c'est ce que nous voyons ici.
Les troisième et quatrième codons ci-dessus représentent des changements réels. Les acides aminés K et V y sont tous deux remplacés par "P" ou Proline. Pour 'K', cela a nécessité trois changements ('!!!') et pour 'V', cela n'en a nécessité que deux ('!!').
Il s'avère que ces deux modifications améliorent considérablement l'efficacité du vaccin.
Que se passe-t-il donc ici ? Si l'on observe une vraie particule de SRAS-CoV-2, on peut voir la protéine Spike sous la forme d'une série de pointes :
Particules du virus du SRAS (Wikipedia)
Particules du virus du SRAS (Wikipedia)
Les pointes sont montées sur le corps du virus ("la protéine de la nucléocapside"). Mais le fait est que notre vaccin ne génère que les pics lui-même, et que nous ne les montons sur aucune sorte de corps viral.
Il s'avère que, non modifiées, les protéines Spike indépendantes s'effondrent en une structure différente. Si elles étaient injectées sous forme de vaccin, notre corps développerait une immunité... mais uniquement contre la protéine Spike effondrée.
Et le vrai SARS-CoV-2 apparaît avec la protéine Spike. Le vaccin ne fonctionnerait pas très bien dans ce cas.
Que faire alors ? En 2017, il a été décrit comment la substitution d'une double proline au bon endroit permettait aux protéines S du SRAS-CoV-1 et du MERS d'adopter leur configuration "pré-fusion", même si elles ne font pas partie de l'ensemble du virus. Cela fonctionne parce que la proline est un acide aminé très rigide. Elle agit comme une sorte d'attelle, stabilisant la protéine dans l'état que nous devons montrer au système immunitaire.
Les personnes qui ont découvert cela devraient se féliciter sans cesse. Une insoutenable suffisance devrait émaner d'eux. Et ce serait bien mérité.
Mise à jour ! J'ai été contacté par le laboratoire McLellan, l'un des groupes à l'origine de la découverte de la proline. Ils me disent que les applaudissements sont discrets en raison de la pandémie en cours, mais qu'ils sont heureux d'avoir contribué à la mise au point des vaccins. Ils soulignent également l'importance de nombreux autres groupes, travailleurs et bénévoles.
La fin de la protéine, les prochaines étapes
Si nous parcourons le reste du code source, nous rencontrons quelques petites modifications à la fin de la protéine Spike :
V L K G V K L H Y T s
Virus : GUG CUC AAA GGA GUC AAA UUA CAU UAC ACA UAA
Vaccin : GUG CUG AAG GGC GUG AAA CUG CAC UAC ACA UGA UGA
V L K G V K L H Y T s s
! ! ! ! ! ! ! !
À la fin d'une protéine, on trouve un codon "stop", désigné ici par un "s" minuscule. C'est une façon polie de dire que la protéine doit s'arrêter ici. Le virus original utilise le codon stop UAA, le vaccin utilise deux codons stop UGA, peut-être juste pour faire bonne mesure.
La région 3' non traduite
Tout comme le ribosome avait besoin d'une introduction à l'extrémité 5', où nous avons trouvé la "région non traduite", à l'extrémité de la région codante d'une protéine, nous trouvons une construction similaire appelée "3' UTR".
Il y aurait beaucoup à dire sur l'UTR 3', mais je cite ici ce que dit Wikipedia : ''"La région 3'-non traduite joue un rôle crucial dans l'expression des gènes en influençant la localisation, la stabilité, l'exportation et l'efficacité de la traduction d'un ARNm ... malgré notre compréhension actuelle des UTR 3'-, ils restent encore des mystères relatifs".''
Ce que nous savons, c'est que certains 3'-UTR parviennent très bien à promouvoir l'expression des protéines. Selon le document de l'OMS, le 3'-UTR du vaccin BioNTech/Pfizer a été choisi parmi "l'ARNm de l'AES (amino-terminal enhancer of split) et l'ARN ribosomal 12S codé pour la mitochondrie afin de conférer une stabilité à l'ARN et une expression totale élevée de la protéine". Ce à quoi je réponds : "Bravo !
La fin de la AAAAAAAAAAAAAAAAAA
L'extrémité de l'ARNm est polyadénylée. C'est une façon élégante de dire qu'il se termine par un grand nombre de AAAAAAAAAAAAAAAAA. Il semble que même l'ARNm en ait assez de 2020.
L'ARNm peut être réutilisé de nombreuses fois, mais il perd alors une partie des A à la fin. Une fois les A épuisés, l'ARNm n'est plus fonctionnel et est éliminé. De cette manière, la queue "poly-A" est protégée de la dégradation.
Des études ont été menées pour déterminer le nombre optimal de A à l'extrémité des vaccins ARNm. J'ai lu dans la littérature ouverte que ce nombre atteignait environ 120.
Le vaccin BNT162b2 se termine par :
****** ****
UAGCAAAAAA AAAAAAAAAA AAAAAAAAAA AAAAGCAUAU GACUAAAAAA AAAAAAAAAA
AAAAAAAAAA AAAAAAAA AAAAAAAA AAAAAAAAAA AAAAAAAA AAAAAAAA
Il s'agit de 30 A, puis d'un "linker" de 10 nucléotides (GCAUGACU), suivi de 70 A supplémentaires.
Il existe plusieurs théories sur la raison de la présence de ce linker. Certains me disent que cela a à voir avec la stabilité des plasmides d'ADN, ce qu'un expert m'a également confirmé :
"Le linker de 10 nucléotides dans la queue du poly(A) facilite l'assemblage des fragments d'ADN synthétique qui deviennent la matrice pour la transcription de l'ARNm. Il réduit également le glissement de l'ARN polymérase T7, de sorte que la longueur de l'ARNm transcrit est plus uniforme".
L'article "Segmented poly(A) tails significantly reduce recombination of plasmid DNA without affecting mRNA translation efficiency or half-life" (Queues poly(A) segmentées réduisent significativement la recombinaison de l'ADN plasmidique sans affecter l'efficacité de la traduction de l'ARNm ou sa demi-vie) contient également une description convaincante de la manière dont un lien peut améliorer l'efficacité.
Résumer
Nous connaissons maintenant le contenu exact de l'ARNm du vaccin BNT162b2 et, pour la plupart des éléments, nous comprenons pourquoi ils sont là :
- Le CAP pour s'assurer que l'ARN ressemble à un ARNm normal
- Une région 5' non traduite (UTR) optimisée et réussie.
- un peptide signal optimisé par codon pour envoyer la protéine Spike au bon endroit (acides aminés copiés à 100 % à partir du virus d'origine)
- Une version optimisée par codon du spike original, avec deux substitutions de "Proline" pour s'assurer que la protéine apparaît sous la bonne forme.
- Une région 3' non traduite connue et optimisée
- Une queue poly-A avec un "linker".
L'optimisation des codons ajoute beaucoup de G et de C à l'ARNm. Parallèlement, l'utilisation de Ψ (1-méthyl-3'-pseudouridylyl) au lieu de U permet d'échapper à notre système immunitaire, de sorte que l'ARNm reste dans les parages suffisamment longtemps pour que nous puissions réellement contribuer à la formation du système immunitaire.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32370727/
https://doi.org/10.2174/1871526520999200505174704
SARS-CoV-2 / Covid-19, système rénine-angiotensine et vitamine D
Le système rénine-angiotensine (SRA) est un régulateur central des fonctions rénales et cardiovasculaires [1]. Une suractivation du
du SRA entraîne des troubles rénaux et cardiovasculaires ainsi qu'une tempête de cytokines. La vitamine D est un régulateur négatif du SRA [2, 3].
Une carence prolongée en vitamine D (hypovitaminose D) peut entraîner une suractivation du SRA.
Le récepteur de l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) est le site de liaison du SARS-CoV-2 [4, 5], un agent étiologique de la maladie d'Alzheimer.
Covid-19. Pour pénétrer dans les cellules, le SARS-CoV-2 aurait également besoin d'une glycoprotéine spike amorcée par la sérine protéase de la cellule hôte
TMPRSS2 [6]. Le récepteur ACE2 est principalement exprimé par les cellules épithéliales des vaisseaux sanguins, de l'intestin, des poumons, des reins et du cœur. Un motif RGD (adhésiotope) dans la région 403-405 de la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2 (motif absent dans le SARS-CoV-2 phylogénétiquement apparenté) a été détecté dans la région 403-405 de la glycoprotéine spike du SARS-CoV-2 phylogénétiquement apparenté) suggère qu'il pourrait également se lier aux intégrines de la membrane cellulaire humaine (non signalé jusqu'à présent) [7].
Jusqu'à présent) [7]. Le récepteur ACE2 est essentiel pour l'expression des transporteurs d'acides aminés dans l'intestin.
Dans ce contexte, l'ACE2 modulerait l'immunité innée et influencerait la composition du microbiote intestinal (bactéries Prevotella ?), ce qui pourrait expliquer les diarrhées et l'inflammation intestinale.
Les autres symptômes/maladies connus ou anticipés (inconnus) de Covid-19 liés à l'action du SRAS-CoV-2 sur les principaux SRA [1,8] sont : l'hypertension artérielle (effet sur les vaisseaux sanguins) ;
athérosclérose (effet sur les vaisseaux sanguins) ; dysfonctionnement, insuffisance et arrêt cardiaque (effet sur le cœur) ; hypertrophie cardiaque (effet sur le cœur) ; arrêt cardiaque (effet sur le cœur).
(effet sur le cœur) ; fibrose cardiaque (effet sur le cœur) ; maladie rénale chronique (effet sur le rein) ; asthme (effet sur le poumon) ; maladie chronique obstructive (effet sur le poumon) ; maladie rénale chronique (effet sur le poumon) ; maladie rénale chronique (effet sur le poumon).
pulmonaire) ; bronchopneumopathie chronique obstructive (effet sur le poumon) ; fibrose pulmonaire idiopathique (effet sur le poumon) ; hypertension artérielle pulmonaire (effet sur le poumon) ; hypertension artérielle pulmonaire (effet sur le poumon).
pulmonaire (effet sur le poumon) ; lésions pulmonaires aiguës (effet sur le poumon) ; hypertension liée à la régulation sympathique de la pression artérielle (effet sur le système nerveux central) ;
diabète de type 2/résistance à l'insuline (effet sur le tissu adipeux) ;
(effet sur le tissu adipeux) ; obésité (effet sur le tissu adipeux) ; anosmie/perte d'odorat (effet sur le système nerveux central) ; ageusie/perte de goût (effet sur le système nerveux central) ; auto-immunité (effet sur le tissu adipeux).
(effet sur le système nerveux central) ; inflammation auto-immune du système nerveux central
diarrhée (effet sur le système digestif) ; glaucome/action sur l'humeur aqueuse (effet sur l'oeil) ; thrombose/coagulopathie
(effet sur la coagulation sanguine) ; lésions cutanées/dermatite (effet sur la peau) ; rétinopathie diabétique/action sur l'humeur aqueuse
(effet sur l'oeil) ; dysfonctionnement du métabolisme des lipides (effet sur le système digestif) ; intolérance au glucose/action sur le métabolisme du glucose (effet sur le foie).
(effet sur le foie) ; dysfonctionnement de l'immunité/différenciation et activation des cellules immunitaires (par exemple, monocytes-
macrophages), maladies auto-immunes (par exemple sclérose en plaques, polyneuropathie inflammatoire démyélinisante chronique, syndrome de Miller-
Fisher) ; cancer (effet sur la prolifération et la migration cellulaires, ainsi que sur la production de médiateurs pro-inflammatoires,
y compris les molécules d'adhésion) ; fibrose hépatique/hypertension portale/cirrhose (effet sur le foie) ; lésions testiculaires (effet sur le testicule).
testicule)
Mais aujourd'hui, le temps est venu d'en parler avec Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie. Parce que vous ne l’avez pas vu sur les plateaux, parce qu'il ne cherche pas la lumière, alors qu' il a été le premier à comprendre le fonctionnement du SarsCOV 2 sur l'organisme. Il nous explique aujourd'hui comment, en voulant fabriquer trop vite leurs vaccins à ARN Messager, Big Pharma a créé un monstre dont les effets sur l’organisme sont très proches de ceux de la COVID-19. Il déconseille tout rappel de vaccin anti-covid, et préconise un traitement frappé au coin du bon sens.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32370727/
https://doi.org/10.2174/1871526520999200505174704
Sur le même sujet..
https://www.nature.com/articles/s41598-022-24628-1
La recherche de diagnostics, de vaccins et de traitements potentiels à base d'anticorps pour le coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère pandémique (SRAS-CoV-2) s'est concentrée presque exclusivement sur les protéines spike (S) et nucléocapside (N). Les protéines de la membrane du coronavirus (M), ORF3a et ORF8 sont des immunogènes humoraux chez d'autres coronavirus (CoVs) mais restent largement inexplorées pour le SRAS-CoV-2. Nous utilisons ici la cartographie de microréseaux peptidiques ultradenses pour montrer que l'infection par le SRAS-CoV-2 induit des réponses anticorps robustes contre des épitopes dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2, en particulier chez M, où un épitope a permis d'obtenir une excellente précision diagnostique. Nous avons cartographié 79 épitopes des lymphocytes B dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et démontré que les anticorps qui se développent en réponse à l'infection par le SRAS-CoV-2 se lient à des séquences peptidiques homologues dans les 6 autres CoV humains connus. Nous confirmons également la réactivité contre 4 de nos épitopes les plus importants par un test immuno-enzymatique (ELISA). La gravité de la maladie est corrélée à une augmentation de la réactivité à 9 épitopes du CoV SRAS-2 dans S, M, N et ORF3a dans notre population. Nos résultats démontrent l'existence d'épitopes de cellules B hautement réactifs, inconnus jusqu'alors, dans l'ensemble du protéome du SRAS-CoV-2 et d'autres protéines du CoV.
Informations importantes sur la sécurité avant de commencer une détox
Veuillez ne pas entreprendre une cure de désintoxication aux protéines spike sans la supervision d'un professionnel de la santé de confiance. Veuillez noter les points suivants :
- Thé aux aiguilles de pin, neem, consoude, Andrographis paniculata - Ne doit PAS être consommé pendant la grossesse.
- Magnésium - Un surdosage est possible, et il est plus difficile à détecter lors de la consommation de magnésium liposomal. Par conséquent, envisagez un mélange de magnésium liposomal et conventionnel, ou seulement du magnésium conventionnel.
- Zinc - Lorsque vous consommez une multivitamine qui contient déjà du zinc, veillez à ajuster la quantité de zinc consommée dans les autres compléments.
- Nattokinase - Ne pas prendre si vous utilisez des anticoagulants, si vous êtes enceinte ou si vous allaitez.
- Tenez toujours compte du dosage - Lorsque vous prenez une multivitamine, n'oubliez pas d'ajuster la quantité de chaque complément en conséquence. (Par exemple, si votre multivitamine contient 15 mg de zinc, vous devez réduire votre supplémentation en zinc de cette quantité).
- Millepertuis - Ce médicament interagit avec de nombreux médicaments. Il ne doit pas être pris si vous prenez d'autres médicaments sans l'avis de votre médecin.
Comment réduire votre charge en protéines de spike ?
Le soutien aux personnes souffrant d'une maladie de longue durée et d'une maladie post-vaccinale est un domaine nouveau et émergent de la recherche et de la pratique en matière de santé. Les listes suivantes contiennent des substances qui peuvent être utiles. Cette liste a été compilée par des médecins internationaux et des praticiens holistiques ayant des expériences diverses dans l'aide aux personnes souffrant de Covid-19 et de maladie post-vaccinale.
Heureusement, il existe une multitude de solutions naturelles facilement accessibles pour réduire la charge protéique du spike de votre corps.
Certains "inhibiteurs de liaison protéique" empêchent la liaison de la protéine spike aux cellules humaines, tandis que d'autres neutralisent la protéine spike afin qu'elle ne puisse plus causer de dommages aux cellules humaines.
Inhibiteurs de la protéine spike : Prunella vulgaris, aiguilles de pin, émodine, margousier, extrait de feuille de pissenlit, ivermectine.
Neutralisateurs de protéines de spike : N-acétylcystéine (NAC), glutathion, thé de fenouil, thé d'anis étoilé, thé d'aiguilles de pin, millepertuis, feuille de consoude, vitamine C.
Il a été démontré que l'ivermectine se lie à la protéine spike, ce qui la rend potentiellement inefficace pour se lier à la membrane cellulaire.
Plusieurs plantes présentes dans la nature, notamment les aiguilles de pin, le fenouil, l'anis étoilé, le millepertuis et la feuille de consoude, contiennent une substance appelée acide shikimique, qui peut contribuer à neutraliser la protéine de spike. L'acide shikimique peut aider à réduire plusieurs effets néfastes possibles de la protéine spike, et on pense qu'il s'oppose à la formation de caillots sanguins.
Des doses orales régulières de vitamine C sont utiles pour neutraliser toute toxine.
Le thé aux aiguilles de pin a de puissants effets antioxydants et contient des concentrations élevées de vitamine C.
La nattokinase (voir tableau 1), une enzyme dérivée du plat de soja japonais "Natto", est une substance naturelle dont les propriétés peuvent contribuer à réduire l'apparition de caillots sanguins.
Récupération
Dans cette section, je vais dresser la liste des organisations qui fournissent des soins et un soutien aux blessés de la vaccination. Il s'agit d'une liste de médecins, d'aides et de soignants qui ne cessera de s'allonger dans tous les pays. Ces organisations peuvent se trouver à l'étranger, mais vous pouvez les contacter par e-mail ou par téléphone, et elles pourront vous guider vers les meilleurs protocoles de traitement pour votre guérison.
Dans cette section, je présenterai également des cas de personnes qui se sont rétablies et comment elles y sont parvenues. Contre toute attente, certains ont trouvé des solutions que je vais partager avec vous ici. Et je vous mettrai en contact avec ces personnes - dans une communauté de survivants.
Troisièmement, je fournirai des informations sur l'auto-assistance.
Ne vous sentez pas seul. Vous pouvez m'envoyer un courriel à tout moment. Je ferai tout ce que je peux pour vous aider.
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Renforcer l'immunité
Vitamine D
Antiviraux
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Désintoxication
Détoxification
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Réduction des caillots
Les vaccins font produire à vos cellules la protéine virale Spike. L'un des principaux effets de la protéine Spike est de provoquer la coagulation. Cette coagulation peut entraîner des accidents vasculaires cérébraux ou des crises cardiaques si un caillot important se produit. Cependant, le plus souvent, ce sont des microcaillots - qui peuvent être très répandus - qui limitent le flux sanguin vers les tissus. Cela peut entraîner la mort des cellules - affectant les cellules du cerveau, les nerfs optiques, les nerfs moteurs, etc.
Pour aider à rétablir le flux sanguin, vous pouvez prendre une aspirine pour bébé qui agit comme un léger agent anticoagulant. Cela peut aider à rétablir un flux sanguin suffisant pour éviter des dommages permanents aux organes.
- Réduire l'inflammation
Les anti-inflammatoires peuvent aider en réduisant l'intensité de la réaction de l'organisme au vaccin.
- Bloquer la protéine Spike
La protéine Spike est à l'origine de tous les dommages. Certains médicaments se lient à la protéine Spike et la désactivent.
Mécanisme et thérapies
Médecins qui peuvent aider
Conseil mondial de la santé
Médecins de première ligne en Amérique
Soins intensifs Covid 19
Résumé
Un total de 22 patients qui avaient développé une réaction cutanée indésirable au vaccin Moderna ou Pfizer ont subi des biopsies. Chaque patient a été évalué au microscope optique et, pour certaines biopsies, une évaluation de la glycoprotéine de la protéine spike et des cytokines a également été réalisée. Les patients ont développé des réactions cutanées autolimitées souvent décrites cliniquement comme urticariennes ou eczémateuses dans un délai de 1 jour à 4 semaines après avoir reçu la première ou la deuxième dose du vaccin Pfizer ou Moderna. Des descriptions cliniques et morphologiques classiques d'hypersensibilité cutanée de type IV avec des caractéristiques de dermatite eczémateuse, de dermatite d'interface, d'inflammation granulomateuse et/ou de composante vasculitique lymphocytaire ont été observées. Des caractéristiques cliniques et/ou histologiques de perniose, de pityriasis rosea, de pityriasis rubra pilaris et de psoriasis en gouttes ont été observées dans certains cas. Dans 2 cas, le tableau dominant était une vasculite urticarienne, reflétant peut-être l'action d'un complexe immunitaire de type III d'Arthus. Les spécimens de biopsie de peau normale post-vaccinale et de peau affectée par l'éruption post-vaccinale ont montré de rares microvaisseaux profonds positifs pour la glycoprotéine spike sans dépôt de complément, ce qui contraste avec un dépôt vasculaire plus important de la protéine spike et du complément dans les biopsies de peau de patients atteints de la maladie grave à coronavirus 2019 (COVID-19). On conclut que les réactions d'hypersensibilité autolimitées au vaccin se produisent peut-être en raison d'une substance présente dans le véhicule du vaccin (p. ex., le polyéthylèneglycol). Une réponse immunitaire dirigée contre la protéine spike fabriquée par l'homme doit être envisagée car certaines des réactions, cliniquement et ou histologiquement, ressemblent étroitement au COVID-19 léger. Enfin, le renforcement immunitaire associé au vaccin, largement attribuable aux propriétés adjuvantes du vaccin, peut démasquer certains milieux inflammatoires opérationnels dans le psoriasis, la dermatite atopique et l'hypersensibilité subclinique.
L'atteinte pulmonaire aiguë (ALI) conduisant au syndrome de détresse respiratoire aiguë est la principale cause de létalité du COVID-19. L'entrée cellulaire du SRAS-CoV-2 se fait par l'interaction entre sa protéine de surface (SP) et l'enzyme de conversion de l'angiotensine-2 (ACE2). On ne sait pas si la protéine virale spike seule est capable de modifier la perméabilité vasculaire des poumons ou de produire des lésions pulmonaires in vivo. À cette fin, nous avons instillé par voie intratrachéale la sous-unité S1 de la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 (S1SP) dans des souris transgéniques K18-hACE2 qui surexpriment l'ACE2 humaine et avons examiné les signes de lésion pulmonaire associée au COVID-19 72 heures plus tard. Les témoins comprenaient des souris K18-hACE2 ayant reçu une solution saline ou la SP intacte et des souris de type sauvage (WT) ayant reçu la S1SP. Les souris K18-hACE2 auxquelles on a instillé du S1SP ont présenté une diminution du poids corporel, une augmentation spectaculaire des globules blancs et des concentrations de protéines dans le liquide de lavage broncho-alvéolaire (LBA), une régulation à la hausse de plusieurs cytokines inflammatoires dans le LBA et le sérum, des signes histologiques de lésions pulmonaires et une activation des voies du signal transducteur et activateur de la transcription 3 (STAT3) et du facteur nucléaire kappa-chaîne légère-renforçateur des cellules B activées (NF-κB) dans les poumons. Les souris K18-hACE2 qui ont reçu une solution saline ou de la SP ont présenté peu ou pas de signes de lésion pulmonaire. Les souris WT qui ont reçu la S1SP ont présenté une forme plus légère de symptômes COVID-19, par rapport aux souris K18-hACE2. En outre, la S1SP, mais pas la SP, a diminué la résistance transendothéliale (TER) et la fonction de barrière des microvaisseaux pulmonaires humains en culture. Il s'agit de la première démonstration d'une réponse de type COVID-19 par une protéine essentielle codée par le virus du SRAS-CoV-2 in vivo. Ce modèle de ALI induit par le COVID-19 peut contribuer à l'étude de nouvelles approches thérapeutiques pour la gestion du COVID-19 et d'autres coronavirus.
Résumé
Les anticorps induits par les vaccins peuvent prévenir ou, dans le cas du virus de la péritonite infectieuse féline, aggraver les infections par les coronavirus. Nous avons cherché à savoir si un trimère recombinant natif de la protéine S (triSpike) du coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SARS-CoV) était capable de déclencher une réponse immunitaire neutralisante et protectrice chez les animaux et nous avons analysé la capacité des anticorps anti-S à provoquer un renforcement dépendant des anticorps (ADE) de l'entrée du virus in vitro et un renforcement de la réplication in vivo. Les immunoglobulines sériques et muqueuses spécifiques du SRAS-CoV ont été facilement détectées chez les animaux immunisés. Les IgG sériques ont bloqué la liaison de la protéine S au récepteur de l'ECA2 et ont neutralisé l'infection par le CoV-SRAS in vitro. L'entrée dans les lignées de cellules B humaines s'est produite de manière dépendante du FcγRII et indépendante de l'ACE2, ce qui indique que l'ADE de l'entrée du virus est un nouveau mécanisme d'entrée cellulaire du SRAS-CoV. Les animaux vaccinés n'ont montré aucun signe d'amélioration de la pathologie pulmonaire ou de l'hépatite, et la charge virale était indétectable ou fortement réduite dans les poumons après une provocation par le CoV-SRAS. Dans l'ensemble, nos résultats indiquent qu'une protéine S trimérique recombinante a pu susciter une réponse immunitaire protectrice efficace in vivo et justifient que l'on s'intéresse à l'évaluation de la sécurité d'un vaccin humain contre le SRAS-CoV.
Dans l'ensemble, nos résultats indiquent qu'une protéine S trimérique recombinante a pu déclencher une réponse immunitaire protectrice in vivo, mais si l'observation d'une entrée accrue dans les cellules B in vitro peut avoir un corrélat in vivo, il y aurait lieu de s'inquiéter de l'évaluation de la sécurité d'un vaccin humain contre le SRAS-CoV.
Résumé
Contexte : Les réponses inflammatoires induites par l'infection par le coronavirus-2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) sont en grande partie responsables de la mort des patients atteints de la nouvelle maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Cependant, le mécanisme par lequel le SRAS-CoV-2 déclenche des réponses inflammatoires reste obscur. Nous avons cherché à explorer le rôle régulateur de la protéine spike du SRAS-CoV-2 dans les cellules infectées et tenté d'élucider le mécanisme moléculaire de l'inflammation induite par le SRAS-CoV-2.
Méthodes : Les pseudovirions de pointe du SRAS-CoV-2 (SCV-2-S) ont été générés à l'aide du système de conditionnement du virus exprimant la pointe. Un Western blot, un marquage mCherry-GFP-LC3, une immunofluorescence et un RNA-seq ont été réalisés pour examiner le mécanisme de régulation de SCV-2-S dans la réponse autophagique. Les effets de SCV-2-S sur l'apoptose ont été évalués par marquage TUNEL (terminal deoxynucleotidyl transferase dUTP nick end), Western blot et analyse par cytométrie de flux. Un test immunologique lié à l'enzyme (ELISA) a été réalisé pour examiner le mécanisme du SCV-2-S dans les réponses inflammatoires.
Résultats : L'infection de SCV-2-S par l'enzyme de conversion de l'angiotensine 2 (ACE2) a induit l'autophagie et l'apoptose dans les cellules épithéliales bronchiques et endothéliales microvasculaires humaines. Sur le plan mécanique, le SCV-2-S a inhibé la voie PI3K/AKT/mTOR en régulant à la hausse les niveaux d'espèces réactives de l'oxygène (ROS) intracellulaires, favorisant ainsi la réponse autophagique. Finalement, l'autophagie induite par le SCV-2-S a déclenché des réponses inflammatoires et l'apoptose dans les cellules infectées. Ces résultats améliorent non seulement notre compréhension du mécanisme sous-jacent à l'inflammation pathogène induite par l'infection par le SRAS-CoV-2, mais ont également des implications importantes pour le développement de thérapies anti-inflammatoires, telles que les inhibiteurs de ROS et d'autophagie, pour les patients COVID-19.
Mots clés : Apoptose ; Autophagie ; Inflammation ; Espèces réactives de l'oxygène ; SARS-CoV-2.
Résumé
Contexte : Des preuves émergentes suggèrent que dans les cas graves de COVID-19, la défaillance de plusieurs organes est associée à un état hyperinflammatoire (la soi-disant "tempête de cytokines") en combinaison avec le développement d'un état prothrombotique. Le rôle central de la dysfonction endothéliale dans la pathogenèse de la maladie est à ce jour accepté, mais les mécanismes précis qui sous-tendent la coagulopathie associée restent flous. La question de savoir si les altérations de l'homéostasie vasculaire dépendent directement de l'infection des cellules endothéliales par le SRAS-CoV-2 ou si elles sont plutôt secondaires à l'activation de la réponse inflammatoire reste un sujet de débat. Nous nous intéressons ici à l'effet de la protéine Spike S1 du SARS-CoV-2 sur l'activation des cellules endothéliales microvasculaires pulmonaires humaines (HLMVEC). En particulier, l'existence d'une diaphonie endothélium-macrophage dans la réponse à la protéine spike a été explorée.
Méthodes et résultats : L'effet de la protéine spike est étudié dans des cellules endothéliales microvasculaires pulmonaires humaines (HLMVEC), soit directement, soit après incubation avec un milieu conditionné (CM) de macrophages humains dérivés de monocytes (MDM) préalablement activés par la protéine spike S1 (CM-MDM). Tant les MDM que les HLMVEC sont activés en réponse à la protéine S1, avec une expression accrue de médiateurs pro-inflammatoires. Cependant, lorsque les HLMVEC sont exposées au CM-MDM, une activation cellulaire accrue se produit en termes d'expression de molécules d'adhésion, de marqueurs pro-coagulants et de chimiokines. Dans ces conditions expérimentales, l'ICAM-1 et le VCAM-1, les chimiokines CXCL8/IL-8, CCL2/MCP1 et CXCL10/IP-10 ainsi que la protéine facteur tissulaire (TF) sont nettement induits. En revanche, une diminution de la thrombomoduline (THBD) est observée.
Conclusion : Nos données suggèrent que les médiateurs pro-inflammatoires libérés par les macrophages activés par le Spike amplifient l'activation des cellules endothéliales, contribuant probablement à l'altération de l'intégrité vasculaire et au développement d'un endothélium pro-coagulant.
Une série d’études très récentes démontrent que la fameuse protéine S Spike seule , produit des dégâts considérables . Il faut rappeler que les vaccins inoculent l’arn de la dite proteine S pour qu’elle puisse se multiplier dans notre organisme et provoquer la création d’ anticorps. Les concepteurs se sont trompés :
La protéine S se répand et demeure plus longtemps que prévu dans l’organisme.
Elle est dangereuse et provoque une forme de covid.
Les effets n’ont pas été étudiés car réalisés sur des souris sauvages qui sous estiment l’ACE2 de l’homme, ils n’étaient pas visibles
Les effets récents réalisés sur des souris transgéniques capables de reproduire ce qui se passe chez l’homme mettent en évidence les effets désastreux
A ce jour pas la moindre étude sur les risques de la dite protéine injectée pour les femmes en âge de procréer, pour ceux qui ont eu la covid, pour les vaccinés contre la grippe, pour les jeunes….
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34572407/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34445747/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34461258/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34156871/
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/labs/pmc/articles/PMC8384477/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34406358/
https://pgibertie.com/2021/09/28/on-a-enfin-des-resultats-sur-les-consequences-du-pfizer-sur-les-souris-et-on-comprend-mieux-pourquoi-ils-refusent-les-autopsies-post-injections-pour-les-humains-decedes/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34591186/
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0738081X21001516#fig0003
https://www.nature.com/articles/d41586-020-00751-9