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12 millions de produits vendus par Amazon, plus 353 millions vendus par des vendeurs tiers
«Le moteur de la fraude: les tests PCR»
Dans le cas du covid, affirme le statisticien, «le moteur de la fraude» a été de définir les cas en fonction des tests PCR positifs, et non pas en fonction des malades réels souffrant de symptômes. Et c’est ce nombre de «cas», en grande majorité des non malades, qui a entretenu la psychose. Un processus décrit en détail dans son livre Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels.
Les principaux fabricants de vaccins, Pfizer et Moderna, n’ont jamais prétendu que leurs injections empêchaient de tomber malade, rappelle Chaillot. En revanche, ils ont assuré que grâce à eux, on aurait moins de tests positifs. Comment? “Il suffit de ne pas tester les vaccinés, mais seulement le groupe placebo, répond-il. Lors des essais, Pfizer a prétendu que seuls 8 vaccinés étaient positifs, contre 162 non vaccinés positifs. D’où leur slogan “95% d’efficacité”!
Principales destinations des réfugiés en Europe
Depuis février 2022, plus de huit millions de résidents ukrainiens ont trouvé refuge à l’extérieur du pays, principalement en Europe.
Pays Réfugiés Ukrainiens
🇷🇺 Russsie 2,852,395
🇵🇱 Pologne 1,564,711
🇩🇪 Allemagne 1,055,323
🇨🇿 République tchèque 497,217
🇮🇹 Italie 171,739
🇪🇸 Espagne 168,654
🇬🇧 Royaume-Uni 164,500
🇫🇷 France 118,994
🇸🇰 Slovaquie 111,173
Nous modélisons un morceau de texte de langage humain racontant une histoire au moyen de la structure quantique décrivant un gaz de Bose dans un état proche d'un condensat de Bose-Einstein à la température du zéro absolu.
Pour cela, nous introduisons des niveaux d'énergie pour les mots (concepts) utilisés dans l'histoire et nous introduisons également la nouvelle notion de "cogniton" comme quantum de la pensée humaine.
Les mots (concepts) sont alors des cognitons dans différents états d'énergie comme c'est le cas pour les photons dans différents états d'énergie, ou états de fréquence radiative différente, lorsque le gaz boson considéré est celui des quanta du champ électromagnétique.
Nous montrons que la statistique de Bose-Einstein fournit un très bon modèle pour ces morceaux de textes racontant des histoires, aussi bien pour les histoires courtes que pour les histoires longues de la taille de romans.
Nous analysons un lien inattendu avec la loi de Zipf dans le langage humain, le classement de Zipf relatif aux niveaux d'énergie des mots, et le graphique de Bose-Einstein coïncidant avec le graphique de Zipf.
Nous étudions la question de "l'identité et de l'indiscernabilité" dans cette nouvelle perspective et nous conjecturons que la façon dont on peut facilement comprendre comment deux "mêmes concepts" sont "absolument identiques et indiscernables" dans le langage humain est également la façon dont les particules quantiques sont absolument identiques et indiscernables dans la réalité physique, fournissant ainsi de nouvelles preuves pour notre interprétation conceptuelle de la théorie quantique.
Numéros Nombre de sorties % de sorties* Dernière sortie
21 48 15,38 17/01/23
19 41 13,14 27/01/23
42 41 13,14 20/01/23
35 39 12,50 06/01/23
38 39 12,50 29/11/22
12 38 12,18 13/12/22
17 36 11,54 30/12/22
25 36 11,54 13/01/23
5 35 11,22 08/11/22
27 35 11,22 24/01/23
étoiles
Numéros Nombre de sorties % de sorties* Dernière sortie
3 66 21,15 10/01/23
6 62 19,87 17/01/23
2 59 18,91 17/01/23
11 59 18,91 24/01/23
12 54 17,31 27/01/23
7 53 16,99 24/01/23
8 50 16,03 06/12/22
1 48 15,38 30/12/22
10 48 15,38 27/01/23
9 47 15,06 30/12/22
4 42 13,46 06/01/23
5 36 11,54 13/01/23
Le numéro gagnant est donc:
21-19-42-35-38 et 3-6
03/02/2015; 50-44-17-31-33 et 11-7
03/02/2017; 3-4-50-46-15 et 9-5
03/02/2012; 16-20-19-25-28 et 1-10
Durant la période observée (2002-2021), la consommation totale d’énergie du gros électroménager et des appareils électroniques a baissé de 16,3%, indique lundi l'OFEN. Et ceci malgré l’augmentation simultanée du nombre d’appareils (+41,2%).
https://www.newsd.admin.ch/newsd/message/attachments/74275.pdf
Presque 42% d'appareils en plus qu'en 2002
En 2021, la Suisse comptait 49,3 millions de gros appareils électroménagers, d’appareils informatiques, de bureautique et d’électronique de loisirs en cours d’utilisation, soit 41,2% de plus qu’en 2002 (34,9 millions).
Au total, leur consommation d’électricité s’élevait à 6,5 terawattheures (TWh), soit 11,2% de la consommation totale d’électricité en Suisse. Cela représente également 1,3 TWh ou 16,3% de moins qu’en 2002 (7,8 TWh).
Depuis 2002, les appareils informatiques, de bureautique et d’électronique de loisirs (PC, moniteurs, etc.) ont connu une forte amélioration de leur efficacité: durant cette période, leur consommation a en effet baissé de 53%.
Mais la part des téléviseurs de grande taille (diagonale d’écran supérieure à 32 pouces) fait augmenter la consommation. Ces appareils consomment davantage d’énergie, car ils disposent de fonctions supplémentaires.
Un gain d'un tiers dans l'électroménager
Pour les appareils électroménagers, le gain d'efficacité énergétique est d’environ 32%. S'agissant du gros électroménager, la consommation par appareil calculée spécifiquement pour l’ensemble des appareils est passée de 387 kilowattheures (kWh) en 2002 à 271 kWh en 2021. En 2002, les appareils électriques consommaient en moyenne environ 130 kWh, contre 47 kWh en 2021.
Cette dernière année, plus de 18,75 millions de gros appareils électroménagers étaient utilisés en Suisse, soit 38,6% de plus qu’en 2002. Durant cette période, leur consommation d’énergie a diminué de 2,9%, passant de 5232 millions à 5077 millions de kWh.
La plus grande consommation provient des cuisinières/fours électriques (1453 millions de kWh), des réfrigérateurs (1049 millions de kWh) ainsi que des sèche-linge (770 millions de kWh).
9.1.22
Les zones d’exploitation du pétrole et du gaz de schiste sont dans un état de déplétion beaucoup plus avancé que ce que laissent entendre les statistiques de l’EIA, l’agence américaine d’information sur l’énergie. C’est du moins ce qu’avance le géologue canadien David Hughes, dans un rapport publié en décembre 2021 par le Post Carbon Institute. L’EIA prévoit un niveau de production élevé jusqu’en 2050, mais le total représente 4,5 fois les réserves de pétrole et 3,6 fois les réserves de gaz démontrées, ce qui paraît douteux.
Dans son étude, David Hughes critique le Annual Energy Outlook 2021, un rapport de l’EIA qui compile chaque année les sources d’énergie dont disposent les États-Unis, ainsi que des prévisions de production jusqu’en 2050. Ce rapport propose plusieurs scénarios, mais celui qui sert de référence prévoit que les schistes produiront 69 % du pétrole et 77 % du gaz aux États-Unis entre 2020 et 2050.
Les puits de pétrole et de gaz de schiste ont toutefois la particularité de s’épuiser très rapidement. La production d’un puits donné chute de 75 à 90 % en trois ans seulement et sans nouveaux forages continuels, la production d’une zone peut chuter de 25 à 50 % en un an. La qualité de ces zones d’exploitation est également irrégulière et présente un mélange de bons secteurs (sweet spots) exploités en priorité et de zones peu productives et sans intérêt qui sont délaissées, car non rentables. Les bons secteurs ne couvrent au mieux que 20 % des zones pétrolières et gazières de schiste.
Combien de pièces de monnaie sont en circulation en Suisse ?
En 2020, 5,7 milliards de pièces en moyenne étaient en circulation, pour un montant de 3,2 milliards de francs.
L’enquête sur les moyens de paiement 2020 parvient aux conclusions indiquées ci-après:
Le numéraire et la carte de débit restent les deux moyens de paiement les plus répandus
dans la population résidente suisse. Parmi les personnes interrogées, 97% déclarent avoir
des espèces dans leur porte-monnaie ou à la maison pour leurs dépenses courantes; 92% sont
titulaires d’une carte de débit (2017: 88%) et 78% d’une carte de crédit (2017: 63%).
Si l’on considère le nombre de paiements non récurrents exécutés, le numéraire reste
l’instrument de paiement le plus fréquemment utilisé par la population, mais sa part a
sensiblement reculé par rapport à 2017. En 2020, 43% de ces paiements ont été réglés en
numéraire, contre 70% en 2017. Les parts correspondantes des paiements par carte de débit et
par carte de crédit ont augmenté sur la même période et s’établissent respectivement à 33%
(2017: 22%) et à 13% (2017: 5%). Les Suisses italiens, les personnes de 55 ans et plus ainsi
que les ménages aux revenus faibles et moyens affichent une préféren ce supérieure à la
moyenne pour le numéraire.
La carte de débit devance désormais le numéraire comme principal moyen de paiement,
si l’on se base sur le montant des paiements non récurrents. Sa part atteint 33% (2017:
29%), contre 24% pour le numéraire (2017: 45%). Cette évolution s’explique essentiellement
par le fait que le numéraire est utilisé aujourd’hui pour régler de petits montants (inférieurs à
20 francs), alors que les dépenses jusqu’à 50 francs étaient principalement réglées en espèces
en 2017.
Le paiement sans contact par carte est très répandu en Suisse. 92% des personnes
interrogées ont une carte de crédit ou de débit dotée d’une fonction sans contact; 60% des
détentrices et détenteurs de cartes indiquent payer toujours ou principalement sans contact.
2 stratégies d'investissement à long terme:
- Achats périodiques par sommes fixes (APC) : vous investissez 100 $ chaque mois pendant 40 ans.
- Acheter en période de baisse : Vous économisez 100 $ par mois et n'achetez que lorsque le marché est en baisse. Un "creux" est défini comme un moment où le marché n'est pas à un sommet historique. Mais, je vais rendre cette deuxième stratégie encore meilleure. Non seulement vous allez acheter la baisse, mais je vais vous rendre omniscient (c'est-à-dire "Dieu") sur le moment où vous achetez. Vous saurez exactement quand le marché est au plus bas entre deux sommets historiques. Cela garantira que lorsque vous achetez la baisse, c'est toujours au prix le plus bas possible.
Comme vous pouvez le constater, à la différence des graphiques 1928-1957 ou 1995-2018, Buy the Dip n'a pas l'occasion d'acheter de grandes baisses tôt. Il peut acheter le creux de mars 2009, mais cela se produit si tard dans la simulation qu'il ne fournit pas assez d'avantages pour surperformer.
Ce que je veux dire, c'est que Buy the Dip, même avec une information parfaite, sous-performe généralement le DCA. Ainsi, si vous essayez d'accumuler des liquidités et d'acheter au prochain creux, vous serez probablement moins bien loti que si vous aviez acheté chaque mois. Pourquoi ? Parce que pendant que vous attendez le prochain creux, le marché est susceptible de continuer à monter et de vous laisser derrière.
Ce qui rend la stratégie Buy the Dip encore plus problématique, c'est que nous avons toujours supposé que vous sauriez quand vous êtes à chaque creux (vous ne le saurez pas). J'ai testé une variante de Buy the Dip où la stratégie rate le fond de 2 mois, et devinez quoi ?
Manquer le creux de seulement 2 mois conduit à sous-performer le DCA 97% du temps ! Donc, même si vous êtes assez bon pour annoncer les points bas, vous perdrez quand même sur le long terme.
J'ai écrit ce billet parce que j'entends parfois parler d'amis qui économisent de l'argent pour "acheter le creux de la vague" alors qu'ils seraient bien mieux lotis s'ils continuaient à acheter. Mes amis ne se rendent pas compte que leur baisse préférée pourrait ne jamais se produire. Et pendant qu'ils attendent, ils peuvent rater des mois (ou plus) de croissance composée continue.
Parce que si Dieu ne peut pas battre le dollar cost averaging, quelle chance avez-vous ?
🇨🇭Bilan 2020
Rapport au 4.01.21 :
0 - 9 ans : 2
10 - 19 ans : 0
20 - 29 ans : 2
30 - 39 ans : 8
40 - 49 ans : 21
50 - 59 ans : 114
60 - 69 ans : 435
70 - 79 ans : 1448
80+ : 5241
TOTAL : 7271
■ Source :
http://gerardscheller.ch/COVID-19_OFSP_deces_2020_par_age_et_sexe.pdf
🇨🇭Bilan 2021
Rapport au 8.12.21 :
0 - 9 ans : 2
10 - 19 ans : 1
20 - 29 ans : 4
30 - 39 ans : 15
40 - 49 ans : 50
50 - 59 ans : 254
60 - 69 ans : 799
70 - 79 ans : 2275
80+ : 7926
TOTAL : 11 326
Selon le nouveau rapport (qui n'avait pas été mis à jour depuis juillet) de l'Institut supérieur de santé italien (ISS) sur la mortalité du Covid, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu'une simple grippe !
Selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus au virus lui-même.
Car tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l'ISS, leur laissaient donc déjà peu d'espoir. Même 67, 7% auraient eu plus de trois maladies en même temps et 18% au moins deux ensemble.
Parmi les pathologies croisées, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d'hypertension artérielle, 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années, 15,7% souffraient d'insuffisance cardiaque.
Mais en payant plus cher, médecins et hôpitaux pour déclarer des morts Covid, cela a suffit à faire le reste n'est-ce pas ?
Franco Bechis 21 octobre 2021
Selon le nouveau rapport (qui n'a pas été mis à jour depuis juillet) de l'Istituto Superiore di Sanità sur la mortalité due au Covid, le virus qui a mis le monde à genoux a tué beaucoup moins de personnes qu'une grippe ordinaire. Cela ressemble à une affirmation farfelue, sans vaccin, mais selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9 % des décès enregistrés depuis fin février 2020 étaient dus au Covid 19. Ainsi, sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 étaient dus à la puissance du virus lui-même. Parce que tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient entre une et cinq maladies qui, selon l'Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d'espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies ensemble, et 18% au moins deux ensemble. Maintenant, je connais personnellement beaucoup de gens, mais aucun qui a le malheur d'avoir cinq maladies graves en même temps. Je voudrais faire confiance à nos scientifiques, mais ensuite je lis les maladies énumérées, qui ne seraient pas la moindre raison de la perte de tant d'Italiens, et en tant que profane, je commence à avoir quelques doutes. Selon l'Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d'hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n'est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d'une insuffisance cardiaque, 28 % d'une cardiopathie ischémique, 24,8 % d'une fibrillation auriculaire, plus d'un sur dix était également obèse, plus d'un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d'autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.
Tout cela est peut-être vrai, je ne doute pas de nos scientifiques. Mais si ce n'est pas le virus qui tue les Italiens, alors expliquez-moi pourquoi la science a imposé tout ce que nous avons vu en un an et demi ? Des masques, à l'espacement, au verrouillage et ainsi de suite ? Et comment se fait-il que près de 126 000 Italiens aient été réduits à cet état avec 3, 4 ou 5 maladies graves, destinés à partir de toute façon si le coronavirus n'avait jamais existé en peu de temps ? Ces chiffres constitueraient une mise en accusation retentissante du système de santé italien dont ils sont issus. J'utilise le conditionnel car j'ai des doutes sur ce qui a été écrit dans ce rapport depuis le premier jour. Comme toute communication de l'IST ou du CTC, elle est affectée par les directives gouvernementales fournies au fil des mois, qui ont été le véritable et seul phare de ce que nous continuons à appeler les "scientifiques".
Au début, le gouvernement alors en place, celui de Giuseppe Conte, alors que l'Italie se montrait comme le pays le moins préparé au monde et également incapable de faire face à la pandémie, demandait des données pour rassurer les Italiens. Et je me souviens bien des conférences de presse hebdomadaires de l'Institut national italien de la santé et de la protection civile, au cours desquelles ces décès étaient toujours minimisés, l'accent étant mis sur les nombreuses pathologies constatées chez ceux qui n'avaient pas survécu. Il faut dire que ce virus ne tue pas en soi, mais associé à d'autres maladies chez des personnes fragiles, il peut précipiter une fin pourtant proche. Puis, lors de la campagne de vaccination, le besoin du gouvernement est devenu diamétralement opposé : dramatiser et pousser tout le monde vers le salut des flacons mis à disposition. Mais ils ont oublié de mettre à jour les instructions sur le rapport de mortalité, qui a suivi dans sa publication de plus en plus aminci dans le temps et jamais tambouriné, le cadre donné au début. Une grande confusion donc, qui alimente aussi les peurs et raidit la résistance encore de quelques millions d'Italiens qui ont choisi d'éviter la vaccination. Peut-être qu'avec un peu moins de propagande, moins de rigidité et plus d'informations correctes, tout cela ne serait pas si...
Pascal Rendu 3/4 des morts de ou avec le covid sont plus âgé que l'espérance de vie. Donc on ne peut pas dire que ce soit anormal !
Voici la répartition des tranches d'âge pour les 10733 morts du COVID en Suisse entre le 24.2.2020 et le 14.10.21
0-9 → 2 (mai 2020 et noel 2020)
10-19 → 1 (22-28 mars 2021)
20-29 → 4 (3 en décembre 2020, septembre 2021 )
30-39 → 15 (jamais plus d'un par semaine)
40-49 → 41 (pic en décembre 2020 et janvier 2021)
50-59 → 233 (44 1ère vague avant juillet 2020 + 5 durant l'été 2020 + 105 3ème vague pic en décembre + 48 jusqu'en juillet + 31)
Pour les tranche d'âge au suivantes, beaucoup trop pour les compter à la main. (plus de 10 400...)
Donc pour mettre en évidence:
7 morts de moins de 30 ans, sur 107333 → C'est le public des écoles et universités.
22 morts de moins de 40 ans.
63 morts de moins de 50 ans.
296 morts de moins de 60 ans,
97% des morts ont plus de 60 ans !
Le covid est une maladie qui est dangereuses pour les vieux, surtout par ce que plus on prend d'âge, plus on a de co-morbidité, des petits soucis de santé qui s'accumulent.
C'est pour ça qu'en afrique, il y a nettement moins de morts de covid. L'espérance de vie est plus basse. (~60 ans en afrique sub-saharienne) donc si en suisse 97% des morts sont au dessus de cette tranche d'âge... et bien en afrique on peut avoir 97% de décès en moins...
Du coup je ne suis pas certain que ce soit par ce que les africains utilisent de l'artémisia comme on le lit souvent...