176 liens privés
https://www.adrreports.eu/fr/covid19_message.html
https://www.ema.europa.eu/en/medicines/human/EPAR/comirnaty#safety-updates-section
p7.
As of 29 May 2022, EudraVigilance contained the following:
• Comirnaty: a total of 786,983 cases of suspected side effects
spontaneously reported from EU/EEA countries; 7,935 of these reported
a fatal outcome6,7 (by 15 May 2022, about 640 million doses of
Comirnaty had been given to people in the EU/EEA8)
Au 29 mai 2022, EudraVigilance contenait les éléments suivants :
- Comirnaty : un total de 786 983 cas d'effets secondaires suspectés.
signalés spontanément par les pays de l'UE/EEE ; 7 935 d'entre eux ont eu une issue fatale.
(au 15 mai 2022, environ 640 millions de doses de Comirnaty avaient été administrées).
=> (786983/640000000)*100 = 12%
Et pour ce qui est juste "cardovasculaire" ?
Taux de mortalité 'COVID-19' en Suisse
Selon les statistiques tirées du site www.covid19.admin.ch, parmi les cas, hospitalisations et décès confirmés en laboratoire, le taux de mortalité* par tranche d’âge est :
*du 20 février 2020 au 5 janvier 2021 : période pré-vaccination
0-9 ans = 0.042 %
10-19 ans = 0.000 %
20-29 ans = 0.004 %
30-39 ans = 0.01 %
40-49 ans = 0.03 %
50-59 ans = 0.16 %
60-69 ans = 1.03 %
70-79 ans = 5.21 %
80+ ans = 16.12 %
À noter que l’espérance de vie en Suisse est de 83 ans.
La France fait partie des pays dont les habitants ont le moins confiance en les médias, selon le rapport du Reuters Institute.
La France se classe ainsi 41ème sur les 46 pays analysés par l’enquête 2022
BFMTV est le seul média à obtenir un pourcentage de défiance (40%) supérieur à celui de confiance (37%). La chaîne en continu est d'ailleurs en bas de classement des médias cités dans ce rapport
🔴 Niveau de confiance dans les médias :
Finlande : 69%
Portugal : 61%
Afrique du Sud : 61%
Danemark : 58%
Norvège : 56%
Thaïlande : 53%
Allemagne : 50%
Pologne : 42%
Croatie : 38%
Chili : 38%
Turquie : 36%
Bulgarie : 35%
Roumanie : 33%
France : 29%
États-Unis : 25 %
La Finlande reste le pays avec les niveaux de confiance globale les plus élevés (69 %).
Le nombre de vélos dérobés est resté relativement stable ces cinq dernières années, à l’exception de 2020, où la situation pandémique a entraîné un léger recul dont il ne restait toutefois plus de traces en 2021. La charge moyenne des sinistres a connu une progression constante ces dernières années. En 2021, un vol de vélo coûtait en moyenne 1740 francs, contre environ 500 francs de moins trois ans auparavant. Ce phénomène s’explique par le prix toujours plus élevé des vélos et par le plus grand nombre de vélos électriques en circulation, un butin lucratif pour les voleurs. Selon la statistique policière de la criminalité de l’Office fédéral de la statistique, le nombre de vélos électriques volés a bondi de 47% l’an passé. Les vols de vélos sans moteur électrique, quant à eux, ont reculé de 11%. Cette même année chez AXA, le montant total des dommages a progressé pour atteindre près de 14 millions de francs.
Dans certains cantons, le risque de se faire dérober sa bicyclette est particulièrement élevé: alors qu’en 2021, le Tessin ne déplorait qu’un vol de vélo sur 490 (soit 0,2%), Bâle-Ville en comptait un sur 36 (2,8%). Les autres hauts-lieux du vol de vélos sont Bâle-Campagne (1,7%), Soleure (1,5%) et Lucerne (1,3%). En revanche, les cyclistes ont moins de souci à se faire non seulement au Tessin, mais aussi en Appenzell Rhodes-Intérieures (0,3%), à Schwytz (0,4%) et en Valais (0,4%), cantons qui affichent un risque de vol sensiblement moindre.
Arriver aux urgences avec une jambe cassée et être testé positif à l’hôpital: voilà un scénario courant à l’Hôpital universitaire de Genève selon la chaîne de télévision Léman Bleu. Cela concernerait même 45,95% des cas de Covid-19. C’est-à-dire que près de la moitié des patients atteints de la maladie n’ont pas été hospitalisés à cause du virus, mais pour une autre raison en premier lieu. Une minorité de ce chiffre est composée par des personnes qui ne présentent pas de symptômes graves, mais qui sont simplement trop âgées ou fragiles pour guérir du virus par leurs propres moyens.
Même tableau à l’hôpital universitaire de Zurich (USZ). Interrogée par Blick, l’institution répond: «50% des personnes testées positives au SARS-CoV-2 à l’USZ sont hospitalisées à cause du Covid-19. Les 50% restant sont traités pour une autre maladie et ont comme diagnostic secondaire une infection au coronavirus.» Chez les patients des unités de soins intensifs, le nombre de personnes testées positives et hospitalisées à cause du Covid est plus élevé – il représente 78% des admissions.
Pour la première fois depuis 2011, le nombre de personnes hospitalisées a diminué en 2020 dans les maisons de naissance et les hôpitaux en Suisse, et cela de 5,8% par rapport à 2019. Les personnes positives au COVID-19 ont représenté 2,9% des hospitalisations et 4,2% des journées de soins. Parmi les personnes ayant le COVID-19 aux soins intensifs, une sur quatre est décédée.
🇨🇭Bilan 2020
Rapport au 4.01.21 :
0 - 9 ans : 2
10 - 19 ans : 0
20 - 29 ans : 2
30 - 39 ans : 8
40 - 49 ans : 21
50 - 59 ans : 114
60 - 69 ans : 435
70 - 79 ans : 1448
80+ : 5241
TOTAL : 7271
■ Source :
http://gerardscheller.ch/COVID-19_OFSP_deces_2020_par_age_et_sexe.pdf
🇨🇭Bilan 2021
Rapport au 8.12.21 :
0 - 9 ans : 2
10 - 19 ans : 1
20 - 29 ans : 4
30 - 39 ans : 15
40 - 49 ans : 50
50 - 59 ans : 254
60 - 69 ans : 799
70 - 79 ans : 2275
80+ : 7926
TOTAL : 11 326
La France a recensé provisoirement 667 000 décès en 2020, soit 53 900 de plus qu'en 2019. Cet accroissement de 9 % doit être pondéré par la prise en compte de l'augmentation régulière des décès liée au vieillissement des Français, augmentation qui frôle les 2 % par an. Cependant, même après ajustement sur l'âge moyen, il existe, en 2020, une nette surmortalité concomitante à l'épidémie de COVID-19, de l'ordre de 7 %.
Les déclarations de décès électroniques, plus rapides à traiter que les manuscrites (mais ne représentant que 40 % des déclarations), nous apprennent que la mortalité française attribuée à la COVID-19, en 2020, a surtout concerné des sujets âgés : 93 % des victimes ont plus de 65 ans et leur âge moyen est de 82 ans. Près de 80 % des décès surviennent chez les plus de 75 ans, contre 5 % chez les moins de 55 ans. Cependant, ces chiffres sont issus de données partielles et la consolidation, réalisée annuellement par l'Inserm, prendra encore de nombreux mois.
Espérance de vie 2000 2010 2020
A la naissance
Hommes 76.9 80.2 81.0
Femmes 82.6 84.6 85.1
A 30 ans
Hommes 48.3 50.9 51.8
Femmes 53.4 55.2 55.7
A 50 ans
Hommes 29.5 31.8 32.5
Femmes 34.1 35.8 36.1
A 65 ans
Hommes 17.0 18.9 19.3
Femmes 20.7 22.2 22.2
A 80 ans
Hommes 7.4 8.4 8.4
Femmes 9.1 10.2 10.1
Selon le nouveau rapport (qui n'avait pas été mis à jour depuis juillet) de l'Institut supérieur de santé italien (ISS) sur la mortalité du Covid, le virus qui a mis le monde à genoux aurait tué bien moins qu'une simple grippe !
Selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9% des décès enregistrés depuis fin février 2020 seraient dus au Covid 19. Ainsi sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 seraient dus au virus lui-même.
Car tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient de une à cinq maladies qui, selon l'ISS, leur laissaient donc déjà peu d'espoir. Même 67, 7% auraient eu plus de trois maladies en même temps et 18% au moins deux ensemble.
Parmi les pathologies croisées, 65,8% des Italiens qui ne sont plus là après avoir été infectés par le Covid étaient atteints d'hypertension artérielle, 23,5 % souffraient également de démence, 29,3 % ajoutaient du diabète à leurs maux, 24,8 % étaient également atteints de fibrillation auriculaire. Et cela ne suffit pas : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années, 15,7% souffraient d'insuffisance cardiaque.
Mais en payant plus cher, médecins et hôpitaux pour déclarer des morts Covid, cela a suffit à faire le reste n'est-ce pas ?
Franco Bechis 21 octobre 2021
Selon le nouveau rapport (qui n'a pas été mis à jour depuis juillet) de l'Istituto Superiore di Sanità sur la mortalité due au Covid, le virus qui a mis le monde à genoux a tué beaucoup moins de personnes qu'une grippe ordinaire. Cela ressemble à une affirmation farfelue, sans vaccin, mais selon l'échantillon statistique de dossiers médicaux collectés par l'institut, seuls 2,9 % des décès enregistrés depuis fin février 2020 étaient dus au Covid 19. Ainsi, sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques officielles au moment de la préparation du nouveau rapport, seuls 3 783 étaient dus à la puissance du virus lui-même. Parce que tous les autres Italiens qui ont perdu la vie avaient entre une et cinq maladies qui, selon l'Institut national italien de la santé, leur laissaient déjà peu d'espoir. Pas moins de 67,7% auraient eu plus de trois maladies ensemble, et 18% au moins deux ensemble. Maintenant, je connais personnellement beaucoup de gens, mais aucun qui a le malheur d'avoir cinq maladies graves en même temps. Je voudrais faire confiance à nos scientifiques, mais ensuite je lis les maladies énumérées, qui ne seraient pas la moindre raison de la perte de tant d'Italiens, et en tant que profane, je commence à avoir quelques doutes. Selon l'Institut national italien de la santé, 65,8 % des Italiens qui ne sont plus de ce monde après avoir été infectés par Covid souffraient d'hypertension. 23,5% étaient également atteints de démence, 29,3% de diabète et 24,8% de fibrillation auriculaire. Et ce n'est pas tout : 17,4 % avaient déjà des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des cinq dernières années ; 15,7 % souffraient d'une insuffisance cardiaque, 28 % d'une cardiopathie ischémique, 24,8 % d'une fibrillation auriculaire, plus d'un sur dix était également obèse, plus d'un sur dix avait eu un accident vasculaire cérébral, et d'autres encore, bien que dans un plus faible pourcentage, avaient de graves problèmes de foie, de dialyse et de maladies auto-immunes.
Tout cela est peut-être vrai, je ne doute pas de nos scientifiques. Mais si ce n'est pas le virus qui tue les Italiens, alors expliquez-moi pourquoi la science a imposé tout ce que nous avons vu en un an et demi ? Des masques, à l'espacement, au verrouillage et ainsi de suite ? Et comment se fait-il que près de 126 000 Italiens aient été réduits à cet état avec 3, 4 ou 5 maladies graves, destinés à partir de toute façon si le coronavirus n'avait jamais existé en peu de temps ? Ces chiffres constitueraient une mise en accusation retentissante du système de santé italien dont ils sont issus. J'utilise le conditionnel car j'ai des doutes sur ce qui a été écrit dans ce rapport depuis le premier jour. Comme toute communication de l'IST ou du CTC, elle est affectée par les directives gouvernementales fournies au fil des mois, qui ont été le véritable et seul phare de ce que nous continuons à appeler les "scientifiques".
Au début, le gouvernement alors en place, celui de Giuseppe Conte, alors que l'Italie se montrait comme le pays le moins préparé au monde et également incapable de faire face à la pandémie, demandait des données pour rassurer les Italiens. Et je me souviens bien des conférences de presse hebdomadaires de l'Institut national italien de la santé et de la protection civile, au cours desquelles ces décès étaient toujours minimisés, l'accent étant mis sur les nombreuses pathologies constatées chez ceux qui n'avaient pas survécu. Il faut dire que ce virus ne tue pas en soi, mais associé à d'autres maladies chez des personnes fragiles, il peut précipiter une fin pourtant proche. Puis, lors de la campagne de vaccination, le besoin du gouvernement est devenu diamétralement opposé : dramatiser et pousser tout le monde vers le salut des flacons mis à disposition. Mais ils ont oublié de mettre à jour les instructions sur le rapport de mortalité, qui a suivi dans sa publication de plus en plus aminci dans le temps et jamais tambouriné, le cadre donné au début. Une grande confusion donc, qui alimente aussi les peurs et raidit la résistance encore de quelques millions d'Italiens qui ont choisi d'éviter la vaccination. Peut-être qu'avec un peu moins de propagande, moins de rigidité et plus d'informations correctes, tout cela ne serait pas si...
Pascal Rendu 3/4 des morts de ou avec le covid sont plus âgé que l'espérance de vie. Donc on ne peut pas dire que ce soit anormal !
Voici la répartition des tranches d'âge pour les 10733 morts du COVID en Suisse entre le 24.2.2020 et le 14.10.21
0-9 → 2 (mai 2020 et noel 2020)
10-19 → 1 (22-28 mars 2021)
20-29 → 4 (3 en décembre 2020, septembre 2021 )
30-39 → 15 (jamais plus d'un par semaine)
40-49 → 41 (pic en décembre 2020 et janvier 2021)
50-59 → 233 (44 1ère vague avant juillet 2020 + 5 durant l'été 2020 + 105 3ème vague pic en décembre + 48 jusqu'en juillet + 31)
Pour les tranche d'âge au suivantes, beaucoup trop pour les compter à la main. (plus de 10 400...)
Donc pour mettre en évidence:
7 morts de moins de 30 ans, sur 107333 → C'est le public des écoles et universités.
22 morts de moins de 40 ans.
63 morts de moins de 50 ans.
296 morts de moins de 60 ans,
97% des morts ont plus de 60 ans !
Le covid est une maladie qui est dangereuses pour les vieux, surtout par ce que plus on prend d'âge, plus on a de co-morbidité, des petits soucis de santé qui s'accumulent.
C'est pour ça qu'en afrique, il y a nettement moins de morts de covid. L'espérance de vie est plus basse. (~60 ans en afrique sub-saharienne) donc si en suisse 97% des morts sont au dessus de cette tranche d'âge... et bien en afrique on peut avoir 97% de décès en moins...
Du coup je ne suis pas certain que ce soit par ce que les africains utilisent de l'artémisia comme on le lit souvent...
Le nombre de personnes pleinement vaccinées contre le Covid-19 en Suisse a été revu à la hausse mardi par l'Office fédéral de la santé publique (OFSP). Il tient dorénavant compte des personnes guéries qui n'ont reçu qu'une dose.
Entre lundi et mardi, le nombre de personnes annoncées comme entièrement vaccinées contre le Covid-19 a bondi de plus de 227'000, franchissant les 5 millions. La part de la population vaccinée est ainsi passée de 54,9% à 57,9%.
Ce bond n'est pas lié à une ruée sur les vaccins mais à une correction des données de l'OFSP, comme nous l'avions annoncé début septembre.
Lire: Sous-estimé, le nombre de personnes entièrement vaccinées contre le Covid va être corrigé
Jusqu'à lundi, les personnes guéries ayant reçu une dose de vaccin étaient considérées comme "partiellement vaccinées", catégorie qui regroupe aussi les personnes dans l'attente de leur deuxième dose.