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Pour réussir, un scientifique doit bien écrire. Il existe de nombreux conseils sur la rédaction d'articles qui suivent la structure classique Introduction, Méthodes, Résultats et Discussion (IMRaD). Nous comblons ici une lacune importante dans ce canon pédagogique. Nous proposons des conseils pour développer une bonne histoire scientifique. Cette compétence précieuse, mais souvent mal acquise, peut augmenter l'impact d'une étude et ses chances d'être acceptée. Une histoire scientifique va au-delà de la présentation d'informations. Il s'agit d'un récit cohérent qui engage le lecteur en présentant et en résolvant un problème, avec un début, un milieu et une fin. Pour créer cette structure narrative, nous conseillons vivement aux rédacteurs d'envisager de commencer par la fin de leur étude, en commençant par rédiger leurs principales conclusions, qui constituent la base de la Discussion, puis de travailler à rebours : Résultats → Méthodes → affiner la Discussion → Introduction → Résumé → Titre. Dans cet éditorial bref et informel, nous offrons des conseils à un large public, allant des étudiants de premier cycle (qui viennent de mener leur premier projet de recherche) aux scientifiques chevronnés (qui pourraient bénéficier d'une refonte de leur approche de la rédaction). Pour ce faire, nous fournissons des instructions spécifiques, des exemples et un guide de la littérature sur la manière d'"écrire à l'envers", en reliant la narration scientifique à la structure IMRaD.
Bien qu'il soit largement reconnu que l'ARN est intrinsèquement structuré, l'interaction entre la structure secondaire locale et globale de l'ARNm (en particulier dans la région codante) et l'expression globale des protéines n'a pas été explorée en profondeur. Notre travail utilise deux approches pour démêler les rôles régulateurs de la séquence primaire et de la structure secondaire de l'ARNm : la substitution globale avec des nucléotides modifiés et la conception de séquence computationnelle. En adaptant des données cinétiques d'expression détaillées à des modèles mathématiques, nous montrons que la structure secondaire peut augmenter la demi-vie de l'ARNm indépendamment de l'utilisation des codons. Ces résultats ont des implications importantes à la fois pour la régulation translationnelle des ARNm endogènes et pour le domaine émergent de la thérapeutique des ARNm.
Résumé
Les ARN messagers (ARNm) codent des informations à la fois dans leur séquence primaire et dans leur structure d'ordre supérieur. Les contributions indépendantes de facteurs tels que l'utilisation des codons et la structure secondaire à la régulation de l'expression des protéines sont difficiles à établir car elles sont souvent fortement corrélées dans les séquences endogènes. Ici, nous avons utilisé deux approches, l'inclusion globale de nucléotides modifiés et la conception de séquences rationnelles de constructions délivrées de manière exogène, pour comprendre le rôle de la structure secondaire de l'ARNm indépendamment de l'utilisation des codons. De manière inattendue, les ARNm hautement exprimés contiennent une séquence codante (CDS) hautement structurée. Les nucléotides modifiés qui stabilisent la structure secondaire de l'ARNm permettent une expression élevée pour une grande variété de séquences primaires. En utilisant un ensemble d'ARNm eGFP dont l'utilisation des codons et la structure de la CDS ont été modifiées de manière indépendante, nous avons découvert que la structure de la CDS régule l'expression des protéines par le biais de changements dans la demi-vie fonctionnelle de l'ARNm (c'est-à-dire l'ARNm activement traduit). Ce travail met en évidence un rôle sous-estimé de la structure secondaire de l'ARNm dans la régulation de la stabilité de l'ARNm.
Cela fait presque un siècle que l'on sait que la Terre possède un noyau constitué d'un alliage de fer et de nickel, contenant une graine centrale solide entourée d'une partie liquide. Mais selon de nouvelles analyses des données issues de la sismologie, la graine elle-même aurait une double structure dont on ne comprend pas encore très bien la signification.
La photosynthèse permet aux plantes d'absorber l'énergie de la Lumière (alias Photon). Sans la chlorophylle, la vie sur Terre telle que nous la connaissons cesserait d'exister.
La formule moléculaire de la chlorophylle est C55H72MgN4O5 qui, étonnamment, se résume à 137 atomes (55+72+1+4+5 = 137).
Ce nombre 137 et son réciproque 1/137 est la constante de structure fine, vénérée par les plus grands physiciens comme Einstein et Feynman, qui détermine à quelle vitesse un atome excité émet un photon. Cela montre clairement qu'il existe une relation cachée entre les atomes de la création et la nature.
La molécule de chlorophylle est constituée d'un atome central de magnésium entouré d'une structure contenant de l'azote appelée anneau porphyrine ; à cet anneau est attachée une longue chaîne latérale carbone-hydrogène, connue sous le nom de chaîne phytol.
La chlorophylle est le principal pigment utilisé par les plantes pour capter l'énergie lumineuse. Une molécule de chlorophylle est constituée d'une tête de porphyrine (quatre anneaux de pyrrole contenant de l'azote disposés en anneau autour d'un ion magnésium) et d'une longue queue d'hydrocarbure.
Le rôle de la chlorophylle dans une plante est d'absorber la lumière - généralement la lumière du soleil. L'énergie absorbée de la lumière est transférée à deux types de molécules qui stockent l'énergie. Grâce à la photosynthèse, la plante utilise l'énergie stockée pour convertir le dioxyde de carbone (absorbé dans l'air) et l'eau en glucose, un type de sucre.
Il est intéressant de noter que la chlorophylle peut être liée au sang humain : La plupart des chlorophylles sont classées comme des chlorines, qui sont des parents réduits des porphyrines (présentes dans l'hémoglobine ou le sang). Cela signifie qu'au microscope, le mandala du sang humain rouge et celui de la chlorophylle verte sont identiques, à l'exception de leur atome central.
La chlorophylle a du magnésium dans son noyau, et le sang humain a du fer, alias Fe, ou de l'hémoglobine, alias Heme. Quel lien incroyable nous avons avec les plantes. Jain 108
L'équation de la photosynthèse est la suivante : 6CO2 + 6H20 + (énergie) → C6H12O6 + 6O2 Dioxyde de carbone + eau + énergie de la lumière produit du glucose et de l'oxygène.