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23 janvier 2013 à 20 h 03 min
Bonjour Dupertuis,
Oups, à priori ça m’a effrayé ta question ! pourtant j’en ai tripoté des claviers depuis 1971 (ben oui) ! du QWERTY pour la prog. en C, de l’AZERTY tous les jours au boulot, du QWERTY espagnol pendant les vacances, du cyrillique dans une activité précédente… mais du QWERTZ ! jamais!!
Je viens de tester et voici comment je te propose de basculer ta framboise314 en QWERTZ en Raspbian-Wheezy :
Ouvre une console avec [CTRL]+[ALT]+[F1] :
pi@raspberrypi ~ $ sudo raspi-config
Dans Raspi-config, choisis configure-keyboard
Puis modèle de clavier : PC générique 101 touches
Disposition du clavier : Allemand (Suisse)
ensuite sauf besoin particulier, 3 fois
=> Reloading map…
au test, mon Raspberry affiche bien QWERTZ lorsque je tape azerty.
Pour le serveur X, on retourne à l’affichage graphique par [CTRL]+[ALT]+[F7].
Ouvre un terminal LXTerminal et
pi@raspberrypi ~ $ setxkbmap ch fr
et voila le clavier qui répond en QWERTZ également en terminal X.
Même manip pour rendre la modif permanente, il faut ajouter la ligne à la fin de .bashrc.
Merci de me dire si cette réponse t’a apporté satisfaction, et bon amusement avec ton Raspberry Pi !
Cordialement
François
ps : Bon, ben il ne me reste plus qu’à remettre ma framboise314 en AZERTY…
Tarif horaire dans le web ! (en Suisse)
Non, vraiment, CHF 160.-/h ????
Ce tarif est en fait la fourchette de base dans une agence web ou de communication.
En général, le tarif horaire varie entre CHF 120.- et CHF 240.- de l’heure.
Credit Suisse désire soutenir le système suisse de milice et fait pour cette raison des dons
à tous les partis qui en font la demande et sont représentés dans l'Assemblée fédérale avec
un groupe parlementaire - indépendamment de leur orientation politique. Le montant attribué
à chaque parti est déterminé en fonction du nombre de sièges dans l'Assemblée fédérale et
dans les parlements cantonaux. Globalement, Credit Suisse met à disposition pour le
financement des partis jusqu'à un million de francs.
UBS se base sur des conditions similaires à celles de Credit Suisse : groupe parlementaire
dans l'Assemblée fédérale et représentation dans au moins un parlement cantonal. Mais,
contrairement à Credit Suisse, UBS exige que les partis soutenus "adhèrent aux principes de
la concurrence et de l'économie de marché". Ont bénéficié en 2015 et 2016 du soutien
d'UBS les partis UDC, PLR, PDC, PBD et PVL, en fonction du nombre de leurs sièges
parlementaires sur les plans national et cantonaux. Ces partis ont touché en tout CHF 1.6
millions pour l'année électorale 2015, et CHF 0.7 million en 2016.
Julius Bär n'a pas attribué de sommes forfaitaires à des partis, mais a soutenu en 2015 un
symposium du PLR avec un montant de CHF 10'800 et deux projets du PDC à hauteur de
CHF 10'000, respectivement CHF 1'500.
Swiss Life a fait des dons en 2016 à des "partis bourgeois" se montant à CHF 500'000.
(L'entreprise inclut dans ce montant non seulement les sommes forfaitaires aux partis, mais
aussi les soutiens à des "candidats isolés" et pour "quelques campagnes politiques").
Swiss Re soutient des "organisations" et des "activités" qui "représentent et favorisent les
intérêts du secteur des assurances en général et de Swiss Re en particulier" par des
attributions qui se tiennent dans des "limites étroites". L'entreprise ne désire pas donner plus
de précisions.
Un sondage paru dans l'hebdomadaire alémanique Die Weltwoche révèle qu'ils sont 52% dans le Vorarlberg (Autriche), 48% en Savoie-Haute-Savoie comme dans le Bade-Wurtemberg (Allemagne) et 52% à Côme-Varèse (Italie) à se prononcer pour cette intégration. Les jeunes et les électeurs de droite sont particulièrement enthousiastes.
Art. 23e Définitions
1 Par terroriste potentiel, on entend une personne dont on présume sur la base
d’indices concrets et actuels qu’elle mènera des activités terroristes.
2 Par activités terroristes, on entend les actions destinées à influencer ou à modifier
l’ordre étatique et susceptibles d’être réalisées ou favorisées par des infractions
graves ou la menace de telles infractions ou par la propagation de la crainte.
18 фев 2021, 11:34
La part des messages transmis par l'homologue russe de SWIFT a été multipliée par 1,8.
Il a atteint 20,6 % du trafic intra-russe, selon la première vice-présidente de la Banque centrale de Russie, Olga Skorobogatova.
MOSCOU, le 18 février. /TASS/. La part des messages passant par le Système de transmission des messages financiers (SPFS) - une contrepartie du système de règlement international SWIFT - en 2020 a été multipliée par 1,8 et a atteint 20,6 % du trafic national, selon une présentation du premier adjoint de la Banque centrale de Russie Olga Skorobogatova.
Le nombre total de participants au système a atteint 400. Dans le même temps, 23 banques étrangères ont rejoint le SPSS en provenance d'Arménie, de Biélorussie, d'Allemagne, du Kazakhstan, du Kirghizstan et de Suisse.
À propos du système
La possibilité de déconnecter la Russie de SWIFT est discutée depuis 2014, lorsque les premières sanctions anti-russes ont été imposées en raison de la situation en Ukraine. À l'époque, le Parlement européen a adopté une résolution qui demandait, entre autres, l'exclusion de la Russie du système international de règlement SWIFT. Cependant, SWIFT a considéré que ces recommandations étaient contrevenantes et préjudiciables à l'entreprise.
En 2017, la gouverneure de la Banque centrale, Elvira Nabiullina, a déclaré lors d'une réunion avec le président russe Vladimir Poutine que la Russie avait mis en place le système de messagerie financière de la Banque de Russie en tant que canal alternatif pour l'interaction interbancaire afin de garantir des services de messagerie électronique garantis et ininterrompus pour les transactions financières.