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Swisscom SA entre en bourse le 5 octobre 1998. Swisscom se lance sur le marché de la télévision en 2007. Fin 2012, l'opérateur suisse domine aussi ce marché avec 791'000 abonnés à la TV numérique. Dès 2009, Swisscom fait progresser la construction du réseau optique en Suisse.
En 1988, Telecom PTT lance le premier réseau de transmission numérique (ISDN) de Suisse. Le réseau de téléphonie mobile Natel D entre aussi dans l'ère numérique en 1992. Le portail Internet "Blue Window" de Telecom PTT devient rapidement le leader du marché suisse dès 1996. Le 1er octobre 1997, Telecom PTT devient Swisscom.
En 1975, les entreprises PTT décident d'introduire un réseau de téléphonie mobile pour les véhicules (Natel = réseau téléphonique automobile national). Le réseau Natel A est mis en service trois ans plus tard, suivi par Natel B en 1983 et Natel C en 1987. Le premier câble en fibre optique est posé entre Berne et Neuchâtel en 1985 déjà.
Telstar – le premier satellite de télécommunication est lancé dans l'espace. Le premier central avec composition directe du numéro pour l'étranger est présenté à l'Expo 64 à Lausanne. La station terrienne de Loèche, dans le canton du Valais, est mise en service en 1974.
Le premier central téléphonique semi-automatique entre en service à Zurich-Hottingen. En 1948, la Suisse compte déjà 500'000 abonnés téléphoniques – ils sont un million en 1959. La même année, le réseau téléphonique suisse devient le premier réseau totalement automatisé du monde.
Naissance des télécommunications suisses en 1852 avec l'ouverture du premier service télégraphique public entre Saint-Gall et Zurich. L'invention du téléphone par Graham Bell en 1876 accélère encore le mouvement. En 1896, le téléphone est introduit dans tous les cantons suisses.
Pourquoi dire plusieurs fois "on a amélioré" "on a + d'efficacité".... et en même temps dire "on pige pas 5'UTR et 3'UTR"... c'est très très prétentieux !!!
C'est les mêmes qui disaient il y a 15 ans que l'ADN non codant est de l'ADN poubelle.... juste par ce qu'on veut pas accepter qu'on a pas compris.
Etant ingénieur en télécom. Je reconnais ici beaucoup de similitudes avec les protocoles informatiques. Les AAAAA... A la fin c'est comme le TTL des paquets IP, à chaque routeur on diminue le nombre. Sans ce mécanisme on tourne l'infini et ce serait le meilleure moyen de créer des cellules cancereuses... des tumeurs qui se répliquent à l'infini... donc j'espère qu'il y a vraiment un savant calcul et pas une estimation au doigt mouillé.... mais rien ne le prouve.
Dire qu'on a fait mieux en modifiant les codons je trouve ça très très dangereux. Car si justement il y a 64 possibilités de code pour 21 protéine/acide aminé.. c'est qu'il y une raison. Tout le reste est tellement bien conçu que c'est pas au hasard. (c'est la même logique stupide que de parler d'ADN poubelle quand on comprends pas).
Or, en télécom,. On ne fait pas toujours passer le signal en "bande de base". Soit en direct. Mais on l'encode, on le module pour des raison électrique, pour des raisons de synchronisation d'horloge. On a des code comme le NRZ (Non Return to Zero) ou le code manchester. Bref... on a besoin de toutes ces possibilités redondantes offertes par les synonymes pour garantir qu'on puisse transmettre le signal dans de bonnes conditions et sur des plus grandes distances.
J'ai l'impression que les généticiens ne connaissent pas les pratiquent en télécom et devraient s'en inspirer.... Il est connu que partout dans la nature la proportion dorée est présente. On la retrouve naturellement dans l'ADN sous forme des dimension de la double spirale, mais aussi de la proportion des base ACGT. Après avoir imaginé ceci. J'ai vu une vidéo de Montagnier qui allait dans ce sens. Donc j'étais content d'avoir la confirmation d'un généticien.
Dans l'ARN il est fort probable que justement les synonymes sont utilisés. Pour équilibrer les bases sur des critères de correction d'erreur. Ça du sens en télécom.
D'ailleurs le "footer qui est hyper important mais dont on ne sais pas à quoi ça sert"..... pff... il suffit de regarder en télécom. C'est le CRC. Le code correcteur d'erreur. Piquer celui d'un autre va juste faire qu'on ne peut plus détecter et corriger les erreurs. Donc le paquet va être instable ou rejeté.
Donc c'est très intéressant. Mais là je vois encore plein de pratiques dignes de l'apprenti sorcier !! ça fait un peu peur.
Pour revoir le détail, retournons à l'article de base source de cette conférence...
https://renaudguerin.net/posts/explorons-le-code-source-du-vaccin-biontech-pfizer-sars-cov-2/
Le présent article présente un système conjoint de coordonnées et de routage (CORONA) qui peut être déployé dynamiquement sur un nano-réseau ad-hoc 2D. Les nœuds sélectionnés par l'utilisateur sont utilisés
comme points d'ancrage lors de la phase d'installation.
Tous les nœuds mesurent ensuite leur distance, en nombre de sauts, par rapport à ces points d'ancrage,
obtenant ainsi une sorte de géolocalisation. Lors de la phase d'exploitation, le routage utilise le sous-ensemble approprié de points d'ancrage, sélectionnés par l'expéditeur d'un paquet.
CORONA nécessite une configuration d'installation minimale et de simples calculs basés sur des nombres entiers, imposant des exigences limitées pour un fonctionnement fiable.
Une fois déployé, il fonctionne efficacement, avec un très faible taux de retransmission et de perte de paquets, ce qui favorise l'efficacité énergétique et la multiplicité des supports.