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Le journal lyonnais Le Progrès nous fait déjà part d’un premier cas connu d’utilisation de l’IA chez les étudiants. Un enseignant en handicapologie de Lyon a en effet constaté que 50% de ses étudiants avaient utilisé ChatGPT dans le cadre d’un devoir.
Le professeur s’est rendu compte de la supercherie en constatant qu’une bonne partie des copies rendues étaient très similaires. Si les mots différaient, leurs structures démonstratives et leurs exemples sont restés constamment les mêmes. C’est en se renseignant auprès de ses élèves que l’un d’eux a fini par avouer l’utilisation de ChatGPT dans la rédaction.
Les étudiants n’ont pas reçu de blâme pour cet usage, puisque l’utilisation de ChatGPT et des intelligences artificielles du même acabit n’a pas (encore) été banni par l’école. Le niveau des copies elles-mêmes naviguant entre 10 et 12,5, le professeur a décidé d’attribuer la même note de 11,75 à tous ces travaux. Il semble qu’en se renseignant auprès de ses collègues, il ait fait le constat que ce cas était loin d’être isolé. Les copies sont désormais en possession de la direction.
Le cas de cette université de Lyon est loin d’être isolé. Aux États-Unis, les écoles de New York ont décidé de bannir l’usage de ChatGPT dès l’avènement de la technologie, poussant OpenAI à réagir. L’entreprise a mis en avant la création d’un « signal secret et imperceptible » au sein des textes générés par l’IA afin de pouvoir déterminer à l’avenir les cas de tricherie. Elle promet que ce signal pourra être retrouvé même si une seule petite partie du texte a été créée par l’IA.
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Il s'agit d'une étude sur l'effondrement du World Trade Center Building 7 (WTC 7) - un bâtiment de 47 étages qui a subi un effondrement total à 17h20 le 11 septembre 2001, suite aux horribles événements de ce matin-là. L'objectif de l'étude était triple : (1) Examiner la réponse structurelle du WTC 7 aux charges d'incendie qui ont pu se produire le 11 septembre 2001 ; (2) Éliminer les scénarios qui n'auraient pas pu causer l'effondrement observé ; et (3) Identifier les types de défaillances et leurs emplacements qui ont pu causer l'effondrement total tel qu'observé.
L'équipe de recherche de l'UAF a utilisé trois approches pour examiner la réponse structurelle du WTC 7 aux conditions qui ont pu se produire le 11 septembre 2001. D'abord, nous avons simulé la réponse structurale locale à la charge de feu qui a pu se produire sous le plancher 13, où la plupart des feux du WTC 7 sont signalés comme s'étant produits. Deuxièmement, nous avons complété notre propre simulation en examinant l'hypothèse de déclenchement de l'effondrement développée par l'Institut National des Normes et de la Technologie (NIST). Troisièmement, nous avons simulé un certain nombre de scénarios au sein du système structurel global afin de déterminer quels types de défaillances locales et leurs emplacements peuvent avoir causé l'effondrement total tel qu'observé.
La principale conclusion de notre étude est que le feu n'a pas causé l'effondrement du WTC 7 le 11 septembre, contrairement aux conclusions du NIST et des sociétés d'ingénierie privées qui ont étudié l'effondrement. La conclusion secondaire de notre étude est que l'effondrement du WTC 7 était une défaillance globale impliquant la défaillance quasi simultanée de chaque colonne du bâtiment.