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Russia
In a speech in 2017, WEF founder Klaus Schwab mentioned Russian President Vladimir Putin as a Young Global Leader, but Putin is not mentioned on any archived member list. Putin did, however, attend a 1992 WEF meeting in St. Petersburg, where he was serving as head of the Committee for External Relations of the Mayor’s Office at the time.
Russian entrepreneur Pavel Durov, founder of social media platforms VKontakte and Telegram, was mentioned on the WEF website as a Young Global Leader in 2017, but he is not listed (anymore) in the official Young Global Leaders membership directory (he may have rejected the invitation).
Russie
Dans un discours prononcé en 2017, le fondateur du WEF, Klaus Schwab, a mentionné le président russe Vladimir Poutine comme un Young Global Leader, mais Poutine n'est mentionné sur aucune liste de membres archivée. Poutine a toutefois assisté à une réunion du WEF en 1992 à Saint-Pétersbourg, où il occupait à l'époque le poste de chef du comité des relations extérieures du bureau du maire.
L'entrepreneur russe Pavel Durov, fondateur des plateformes de médias sociaux VKontakte et Telegram, a été mentionné sur le site web du WEF en tant que Young Global Leader en 2017, mais il ne figure pas (plus) dans l'annuaire officiel des membres des Young Global Leaders (il a peut-être rejeté l'invitation).
Réflexion intéressante sur radio libre:
Est-ce que le conseiller fédéral Alain Berset subit des pressions de l'extérieur ? (sexe ?) Pendant la crise covid il était en lien direct avec les médias de Ringier, semble-t-il pour faire sortir dans le presse les nouvelles mesures anti-covid, avant que ce ne soit discuté au conseil fédéral.
A méditer..
Voici le texte repris de radiolibre.ch:
La Suisse a probablement trouvé son petit Machiavel.
Alain Berset fût très zélé comme chef d’orchestre de la crise Covid, avec apparemment des paquets de mesures stricts sorti d’on ne sait pas bien où et qu’il a su imposer à ses autres collègues du Conseil fédéral.
Mais comment s’y prenait-il ? C’est un article de Covidhub.ch, intitulé « Covidleaks: président suisse sous enquête parlementaire » qui en parle, se basant sur des articles parus dans la presse alémanique. Presse alémanique qui fait passer la presse romande pour une muette lorsqu’il s’agit de parler des frasques de Berset.
Parce qu’ici en Romandie, on aime avoir des chouchous, et Berset en est un pour la presse. De plus en Romandie, on a un peu la mentalité centralisée française, on obéit, c’est ce qu’on sait faire de mieux quand même, pourquoi s’en priver, ce qui compte, c’est sauver les apparences. Pour le sourire de Berset.. sourire qui se fait de plus en plus rare il faut dire. Et à raison.
Selon la presse alémanique, un collaborateur d’un autre Conseiller fédéral aurait dit que si l’affaire des fuites d’informations vers le groupe de presse Ringier pendant le Covid avait été connue avant l’élection de Berset comme président de la Confédération, il n’aurait pas été élu. On se rappelle qu’une centaine de députés sur les 242 que compte le parlement n’ont pas soutenu la nomination de Berset à la présidence du pays. Un camouflet pour celui que certains adulent, mais qui cumule les faux-pas depuis plusieurs années.
Que c’est-il passé de si grave me direz-vous? Et bien premier constat, de mars à novembre 2020, le collaborateur le plus proche de Berset, Peter Lauener, son chef de la communication pendant 10 ans, qui a étrangement quitté son poste juste avant d’être mis en examen par un procureur spécial dans le cadre d’une autre affaire de fuite, et bien ce cher collaborateur, qui accompagnait Berset partout, a informé avant tout le monde le chef du groupe de presse Ringier, Marc Walder, des propositions de mesures de Berset.
Le chef de presse était donc informé avant même les collègues de Berset au Conseil fédéral, brisant ainsi la collégialité. Et pourquoi Lauener faisait-il ça? Et bien certains médias alémaniques pensent que c’était pour faire pression sur le reste du Conseil fédéral pour qu’ils acceptent les paquets de mesures stricts proposées Berset. Et c’est là que c’est machiavélique. Berset, via Lauener, informait son ami Marc Walder de ses projets de nouvelles mesures la veille, pour que le jour où le Conseil fédéral se réunissait pour négocier et voter les mesures de Berset, il y avait déjà des articles dans la presse à leur sujet, parlant favorablement de ces nouvelles propositions.
Du coup, les Conseillers fédéraux qui était pour des mesures moins sévères étaient pris en otage et devait s’aligner, pour éviter que l’opinion publique n’ait l’impression que le Conseil fédéral change d’avis comme une girouette sur un sujet aussi important. Si on annonce dans la presse que le Conseil fédéral va imposer le port du masque dans les transports publics par exemple, si le lendemain on doit lire l’inverse dans la presse, ça donne mauvais genre.
Mais vous me direz, comment est-on certain que Berset avait besoin de ça pour faire passer ses mesures? Et bien la réponse se trouve dans un des e-mails de Lauener à Ringier. On y apprend je cite qu’*obtenir une majorité au Conseil fédéral n’est guère réaliste pour le moment ». Sous-entendu, sans un petit coup de pouce du groupe Ringier?
Et comment on peut dire que Berset était au courant ? Idem, email de Lauener à Walder, qui transmet ses « Salutations amicales, aussi du conseiller fédéral Berset ». Berset fait semblant maintenant de ne pas avoir été au courant de ces échanges mais les connaisseurs des coulisses du pouvoir à Berne ne croient pas une seconde à ses propos. Walder et Berset sont de plus considérés comme des amis de longue date.
Walder avait été épinglé dans une vidéo censée restée en cercle restreint en train d’avouer qu’il avait donné comme instruction à ses rédactions, de soutenir la politique Covid des gouvernements. Ringier emploie plus de 6000 personnes en Suisse et à l’étranger. Marc Walder justement, en janvier 2023, vient d’être démis de ses fonctions à cause de cette affaire d’échanges d’email avec Lauener. Ce sont apparemment les journalistes du groupe Ringier qui ont fait pression pour regagner leur indépendance rédactionnelle vis-à-vis de la direction. C’est une décision forte vu que Walder est également en partie propriétaire du groupe et est un ami de Michael Ringier. Affaire à suivre.
Quand au parlement, il réagit enfin, avec la création d’un groupe de travail chargé d’enquêter sur ces fuites impliquant Lauener et très certainement Berset. Berset, cet homme mystérieux, partant seul en France en avion de tourisme, où en soirée échangiste avec sa maitresse de l’époque, en voiture de fonction, avec chauffeur payé par nos impôts, maîtresse qui recevra plus tard la visite de l’unité de police d’élite Tigris, pour une simple affaire privée. Il aura ensuite placé à la tête de Swissmedic son ami qui a mené la Task force mise sur pied pour gérer cette affaire. Entre autres frasques et mensonges, dont celui sur l’efficacité du vaccin, la vie de Berset ressemble à celle d’un agent secret. On le voit au dernier forum économique mondial à Davos en photo avec Mme Zelensky, Mme Ursula von der Leyen et le vénérable maître du nouvel ordre élitiste mondial, Klaus Schwab. Est-il sous influence ? Est-ce que quelqu’un fait pression sur lui avec du matériel issu de ces fameuses soirées échangistes ? La question mérite d’être posée dans un monde qui a déjà connu pire scandale dans les hautes sphères du pouvoir.
The Europe section of the World Economic Forum’s list of Young Global Leaders included Pavel Durov, the Russian founder of VKontakte, a Russian analogue of Facebook. Durov, who also founded the secure messaging app Telegram and has since emigrated from Russia, was listed as representing Finland.
#KlausSchwab , président du Forum économique mondial (WEF) à la Harvard’s John F. Kennedy School of Government en 2017, se vante de la pénétration des cabinets gouvernementaux par le WEF. Poutine, #Macron, Merkel, Trudeau sont des Jeune Leader Mondial (Young Global Leader) du WEF
Nous pouvons sortir de cette crise un monde meilleur, si nous agissons rapidement et conjointement, écrit Schwab.
Les changements que nous avons déjà observés en réponse à la COVID-19 prouvent qu'une remise à plat de nos bases économiques et sociales est possible.
C'est notre meilleure chance d'instaurer le capitalisme des actionnaires - et voici comment nous pouvons y parvenir.
Les blocages de COVID-19 s'atténuent peut-être progressivement, mais l'inquiétude concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s'intensifier. Il y a de bonnes raisons de s'inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n'est pas inévitable.
Pour obtenir un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l'éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent participer et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d'un "Grand Reset" du capitalisme.
Il existe de nombreuses raisons de poursuivre un Grand Reset, mais la plus urgente est COVID-19. Ayant déjà provoqué des centaines de milliers de décès, la pandémie représente l'une des pires crises de santé publique de l'histoire récente. Et, avec le nombre croissant de victimes dans de nombreuses régions du monde, elle est loin d'être terminée.
Elle aura de graves conséquences à long terme sur la croissance économique, la dette publique, l'emploi et le bien-être des populations. Selon le Financial Times, la dette publique mondiale a déjà atteint son niveau le plus élevé en temps de paix. En outre, le chômage monte en flèche dans de nombreux pays : aux États-Unis, par exemple, un travailleur sur quatre a déposé une demande d'emploi depuis la mi-mars, avec de nouvelles demandes hebdomadaires bien supérieures aux sommets historiques. Le Fonds monétaire international s'attend à ce que l'économie mondiale se contracte de 3 % cette année, soit une baisse de 6,3 points de pourcentage en quatre mois seulement.
Tout cela va aggraver les crises climatiques et sociales qui étaient déjà en cours. Certains pays ont déjà utilisé la crise COVID-19 comme excuse pour affaiblir les protections environnementales et leur application. Et les frustrations liées aux maux sociaux comme l'inégalité croissante - la richesse combinée des milliardaires américains a augmenté pendant la crise - s'intensifient.
Si elles ne sont pas traitées, ces crises, ainsi que la COVID-19, s'aggraveront et laisseront le monde encore moins durable, moins égalitaire et plus fragile. Des mesures progressives et des solutions ad hoc ne suffiront pas à empêcher ce scénario. Nous devons construire des fondations entièrement nouvelles pour nos systèmes économiques et sociaux.
Le niveau de coopération et d'ambition que cela implique est sans précédent. Mais il ne s'agit pas d'un rêve impossible. En fait, l'un des aspects positifs de la pandémie est qu'elle a montré à quel point nous pouvons rapidement apporter des changements radicaux à nos modes de vie. Presque instantanément, la crise a contraint les entreprises et les particuliers à abandonner des pratiques longtemps considérées comme essentielles, depuis les voyages aériens fréquents jusqu'au travail au bureau.
De même, les populations ont, dans leur immense majorité, montré qu'elles étaient prêtes à faire des sacrifices pour le bien des travailleurs du secteur de la santé et d'autres travailleurs essentiels et des populations vulnérables, comme les personnes âgées. Et de nombreuses entreprises ont pris des mesures pour soutenir leurs travailleurs, leurs clients et les communautés locales, dans le cadre d'un changement vers le type de capitalisme des parties prenantes auquel elles avaient auparavant adhéré du bout des lèvres.
Il est clair que la volonté de construire une société meilleure existe bel et bien. Nous devons l'utiliser pour obtenir la grande réinitialisation dont nous avons tant besoin. Cela nécessitera des gouvernements plus forts et plus efficaces, bien que cela n'implique pas une poussée idéologique pour en avoir de plus grands. Et cela exigera l'engagement du secteur privé à chaque étape.
L'agenda du Grand Reset aurait trois composantes principales. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination (par exemple, en matière de politique fiscale, de réglementation et d'imposition), moderniser les accords commerciaux et créer les conditions d'une "économie des actionnaires". À une époque où l'assiette fiscale diminue et où la dette publique monte en flèche, les gouvernements sont fortement incités à prendre de telles mesures.
En outre, les gouvernements devraient mettre en œuvre des réformes attendues depuis longtemps qui favorisent des résultats plus équitables. Selon les pays, ces réformes peuvent inclure des modifications de l'impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence.
Le deuxième volet d'un programme de "Great Reset" permettrait de s'assurer que les investissements font progresser les objectifs communs, tels que l'égalité et la durabilité. Dans ce domaine, les programmes de dépenses à grande échelle que de nombreux gouvernements mettent en œuvre représentent une opportunité majeure de progrès. La Commission européenne, par exemple, a dévoilé des plans pour un fonds de relance de 750 milliards d'euros (826 milliards de dollars). Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également des plans de relance économique ambitieux.
Plutôt que d'utiliser ces fonds, ainsi que les investissements des entités privées et des fonds de pension, pour combler les lacunes de l'ancien système, nous devrions les utiliser pour en créer un nouveau qui soit plus résistant, plus équitable et plus durable à long terme. Cela implique, par exemple, de construire des infrastructures urbaines "vertes" et d'inciter les industries à améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).
La troisième et dernière priorité d'un programme de Grande Réinitialisation est d'exploiter les innovations de la quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, notamment en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise COVID-19, les entreprises, les universités et d'autres acteurs ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d'éventuels vaccins, établir des centres d'essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs.
La crise COVID-19 touche toutes les facettes de la vie des gens dans tous les coins du monde. Mais la tragédie ne doit pas être son seul héritage. Au contraire, la pandémie représente une occasion rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinventer notre monde pour créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère.
-------- The Great Reset -------------
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