Dictionnaire hieroglyphe
Ce putsch terminologique fut en effet un sommet de l’art de la manipulation de masse. En effet, jusqu’à cette date, selon la définition des dictionnaires et des CDC américains, un vaccin était un «produit qui stimulait le système immunitaire d’une personne afin de produire une immunité face à une malade donnée, protégeant cette personne de ladite maladie». Ou selon le Petit Robert 2003, «une substance préparée à partir d’un virus qui, inoculée à un individu, lui confère une immunité contre le germe correspondant». Or le 27 juillet dernier, la cheffe des CDC américains avouait à CNN que les vaccins ne fournissaient pas d’immunité contrairement à ce qu’on avait assuré. Le 18 août, le président Biden annonçait qu’il faudrait procéder à une troisième dose et le 2 septembre, les CDC changeaient la définition officielle du mot vaccin, lequel ne serait désormais plus qu’une «préparation utilisée pour stimuler la réponse immunitaire du corps contre les maladies».
Exit la garantie d’immunité, par ailleurs exigée de tous les autres vaccins existants pour avoir droit à cette appellation! Le vaccin contre la rougeole, comme chacun sait, vous protège non seulement de la mort mais de la contagion. Le cas de la variole, éradiquée de la surface de la terre grâce au vaccin ad hoc, en étant le meilleur exemple.
A partir de là, plus besoin de garantir quoi que ce soit. N’importe quel produit un tant soit peu stimulant pour le système immunitaire peut être appelé vaccin! Et plus rien n’empêche de recevoir dix ou quinze doses «vaccinales» pour combattre la même maladie.
Si on regarde plus en détail, on constate que l’un des pays plus vaccinés d’Afrique, la Tunisie, a compté 4730 décès en 2020 contre 20.713 au 15 décembre 2021. Même constat en Occident. Les Etats-Unis, qui avaient dénigré Donald Trump en 2020 pour son inaction, ont enregistré 370.000 morts en 2020 et 451.000 en 2021 avec Biden-le-Vaccinateur… Israël, l’un des Etats les plus vaccinés au monde et qui vient d’entamer la quatrième dose, a déclaré 3325 décès en 2020 contre 4889 en 2021, alors que la Palestine, trois fois moins vaccinée, affichait un taux de mortalité cumulé inférieur à celui d’Israël. De même, le Chili vacciné à 88% a déclaré 22.500 décès en 2021 contre 16.500 en 2020 sans vaccin.
Le cas le plus étonnant est sans doute celui de Cuba, ce pays sans ressource, mis sous embargo et honni par l’Occident mais qui a mis au point pas moins de cinq vaccins classiques (sans ARN messager) en douze mois, a vacciné 90% de sa population en six mois sans susciter de protestation et a fait redescendre le nombre de contaminations à 120 par jour et celui des décès à un par jour (chiffres au 6 décembre), battant à plate couture son adversaire états-unien sur ce terrain et affichant, avec un revenu moyen public de 30 dollars par mois, une insolente espérance de vie de 79,5 ans contre 78,5 pour les Etats-Unis.
petit livret simple pour apprendre les hiéroglyphe, acheté à Assouan.
Le Dodécaèdre, ce merveilleux "Solide de Platon", pour la solution des Mystères dont l'ensemble des Eléments de Géométrie a été conçu, peut être défini comme "un solide régulier contenu sous 12 Pentagones égaux et réguliers1 , ou ayant douze ba- ses égaux".
Pythagore, et après lui Philo Judæus, tenaient le chiffre 12 pour très sacré. "Le dodécaèdre est un numéro parfait". "Le Dodécaèdre se trouve dans le Cube parfait", disent les kabbalistes
Platon, l'ardent disciple de Pythagore, soutenait que le dodécaèdre était la figure géométrique employée par le Démiurge pour construire l'univers. Platon affirmait clairement que tout ce qui est visible a été créé ou a évolué à partir de la VOLONTÉ invisible et éternelle, et à sa manière. Notre Ciel - dit-il - a été produit selon le modèle éternel du "Monde Idéal", contenu, comme tout le reste, dans le dodécaèdre, le modèle géométrique utilisé par la Déité. Æther (Ākāśa), "feu vivant" ou Esprit de Vie" était la plus haute Déité elle-même qui, selon Platon, a construit l'Univers sous la forme géométrique du dodécaèdre ; et son "premier-né" est né du Chaos et de la Lumière Primordiale (le Soleil Central).
Auteure/Auteur: Youssef Cassis
La BRI est la plus ancienne des institutions financières internationales. Installée à Bâle (ce choix fut le résultat d'un compromis entre les puissances), elle n'est pas soumise à la législation fédérale et bénéficie de privilèges fiscaux et administratifs. Sa fondation en 1930 répondait à un double objectif: administrer le versement des réparations allemandes prévues par le plan Young et promouvoir la collaboration entre banques centrales afin d'améliorer le fonctionnement du système monétaire international. Son capital est détenu en majorité par les banques centrales fondatrices qui assurent sa direction. La fin des réparations en 1931-1932 priva la BRI d'une grande partie de sa raison d'être. Jusqu'à 1939, elle servit dès lors avant tout de lieu de rencontre, de "club" pour les gouverneurs des banques centrales. Sous forte influence allemande pendant la Deuxième Guerre mondiale (par moments plus de 70% des voix des actionnaires appartiennent à des Allemands), la BRI - présidée par l'Américain Thomas Harrison McKittrick à partir de 1940 - s'efforça de maintenir une stricte neutralité. Ainsi, elle continua, comme la BNS, de faire des affaires avec le Troisième Reich, de qui notamment elle reçut environ 13,5 t d'or, dont une partie était de l'or pillé par les nazis. Les accords de Bretton Woods (1944) recommandèrent sa liquidation en raison d'une part de son attitude controversée vis-à-vis de l'Allemagne durant la guerre et d'autre part de la création du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale. Cette recommandation ne fut pas suivie et, après la livraison à la Commission tripartite alliée de 3,75 t d'or volé, la BRI s'imposa rapidement comme un instrument indispensable du nouvel ordre monétaire. Sa fonction principale est de servir de forum pour la coopération monétaire internationale, en accueillant notamment les réunions des gouverneurs des banques centrales des principaux pays industrialisés. Dans les années 1960, par exemple, elle facilita le fonctionnement du système de Bretton Woods en coordonnant les efforts du Groupe des Dix pour maintenir la parité du dollar et en organisant des opérations de soutien à des monnaies comme la livre sterling, la lire italienne et le franc français. La BRI sert aussi de centre de recherche sur les questions économiques et monétaires intéressant plus particulièrement les banques centrales. Enfin, en tant que banque des banques centrales, elle gère une partie de leurs réserves en devises étrangères. Son bilan s'élevait à environ 185 milliards de francs au 31 mars 1998. Le bâtiment actuel, de Martin Burckhardt, date de 1977.
Être privé du bénéfice de l'exercice d'un droit pour ne pas l'avoir exercé dans un délai fixé.