Lors de l’annonce de la création de notre nouvelle organisation – la International Space Federation (ISF) – faite par notre directeur de la recherche, le physicien Nassim Haramein, une série de séminaires et d’ateliers techniques ont également été annoncés dans le but d’examiner le premier d’une série d’articles scientifiques détaillant la théorie d’unification des forces. La session enregistrée est disponible ici : Atelier technique sur l’origine de la masse.
Ce premier article, intitulé « L’origine de la masse et la nature de la gravité« , explique comment la masse du proton émerge directement des fluctuations du vide quantique, grâce à un processus de double filtrage qui tamise les fluctuations du vide quantique en deux étapes, en passant par sa masse de trou noir (oui, vous avez bien lu, un proton trou noir !). La théorie peut être considérée comme le filtrage (ou écrantage) de cette densité d’énergie de Planck à travers l’horizon, de la densité d’énergie de Planck à la masse au repos du proton.
Lors des séminaires techniques en français et en anglais qui ont eu lieu respectivement le mercredi 27 septembre et le jeudi 28 septembre, les physiciens Nassim Haramein, Cyrpien Guermonprez et Olivier Alirol ont passé en revue leur article au cours d’une session de deux heures et demie (suivie d’une séance de questions-réponses) qui changera probablement l’histoire de la physique et de la science en général
http://dx.doi.org/10.1063/1.5026556
La réponse résonante de la Grande Pyramide interagissant avec des ondes électromagnétiques externes de la gamme des radiofréquences (la gamme des longueurs d'onde est de 200 à 600 m) est étudiée théoriquement.
À l'aide de simulations numériques et d'une décomposition multipolaire, on constate que les spectres des sections transversales d'extinction et de diffusion comprennent des caractéristiques de résonance associées à l'excitation des moments dipolaires et quadripolaires électromagnétiques de la pyramide. Les distributions du champ électromagnétique à l'intérieur de la pyramide dans les conditions de résonance sont démontrées et discutées pour deux cas, lorsque la pyramide est située dans un espace homogène ou sur un substrat.
Il s'avère que les chambres de la pyramide peuvent collecter et concentrer l'énergie électromagnétique pour les deux conditions environnantes. Dans le cas d'une pyramide placée sur un substrat, l'énergie électromagnétique s'accumule dans les chambres aux longueurs d'onde les plus courtes, ce qui produit des maxima spectraux locaux pour les champs électriques et magnétiques. Il est démontré que, fondamentalement, la pyramide diffuse les ondes électromagnétiques et les concentre dans la région du substrat. La dépendance spectrale de l'effet de focalisation est discutée.
Question n° 1 (id=3184) en lien avec "Ondes scalaires" :
Q : Existe-t-il un lien entre ton travail et les ondes de torsion ? Si oui, comment et quel niveau ?
R : Je parle effectivement des ondes de torsion dans mes livres les plus récents, en les interprétant comme des vibrations de l'espace hors du temps (et infinitésimales). Mais il faut déjà savoir que la physique mainstream n'admet pas l'existence de ces ondes (de l'espace), qui sont d'ailleurs liées aux fameuses ondes scalaires qu'elle qualifie de pseudo-science. Elles auraient toutefois aujourd'hui de bonnes raisons d'exister, depuis que l'espace apparaît comme un milieu élastique et même doté d'une certaine viscosité, avec la découverte de l'existence des ondes gravitationnelles et du champ de Higgs, ce dernier étant lié au fait que le vide est loin d'être vide et offre une résistance. La physique réssuscite ainsi d'une certaine manière la notion d'éther qu'elle avait enterré avec Einstein. A partir de là, il est logique d'envisager d'autres types d'ondes de l'espace (du vide) que les seules ondes gravitationnelles de type transversales. Le problème est qu'aussi longtemps que la physique n'introduit pas un temps additionnel, elle ne peut pas décrire ces autres types d'ondes qui se propagent à travers l'espace-temps, mais pas dans le temps ordinaire. Pour que ces ondes soient acceptées, alors qu'elles ont l'air de se propager, dans ce temps ordinaire, à des vitesses inférieures ou supérieures à la vitesse de la lumière, il faut introduire un nouveau temps (que je qualifie de cybernétique) dans lequel l'espace-temps vibre partout dans sa structure, c'est-à-dire simultanément dans le passé et dans le futur. Se reporter aux métaphores du tunnel flottant sur un océan, ou encore du GPS, pour comprendre cette évolution hors du temps. Il y aurait alors tant à dire sur ces ondes dont la modélisation manque cruellement, mais je terminerai cette réponse en précisant qu'elles ne s'atténuent pas avec la distance et permettent d'adresser des points de l'espace-temps arbitrairement éloignés, ce qui devrait conduire à les mettre en rapport avec le phénomène d'intrication, dans une physique... du futur !
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à 12:26 ... synthèse entre relativité et éther. L'espace temps est bien courbe, mais l'espace est composé de grain d'espace.... On retrouve ici c'était.
Journal of High Energy Physics, Gravitation and Cosmology
Vol.05 No.02(2019), Article ID:91083,13 pages
10.4236/jhepgc.2019.52023
Resolving the Vacuum Catastrophe: A Generalized Holographic Approach*
Nassim Haramein, Amira Val Baker
Hawaii Institute for Unified Physics, Kailua Kona, HI, USA
Reçu : 9 février 2019 ; Accepté : 10 mars 2019 ; Publié : 13 mars 2019
RÉSUMÉ
Nous abordons l'écart de ~122 ordres de grandeur entre la densité d'énergie du vide à l'échelle cosmologique et la densité du vide prédite par la théorie quantique des champs. Ce désaccord est connu comme le problème de la constante cosmologique ou la "catastrophe du vide". En utilisant un modèle holographique généralisé, nous considérons la densité totale de masse et d'énergie dans la géométrie d'un univers à coquille sphérique (en tant qu'approximation de premier ordre) et nous trouvons une solution exacte pour la densité critique de l'univers actuellement observée. Nous discutons de la validité d'une telle approche et examinons ses implications pour la cosmogenèse et l'évolution universelle.
Mots-clés :
Constante cosmologique, densité critique, matière noire, solution holographique de la masse, énergie du vide.
https://www.scirp.org/pdf/JHEPGC_2019031214090069.pdf
Résumé: La masse de l'électron est calculée par l'utilisation d'une approche holographique généralisée considérant les fluctuations du vide quantique électromagnétique. La solution obtenue donne une image claire de la structure de l'atome d'hydrogène de Bohr constitué d'un nuage électronique lie au proton en lien avec les fluctuations du vide à l'échelle de Planck. Notre solution pour la masse de l'électron est en accord avec la valeur CODATA (Comité des Données du Conseil International pour la Science) 2014. Grace à ce résultat, nous avons pu établir l'origine de la constante de structure fine, de la constante de Rydberg et du rapport masse protons/électrons en fonction de l'énergie du vide à l'échelle de Planck.
Nassim Haramein, Cyprien Guermonprez, Olivier Alirol
Description de l'étude
À partir des premières explorations de la thermodynamique et de la caractérisation du rayonnement du corps noir, Max Planck a prédit l'existence d'une valeur d'espérance non nulle pour la densité d'énergie électromagnétique du vide quantique ou énergie du point zéro (ZPE).
À partir de la mécanique d'un oscillateur quantique, Planck a dérivé le spectre du corps noir, qui répondait à la loi de Stefan-Boltzmann avec un terme de non-vanification restant où la somme de tous les modes d'oscillation divergeait à l'infini en chaque point du champ. Dans la dérivation moderne, les fonctions de corrélation sont utilisées pour dériver le comportement cohérent des opérateurs de création et d'annihilation.
Bien qu'une approche courante consiste à normaliser l'hamiltonien de sorte que tous les modes de l'état fondamental s'annulent, fixant artificiellement l'énergie du point zéro à zéro, l'énergie du point zéro est essentielle pour la cohérence mathématique de la mécanique quantique car elle maintient la non-commutativité des opérateurs de création et d'annihilation, ce qui aboutit au principe d'incertitude d'Heisenberg.
Notre calcul démontre que les modes cohérents des fonctions de corrélation au temps caractéristique du proton résultent correctement dans l'émergence de sa masse directement à partir des modes de fluctuation du vide quantique. Nous constatons également que cette valeur énergétique est compatible avec une cavité de Casimir de la même distance caractéristique.
En conséquence, nous avons développé une solution analytique décrivant à la fois la structure de l'espace-temps quantique en tant que fluctuations du vide et extrapolant cette structure à la dynamique de surface du proton afin de définir un mécanisme d'écrantage des fluctuations électromagnétiques à une échelle donnée. A partir d'un premier écrantage à la longueur d'onde Compton réduite du proton, nous trouvons une relation directe avec les équations de champ d'Einstein et la solution de Schwarzschild décrivant un terme source pour l'énergie interne du proton émergeant des fluctuations électromagnétiques du point zéro.
Un second écrantage des fluctuations du vide est trouvé au niveau du rayon de charge du proton, ce qui donne avec précision la masse au repos. En tenant compte de l'écran initial, nous calculons la valeur du rayonnement de Hawking de la structure centrale de Schwarzschild et constatons qu'elle est équivalente à l'énergie de la masse au repos qui se diffuse dans la structure interne du proton.
Le gradient de pression ou les forces de pression qui en résultent sont calculés et correspondent très bien à toutes les valeurs mesurées de la force de couleur et de la force forte résiduelle typiquement associées au confinement des quarks-antiquarks et des tubes de flux de gluons. En conséquence, nous sommes en mesure d'unifier toutes les forces de confinement avec la force gravitationnelle émergeant de la courbure de l'espace-temps induite par les fluctuations électromagnétiques quantiques du vide. Enfin, nous avons appliqué le mécanisme d'écrantage de la densité d'énergie du vide quantique à l'univers observable et calculé la densité d'énergie critique correcte généralement donnée pour la densité d'énergie totale.
ISBN 9782902425464, 2902425465
Ces jolies figures, appelées les Figures de Chladni, font partie des célèbres découvertes par Ernst Florence Friedrich Chladni (1756-1827), musicien et physicien de Leipzig. Pour les produire, Chladni saupoudrait une plaque métallique carrée avant de la faire vibrer avec un archet. En frottant le bord de la plaque aux différents endroits, Chladni a su produire des sons différents. De plus, sous l'action de la vibration, la poudre se déplaçait pour s'accumuler en des points stationnaires de la plaque, donnant ainsi les figures qui portent son nom.
En 1787, Chladni a publié ses figures dans son ouvrage "Entdeckungen über die Theorie des Klanges". Dès leur publication, les expériences de Chladni ont suscité beaucoup d'intérêt partout en Europe, non seulement parmi les scientifiques, mais aussi chez le grand public. Napoléon a même invité Chladni à Paris en 1809. Ensuite, de nombreux chercheurs ont successivement développé un modèle mathématique permettant de calculer, pour chaque plaque, les différents sons possibles, ainsi que les figures correspondantes : on compte Sophie Germain, Lagrange, Poisson, Kirchhoff et Lord Rayleigh parmi les contributeurs. Mais il faut attendre jusqu'en 1909 pour que Walther Ritz, physicien valaisan, invente une méthode utilisable en pratique pour calculer ces figures ainsi que les fréquences associées.
À l'occasion du centenaire de la mort de Ritz, deux chercheurs à la section de mathématiques, le Prof. Martin J. Gander et le Dr. Felix Kwok, ont publié un article exposant des algorithmes modernes pour calculer les figures de Chladni. Ils ont comparé leurs résultats à ceux obtenus par Chladni et Ritz. L'accord entre les résultats historiques et modernes est remarquable : les fréquences calculées par Ritz diffèrent des résultats modernes de quelques pour cents seulement, malgré l'absence des ordinateurs puissants à l'époque. Les résultats de Chladni sont encore plus surprenants : les fréquences qu'il a notées (à l'oreille!) ont une précision comparable, sans mentionner qu'il est quasiment impossible de distinguer les figures générées par l'ordinateur de celles dessinées par Chladni il y a 225 ans !
VIVONS-NOUS DANS UNE SIMULATION INFORMATIQUE ?
Je trouve qu’il est difficile d’argumenter contre la possibilité que l’on vive d ans une simulation… NEIL DEGRASSE TYSON – Astrophysicien
J’aime à penser que la Lune est toujours là, même si je ne suis pas en train de la regarder. ALBERT EINSTEIN – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1921
Il se pourrait que nos esprits n’appartiennent pas à l’humanité originelle, mais plutôt à des personnes simulées par les descendants avancés d’une humanité originelle. NICK BOSTROM – Philosophe
Le bon sens qui voudrait que les objets existent de manière objective, indépendamment de notre observation, devient obsolète lorsque l’on considère la physique quantique. NIELS BOHR – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1922
On peut voir des jeux vidéo ultra-réalistes aujourd’hui. Ils deviendront peut-être un jour indiscernables de la réalité. Comment pouvons-nous savoir que ça ne s’est pas déjà produit dans le passé, et que nous ne sommes pas, nous-mêmes, dans l’un de ces jeux vidéo ? ELON MUSK – PDG DE SPACEX
Je veux apporter des preuves concrètes que nous vivons dans une simulation. TOM CAMPBELL – Physicien, essayiste
L’étude du monde objectif nous mène à la conclusion que le contenu de la conscience est l’ultime réalité. EUGENE WIGNER – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1963
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Pour ce faire, les physiciens sont repartis de l’expérience des doubles fentes, qu’ils ont adaptée à leur problématique. La première expérience consistera à détecter le trajet pris par la particule au sein des fentes 1 ou 2 grâce à un détecteur, mais sans enregistrer le résultat. L’information ne sera donc pas disponible pour l’observateur : dans un monde simulé informatiquement, la décohérence n’aurait pas lieu, une figure d’interférence devrait de ce fait se dessiner sur l’écran.
La seconde expérience, quant à elle, cherchera à décaler dans le temps la destruction de l’information – qui était immédiate dans la manipulation précédente, car non enregistrée. Cette fois, les chercheurs placeront deux détecteurs, respectivement au niveau des fentes et à celui de l’écran. À l’issue du bombardement de photons, les résultats seront enregistrés par les membres de l’équipe sur deux clés USB séparées – la clé « écran », et la clé « fentes ». Là, il y aura bien détection au niveau de la fente, la mesure aura été faite, l’information sera disponible sur une clé USB. Elle devrait normalement provoquer une décohérence et donc l’absence de figure d’interférence.
Mais… si la clé USB fente est détruite avant d’avoir été lue par quelqu’un ? Dans le scénario d’une réalité simulée, l’information contenue n’aurait en fait jamais existé, puisqu’elle n’aurait jamais été soumise à la conscience d’un observateur. Et la lecture des données stockées sur la clé USB « écran » devrait montrer une figure d’interférence, prouvant que ce n’est pas la mesure mais l’observateur qui sélectionne la réalité ! « Les expériences peuvent paraître simples d’un point de vue conceptuel mais elles sont très délicates à réaliser, car elles requièrent de contrôler le nombre de photons émis par unité de temps« , pointe Houman Owhadi.
Nous modélisons un morceau de texte de langage humain racontant une histoire au moyen de la structure quantique décrivant un gaz de Bose dans un état proche d'un condensat de Bose-Einstein à la température du zéro absolu.
Pour cela, nous introduisons des niveaux d'énergie pour les mots (concepts) utilisés dans l'histoire et nous introduisons également la nouvelle notion de "cogniton" comme quantum de la pensée humaine.
Les mots (concepts) sont alors des cognitons dans différents états d'énergie comme c'est le cas pour les photons dans différents états d'énergie, ou états de fréquence radiative différente, lorsque le gaz boson considéré est celui des quanta du champ électromagnétique.
Nous montrons que la statistique de Bose-Einstein fournit un très bon modèle pour ces morceaux de textes racontant des histoires, aussi bien pour les histoires courtes que pour les histoires longues de la taille de romans.
Nous analysons un lien inattendu avec la loi de Zipf dans le langage humain, le classement de Zipf relatif aux niveaux d'énergie des mots, et le graphique de Bose-Einstein coïncidant avec le graphique de Zipf.
Nous étudions la question de "l'identité et de l'indiscernabilité" dans cette nouvelle perspective et nous conjecturons que la façon dont on peut facilement comprendre comment deux "mêmes concepts" sont "absolument identiques et indiscernables" dans le langage humain est également la façon dont les particules quantiques sont absolument identiques et indiscernables dans la réalité physique, fournissant ainsi de nouvelles preuves pour notre interprétation conceptuelle de la théorie quantique.
On suppose généralement, et on tient pour acquis, que la réalité est entièrement contenue dans l'espace.
Cependant, en examinant de plus près le comportement étrange des entités du micro-monde, nous sommes contraints d'abandonner un tel préjugé et de reconnaître que l'espace n'est qu'une cristallisation temporaire d'un petit théâtre pour la réalité, où les entités matérielles peuvent prendre place et se rencontrer.
Plus précisément, des phénomènes tels que l'intrication quantique, les effets d'interférence quantique et l'indiscernabilité quantique, lorsqu'ils sont analysés attentivement, nous indiquent qu'il y a beaucoup plus dans notre réalité physique que ce qui rencontre nos yeux humains tridimensionnels.
Mais si les éléments constitutifs de notre réalité physique sont non spatiaux, qu'est-ce que cela signifie ?
Pouvons-nous comprendre quelle est la nature d'une entité non spatiale ? Et si oui, quelles sont les conséquences pour notre vision du monde dans lequel nous vivons et évoluons en tant qu'espèce ?
Cet article a été rédigé en gardant à l'esprit l'un des objectifs du Centre Leo Apostel d'études interdisciplinaires, à savoir une large diffusion des connaissances scientifiques. Il s'adresse donc à un public transversal de lecteurs, universitaires ou non, en espérant stimuler ainsi le dialogue interdisciplinaire sur les questions fondamentales de la science.
Comment pouvons-nous expliquer le comportement étrange des entités quantiques et relativistes ? Pourquoi se comportent-elles d'une manière qui défie notre intuition sur la façon dont les entités physiques devraient se comporter, compte tenu de notre expérience ordinaire du monde qui nous entoure ?
Dans cet article, nous répondons à ces questions en montrant que le comportement des entités quantiques et relativistes n'est pas si étrange après tout, si nous considérons seulement ce que leur nature pourrait être : non pas une nature objectale, mais une nature conceptuelle.
Non pas dans le sens où les entités quantiques et relativistes seraient des concepts humains, mais dans le sens où elles partageraient avec ces derniers une même nature conceptuelle, de la même manière que les ondes électromagnétiques et sonores, bien que des entités très différentes, peuvent partager une même nature ondulatoire.
Lorsque cette hypothèse est adoptée, c'est-à-dire lorsqu'une interprétation conceptuelle de la nature profonde des entités physiques est prise au sérieux, de nombreuses difficultés d'interprétation disparaissent et notre monde physique retrouve un sens, même si notre vision de celui-ci devient radicalement différente de ce que nos préjugés classiques nous faisaient croire au départ.
Comment l'interprétation conceptualiste peut rendre la mécanique quantique intuitive et compréhensible.
Cette vidéo est la traduction en français de la conférence que j’ai donné (avec Diederik Aerts) au « VII International Workshop on Quantum Mechanics and Quantum Information, April 15-16 and 22-23, 2021 », sur le thème de l’ontologie e métaphysique quantique.
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-018-9557-z
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-020-09719-4
https://link.springer.com/article/10.1007/s10699-019-09633-4
https://www.massimilianosassolidebianchi.ch/
Version anglaise: https://www.youtube.com/watch?v=m0gebmi2_VY
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C'est hyper technique. Mais le gars il te lance sur l'interprétation conceptualiste de la physique quantique.
→ Les physiciens sont trop attaché au modèle spatial, à jouer avec des objets. C'est pour ça que pour la plupart des physiciens la physique quantique n'est pas compréhensible intuitivement.
Selon l'idée conceptualiste la physique quantique c'est un langage fait de concepts. On a donc des paradoxes, comme le fait qu'une tomate 🍅 peut être à la fois un fruit 🍎 et un légume 🍅 (on voit les propositions d'image de ma "touch bar" quand j'écris.. elle fait un choix de type légume pour la tomate.. alors que botaniquement on parle de fruit pour la tomate !)
Quand tout est concept linguistique, hop.. la physique quantique devient simple.
En fait c'est ainsi que ce mouvement conceptuel est arrivé en physique, c'est d'abord en appliquant des lois de la mécanique quantique à la linguistique. Par exemple on explique tout à fait bien la loi de Zipf. Celle qui classe la fréquence des caractères dans un texte. (qui ouvre sur les lois fractales aussi). C'est un des fondements de la compression des Zip.. la loi de Zipf... d'où le nom qui est proche. Ce qui introduit directement l'explication suivante:
Les intrications quantiques sont juste des liens de sens comme on le fait très souvent avec les mots ! C'est pour ça que deux "objets" spatialement non lié on un lien quand même.
→ ça me fait penser aux synchronicités de Jung. Des relations non causales, mais des relations de sens.
→ Ces idées me conforte de plus en plus que nous vivons dans un jeu vidéo. C'est le sens qui primes dans notre réalité, pas la logique de spatialisation des objets.
Trois ou quatre grands groupes de Quasars ? : Quatre semble être la meilleure solution pour le multivers de 12x Raspberry.
Quatre zones de contact pour d'énormes groupes de quasars ? Quatre semble être la meilleure solution pour un multivers à équilibre vectoriel en forme de framboise 12x. (Cube Octahedron)
voir aussi mon ancienne suggestion 2/3x : :Deux ou trois énormes groupes de grands quasars (LQG) situés au début de 2 ou 3 systèmes Lyman Alpha faisant partie du multivers Raspberry ?
voir : https://vixra.org/pdf/1301.0088v2.pdf
Ci-dessous : la recherche d'un Raspberry Multiverse 8 ou 12x, avec trois ou quatre zones de contact ? le Cube Octahedron Multiverse semble le mieux adapté.
Cela fait quelques années que l'idée fait son chemin, mais jamais jusqu'ici elle avait été appuyée par des preuves aussi robustes : une équipe internationale vient de confirmer, imagerie cérébrale à l'appui, que notre pensée suit les lois quantiques.
C’est de pensée qu’on parle et non pas de biologie : cette étude dit non pas que le cerveau et ses milliards de neurones sont un système physique quantique, mais que notre pensée, la manière dont on traite les informations, dont on apprend et dont on fait des choix, suit une logique quantique.
Commençons par un exemple. Supposons que l’on soit au restaurant face au choix « fromage ou dessert ». Selon les modèles classiques de la pensée, les centres de décision du cerveau vont considérer séparément chaque alternative, dérouler un scénario « camembert » et un scénario « crème brûlée » pour sonder les réactions d’appétit, les comparer puis prendre acte de l’alternative qui déclenche le plus d’expectative : la décision s’impose.
Dans un modèle de pensée quantique, l’hypothèse est que le cerveau ne sépare pas l’alternative « camembert ou crème brulée » : il déroule des scénarios où les deux coexistent, faisant varier la part de l’un et de l’autre dans une sorte de superposition de pensées où il y aurait plus ou moins de camembert, plus ou moins de crème brûlée.
Surtout, ce modèle stipule que le choix ne résulte pas du sondage d’un désir préexistant qu’il suffit d’exhumer : il se définit au moment même où il se fait. Et alors, il modifie l’état d’esprit de celui qui l’a fait.
Lire aussi : L’erreur d’Einstein : un voyage dans un espace-temps cérébral
« Pensée quantique » : Une première confirmation neurologique
Ceux qui sont familiers des étranges lois de la physique quantique auront reconnu la similitude : alors qu’en physique classique, on considère que l’état des particules (ou de tout autre système physique) est toujours bien déterminé – en vitesse, en énergie, en position – même quand on ne les observe pas, en physique quantique ces paramètres sont indéterminés jusqu’au moment où on les mesure : c’est seulement alors qu’ils se précisent, changeant alors l’état des particules mesurées.
Or voilà, depuis quelques années, des tests de comportement ont conduit les psychologues et cogniticiens sur la piste d’un modèle quantique plutôt que classique, mais l’analyse ne portait que sur les comportements.
Or dans la nouvelle étude, les clichés du cerveau de volontaires en train d’apprendre à faire un bon choix (dans la perspective d’un gain d’argent) prouveraient que l’hypothèse est la bonne. C’est là la première confirmation neurologique de l’hypothèse.
Les modèles quantiques plus efficaces
Concrètement, les chercheurs ont soumis 101 volontaires à un test très utilisé en sciences cognitives : l’Iowa Gambling Task (en anglais), un jeu de cartes avec récompense ou punition (en argent) qui permet de suivre le processus d’apprentissage d’une personne, aussi bien du point de vue du comportement que par des mesures physiologiques et de l’imagerie IRM fonctionnelle.
Les chercheurs ont alors observé (statistiquement) que le cerveau des volontaires activait simultanément et en parallèle plusieurs zones (dont celles impliquées dans les récompenses et les punitions) d’une manière bien mieux explicable par des modèles de traitement des informations de type quantique que par des modèles classiques.
Ce n’est bien sûr qu’une première preuve, surtout que les modèles quantiques incluent d’autres phénomènes de la pensée qui n’ont pas été testés ici, comme l’interférence, l’intrication ou l’oscillation.
Mais compte tenu de la supériorité prouvée du calcul quantique sur le calcul classique, qui peut être vu comme un calcul massivement parallèle plutôt que séquentiel, il n’y a pas d’étrangeté à supposer que durant l’évolution le cerveau – champion du traitement des informations – a mis en place une stratégie basée sur ce type de calcul. D’où l’adéquation des modèles suivant une logique quantique.
Un article initialement publié en mai 2020.
Tout modèle doit être réfutable, "falsifiable" au sens de Popper, c'est-à-dire se prêter à un test susceptible d'invalider, ou de valider cette théorie. On présente un test fondé sur l'effet de lentille gravitationnelle négatif (negative weak lensing).
LIENS VERS LES PAPIERS CITÉS DANS LA VIDÉO :
Piran, T. (1997). "On Gravitational Repulsion". Gen. Rel. Grav. 29: 1363-1370.
https://arxiv.org/abs/gr-qc/9706049
Izumi, K. et al. (2013). "Gravitational lensing shear by an exotic lens object with negative convergence or negative mass". Phys. Rev. D 88: 024049.
https://arxiv.org/abs/1305.5037
00:00 – Introduction
01:48 – On attend de la science qu’elle nous permette de mieux maitriser le monde dans
lequel nous vivons.
01:58 – Retour dans l’histoire. Les épicycles de Ptolémée : meilleur modèle que le
modèle héliocentrique, tant qu’on n’a pas tenu compte du fait que les trajectoires des
planètes étaient des ellipses et non de cercles.
02:57 – Tycho Brahé rejette à son tour le modèle héliocentrique pour cause de non
observation du phénomène du parallaxe.
03:18 – Le concept de réfutabilité.
03:47 – Karl Popper : une théorie non réfutable n’est pas crédible.
05:00 – Rappel ( épisode 4 ) du succès de la théorie newtonienne à travers la prédiction
par Le Verrier de l’existence d’une nouvelle planète : Neptune
05:24 – La théorie newtonienne réfutée car incapable de rendre compte de l'avance du
périhélie de Mercure.
06:00 – La réfutabilité permanente est la seule garantie de la vitalité d'une théorie.
06:15 – Evocation du paradoxe EPR ( traité dans l’épisode 6 )
07:25 – Le modèle de Friedmann conforté par la découverte du CMB
07:55 – Un modèle par la suite réfuté par la découverte de l’accélération cosmique.
08:00 – Naissance des concepts de matière sombre et d’énergie noire
09:00 – Le modèle ΛCDM conforté par l'analyse du CMB
10:00 – Le modèle Janus est-il réfutable ( "falsifiable" )
10:45 – Un modèle qui prédit une structure lacunaire de l’univers à très grande échelle
11:05 – … qui correspond à l’observation
11:40 – La cartographie de Tsvi Pirán, une matière "en bulles jointives"
12:20 – Cartographie cosmique basée sur le weak lensing
12:45 – Base de cette méthode, schématiquement
16:29 – L'effet d’un weak lensing négatif, base d’une nouvelle cartographie cosmique
18:00 – D’où un test de la validité ou de la non-validité du modèle Janus.
Einstein conclut son exposé sur l'éther par le résumé suivant :
« Nous pouvons résumer comme suit : selon la théorie de la relativité générale, l'espace est pourvu de propriétés physiques, et dans ce sens, par conséquent, il existe un éther. Selon la théorie de la relativité générale, un espace sans éther est impensable, car dans un tel espace non seulement il n'y aurait pas de propagation de la lumière, mais aussi aucune possibilité d'existence pour un espace et un temps standard (mesuré par des règles et des horloges), ni par conséquent pour les intervalles d'espace-temps dans le sens physique du terme. Cependant, cet éther ne peut pas être conçu comme pourvu des qualités des medias pondérables et comme constitué de parties ayant une trajectoire dans le temps. L'idée de mouvement ne peut pas lui être appliqué. »
Une équipe internationale d’astrophysiciens a fait une découverte surprenante en analysant certains amas d’étoiles. Il se trouve que ces amas stellaires affichent une asymétrie inattendue en matière de distribution d’étoiles ; or, ceci vérifie davantage la théorie de la dynamique newtonienne modifiée (théorie MOND) — qui s’impose comme une alternative au concept de matière noire — que la théorie de la gravité largement admise aujourd’hui.
Une expérience que nous avons menée de 2012 à 2013, qui n'avait pas été rapportée auparavant, visait à explorer les effets psychophysiques possibles résultant de l'interaction d'un esprit humain avec un système quantique. Les participants ont concentré leur attention vers ou loin des fentes d'un système optique à double fente pour voir si le motif d'interférence serait affecté. Les données ont été recueillies auprès de 25 personnes lors de sessions individuelles d'une demi-heure ; chaque personne a répété le test dix fois pour un total de 250 sessions planifiées. Des sessions "fictives", conçues pour imiter les sessions expérimentales sans la présence d'observateurs, ont été organisées immédiatement avant et après à titre de contrôle. Sur la base de l'analyse prévue, aucune preuve d'un effet psychophysique n'a été trouvée. Comme cette expérience différait de deux façons essentielles des expériences similaires à double fente rapportées précédemment, deux analyses exploratoires ont été développées, l'une basée sur une simple analyse spectrale du schéma d'interférence et l'autre sur la visibilité des franges. Pour les données expérimentales, les résultats ont corroboré le modèle de résultats prédit par un effet psychophysique causal, la métrique spectrale entraînant un effet de 3,4 sigma (p = 0,0003), et la métrique de la visibilité des franges entraînant 7 des 22 franges testées au-dessus de 2,3 sigma après ajustement pour l'inflation des erreurs de type I, l'une de ces franges étant à 4,3 sigma au-dessus du hasard (p = 0,00001). Les mêmes analyses appliquées aux données sur le simulacre ont montré des résultats uniformément nuls. D'autres analyses explorant la possibilité que ces résultats soient dus à des artefacts banals, tels que des fluctuations de température ou de vibration, n'ont montré aucune preuve de telles influences. De futures études utilisant les mêmes protocoles et méthodes d'analyse seront nécessaires pour déterminer si ces résultats exploratoires sont idiosyncratiques ou reflètent une véritable influence psychophysique.
Radin, D., Wahbeh, H., Michel, L., & Delorme, A. (2021). Psychophysical interactions with a double-slit interference pattern: Exploratory evidence of a causal influence. Physics Essays, 34(1), 79-88.
doi.org/10.4006/0836-1398-34.1.79
Quelle est la nature du temps? Qu'est-ce qu'une ligne de temps? Oui, on peut programmer son futur et changer son passé !
Un test avec des paires de photons intriqués émis depuis l'espace vers le sol a battu un record en montrant, dans un premier temps, que l'intrication subsistait sur une distance de 1.200 km, et, dans une seconde expérience, qu'il permettait une téléportation jusqu'à 1.400 km via le satellite chinois Mozi.
Dans la théorie de la relativité d'Einstein, le temps d'objets se déplaçant à des vitesses distinctes ne s'écoule pas au même rythme. En mécanique quantique, un même objet peut se trouver dans plusieurs états distincts. Conclusion : un même objet peut avoir plusieurs temps distincts. Hallucinant.
Le résultat de cette étude menée par deux chercheurs américains est impressionnant surtout parce qu'elle a trait au temps, à sa dilatation ou contraction, et elle montre qu'un même objet physique peut suivre deux flux de temps... en même temps - à ce niveau, les mots de la langue courante deviennent des pièges.
Un physicien dénommé Hong Quin, qui travaille au laboratoire de physique des plasmas de Princeton (PPPL) du département américain de l’Energie (DOE) vient de concevoir un algorithme informatique défiant les lois de la physique.
Le physicien a conçu cet algorithme afin de prédire les orbites planétaires dans le système solaire. Pour ce faire, le scientifique a inculqué à l’algorithme les données des orbites de Mercure, de Vénus, de la terre, de Mars, de Cérès et de Jupiter. A noter que l’invention de Hong Quin incorpore l’apprentissage automatique (machine learning). Il s’agit d’un processus d’IA qui permet à la machine de mettre automatiquement à jour ses connaissances, au fil de sa propre expérience.
A partir des données qui lui ont été donné, l’algorithme a pu correctement prédire d’autres orbites planétaires dans le système solaire, dont des orbites paraboliques et hyperboliques. Mais le plus surprenant, c’est que l’algorithme n’a appris à aucun moment les lois du mouvement de Newton ni de la gravitation universelle. Il semblerait même, selon Big Think, qu’il les ait compris de lui-même.
En physique nucléaire, un nombre magique est un nombre de protons ou de neutrons pour lequel un noyau atomique est particulièrement stable ; dans le modèle en couches décrivant la structure nucléaire, cela correspond à un arrangement en couches complètes.
Les sept nombres magiques vérifiés expérimentalement sont : 2, 8, 20, 28, 50, 82, 126a (suite A018226 de l'OEIS). Une approche théorique montre que 184 pourrait être le 8e nombre magique,
La photosynthèse permet aux plantes d'absorber l'énergie de la Lumière (alias Photon). Sans la chlorophylle, la vie sur Terre telle que nous la connaissons cesserait d'exister.
La formule moléculaire de la chlorophylle est C55H72MgN4O5 qui, étonnamment, se résume à 137 atomes (55+72+1+4+5 = 137).
Ce nombre 137 et son réciproque 1/137 est la constante de structure fine, vénérée par les plus grands physiciens comme Einstein et Feynman, qui détermine à quelle vitesse un atome excité émet un photon. Cela montre clairement qu'il existe une relation cachée entre les atomes de la création et la nature.
La molécule de chlorophylle est constituée d'un atome central de magnésium entouré d'une structure contenant de l'azote appelée anneau porphyrine ; à cet anneau est attachée une longue chaîne latérale carbone-hydrogène, connue sous le nom de chaîne phytol.
La chlorophylle est le principal pigment utilisé par les plantes pour capter l'énergie lumineuse. Une molécule de chlorophylle est constituée d'une tête de porphyrine (quatre anneaux de pyrrole contenant de l'azote disposés en anneau autour d'un ion magnésium) et d'une longue queue d'hydrocarbure.
Le rôle de la chlorophylle dans une plante est d'absorber la lumière - généralement la lumière du soleil. L'énergie absorbée de la lumière est transférée à deux types de molécules qui stockent l'énergie. Grâce à la photosynthèse, la plante utilise l'énergie stockée pour convertir le dioxyde de carbone (absorbé dans l'air) et l'eau en glucose, un type de sucre.
Il est intéressant de noter que la chlorophylle peut être liée au sang humain : La plupart des chlorophylles sont classées comme des chlorines, qui sont des parents réduits des porphyrines (présentes dans l'hémoglobine ou le sang). Cela signifie qu'au microscope, le mandala du sang humain rouge et celui de la chlorophylle verte sont identiques, à l'exception de leur atome central.
La chlorophylle a du magnésium dans son noyau, et le sang humain a du fer, alias Fe, ou de l'hémoglobine, alias Heme. Quel lien incroyable nous avons avec les plantes. Jain 108
L'équation de la photosynthèse est la suivante : 6CO2 + 6H20 + (énergie) → C6H12O6 + 6O2 Dioxyde de carbone + eau + énergie de la lumière produit du glucose et de l'oxygène.
À température ambiante, des feuilles de graphène autoportantes de la taille du micron sont en mouvement constant, même en présence d'une tension de polarisation appliquée. Nous quantifions le mouvement hors plan en recueillant le courant de déplacement à l'aide d'une électrode métallique de petite surface située à proximité et nous présentons un modèle Ito-Langevin du mouvement couplé à un circuit contenant des diodes. Les simulations numériques montrent que le système atteint l'équilibre thermique et que les taux moyens de chaleur et de travail fournis par la thermodynamique stochastique tendent rapidement vers zéro. Cependant, il y a de la puissance dissipée par la résistance de charge, et sa moyenne temporelle est exactement égale à la puissance fournie par le bain thermique. La formule de puissance exacte est similaire à la formule de puissance du bruit de Nyquist, sauf que le taux de changement de la résistance de la diode augmente considérablement la puissance de sortie, et le mouvement du graphène déplace le spectre de puissance vers des fréquences plus basses. Nous avons calculé la moyenne d'équilibre de la puissance par des méthodes asymptotiques et numériques. On constate un excellent accord entre l'expérience et la théorie.
Art. 3 Définitions
Aux fins du présent Accord, on entend par:
[...]
entreprise: toute personne physique, toute personne morale avec ou sans but lucratif, toute association ou tout groupement de personnes sans personnalité juridique et avec ou sans but lucratif, ainsi que tout organisme relevant de l’autorité publique, qu’il soit doté d’une personnalité juridique propre ou qu’il dépende d’une autorité ayant cette personnalité;
Le solipsisme convivial ne décrit pas que la physique quantique, mais surtout le fonctionnement de facebook !!
On est tous sur notre propre compte. On ne voit que notre propre réalité. Si je me connecte, je vois un post (celui ci est venu à moi)... mais d'autres personnes verrons un autre...
On a tous notre propre réalité de facebook. Notamment certaines personnes sont sur un smartphone, d'autres sur un ordinateur portable ou de bureau.... Certains ont la version classique de facebook.. et d'autres la nouvelle version beta qui se décline aussi en mode sombre... Que de réalités différentes pour accéder aux mêmes réalités. Aux mêmes événements. Mais nous sommes tous reliés les uns aux autres. Nous communiquons tous.. nous pouvons tous dire à d'autre ce qui est apparu sur notre fil d'actualité fb.. mais l'autre ne pourra jamais le vérifier. Jamais faire la même expérience.
Mais encore plus fort.
On peut se dire que si je vois cette publication c'est par ce que j'en ai eu l'intention un jour. J'ai "aimé" une page... je suis devenu amis avec quelqu'un.
Ce qui a introduit toutes les publications dans ma réalité potentielle.
Mais à un moment donné, il faut choisir. Donc ma réalité potentielle en base de données ne change pas.
Mais l'observation va me proposer qu'une seule publication en premier... puis d'autres...
Quand une publication se propose, facebook me propose d'y réagir. Je peux faire intervenir l'émotionnel... "j'aime" J'adore.. colère.. tristesse....surprise, joie, etc...
Mon émotion va informer l'algorithme (edgerank) que c'est un type de contenu que j'ai envie de renforcer...
Ainsi quand je vois un truc qui me plait... j'aime... et ça renforce son arrivée plus massive... c'est des synchronicités... qui vont me mener à faire grandir cette réalité....
Quand un événement a une forte charge émotionnelle il dépasse la frontière de juste les personnes "abonnées". Il se partage.. et va prendre le dessus.
Il existe quelques événements massifs qui font que si je me connecte j'ai une grande probabilité de voir la même publication que beaucoup d'autres gens.
La dernière fois que ça m'est arrivé c'était lors de l'incendie de la cathédrale Notre Dame.
L'info était relayée partout....
Là on a une réalité commune qui est nettement plus objective.... la fois d'avant où mon fil facebook était centré sur un seul sujet était pour une éclipse de lune. 🌔
(on comprend alors les rituels magiques qui visent à faire des grosses charges émotionnelles pour piloter LA réalité... un sacrifice humain... un rituel en groupe... un match de foot... )
Bref..... si tu veux comprendre l'univers.... étudie le fonctionnement de facebook !!
La méthode scientifique s'appuie sur des faits, établis par des mesures répétées et convenus universellement, indépendamment de qui les a observés. En mécanique quantique, l'objectivité des observations n'est pas si évidente, comme l'a montré de façon spectaculaire l'expérience de pensée éponyme d'Eugene Wigner, où deux observateurs peuvent faire l'expérience de réalités apparemment différentes. La question de savoir si ces réalités peuvent être conciliées de manière indépendante de l'observateur est restée longtemps inaccessible à l'investigation empirique, jusqu'à ce que de récents no-go-theorms construisent un scénario d'ami de Wigner étendu avec quatre observateurs qui nous permet de le mettre à l'épreuve. Dans une expérience de pointe à 6 photons, nous réalisons ce scénario de l'ami de Wigner étendu, en violant expérimentalement l'inégalité de type Bell associée par 5 écarts-types. Si l'on s'en tient aux hypothèses de localité et de libre choix, ce résultat implique que la théorie quantique doit être interprétée en fonction de l'observateur.