La Terminalia Chebula, plante du Bouddha de médecine :
Cette plante est considérée comme la reine des plantes médicinales. On attribue en effet à chacune de ses parties des vertus curatives spécifiques :
Pour le traitement d’une maladie, les Tibétains associent à des remèdes physiques, notamment des préparations à base de plantes, des remèdes d’ordre spirituel : l’initiation à Bhaisajyaguru, sa visualisation, la récitation de ses mantra . Pour eux la maladie s’exprime au travers du corps mais elle est liée à des dérèglements plus profonds : l’ignorance fondamentale, les facteurs perturbateurs (la colère, le désir…) et le karma (si votre karma est mauvais, vous aurez plus de chance de tomber malade).
Le Bouddha médecine à son amulette de santé thaï Phra Kring
En Thaïlande le bouddhisme est pratiqué par plus de 90% de la population. Les amulettes peuvent être destinées à protéger des dangers ou encore à apporter la fertilité. Beaucoup d’entre elles sont des amulettes de santé. Ce sont des amulettes spéciales qui selon la tradition et protègent des maladies, et peuvent apporter la guérison.
Notre Bouddha Médecine Thai, Phra Kring soutiendrai les personnes malades afin de leur donner la force dans la « lutte » contre leur maladie, et permetrai d’activer des forces d’auto-guérison.
Les Thaïlandais, très superstitieux, aime à se procurer cette amulette qu’ils attachent autour du cou pour « renforcer leurs défenses immunitaires et pour aider à la guérison ».
Après avoir pris du Haritaki pendant six mois presque tous les jours, j’ai eu le sentiment que j’avais découvert quelque chose d’unique. Les bienfaits sont incroyables mais si je devais donner deux ou trois effets très réels et très forts, je dirais que les troubles de la digestions ont disparus (et ceux qui en ont savent ce que cela peut représenter comme difficultés quotidiennes), du coup, une nouvelle énergie est disponible pour toute la journée (et c’est là que j’ai réalisé à quelle point la digestion est consommatrice d’énergie). C’est tout le système d’élimination et de nettoyage qui s’améliore considérablement.
Le Haritaki fait partie des trois ingrédients de la formule ayurvédique du Triphala. Tout en soutenant le processus naturel de purification du corps, il élimine en douceur les toxines accumulées dans l’appareil gastro-intestinal. En tant que régénérant, il fortifie et nourrit les tissus et soutient l’action correcte du côlon, des poumons et de la rate. Il favorise une élimination régulière, une masse corporelle saine et soutient la digestion. Le Haritaki est extrêmement vénéré en Inde, car il est sensé augmenter l’énergie, l’intelligence et la conscience.
CE QU’IL FAUT SAVOIR également, c’est que si vous le prenez en poudre, je vous invite à faire comme moi, prenez le avant de manger (le matin après la douche), de la façon suivante:
Je mets d’abord dans une tasse à thé (mug) un peu de jus de citron jaune Bio de Sicile (dans toutes les grandes surfaces), je verse l’eau chaude puis je mets une demie cuillère à café de Haritaki et une cuillère à café de miel de montagne pour adoucir le goût super amer du Haritaki. Si vous essayez sans miel, j’ai peur que vous ne puissiez pas le prendre longtemps !
Selon l’état de vos intestins, les effets se feront ressentir entre tout de suite et deux semaines environ. Pour ne pas courir aux toilettes trop vite et trop souvent, adaptez la prise (perso je n’en prends plus tous les jours et moins qu’une demie cuillère à café). La régulation du transit et le ressenti d’une nouvelle énergie arrive entre deux semaines et deux mois, selon l’état de chacun.
Haritaki (Terminalia chebula) est connu comme l'un des « trois fruits » qui composent le triphala (avec l'amalaki et le bibhitaki). Le goût (rasa) de l'haritaki est décrit comme aigre, sucré, aigre, piquant et amer. L'haritaki équilibre les trois doshas
Herbe aux perruches (Asclepias syriaca)
En médecine traditionnelle asiatique - Prévenir les affections des voies respiratoires; stimuler le système immunitaire; soutenir les personnes affaiblies ou souffrant de maladie chronique; stimuler l’appétit.
En Médecine traditionnelle chinoise (MTC), on emploie la racine d’astragale dans de nombreuses préparations destinées à la prévention des infections respiratoires, qu’elles soient virales ou microbiennes. Elle est notamment l’ingrédient principal de la préparation traditionnelle Yu Ping Feng San (Wan), utilisée pour soigner la rhinite allergique, la bronchite chronique, la grippe et le rhume à répétition. (Voir notre fiche Yu Ping Feng Sandans la section Pharmacopée chinoise.).
L’Agence européenne de sécurité des aliments (EFSA) autorise que la consommation d'Astragale est liée aux bienfaits santé suivants :
L’acacia d’Afrique, qu’il s’agisse d’Acacia nigrescens ou de Acacia caffra, est parfaitement adapté à son environnement : il résiste aux sécheresses, son bois dur le protège des attaques de termites et ses redoutables épines repoussent bon nombre d’assaillants. Mais sa meilleure stratégie de défense est invisible. Elle a été découverte accidentellement.
Dans les années quatre-vingt, des éleveurs de koudous de la province sud-africaine du Transvaal notent un taux de mortalité anormal de leurs bêtes, dans de nombreuses fermes de la région. Les koudous décédés semblent en bonne santé et ne présentent pas de traces d’attaque ni de signes de dénutrition.
Les scientifiques s’intéressent à ces morts suspectes et pratiquent des autopsies qui confirment que les animaux ne sont morts ni de maladie, ni de parasites, ni de faim ou de soif. Seul indice : leur estomac contient des feuilles d’acacia. Le zoologiste Wouter van Hoven constaste un taux élevé de tanins sur les feuilles des acacias à proximité des bêtes, mais aussi sur quelques arbres plus éloignés. Il en conclut que l’acacia augmente la concentration en tanins de son feuillage en réaction à l’attaque des herbivores, ce qui a pour effet d’inhiber la digestion. Pour autant, l’acacia n’est pas un tueur. L’augmentation de la concentration en tanins est détectable par les herbivores qui s’éloignent alors pour chercher une autre source d’alimentation plus saine. Les koudous en captivité n’avaient pas ce choix.
Wouter van Hoven va plus loin encore. Pour lui, l’acacia avertit ses congénères. En effet, des acacias qui n’ont pas été broutés présentent également un taux élevé de tanins. Pour le prouver, il simule une attaque en prélevant quelques feuilles et recouvre les branches de sacs plastiques. En analysant l’air recueilli, il constate que l’arbre libère des substances chimiques volatiles (éthylène) pour communiquer les informations, un peu comme le feraient les phéromones des animaux.
Cette histoire sur les propriétés de l’acacia a beaucoup circulé et a été reprise par des botanistes pour démontrer la stratégie ingénieuse des plantes qui constituerait une forme d’intelligence. Mais elle divise les scientifiques car d’autres experts estiment que cette analyse est le fruit d’une surinterprétation et que les réactions des plantes sont propres à leur constitution végétale.
Cet enregistrement contient une interview fascinante du botaniste Gérard Ducerf, lequel possède une connaissance encyclopédique des plantes et de leur relation avec l’état des sols qui les abritent.
En premier lieu, Gérard Ducerf explique que les graines des plantes restent en dormance, parfois pour des centaines, voire des milliers d’années, jusqu’à ce que le sol qui les contient remplisse les conditions qui vont déclencher leur germination. Ainsi, la présence d’espèces spécifiques sur une parcelle permet au spécialiste de poser un diagnostic sur son état.
Comme le révèle le botaniste, certaines plantes - souvent qualifiées de mauvaises herbes, à l’instar du chardon par exemple - ne se développent que sur une terre carencée ou déséquilibrée par une pollution. Par leur présence, elles réparent le sol en allant chercher des nutriments en profondeur ou en fracturant les molécules qui le rendent toxique.
Les explications de Gérard Ducerf permettent de se rendre compte de l’efficacité et de l’ingéniosité de l’écosystème végétal mis en place par la nature au cours de centaines de millions d’années d’évolution. Non seulement les plantes nourrissent toute la chaîne alimentaire, des animaux jusqu'à l'homme, mais, en association avec les micro-organismes et les champignons, elles travaillent la croûte terrestre pour en faire un substrat capable d’héberger la vie.
Source: Terre à terre - Les plantes bio-indicatrices
https://www.franceculture.fr/emissions/terre-terre/les-plantes-bio-indicatrices
Où il est question de la dormance des graines, avec un exemple d'une graine qui a sommeillé 1000 ans... et s'est réveillée suite à des travaux d'archéologie.
Où il est question d'animaux qui mangent les plantes.... et par les hormones de leur estomac lèvent la dormance de la graine et hop.. ça germe.. donc donne des pommes à manger à un âne et fait le paitre sur une prairie si tu veux un verger.
Mais on apprend aussi que plus l'humain à voulu amender son sol... plus en fait il le détruit par méconnaissance de son mécanisme... cendre, fumier, calcaire.. tous des amendement qui risquent plus souvent de flinguer la vie de ton sol que de l'améliorer...
Puis le cycles de succession de plantes. Le chardon décompacte le sol... tout comme le rumex qui le décompacte mais aussi le dépollue de nombreux métaux ... mais aussi le tournesol.
→ donc si t'as un sol en agriculture à pesticide que tu veux passer en bio → 3 ans de tournesol dessus et ton sol est comme neuf.. tous les pesticides sont dans les graines de tournesol.
Alors soi tu les mets en décharge... soi tu les vends à ceux qui mange pas bio.. car finalement c'est pareil dans tous les champs de tournesol non bio... 😁
chufa = souchet
https://fr.wikipedia.org/wiki/Souchet_comestible
La Paraculture est une cueillette qui préserve et multiplie la plante dans son milieu naturel, sans domestication.
La paraculture, encore appelée culture-cueillette ou cueillette régénérative, propose de multiplier les plantes directement là où elles poussent. Elle repose sur des connaissances naturalistes profondes des plantes consommées. Cette culture est écocentrée : l'homme cultive dans le milieu naturel de la plante, selon les conditions physiologiques et écologiques de la plante. La plante reste sauvage. Les peuples de cueilleurs-cultivateurs pratiquent ou ont pratiqué cette méthode de cueillette régénérative à travers le monde, de manière nomade ou sédentaire.
Maya-Amalia Hediger