Art. 1 But
Le but de la présente ordonnance est d’assurer une indication claire des prix, permettant de les comparer et d’éviter que l’acheteur ne soit induit en erreur.
(...)
L’ordonnance s’applique:
a.
aux marchandises offertes au consommateur;
(...)
Est réputée consommateur toute personne qui achète une marchandise ou une prestation de service à des fins qui sont sans rapport avec son activité commerciale ou professionnelle.
=> Donc dès que tu achètes un truc sans que ce soit pour son boulot.... t'es consommateur !!
Art. 3 Obligation d’indiquer le prix de détail
1 Pour les marchandises offertes au consommateur, le prix à payer effectivement en francs suisses (prix de détail) doit être indiqué à tout moment.
Section 3 Mode d’indication
Art. 7 Affichage
1 Les prix de détail et les prix unitaires doivent être indiqués par affichage sur la marchandise elle-même ou à proximité (inscription, impression, étiquette, panneau, etc.).
2 Lorsque l’affichage sur la marchandise elle-même ne convient pas en raison du grand nombre de produits à prix identique ou pour des raisons d’ordre technique, les prix peuvent être indiqués sous une autre forme, à condition que les indications soient faciles à consulter et aisément lisibles (écriteaux sur le rayonnage, affichage de prix courants, présentation de catalogues, etc.).
3 Il est également loisible de recourir au mode d’indication prévu à l’al. 2 pour les antiquités, objets d’art, tapis d’orient, fourrures, montres, bijoux et autres objets en métal précieux, si leur prix est supérieur à 5000 francs.
=> Donc il me semble possible de remplacer une étiquette papier par un qrcode qui mène à une page web .. = catalogue, "etc."
Art. 12 Pourboires
1 Le pourboire doit être inclus dans le prix ou désigné clairement et indiqué en chiffres.
2 Sont autorisées les mentions «pourboire compris» ou les formulations similaires. En revanche, les mentions «pourboire non compris» ou les formulations similaires sans indication de chiffres, sont interdites.
3 Il est interdit de demander des pourboires en sus du prix indiqué ou du pourboire exprimé en chiffres.
=> DOnc les pourrboires sont interdit en suisse. Tout est dans le prix indiqué.
4.2. Calculer le prix d’un article sponsorisé avec une formule
La méthode ci-dessus, c’est un peu à la louche même si elle permet de cadrer le montant, mais vous souhaitez éventuellement être plus précis.
Pour cela, je vous propose d’utiliser une formule pour calculer le prix de l’article sponsorisé. Cette formule provient d’un site américain et je l’ai récupérée sur le blog NoTuxedo (excellent blog par ailleurs).
La formule est la suivante : (Temps passé x taux horaires) + [(nombre moyen de pages vues par post / 1000) x taux publicitaires]
C’est donc un croisement entre le travail que vous allez devoir fournir et les performances de votre blog. Voici les éléments que l’on doit fournir dans la formule.
Temps passé : combien d’heures allez-vous passer à créer l’article sponsorisé.
Taux horaire : quel est votre prix à l’heure ? Vous pouvez utiliser ma calculatrice pour calculer le taux horaire.
Nombre de pages vues par post / 1000 : nombre de fois où un article est lu en moyenne sur votre blog sur les huit premières semaines suivant sa parution puis divisé le chiffre par 1 000.
Taux publicitaire : la valeur que vous donnez a mille pages vues sur votre site. Pour un blog débutant, vous pouvez mettre 20 € puis augmenter progressivement la valeur.
Exemple de prix pour un article sponsorisé. Votre coût horaire est de 45 € et vous allez passer 3 heures à créer l’article. Généralement, vos articles sont vus par 1 200 visiteurs sur 8 semaines et vous estimez votre coût publicitaire à 30 €. Cela donne donc :
Formule : (3 x 45) + [(1 200 / 1000) x 30] = 171 €
C’est à vous de faire varier les différents paramètres. Dans le cas présent, vous pouvez faire une proposition à 170 € à la marque. C’est le coût que vous estimez pour votre travail.
< 5000 visites mensuelles : de 50 à 90 euros HT par article d’environ 300/400 mots
entre 5000 et 30 000 visites : de 90 à 150 euros HT par article d’environ 300/400 mots
entre 30 000 et 100 000 visites : de 150 à 300 euros HT
entre 100 000 et 500 000 visites : de 300 à 900 euros HT
> 500 000 visites : de 900 à 3000 euros HT
=> Ces prix sont à prendre avec du recul mais ils peuvent vous servir de base de négociation.
A titre d’exemple, un article sponsorisé sur un site de presse comme BFM TV, L’express ou encore Challenges est souvent facturé entre 2000 et 3000 euros HT.
Selon Coop, il est plus judicieux de comparer la marge nette plutôt que la marge brute. Selon un consultant international en commerce de détail, le commerce alimentaire de détail génère en principe des marges faibles (les marges EBITDA se situent en général entre 4 et 8% et l'EBIT entre 2 et 5% du chiffre d'affaires net). Selon Migros, les facteurs d'influence mentionnés dans sa requête et ayant le plus d'impact sur la marge (comprise comme la différence entre le prix d'achat et le prix de vente) dans le commerce de détail alimentaire constituent des secrets d'affaires (même s'ils ne sont pas quantifiés). Une attitude discutable, car les points de coûts correspondants peuvent non seulement être énumérés par le bon sens, mais aussi être répertoriés en ligne sur différents sites, comme par exemple dans l'aperçu du conseiller en commerce de détail mentionné ci-dessus. On peut penser par exemple à la location de surfaces commerciales, aux frais de personnel, aux frais d'informatique, de marketing, de logistique et de publicité.
En outre, un concurrent fait également valoir des coûts de liquidation plus élevés pour les frais de justice, car "le bio [...] se porte généralement moins bien que le conventionnel, car il est perçu comme plus cher". Les dépenses de recherche pour le développement de produits plus efficaces
des méthodes de culture et des formations pour les collaborateurs, et il faudrait effectuer des contrôles en matière de pesticides et de tromperie/authenticité.
Le poste RP et publicité semble particulièrement pertinent, car la gamme bio est souvent utilisée "comme plateforme de communication", c'est-à-dire comme moyen d'attirer des clients intéressants dans les magasins (une observation que l'on retrouve également aux Pays-Bas, mais avec des signes différents en ce qui concerne les marges, voir ci-dessous).
Le Surveillant des prix estime que ce dernier point est particulièrement discutable, car il existe manifestement de gros problèmes de délimitation, qui rendraient une évaluation par des personnes extérieures extrêmement difficile. Des coûts de marketing supplémentaires d'environ [0-10%] du prix de vente pourraient être dus non pas au produit en soi, mais au positionnement de l'entreprise qui, sur le marché, se veut durable. tente de se positionner comme particulièrement durable. Les surcoûts internes liés aux processus constituent un bloc de coûts encore plus important que les coûts de publicité / RP / sponsoring, qui sont également cités de manière forfaitaire et dépassent parfois [10-20%]. du prix de vente (augmenté). Ceux-ci ne peuvent guère être plausibilisés. Même si l'on tient compte des coûts supplémentaires pour les dépenses accrues lors de la liquidation et de l'amortissement des marchandises au point de vente. environ [60-70%] des produits bio considérés d'un grand fournisseur présentaient encore une marge nette résultante (en francs, pas en pourcentage) plus élevée que les produits conventionnels.
tuelle) que leur équivalent conventionnel.
La TAR/CAR est perçue lors d’une vente, d’une location ou d’un leasing, aucune limite de CHF n’étant fixée pour l’électronique grand public et la musique. La TAR/CAR est perçue sur tous les appareils, quel qu’en soit le prix – à l’exception des imprimantes.
33,3 Cts / kWh pour eli10 en 2023...
22,8 Cts / kWh en 2022
soit 46,1% d'augmentation
Carnet du jour, samedi 16 juillet 2022 813 mots, p. 8
Le hold-up des industriels du lait
ERNEST BADERTSCHER, ORBE (VD
Votre excellent article sur le prix du lait sur 3 pages (LT du 27.06.2022) m'a interpellé. Selon les statistiques suisses de 2020 concernant le lait, il y a une production laitière de 3 384 000 tonnes de lait par année: 47% sont transformés en fromage et 27% en lait de consommation, yogourts et lait de conserve, soit 900 000 tonnes, avec une teneur en matière grasse de 4,0%.
La Suisse s'est rapidement alignée sur l'Europe pour définir le lait entier avec une teneur de 3,5% de matière grasse comme lait soi-disant entier. Auparavant, le terme « lait écrémé » devait apparaître sur les emballages. Vite oublié et c'est un business en or massif.
Un kg de lait contient 40 g de matière grasse et il est vendu avec 35 g, d'où 5 g de soustraction ou 6 g de beurre à 12 fr. le kg, cela représente 7,2 centimes. Ils auraient pu le reporter sur le prix du lait. Non, au contraire, un paysan de ma région, dont le lait était légèrement moins gras, a vu son prix du lait diminué!
C'est un vol de 65 millions de francs pour ces 5400 tonnes de beurre, qui fait mieux? Les grands distributeurs ont le monopole sur le lait et ils imposent les prix aux agriculteurs et aussi pour de nombreux autres produits agricoles.
L'Union suisse des paysans ne défend pas les agriculteurs, mais la politique du Conseil fédéral. Cette politique qui met 10% des surfaces agricoles utiles en jachère, soit environ 100 000 hectares, en compensation dite « écologique » pour 3 milliards de francs. Alors que nous ne produisons que 50% de nos besoins et que notre blé n'utilise que 80 000 hectares et que nous en produisons suffisamment. C'est un non-sens car le sol doit produire des aliments. Et ils pensent augmenter ces surfaces pour acheter à l'étranger à vil prix!
Le prix du lait et les consommateurs
ROSE MORISOD MUVERAN, MONTHEY (VS)
Un article de 2 pages pour nous dévoiler les marges exorbitantes que prennent les grands distributeurs sur la vente des produits laitiers!!! Comme si le public, connaissant le prix du lait en magasin et son prix d'achat aux paysans, n'avait pas su calculer ces marges jusqu'à aujourd'hui! Monsieur Prix a-t-il découvert le fil à couper le beurre?
En 2020, j'avais félicité Anne Chenevard [du collectif Lait équitable] pour son combat pour obtenir 1 fr. par litre de lait produit (même tarif qu'il y a trente ans!). Que faisait l'Union suisse des paysans? Pourquoi n'est-elle jamais montée aux barricades pour recevoir un prix juste du lait?
J'ai appris par un paysan, qui disait ne pas vouloir s'exprimer par peur de voir ses camarades lui tourner le dos, que de nombreux paysans étaient satisfaits de recevoir ces subventions et ne voulaient pas que cela change. Le profit qu'ils en tirent est satisfaisant par rapport au travail que les surfaces à entretenir (ou pas, selon leur conscience) leur donnent. D'autres se sont mis à transformer eux-mêmes leur lait en faisant du fromage. Ils s'en sortent.
Mme Chenevard me prévenait d'une possible pénurie de beurre chez nous! Les grands distributeurs préfèrent acheter le lait à l'étranger moins cher pour augmenter leur marge de bénéfice. Ça les arrangerait qu'il n'y ait plus de lait à acheter en Suisse: d'où une mort peut-être programmée de la paysannerie en Suisse. Adieu, l'autonomie alimentaire de notre pays!
Donnons un salaire aux paysans pour leur participation à l'entretien de notre territoire! Arrêtons de subventionner indirectement Migros et Coop et exigeons de leur part un prix d'achat du litre de lait décent et juste. Souhaitons que les consommateurs suisses évitent d'aller acheter leur beurre en France voisine, conscients de leur rôle à jouer dans la continuité de la production laitière suisse.
Les cinq gagnants et les critères déterminants selon le rapport Simap :
IBM Suisse, critères déterminants: acceptation la plus large possible des conditions du contrat visées et proposition de prix et de rabais de volume attrayants.
Amazon Web Services EMEA, critères déterminants: acceptation la plus large possible des conditions du contrat visées et obtention d’un nombre élevé de points pour le critère relatif aux centres de calcul.
Oracle Suisse, critères déterminants: proposition des prix et des rabais de volume les plus intéressants
Microsoft Suisse, critères déterminants: obtention du nombre de points le plus élevé pour le critère relatif aux centres de calcul existant déjà en Suisse.
*Alibaba Europe, critères déterminants: proposition de prix très attrayants.
Certains fournisseurs suisses dont Infomaniak avaient critiqué le fait que l’appel d’offres soit réservé aux fournisseurs cloud disposant de centres de données sur au moins trois continents différents et servant une clientèle internationale.
8 juillet 2022
L’avertissement dramatique est lancé depuis des mois. Le blocage des exportations de blé et autres céréales à partir de l’Ukraine et de la Russie va affamer le monde. Poutine use là d’une arme odieuse. Tous les médias ont martelé le message. Et voilà que surgit une information qui ne confirme pas du tout cette assertion. Non pas sur les sites de la propagande russe. Sous les plus honorables enseignes: la «Sueddeutsche Zeitung», le «Tagesanzeiger» et le «Schweizer Monat». La surprenante nouvelle en revanche ne parviendra pas aux radios et aux télés.
En réalité le prix du blé, sur les marchés mondiaux, est tombé, le 1er juillet, à son niveau le plus bas depuis quatre mois. Sur le Chicago Mercantile Exchange (CME), le prix du boisseau (environ 27 kilos) a chuté de plus de 35% depuis le pic du 7 mars. Sur le Matif à Paris, le prix par tonne a baissé d'un peu plus de 18% en un mois. Pourquoi? D’abord parce que l’Ukraine a réussi à exporter beaucoup plus de grains que prévu. La Russie aussi et s’apprête à faire davantage encore avec l’aide de la Turquie qui tente de sécuriser le trafic commercial dans la mer Noire. Et puis, les fluctuations saisonnières ont leur part. La récolte 2022 qui s’annonce excellente a déjà commencé alors que les stocks sont encore importants. Le prix du maïs baisse également, celui du colza est même tombé à son niveau de fin 2021.
Sursaut conjoncturel cependant le 4 juillet, selon le site spécialisé Agritel: «Net rebond des cours du blé hier sur Paris, à la faveur notamment d’un nouvel achat de la part de l’Egypte sous forme de négociations privées, sur lequel la France aurait été retenue pour une partie. Au total 444'000 tonnes auraient été ainsi contractualisées, réparties entre 214'000 tonnes d'origines russes, 170'000 d'origines France et 60'000 de Roumanie. Il est assez inhabituel de voir l’origine France retenue en début de campagne, ce qui laisse supposer une bonne compétitivité actuellement, et une demande à l’international soutenue.»
Pas tout à fait ce que l’on nous a raconté!
La Fondation Ambros Lüthi
La fondation Ambros Lüthi a été créée fin 2012 en mémoire d'Ambros Lüthi, cette personnalité marquante de l'Université de Fribourg, subitement décédée en 2008.
Son but est d'encourager la recherche et l'enseignement en sciences économiques intégrant les dimensions écologiques et éthiques.
Elle récompense tous les deux ans, par un prix de 5'000 francs, un travail de recherche désigné à l'issue d'une procédure d'appel à projets en ligne avec les valeurs qui étaient celles d'Ambros Lüthi.
Le prochain prix sera décerné le 5 octobre 2018. La procédure d'appel est ouverte (cf. onglet soumission).
Le Prix IDDEA (Idées de développement durable pour les entreprises d’avenir) encourage la concrétisation de projets d’entreprise durable et innovantes par un accompagnement spécifique et formateur des porteurs et porteuses de projets. Les propositions doivent répondre à trois critères: économiquement viable, écologique et socialement utile. Recyclage et récupération, mobilité douce, production artisanale et locale, alimentation durable, sont autant d’exemples de domaines soutenus lors des dernières éditions. Quinze idées de projet seront sélectionnées courant 2019 et les candidat-e-s retenu-e-s bénéficieront gratuitement pendant six mois de conseils et formations dispensés par des experts (GENILEM, Fondetec, Après-GE, HEG Genève) jusqu’à la réalisation de leur plan d’affaire.
Zurich
Genève
Oslo
Copenhagen
New-York
Les Lois d'Eshnunna sont un recueil législatif de la Mésopotamie ancienne, daté de la première moitié du XVIIIe siècle av. J.-C., rédigé en akkadien.
Les deux premiers articles donnent des correspondances de prix entre différents moyens de paiement et autres produits courants (grain d'orge, argent, huile, laine, cuivre bitume, etc.)
En Europe, une expérience sur le terrain rigoureusement menée par des professeurs de marketing dans un restaurant de Francfort, en Allemagne, a révélé que, lorsque le buffet de déjeuner à 8,99 euros était transformé en un produit PWYW pendant deux semaines, les clients payaient 19% de moins. Ils ont payé 28% de moins pour les billets de cinéma dans un théâtre. Dans un café, toutefois, les clients payaient 10% de plus pour le prix de PWYW pour le cappuccino et le café express que pour le prix fixé. Dans l'ensemble, la tarification en fonction de PWYW a entraîné une baisse du bénéfice par client mais une augmentation du nombre de visites.
Marche avec confiance chez des clients réguliers et en payant face à face en personne.
Catastrophe si anonyme et sans lien avec le vendeur..
Sauf si la précision est indiquée... "caritatif"
2
2'300'000 3.00 8.00 20.00 60.00 110.00