Les nuages disparaissent rapidement pendant l'éclipse solaire
Actualités - 12 février 2024 - Webredactie
Les cumulus au-dessus des terres commencent à disparaître presque instantanément lors d'une éclipse solaire partielle. Jusqu'à récemment, les mesures prises par satellite pendant l'éclipse se traduisaient par des taches sombres sur la carte des nuages, mais des chercheurs de la TU Delft et du KNMI ont pu récupérer les mesures prises par satellite en utilisant une nouvelle méthode. Les résultats peuvent avoir des implications pour les idées proposées en matière d'ingénierie climatique, car la disparition des nuages peut s'opposer en partie à l'effet de refroidissement des éclipses solaires artificielles. Les résultats ont été publiés aujourd'hui dans la revue Nature Communications Earth and Environment.
Bien que les effets des éclipses solaires soient étudiés depuis des siècles, on ne savait pas comment les nuages puissants réagissaient précisément. "Depuis la Terre, on peut compter les nuages et les voir disparaître, mais cela ne constitue qu'une preuve anecdotique", explique Victor Trees, candidat au doctorat. "Même en l'absence d'éclipse solaire, les nuages changent constamment.
avis de Coopsol:
Le reportage diffusé sur la RTS le vendredi 20 octobre (lien ci-dessous) met en évidence le besoin de renforcer les capacités du réseau électrique pour accepter une production renouvelable décentralisée importante. Malgré cette situation, notre installation en construction sur le collège de la Fontenelle, prise en exemple dans ce reportage, constitue une contribution significative au tournant énergétique et reste rentable d’un point de vue économique.
Le Conseil d’administration (CA) de la coopérative tient à informer ses membres qu’il a pris connaissance des limitations imposées par le GRD (gestionnaire de réseau, soit Groupe E) lors de la planification détaillée du projet il y a de nombreux mois. Le CA a décidé d’aller de l’avant en connaissance de cause, tout en cherchant des solutions pour supprimer la limite des 95 kW sans que la Coopérative ait a investir elle-même dans le réseau du GRD (solution qui était proposée par Groupe E). L’amélioration du réseau de distribution ne relève clairement pas de la responsabilité de Coopsol. L’assemblée générale a été informée de la situation lors de la séance ordinaire du 8 juin 2023.
Après investigation et contrairement à la communication initiale de Groupe E, la limitation sera augmentée à 250 kW dans les mois qui suivront la mise en service.
En terme économiques, la Coopérative tirera deux revenus de cette installation: l’énergie auto-consommée par le collège lui-même (vendue à la commune de Val-de-Ruz), et l’énergie injectée sur le réseau et revendue au GRD (ou a un tiers). L’énergie auto-consommée n’est de facto pas affectée par cette limitation. L’énergie revendue, qui correspond à la différence entre l’énergie produite et l’énergie auto-consommée, pourrait être plafonnée une partie de l’année seulement, si l’auto-consommation n’est pas suffisante. Cette situation pourrait se produire durant les mois d’été, lorsque la consommation est la plus faible (vacances scolaires) et la production la plus élevée. Cette perte de revenu ne met nullement en péril les finances de Coopsol, bien que le rendement en soit légèrement amoindri (moins de 10% de l’énergie revendue). Ceci ne remet pas en question le projet de la Fontenelle, le plus gros projet développé par Coopsol jusqu’ici. C’est un magnifique projet et le CA de Coopsol se réjouit d’en soumettre de nouveaux à votre approbation à l’avenir.
Le CA de Coopsol examine également d’autres solutions techniques permettant d’injecter la totalité de la puissance produite, sans devoir investir massivement dans l’amélioration du réseau ni dans un stockage dans des batteries qui n’est également pas intéressant économiquement. Les modèles changent et les GRD doivent s’adapter et adapter leur réseau. Ceci montre également que le tournant énergétique est en marche, et nous sommes fiers d’en être des acteurs avec vous!
Lien sur le reportage de la RTS:
Les pyramides chinoises sont d'immenses monticules funéraires anciens. Sur les images satellites, on peut voir des complexes dont les bâtiments principaux sont les monticules pyramidaux d'un empereur et de son impératrice. Nous discutons ici de l'orientation possible du lever et du coucher du soleil de ces deux pyramides lors des solstices et des équinoxes.
La pyramide de Li Hong (empereur Xiaojing) de la dynastie Tang près de Goushi, Henan. La petite pyramide de l'impératrice Ai. La ligne jaune indique la direction du lever du soleil au solstice d'été. Le pivot est donné au centre géométrique de la base de la pyramide. Cette image est obtenue à partir d'une capture d'écran du logiciel SunCalc.org, qui est un remarquable outil d'aide aux études archéoastronomiques. Ce logiciel utilise les cartes ESRI. Sur celles-ci, il s'appuie sur le SIG ESRI (plus d'informations sur https://www.esri.com/en-us/home).
Calcul des positions planétaires - un tutoriel avec des exemples pratiques
Par Paul Schlyter, Stockholm, Suède
WWW : http://stjarnhimlen.se/
Sortir d'un cadre
1. Principes de base
2. Quelques fonctions utiles
3. Coordonnées rectangulaires et sphériques
4. L'échelle de temps. Une date test
5. La position du soleil
6. Le temps sidéral et l'angle horaire. Altitude et azimut
7. Position de la Lune
8. Position de la Lune avec une plus grande précision. Perturbations
9. Position topocentrique de la Lune
10. Les éléments orbitaux des planètes
11. Les positions héliocentriques des planètes
12. Plus grande précision - perturbations
13. Précession
14. Positions géocentriques des planètes
15. L'élongation et les éphémérides physiques des planètes
16. Les positions des comètes. Comète Encke et Levy
Comment calculer les positions des planètes
Calcul des heures de lever et de coucher
Aujourd'hui, il n'est pas très difficile de calculer la position d'une planète à partir de ses éléments orbitaux. La seule chose dont vous avez besoin est un ordinateur et un programme approprié. Si vous souhaitez écrire un tel programme vous-même, ce texte contient les formules dont vous avez besoin. Le but est d'obtenir les positions des planètes à n'importe quelle date du 20ème et 21ème siècle avec une erreur d'une ou deux minutes d'arc au maximum, et de calculer la position d'un astéroïde ou d'une comète à partir de ses éléments orbitaux.
Aucun programme n'est fourni, car les ordinateurs et les calculatrices sont programmés dans des langages différents.
Une implémentation de cet algorithme pour calculer la position du soleil (azimut et élévation) depuis un lieu.
https://fr.planetcalc.com/320/
Sunrise/Sunset Algorithm Example
Source:
Almanac for Computers, 1990
published by Nautical Almanac Office
United States Naval Observatory
Washington, DC 20392
Inputs:
day, month, year: date of sunrise/sunset
latitude, longitude: location for sunrise/sunset
zenith: Sun's zenith for sunrise/sunset
offical = 90 degrees 50'
civil = 96 degrees
nautical = 102 degrees
astronomical = 108 degrees
NOTE: longitude is positive for East and negative for West
Worked example (from book):
June 25, 1990: 25, 6, 1990
Wayne, NJ: 40.9, -74.3
Office zenith: 90 50' cos(zenith) = -0.01454
first calculate the day of the year
N1 = floor(275 month / 9)
N2 = floor((month + 9) / 12)
N3 = (1 + floor((year - 4 floor(year / 4) + 2) / 3))
N = N1 - (N2 * N3) + day - 30
Example:
N1 = 183
N2 = 1
N3 = 1 + floor((1990 - 4 * 497 + 2) / 3)
= 1 + floor((1990 - 1988 + 2) / 3)
= 1 + floor((1990 - 1988 + 2) / 3)
= 1 + floor(4 / 3)
= 2
N = 183 - 2 + 25 - 30 = 176
convert the longitude to hour value and calculate an approximate time
lngHour = longitude / 15
if rising time is desired:
t = N + ((6 - lngHour) / 24)
if setting time is desired:
t = N + ((18 - lngHour) / 24)
Example:
lngHour = -74.3 / 15 = -4.953
t = 176 + ((6 - -4.953) / 24)
= 176.456
calculate the Sun's mean anomaly
M = (0.9856 * t) - 3.289
Example:
M = (0.9856 * 176.456) - 3.289
= 170.626
calculate the Sun's true longitude
[Note throughout the arguments of the trig functions
(sin, tan) are in degrees. It will likely be necessary to
convert to radians. eg sin(170.626 deg) =sin(170.626*pi/180
radians)=0.16287]
L = M + (1.916 sin(M)) + (0.020 sin(2 * M)) + 282.634
NOTE: L potentially needs to be adjusted into the range [0,360) by adding/subtracting 360
Example:
L = 170.626 + (1.916 sin(170.626)) + (0.020 sin(2 170.626)) + 282.634
= 170.626 + (1.916 0.16287) + (0.020 * -0.32141) + 282.634
= 170.626 + 0.31206 + -0.0064282 + 282.634
= 453.566 - 360
= 93.566
5a. calculate the Sun's right ascension
RA = atan(0.91764 * tan(L))
NOTE: RA potentially needs to be adjusted into the range [0,360) by adding/subtracting 360
Example:
RA = atan(0.91764 * -16.046)
= atan(0.91764 * -16.046)
= atan(-14.722)
= -86.11412
5b. right ascension value needs to be in the same quadrant as L
Lquadrant = (floor( L/90)) * 90
RAquadrant = (floor(RA/90)) * 90
RA = RA + (Lquadrant - RAquadrant)
Example:
Lquadrant = (floor(93.566/90)) * 90
= 90
RAquadrant = (floor(-86.11412/90)) * 90
= -90
RA = -86.11412 + (90 - -90)
= -86.11412 + 180
= 93.886
5c. right ascension value needs to be converted into hours
RA = RA / 15
Example:
RA = 93.886 / 15
= 6.259
calculate the Sun's declination
sinDec = 0.39782 * sin(L)
cosDec = cos(asin(sinDec))
Example:
sinDec = 0.39782 sin(93.566)
= 0.39782 0.99806
= 0.39705
cosDec = cos(asin(0.39705))
= cos(asin(0.39705))
= cos(23.394)
= 0.91780
7a. calculate the Sun's local hour angle
cosH = (cos(zenith) - (sinDec * sin(latitude))) / (cosDec * cos(latitude))
if (cosH > 1)
the sun never rises on this location (on the specified date)
if (cosH < -1)
the sun never sets on this location (on the specified date)
Example:
cosH = (-0.01454 - (0.39705 * sin(40.9))) / (0.91780 * cos(40.9))
= (-0.01454 - (0.39705 * 0.65474)) / (0.91780 * 0.75585)
= (-0.01454 - 0.25996) / 0.69372
= -0.2745 / 0.69372
= -0.39570
7b. finish calculating H and convert into hours
if if rising time is desired:
H = 360 - acos(cosH)
if setting time is desired:
H = acos(cosH)
H = H / 15
Example:
H = 360 - acos(-0.39570)
= 360 - 113.310 [ note result of acos converted to degrees]
= 246.690
H = 246.690 / 15
= 16.446
calculate local mean time of rising/setting
T = H + RA - (0.06571 * t) - 6.622
Example:
T = 16.446 + 6.259 - (0.06571 * 176.456) - 6.622
= 16.446 + 6.259 - 11.595 - 6.622
= 4.488
adjust back to UTC
UT = T - lngHour
NOTE: UT potentially needs to be adjusted into the range [0,24) by adding/subtracting 24
Example:
UT = 4.488 - -4.953
= 9.441
= 9h 26m
convert UT value to local time zone of latitude/longitude
localT = UT + localOffset
Example:
localT = 9h 26m + -4
= 5h 26m
= 5:26 am EDT
Une implémentation de cet algorithme:
https://fr.planetcalc.com/300/
avec un temps de pause de 6 mois !!! (en sténopé) on peut voir la course du soleil dans le ciel.
Pour le Dr. Hawass, le coucher du soleil aligné au-dessus du sphinx ne serait donc pas un hasard.
Ceci suggère, selon l'égyptologue, que la statue de 20 mètres de haut et 73 mètres de long a été érigée à cet endroit dans un objectif astronomique et religieux. "Ce phénomène prouve que les archéologues se trompaient quand ils disaient que les Égyptiens avaient trouvé une pierre par hasard et l'avait changée en une statue à visage humain et au corps non-humain", écrit le ministère dans sa publication.
La photo publiée par le ministère égyptiens des antiquités:
https://www.facebook.com/moantiquities/photos/a.979988385380145/2935261899852774/?type=3&theater
Une série d'explosions à la surface du Soleil pourrait provoquer des aurores boréales (et peut-être aussi des aurores australes) d'ici mardi, tout en perturbant les services de radio et de satellite.
"Un filament magnétique connecté à la tache solaire AR3229 a éclaté le 24 février, produisant une réaction en chaîne d'événements qui pourraient conduire à une tempête géomagnétique sur Terre", a expliqué l'astronome Dr Tony Phillips à Spaceweather.com.
Cet éclatement de la tache solaire AR3229 a déclenché une éruption solaire de classe M (intensité moyenne) de longue durée. Le rayonnement de cette éruption a voyagé à la vitesse de la lumière pour atteindre la Terre en moins de dix minutes et perturber les communications en mer pendant près d'une heure.
Le Soleil est entré dans son 25ème cycle d’activité en décembre 2019. Son prochain pic d’activité devrait être enregistré en juillet 2025 et jusque-là, le nombre de tempêtes solaires devrait croître. Mais est-ce dangereux pour nous ? Pour notre système planétaire ? Pour la Terre ? À la fin du mois dernier, le 28 octobre, l’éruption solaire qui se produisit inquiéta l’espace d’un instant plusieurs analystes. Car l’éjection fut crachée par notre étoile dans notre direction, envoyant vers le Sud de la Terre un colossal nuage de particules qui nous frôla de peu.
Astronomy Engine : calcul multilingue des positions du Soleil, de la Lune et des planètes. Prédit les phases lunaires, les éclipses, les transits, les oppositions, les conjonctions, les équinoxes, les solstices, les heures de lever et de coucher, et d'autres événements. Fournit des transformations de coordonnées vectorielles et angulaires entre les orientations équatoriale, écliptique, horizontale et galactique.
Cet article cherche à établir un lien entre les volcans et la variabilité solaire. Les événements solaires ont été étudiés en tant qu'interférences possibles avec des événements naturels dangereux sur Terre. Les premiers résultats ont souligné que pendant le minimum solaire, la fréquence et la force des volcans augmentaient. Cependant, la variabilité solaire n'est pas le seul facteur qui perturbe les éruptions volcaniques ; il y a aussi la saisonnalité. Il y a une double interférence du Soleil sur les volcans, l'une provenant des cycles solaires, et la seconde des saisons.
360° 24h - -
60° 4h - -
30° 2h - -
10° - 40 min -
5° - 20 min -
1° - 4 min -
0,1° - - 24s
0,01° - - 2,4s
https://sylvainbiquette.xyz/presentation-horloge-temps-naturel/
40 satellite détruit sur 49 fraichement lancés
→ Cette vidéo confirme le modèle cosmologique Janus de Jean-Pierre Petit.... un espace temps dans l'envers du décors..
→ le soleil est une porte dimensionnelle... utilisée par des vaisseaux.. → Nassim Haramein en parlais en 2003 dans une conférence, image à l'appui..
https://www.youtube.com/watch?v=5oH8S0Jc29g
cette hypnose dit aussi que le réchauffement climatique n'est du qu'à 20% à l'activité humaine.... le soleil flash... mais aussi le soleil central......
→ Bascar le disait dans une vidéo.. l'humain a peur de ne rien contrôler... donc mieux vaut dire que tout est d'origine humaine... car ainsi on a l'impression d'avoir la possibilité de faire qq chose.... s'est rassurant !
https://www.youtube.com/watch?v=pXMUtFPAxKI
Contexte. Il n'y a pas de consensus sur l'amplitude du forçage solaire historique. L'ampleur estimée de la différence d'irradiance solaire totale (TSI) entre le minimum de Maunder et le temps présent varie de 0,1 à 6 W m -² rendant la simulation du climat passé et futur incertaine. Une des raisons de ce désaccord est l'évolution appliquée de la luminosité du Soleil calme dans les modèles de reconstruction de l'irradiance solaire. Ce travail aborde le rôle du choix du modèle du Soleil calme et des proxies de l'activité magnétique solaire mis à jour sur la reconstruction du forçage solaire. Objectifs. Nous cherchons à établir une gamme plausible pour la variabilité de l'irradiance solaire sur des échelles de temps décennales à millénaires. Méthodes. L'irradiance solaire spectrale (SSI) est calculée comme une somme pondérée des contributions de l'ombre des taches solaires, de la pénombre des taches solaires, des facules et du Soleil calme, qui sont précalculées avec le code de synthèse spectrale NLTE (NESSY). Nous introduisons des ceintures d'activité des contributions des taches solaires et des facules et un nouveau modèle de structure pour l'état le plus calme du Soleil. Nous supposons que la luminosité du Soleil calme varie dans le temps proportionnellement à la variation séculaire (lissée sur 22 ans) du potentiel de modulation solaire. Résultats. Une nouvelle reconstruction de la TSI et de la SSI couvrant la période 6000 avant notre ère - 2015 CE est présentée. Le modèle simule bien la variabilité de l'irradiance solaire pendant l'ère des satellites. La variation de la TSI entre les minima de Maunder et les minima récents varie entre 3,7 et 4,5 W m -² selon le potentiel de modulation solaire appliqué. La mise en œuvre d'un nouveau modèle de Soleil le plus calme réduit, d'un facteur deux environ, le forçage solaire relatif par rapport à la plus grande estimation précédente, tandis que l'application d'un potentiel de modulation solaire actualisé augmente de 25 à 40 % la différence de forçage entre le minimum de Maunder et le présent.
27.03.2017 – 08:00
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Expliquer le climat du passé
Les scientifiques concernés se retrouvent à la fin du mois de mars 2017 pour une conférence à Davos afin de discuter des résultats finaux du projet. Ce dernier regroupe les savoir-faire de différentes institutions en matière de modélisation des effets climatiques: le PMOD a calculé le forçage radiatif du Soleil en prenant en compte son rayonnement électromagnétique mais aussi particulaire, l'ETH Zurich a étudié les autres répercussions sur l'atmosphère et l'Université de Berne a examiné les interactions entre l'atmosphère et les océans.
Les chercheurs suisses sont partis de l'hypothèse que le rayonnement parvenant sur Terre accuse des variations bien plus importantes que prédites par les modèles antérieurs. "C'est la seule approche qui permette d'expliquer les variations climatiques naturelles des derniers millénaires", avance Werner Schmutz. Pour lui, les autres hypothèses qui s'appuient entre autres sur les effets d'éruptions volcaniques majeures sont moins concluantes.
Savoir comment le Soleil se comportera au cours des prochaines années relève cependant toujours de la spéculation: les séries de données ne sont disponibles que depuis quelques décennies et ne révèlent pas de variations sur cette période. "Nos derniers résultats demeurent donc une hypothèse, souligne Werner Schmutz. Il reste toujours difficile pour les physiciens solaires de prévoir le prochain cycle". Toutefois, étant donné que nous observons depuis 1950 une phase de grande intensité, il est probable que nous connaissions à nouveau un creux au cours des cinquante à cent prochaines années. Celui-ci pourrait être aussi marqué que le minimum de Maunder, qui a correspondu à une période particulièrement froide au XVIIe siècle.
L'importance des données historiques
La perspective historique a également été intégrée au projet de recherche. Le Centre Oeschger de recherche sur le climat de l'Université de Berne a comparé des séries de données sur l'activité solaire passée à des conditions climatiques concrètes. Les taches solaires, dont le nombre est en étroite corrélation avec l'activité du Soleil, font l'objet de relevés depuis plus de trois siècles. Il est toutefois beaucoup plus difficile d'estimer la température de l'époque. "Nous savons que les hivers étaient extrêmement rigoureux lors du dernier minimum, en tout cas en Europe du Nord", note Werner Schmutz. Il faudra néanmoins encore du travail pour établir une image détaillée du rapport entre l'activité solaire et le climat global - qu'il s'agisse de notre passé ou de notre avenir.
Sinergia: rendre la recherche interdisciplinaire possible
Au travers du programme Sinergia, le FNS soutient la coopération entre deux et quatre groupes menant des recherches interdisciplinaires visant une recherche pionnière. Le financement dépend du nombre de groupes de recherche et de la durée d'un projet. Il varie entre 50 000 et 3,2 millions de francs. Les projets durent entre un et quatre ans.
Contact:
Werner Schmutz
Observatoire physico-météorologique de Davos
Dorfstrasse 33
CH-7260 Davos Dorf
E-mail werner.schmutz@pmodwrc.ch
Tel. +41 58 467 5145
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
L'effet de l'activité du soleil sur le changement climatique a été soit à peine connu, soit négligé. Dans ce livre capital - publié pour la première fois en allemand sous le titre Die kalte Sonne en 2012 - le professeur Fritz Vahrenholt et le docteur Sebastian Lüning démontrent que la cause essentielle du changement de la température mondiale a été, et continue d'être, l'activité du soleil. Vahrenholt et Lüning révèlent que quatre cycles solaires simultanés maîtrisent la température de la Terre - une réalité climatique sur laquelle les émissions de carbone de l'homme ont peu d'importance. La phase actuelle de refroidissement du soleil, précisément suivie dans cet ouvrage, rend impossible les perspectives catastrophiques avancées par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies et l'agenda alarmiste dominant dans la politique occidentale contemporaine.
C’est à 12 heures 13 que le phénomène sera le plus marqué à Genève et, à ce moment, 7% du Soleil sera caché. Après 13 heures, tout sera terminé.
C’est à 12 heures 13 que le phénomène sera le plus marqué à Genève et, à ce moment, 7% du Soleil sera caché. Après 13 heures, tout sera terminé.
L'astronome A.E. Douglass est généralement reconnu comme le père fondateur de la dendrochronologie. Il a étudié les cernes des arbres à la recherche de preuves que les variations solaires (telles qu'observées dans les taches solaires) se reflètent dans les variations climatiques. Il était convaincu du succès de sa quête. L'analyse de certaines de ses premières données à l'aide de la décomposition de Fourier et la comparaison des périodogrammes des cernes des arbres avec ceux basés sur les cycles solaires connus suggèrent que les cycles qu'il a trouvés n'existent peut-être pas ou ne sont peut-être pas d'origine purement solaire. Les résultats rapportés ici suggèrent une influence beaucoup plus forte des marées sur les enregistrements des cernes que ce qui est généralement considéré. Le grand mérite de Douglass en tant que pionnier de la datation des cercles d'arbres en archéologie et de la climatologie basée sur les cercles d'arbres n'est pas affecté par les résultats présentés ici.
L’idée que des variations de l’activité solaire puissent expliquer le changement climatique en cours, bien qu’invalidée, est très répandue dans la blogosphère climatosceptique.
Des simulations numériques suggèrent que les variations de l'activité solaire pourraient avoir un effet mesurable sur le climat. Selon les travaux financés par le Fonds national suisse, le réchauffement terrestre induit par les activités humaines pourrait accuser un léger ralentissement au cours des prochaines décennies. Un rayonnement solaire plus faible pourrait contribuer à une baisse de la température d'un demi-degré.
Des variations naturelles du climat accompagnent le réchauffement anthropique, c'est-à-dire induit par l'être humain. Le Soleil constitue un paramètre de taille dans les fluctuations des températures terrestres, qui suit différents cycles. Les oscillations de son activité modifient l'intensité du rayonnement qui parvient sur Terre. Déterminer si ces variations exercent ou non une influence mesurable sur le climat terrestre constitue l'une des questions centrales de la recherche climatique. Les rapports du GIEC partent du principe que l'activité solaire enregistrée dans un passé récent, comme celle à venir dans un futur proche, n'est pas significative pour le réchauffement climatique.
Une étude soutenue par le Fonds national suisse (FNS) remet ce postulat en cause. Des chercheuses et chercheurs de l'Observatoire physico-météorologique de Davos (PMOD), de l'Eawag, de l'ETH Zurich et de l'Université de Berne se sont appuyés sur des numérisations informatiques complexes et sont parvenus à établir une estimation solide de l'influence du Soleil sur la température globale au cours des cent prochaines années. Ils ont pour la première fois pu mettre en évidence des effets notables: un refroidissement d'un demi-degré lorsque l'activité solaire atteindra son prochain minimum.
Cet effet ne compensera en aucun cas la hausse des températures provoquée par les activités humaines, mais reste très important, selon Werner Schmutz, directeur du PMOD et responsable de ce projet: "Nous pourrions gagner un temps précieux si l'activité du Soleil décroît et que la hausse des températures ralentit ainsi un peu. Cela pourrait nous aider à composer avec les conséquences du réchauffement climatique". Ce répit ne sera cependant que passager, met en garde Werner Schmutz: après un minimum d'activité solaire vient forcément un maximum.
Depuis l'invention des Horloges à pendule,
dont il y en a qui marquent les minutes & les
fteondes, fans varier d'une féconde en plu-
A l'égard des perfonnes qui n'ont point de
connoiflance d'aucune de ces mefures, ils
pourront employer les Pendules , dont la
longueur doit être à Paris de 3 pieds huit
lignes 7, pour que leurs vibrations foient exac-
tement d'une féconde de temps. Cette mefu-
re eft fenfîblement la même dans prefque
toute V Europe y & on pourroit la regarder
comme univerlelle, fi les Pendules étoient
d'égale longueur dans -teus les Païs, ce qJi
delà Te RRE. Partie II. 307
n'eft pas conforme aux expériences qui enxnt
été\ feLtes à Qayennc en Amérique -, & au
Cap-verd en Afrique, comme on peut le voir
dans le Livre des Voyages de V Académie.
•îie.pied dé Paris fe idivife en douze pouces,
& chaque pouce en dou^e lignes ; c'éft pour-
quoi^ (i on fuppofe chaque ligne divifce eQ
dix parties, on aura le pied de Paris
de .... . . . . . i 1440 parties.
Le pied de Bologne de a J ; 1682 de ces
.«.-•-• ' tti&riès parties*
■Le pied, de^ Danemark d e ; . ' « • . 1 404'
Le pied.de ^/fe/» qu de Leyde #£1390 %
Le pied de Londres de . . : . : 1,5^0
Le pied de Suéde de . . . 1316
Le pied Romain du Capitole de 1306
Le pied de Dantzik de # .." ~. 1272 '.
Le pied à!Amfterdam de . . j . 1 25*8
Le palme de Naples de . ' : ;l 1169 ' " (
Le palme de de . > ^ , I T13
Le palme te Palertnc de r . 1073
Le palme Romain de . . ♦ 990
La brafle de Bthgne de . 2.640 . "
La 'brafle de Florence à terre de 2430
La brafle de Parme & de Plai»
famé de' lu ; *. . . 2423
La brafle de Reggio de , ! Y 7.348 £ ,
La brafle de Milan te V i: . 1166 ' '
La brafle de -Br^ de ... 207^
La brafle de Mantonë de . # . 2062
Suivant nos dimeniïons une Tierce de la
Circonférence de la Terre eft au pied de
Paris comme 2282 à 1440.
Cette mefure eft moyenne entre celle de la
brafle de plufieurs Villes d'Italie, & on pour-
roit Tappeller brafle Géographique.
»
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go De la Grandeur et de la Figure
fieurs révolutions journalières des Etoiles, on
peut s'en fervir pour trouver la Méridienne en
cette manière.
On dréfle une Lunette à l'horifon , à l'en-
droit où le Soleil fe levé aux jours des Solfti-
ces , & on obferve à la Pendule le temps au-
quel les deux bords du Soleil paffent par le fil
vertical de cette Lunette, pour avoir le temps
auquel le centre du Soleil a paffé par le fil
vertical, & on remarque fur l'horifon l'endroit
qui eft coupé par le fil vertical.
On obferve enfuite avec un Quart de Cercle
ou avec quelque autre infiniment , des hau-
teurs égales du Soleil quelques heures avant
& après midi , marquant les momens de ces
hauteurs correfpondantes. Partageant en deux
l'intervalle de temps qui eft entre deux obler-
vations faites à la même hauteur , & ajoûtant
U moitié à l'heure qui a été obfervée avant
midi , ou la retranchant de celle de l'aprèfdî-
iiéè^ ori a l'/nftant du midi exactement aux
jours-des 5olftices , & aux autres jours de
l'année avec une petite Equation connue des
Aftronomes. w
On prend enfuite la différence entre l'heure
du pafïàge du centre du. Soleil par le vertical
obfervée le matin , & l'heure du midi à la-
quelle on ajoute cette différence pour avoir le
temps auquel le centre du Soleil doit paffer le
foir par un vertical également éloigné de la
Méridienne que celui du matin. Le foir étant
venu, on dreffe la Lunette à l'endroit où le '
Soleil doit fe coucher, & on fait enforte que
le centre du Soleil paffe par le fil vertical à
l'heure déterminée ci-devant , <Ht on marque
fur l'horifon l'endroit où répond le fil vertical
Objet Minimum Maximum Moyen
en conjonction inférieure Moyen
en opposition Réf.
Soleil 31′ 27″ 32′ 32″ 1
Mercure 0′ 4,5″ 0′ 13″ 0′ 11″ 2
Vénus 0′ 9,7″ 1′ 6″ 1′ 0,2″ 3
Mars 0′ 3,5″ 0′ 25,1″ 0′ 17,9″ 4
Lune 31′ 36″ 5
Jupiter 0′ 29,8″ 0′ 50,1″ 0′ 46,9″ 6
Saturne 0' 14,5" 0′ 20,1″ 0′ 19,5″ 7
Uranus 0′ 3,3″ 0′ 4,1″ 0′ 3,9″ 8
Neptune 0′ 2,2″ 0′ 2,4″ 0′ 2,3″ 9
Pluton 0′ 0,06″ 0′ 0,11″ 0′ 0,08″ 10
Permet de connaitre les paramètres astronomiques a une années donnée.
Ainsi il est possible de connaitre l'inclinaison de la Terre en - 4000 quand on été construit les mégalithes....
24.106803
... et en 2020 => 23.436675
en 2000 => 23.439275
en 1200 (temps des cathédrales, notamment Chartres) 23.543068
Il y a 0.002737909311 année par jour
Depuis les années 60, plusieurs détecteurs se sont attachés à mesurer le flux de neutrinos solaires, avec des sensibilités différentes aux différentes réactions nucléaires. Jusqu’au début des années 2000, les observations étaient toujours inférieures aux prédictions des modèles, ce que l’on a appelé l’énigme des neutrinos solaires. En 2001-2002, l’expérience SNO a montré qu’elle observait bien autant de neutrinos que prévu, mais qu’une partie des neutrinos νe produits dans le Soleil s’était transformée en νμ ou ντ, grâce au mécanisme dit d’oscillation des neutrinos.
SNO, qui a démontré que les neutrinos solaires oscillent entre leur point de départ dans le Soleil, et leur détection sur Terre n’a étudié que la partie à haute énergie de ces neutrinos (entre 5 et 15 MeV) qui représente moins de 1/10000 du flux total de neutrinos émis par le Soleil. L’étude de l’ensemble du spectre solaire est susceptible d’apporter des informations supplémentaires à la fois sur les paramètres de l’oscillation et sur la physique du Soleil.
En se focalisant sur la mesure des neutrinos dits du béryllium d’énergie fixe de 862 keV, tout en étant sensible à ceux d’autres réactions, l’expérience Borexino contribue de manière inportante à cette recherche.
Le second
L-OAY-010720-2
Traduction: " matt@Horrgs
En réponse à @Horrgs @siv_brth et 2 autres
En d'autres termes, il y a une anti-corrélation entre l'activité solaire et la GCR. (rayonnement cosmique galactique)
Lorsque nous sommes dans le minimum solaire et que le champ magnétique du Soleil se réduit, le rayonnement cosmique galactique augmente."
Deux "likes" d'OAY
Le premier: L-OAY-010720-1
Traduction "Notre soleil fusionne H en He dans son noyau par le biais de la chaîne dite pp et du cycle CNO (catalysé par C, N, O dans le plasma stellaire). Dans une analyse belle et difficile, Borexino observe pour la première fois les neutrinos produits dans le cycle CNO. Félicitations !"
Nous rapportons l'observation directe des neutrinos produits dans le cycle de fusion carbone-azote-oxygène (CNO) dans le Soleil avec le détecteur Borexino aux Laboratori Nazionali del Gran Sasso en Italie. C'est la première preuve expérimentale de l'existence d'une telle séquence de réaction dans une étoile. Le taux d'interaction des neutrinos solaires CNO est de 7,2+3,0-1,7 comptes par jour pour 100 tonnes de cible à 68% C.L., ce qui correspond à un flux de neutrinos sur Terre de 7,0+3,0-2,0×108 cm-2 s-1. L'absence de signal CNO est défavorable à 5σ.
Chantal Jègues-Wolkiewiez