Notes à propos du livre foules intelligentes smart mobs de Howard Rheingold

Notes à propos du livre de Howard Rheingold, Foules intelligentes (smart mobs)

  • L'auteur, Howard Rheingold, est un spécialiste pour observer le monde et extrapoler ce qu'il peut devenir après l'adoption massive d'uen nouvelle technologie.
  • Vers 2000, l'auteur observe la foule qui traverse le carrefour de shibuya au japon. C'est le lieu le plus densément connecté du monde. Il y a des milliers de passant qui se croisent et certains se baladent avec les yeux rivé sur leur téléphone. Une nouvelle ère est là.
  • Au japon, au début des années 2000, c'est la révolution i-mode. Pour la première fois, il y a des millions de personnes qui sont connectées à internet et interagissent.
  • Takeshi Natsuno a compris comment emmener avec lui un géant des télécom "standard" (NTT DoCoMo) dans le monde de l'internet.
  • Le i-mode est une sorte de portail géant de services internet qui sont accessibles via des sites web "captifs" accessibles gratuitement ou non. Les partenaires de DoCoMo proposent des services et sont rétribués aux 2/3 en tout cas du revenu. Ainsi de nombreux services ont vu le jour pour tout et n'importe quoi.
  • (remarques personnelles: Actuellement le i-mode a été supplanté par l'internet libre et non captif. Cependant, j'observe que Apple est exactement en train de refaire la même chose avec les iPhones. Les applications sont également payantes et rétribuées selon la même proportion. Apple jouant le rôle de distributeur que jouait à l'époque DoCoMo. L'histoire se répète 10 ans plus tard !)
  • Ce qui marche super bien au Japon, et dans la plupart des pays du monde (sauf aux usa), c'est le système de SMS. Ce qui était au début un gadget pour envoyer quelques caractères dans une trame vide de la voie de signalisation est devenu un des principaux service des télécoms, ainsi que toute une culture.
  • L'auteur a observé les débuts du SMS tant au japon qu'en finlande et il y a vu les mêmes comportement chez les jeunes.
  • Le SMS est là pour maintenir un lien avec sa communauté. (de 3 à 5 personnes)
  • Le SMS est un moyen de créer un lieu privé pour ses amis sans que les parents ne soient présent dans ce lieu.
  • Cet aspect est particulièrement vrai au japon où les maisons sont très petites, où la hiérarchie familliale laisse peu de liberté aux jeunes. D'une manière générale, les japonnais vivent beaucoup dans des lieux publics ou très peuplés. Le téléphone mobile permet donc de créer un lieu privé pour sa propre communauté.
  • Aux USA, les gens vivent dans de grandes maisons privés, se déplace dans des voitures privées (contrairement aux métros bondés de Tokyo). Ainsi les Etats-uniens ressente moins le besoin d'avoir des lieux privés. Ils en ont déjà. Donc le SMS a moins pris.
  • Surtout le SMS est techniquement moins bon aux USA surtout à cause de la politique de tarification et l'incompatibilité entre les différents opérateurs ! Ceci du à une culture de compétition et d'intérêts privé. Les Etats-uniens ne savent pas collaborer !
  • Avoir une téléphone mobile c'est appartenir à la tribu du pouce !
  • La relation au temps change pour les membres de la tribu du pouce. Le temps est devenu coulant. (j'avais déjà écris un article à ce propos il y a quelques mois...) Quand une communauté est tout le temps connectée, tout le monde est tout le temps là. Il n'y a pas besoin de prévoir de rendez-vous. Il suffit de demander à l'autre où il se trouve si l'envie d'une rencontre physique se fait sentir. Ainsi, le tabou n'est plus d'arriver en retard, le tabou est d'être déconnecté !
  • En japonnais, on parle de Keitai pour désigner les téléphones. En finlande on parle de känny, un diminutif du mot main.
  • Au japon, c'est l'i-mode qui est à la mode. En finlande, c'est le berceau de la culture libre, de Linux, de l'IRC.
  • Marc A. Smith est un spécialiste des communautés virtuelles. Il définit que l'avenir est aux biens communs.
  • Les communautés virtuelles permettent de partager des ressources plus facilement que ce qu'on faisait auparavant.
  • Le biens communs sont des bien que tout le monde a le droit d'utiliser, même si l'on a pas contribuer à la création du bien.
  • Marc Smith fait remonter l'origine du concept de bien commun au temps des chasseurs dans la savane. Quand des chasseur par la ruse et la collaboration ont enfin réussi à chasser des grands animaux, il y a tout de suite eu beaucoup trop de nourriture à disposition pour les seuls chasseurs. La conservation de la viande étant impossible, on a autorisé les gens qui n'avaient pas contribué à la chasse à également profiter de cette nourriture. Ainsi on a fait profiter toute une communauté d'un bien commun. Ce partage a été profitable à tous étant donnée que les plus faible en chasse ont également pu survivre et contribuer par d'autres manière qui avant n'étaient pas encouragées.
  • Dans la gestion de tout bien commun, il peut y avoir des problèmes. Elinor Ostrom a étudié de nombreux cas de gestion de biens communs dans le monde entier et particulièrement dans la gestion des Alpages et des systèmes d'irigation dans le Haut-valais en Suisse.
  • Dans toute gestion de bien commun qui fonctionne on remarque qu'il y a des règles claires qui définissent le fonctionnement. Il y a une surveillance mutuelle pour éviter les abus, il y a un système où les gardiens reçoivent une prime si ils trouvent un resquilleur. Dans tout ces cas de gestion de bien commun. On observe que la réputation est une valeur importante. Les gens font attention à leur image.
  • Voici les valeurs des hackers de années 1960. Avant que le nom de hacker soit connoté négativement. Hacker devrait toujours se traduire par bidouilleur. L'accès aux ordinateurs devrait être illimité et intégral. Si vous rencontrez un problème, n'attendez pas qu'on le résolve pour vous. Toute information devrait être gratuite. Méfiez vous de l'autorité, faites avancer la décentralisation.
  • Selon ces dernières valeurs, les hacker ont tout inventé dans le domaine de l'informatique et des réseaux. (unix, internet, le web, wikipedia..) Ce sont des valeurs de collaboration de mise en commun de ressources pour le bien de tous. Dans les réseaux, c'est surtout le fait de relayer les messages des autres. Chacun n'est pas obligé d'avoir son propre réseau. Il est possible d'utiliser le reseau des autres pour ses propres utilisations. Mais pour ça il faut participer au bien commun, il faut aussi donner pour recevoir.
  • Pour illustrer les bénéfices de la collaboration, il existe de nombreux jeu, dont le très connu dilemme du prisonnier et ses variantes, la poule mouillée, etc..
  • Robert Axelrod a observé dans un concours de jeu de collaboration que la meilleure stratégie est le Donnant-donnant.
  • On retrouve cette stratégie dans beaucoup de comportement sociaux. Et même dans l'évolution des espèces.
  • ...
  • Dans la même veine d'outils de collaboration. L'étape suivante après, les OS, l'internet, le web, c'est l'étape du grid computing: le concept de partage de puissance de calcul. Ce concept a été popularisé surtout par le projet SETI@home. Il y a de nombreux ordinateurs qui ne font rien dans le monde, qui sont en quasi vieille, qui ne sont pas utilisé à leur plein potentiel. Donc on partage des données et l'on réparti la puissance de calcul. Actuellement, il existe de nombreux cluster de calcul dans tous les gros datacenter. Mais il faudrait développer ce concept à tout ordinateur. Mais pour ça, c'est toujours un problème d'accepter la collaboration. Si je t'aide en te fournissant de la puissance de calcul quand je peux, toi aussi tu me rendras la pareil quand j'en aurai besoin. Toujours la stratégie du donnant-donnant.
  • L'étape suivante qui est observé est le p2p. Les partages d'information de pair à pair. C'est napster qui a popularisé le principe. Le problème c'est que cette nouvelle façon de partager des informations sur son disque dur via un réseau entre en conflit avec les lois sur le droit d'auteur qui ne sont pas conçue pour une telle technologie. Encore une fois, on a un bon principe technique, mais une règle sociale qui empêche le principe collaboratif de bien fonctionner.
  • Là où la collaboration fonctionne, c'est là où il n'y a pas besoin d'un altruisme très développé pour que le sytème fonctionne.
  • Des services comme les p2p sont pénalisés souvent car il y a peu de gens qui mettent à disposition et beaucoup qui veulent profiter. C'est la tragédie des biens communs.
  • Ces dernières années de nouveaux services sont apparus qui arrivent à utiliser un système collaboratif de telle manière que la tragédie des biens communs ne soit pas la règle.
  • C'est surtout dans le domaine de la gestion de l'information par recommandation d'article pouvant intéresser les gens en observant des habitudes d'autres personne que ce principe de collaboration fonctionne. L'auteur cite des applications comme celle d'Amazon ou eBay.
  • Cory Doctorow est fan de figurines Disey qu'il achète sur eBay. Après avoir expérimenté les requêtes très compliquées que le système de recherche a de la peine à exécuter. Il a développé des scripts simples qui observent ce que cherchent les gens qui s'intéressent aux mêmes objets. Ainsi le système propose des objets auxquel Cory n'avait même pas pensé.
  • Depuis ces temps anciens, le concept s'est bien développé avec des sites qui n'existaient pas au moment où le livre a été écrit.
  • Last.fm est certainement un des plus efficace. Automatiquement la musique que l'on écoute est "scrobblée", elle est transformée en statistique. Puis l'application est capable de proposer une radio composée uniquement de musique susceptique d'être appréciée de l'utilisateur.
  • Facebook uses et abuse presque de système de recommandation. Il y a toujours, les gens que vous connaissez certainement, les photos de vos amis que vous n'avez pas encore regardé. Les posts les plus populaires écrits par vos amis. Sans oublier, la publicité bien ciblée ! Grâce aux interactions des utilisateurs le système est capable de connaitre les habitudes et goûts des utilisateurs.
  • Google suggest propose déjà des résultats avant d'avoir fini de taper une requête et ceci basé sur les habitudes des autres utilisateurs et son propre historique.
  • Il y a une quantité d'information grandissante qui est disponible. Encore faut-il pouvoir la filtrer et l'afficher.
  • Dans les années 1980 et 1990. On parlait de développer la réalité virtuelle. De créer des mondes où tout est possible.
  • (pas non plus dans le livre) Des mondes comme Second Life et World of Warcraft sont des beaux exemples de mondes virtuels. Si le second semble toujours bien se porter et avoir du succès grâce aux sénario intéressant qui s'y passent. Second life, est complètement devenu has been. Il n'y a rien à faire dans un monde virtuel.
  • L'avenir est à la réalité augmentée. Superposer des informations à la réalité.
  • L'auteur ne parle pas de google maps, mais tout converge vers un tel concept. C'est la première étape. On est capable de tout géolocaliser. Avec en plus des téléphones intégrant tous des gps. Géolocaliser une information est devenu facile.
  • L'étape suivante est la présentation. L'auteur n'a pas non plus vu d'iPhone au moment où il a écrit ce livre. Mais l'on voit déjà sur ces bêtes des applications qu'il décrit: Le traducteur en direct via la caméra de l'appareil.
  • On voit que l'auteur décrit des choses qui arrive. Un bon exemple est l'application iPhone: iPie qui aide à couper des gâteaux en parts égales. Couper en 7 ou 9, c'est pas facile. Ainsi l'application superpose un cercle découpé en parts égales au dessus de l'image de la réalité. La réalité augmentée devient la réalité.
  • Ceci me fait penser au livre Rainbows end. (Rainbows end: texte intégral en anglais.) dans lequel les gens ont des vet'inf ils portent des ordinateurs comme des habits. Ils portent également des lentilles de contacts qui permettent d'afficher cette réalité augmentée. Ce livre permet d'explorer ce que peut devenir un société utilisant ce genre de technologies. Il y a des gens qui se téléportent. Qui apparaissent au milieu de nul part. Des ados qui vivent dans des skins d'une réalité parallèle... le monde d'harry potter... etc... intéressant à lire. On est pas loin de cette réalité.

Plateforme de prêt de matériel

Réflexions à propos d'une plateforme de prêt d'objets, de matériel

La plateforme est faites !! youhouhou... (24 juillet 2011... après avoir ouvert cette page le 27 juillet 2010 !!)

Allez voir sur yopyop.ch

..... et au vue de manque de succès... et du fait que ce genre de plateforme à fleuri... (donc objectif atteint)... en novembre 2013 j'ai recyclé le nom de domaine pour y mettre mon nouveau site d'expérimentation culinaire.... de la cuisine amusante ! 🙂

Pour partager des objets allez voir la plateforme: http://e-syrent.ch

Ou le projet de partage entre voisins: http://www.pumpipumpe.ch

L'approche de ce dernier est totalement différente de la mienne... avec ma déformation professionnelle de développeur web, j'ai construit une plateforme web pour partager des objets. Du coup, j'ai aussi eu des demandes farfelues du monde entier.....  quand le transport coûte plus cher que l'achat direct !!
J'ai remarqué que finalement ce qu'il faut pour qu'une telle plateforme d'échange fonctionne, c'est la confiance... il faut d'abord prêter à ses amis et à ses voisins.. et ensuite on peut élargir si ça fonctionne... là j'étais parti un peu trop large au début. Le projet d'autocollant de pumpipumpe est très simple.. il n'est pas parfait, mais tellement simple qu'il marche !

Idée de base

Moins de bien, plus de liens !

Nous sommes envahi de plein d'objets que nous n'utilisons que rarement.

Tout le monde à chez soi, un bâteau gonflable, un four à raclette, une tente, un déguisment de pirate, un hamac, des chaises pliante, une machine à coudre, cane à pêche, train électrique, légos, livre, etc....

L'idée est de mettre en commun tous ces objets que finalement nous n'utilisons pas très souvent, mais qui nous encombrent.

Relocaliser l'économie

Si tout le monde dans son quartier agit de la même manière, il sera possible d'optimiser l'utilisation de tout ces objets pour ne plus devoir tout posséder à triple ou quadruple... par la même occasion, c'est une manière de créer des liens avec son voisinage.

En effet, cette démarche doit se jouer le plus possible de manière locale. ça ne sert à rien de faire de nombreux kilomètres de transport pour aller chercher un tout petit objet que l'on rendra une heure après..

Il existe déjà des plateformes d'enchère, comme ricardo ou e-bay. Mais l'idées ici n'est pas pareille. Le but n'est pas de vendre des objets, le but est de les partager.

Il y a derrière cette idée également la volonté de ne pas faire une plateforme de location, mais bien une plateforme de partage.

(contrairement au site http://fr.zilok.com ... mais qui fait finalement la même chose ! )

Monnaie locale

Pour avoir un petit aspect viral ethnocentriste, l'idée est également d'introduire une monnaie complémentaire propre à la plateforme. Les "locations" vont se payer dans cette nouvelle monnaie. Le but de ceci est d'inciter les participants à partager eux même leur bien. En partagant, il seront payé et pourront profiter du matériel des autres. En ne partageant rien, ils ne pourront pas gagner d'argent.

Il y a donc aussi une volonté dans ce projet de montrer la force des monnaies complémentaires. Il y a la volonté d'expérimenter également le concept de revenu de vie. L'économie touchée par cette plateforme est trop petite pour pouvoir vivre de ceci, mais elle va permettre tout de même d'expérimenter ce qu'il se passe si on donne arbitrairement de l'argent à tout le monde. Comme au monopoly, à chaque passage au start, tu reçoit une prime ! L'idée est ici de donner une prime à ceux qui jouent. Donc à ceux qui sont présents régulièrement sur la plateforme.... enfin voilà quelques idées de base, maintenant il faudra réfléchir et expérimenter tout ça.

Le nom

Pour la monnaie, le kong. C'est une monnaie de singe ! 😛

Pour la plateforme, il faut trouver un nom qui claque... kitang, koudou... kong.. tient.. les k !! 😛

oubou... toubou... (peuple du niger)

Vu qu'il y a tout un bric à brac on peu imagniner un truc du genre Brikbrak ..bricbrac brikabrak bricabra.ch BrikBrak

Les animaux, c'est toujours pratique pour illustrer...

http://www.heartlandsteaks.com/beef-chart.php

Le boeuf que l'on partage.... 😛 .. ouais mais non...

Beef Chart

Quelques idées en vrac

  • utiliser facebook connect pour identifier les gens
  • utiliser like facebook pour les descriptions des objets

Vu ailleurs..

Le modèle de voiture partagée, «Mobility», est l’embryon de ce qu’on appelle l’économie de fonctionnalité ou de contribution, dans laquelle s’échangent des droits d’usage plutôt que des biens matériels. Anne-Catherine Menétrey dans Le Temps le 22 février 2011

Fonctionnement

Une personne qui arrive sur le site peut s'identifier. Si elle n'en as pas, son compte peut être pré-rempli grâce à facebook connect.

Puis, elle va chercher l'objet qu'elle désire emprunter. Il y a un mini moteur de recherche.

La description de l'objet arrive, il y a possibilité de voir le calendrier des ses réservations.

Puis, il y a moyen de remplir le formulaire de réservation de l'objet. Si aucun conflit de date n'est remarqué, le système crée une réservation en attente. Le propriétaire de l'objet est notifié (flux atom et mail voir facebook) qu'une demande d'emprunt est pendante. Il reçoit dans le même mail, les coordonnées du locataire.

Le propriétaire doit donc (dans un délai raisonnable à choisir) contacter le locataire pour convenir avec lui les modalités de location.

Au moment de la confirmation de la réservation, le locataire va recevoir un mail avec un lien sur l'interface de payement pré remplie. Mais c'est lui qui décide de quand il va l'utiliser.

Modèle de BD

Il y a plusieurs elements qui entre en compte:

  • personnes
  • objet
  • calendrier

Qui sont tous reliés entre eux par une :

  • réservation

Pour les payements nous avons besoins de transaction bancaire.

Afin d'accorder une certaine fiabilité au système, il faut faire des évalutations. La table commentaire permet de s'occuper de ça, elle a un champ evaluation. Si il  = 0 c'est un commentaire et sinon c'est une évaluation. (1-5)

Une nouvelle table evaluation a été ajoutée, c'est plus propre.

Les tables personne et calendrier (et événement) sont celles déjà existantes. Il faut ajouter les tables objet, réservation et transactions. La fortune et les méthodes pours l'augmenter ou la diminuer font déjà partie du manager et bd de personne.

Objet

  • id_objet
  • nom
  • description (html ?)
  • url => pour une description complète au besoin
  • id_proprietaire
  • prix (par jour)
  • caution (en cas de casse de l'objet)
  • latitude
  • longitude => pour le lieu de stockage de l'objet
  • lieu (en vrac écrit... permet de passer en mode geocoding)
  • etat (disponible ou plus) 0 => en cours de création, 1=> disponible, 2=> privé
  • id_calendrier (pour chaque objet on lui attribue un calendrier de ses disponibilités)
  • duree_max
  • duree_min (temps min et max des tranches de location en heure)
  • id_image (pour représenter l'objet)

Reservation

  • id_reservation
  • nom
  • type (définitif - pré réservation) 1-2
  • description
  • id_locataire
  • id_objet
  • id_evenement
  • etat (en attente - accepté - refusé ) 0-1-2

Transaction

  • id_transaction
  • nom
  • description
  • id_source
  • id_destinataire
  • montant
  • ip
  • user_agent => pour mieux contextualiser l'historique de la chose...
  • toutes les dates et métadonnées habituelles..

Détail du fonctionnement de la réservation

Il y a 2 cas de figure que l'on veut pouvoir gérer:

  • La réservation à partir d'une personne déjà enregistrée dans le système.
  • La réservation à partir d'une personne qui est inconnue.

SI la personne est iconnue il faut créer un compte directement à la volée. (dans le cas particulier de la maisec, on pas forcément envie de garder les comptes actifs. Donc on ne propose pas l'ajout d'un mot de passe etc...)

Pour éviter le spam, le formulaire de réservation comporte un système de ticket de session à l'image de ce qui se fait avec les commentaires.

http://yopyop.ch/reservation/?new&id_objet=2   (&id_personne=2)

Donc les étapes de réservations sont:

  • obtenir l'id de l'objet. Si aucun id n'est passé.. on ne continue pas ! (permet d'afficher dans la demande de réservation le résumé de l'objet)
  • obtenir l'id de la personne ou la créer si elle n'est pas fournie. (donc si id_personne est vide et que la session indique un inconnu)
  • (envoyer une notification par mail qu'un compte a été créé.)
  • obtenir les infos d'un formulaire
  • Créer un événement dans le calendrier de l'objet pour les dates données.
  • créer une réservation avec toute ces données.
  • envoyer une notification de la réservation au propriétaire de l'objet.

 

Lancement

Une fois le site fini (ce qui n'est pas le cas), il faut le lancer faire de la pub.

On peut utiliser le principe du club fermé pour lancer le service et faire un buzz.

On fourni un accès uniquement à un nombre limité de gens, et les autres peuvent s'inscrire pour obtenir des infos.

Puis, avec les accès, on donne des invitations pour ses amis... Direct ça fait un buzz... 😛  et ça permet de récolter des adresses mail pour faire un spam 😛

 

Design

J'ai beaucoup d'idées.. beaucoup d'exemple de trucs pas mal.. d'exemple d'interface de services qui ont certains besoins similaires.

Maintenant il faut prendre une décision.

J'aime bien des designs comme ceux de :

Dans l'idée il faut faire un mixe de tout ça et encore d'autre choses.

Les idées de bases sont:

  • un fond de texte blanc
  • plein de couleur pour différencier les parties de l'application. Il faut des couleurs dans le genre de la marque roxy. (ski)
  • utiliser une taille de police assez grosse (17px)
  • utiliser une couleur de police un peu grise
  • utiliser la police georgia italique
  • le découpage du site est fait avec des barres de couleur et des bloc de couleur.
  • utiliser la tête du singe comme logo du site. ça popularité est confirmée. 4ème sur ocal ! bientôt 12000 téléchargements
  • utiliser des images à plat comme symbole. Le design global doit être genre à plat. Avec des formes simple. Des archétypes. S'inspirer des panneaux de signalisation de gare.

Sytème monétaire

Pour introduire ce système de prêt d'objet, l'idée est d'y coupler une monnaie complémentaire.

Comme le dit Bernard Lietaer dans ses conférences, quand on crée une monnaie il faut savoir quel est sont but, toutes les monnaies sont différentes.

Ainsi, le but ici de cette monnaie est de favoriser les gens à jouer à ce jeu, à crontribuer au système collabortif.

Il faut donc:

  • rémunérer les gens qui ajoutent des objets sur le marché
  • taxer les gens qui capitalisent (en introduisant une monnaie fondante)
  • tenter de trouver un moyen de convertibilité avec d'autres monnaie. (c'est bien ce qui a fait décoller le bitcoin) Peut être qu'on peut réaliser cette convertibilité via un système du genre c3. Ce système propose une monnaie qui est en fait une assurance sur une facture. Si l'on veut de la monnaie nationale traditionnelle directement, il faut payer un intérêt, si l'on reste dans le système, on peut payer avec cette facture garantie par l'assurance.
  • Il faut indiquer dès le départ que c'est une monnaie dont les règles sont suceptibles de changer, mais que c'est à la communauté de définir ces règles. C'est une monnaie démocratique.
  • Il faut augmenter la masse monétaire.. comment faire ?

Todo

  • les objets vu sur une carte
  • liste des réservations en cours
  • le système monétaire
  • explication du système monétaire
  • changement de l'image des objets
  • introduction de la date de naissance
  • flux atom de notification
  • image de profile autre que gravatar
  • visibilité des objets restreintes à des groupes
  • mail multipart

Fait

  • système de tableau de bord
  • envoie de mail
  • gestion de son compte utilisateur
  • design

Quand faut-il faire une notification ?

  • Création d'un compte à la volée: type (1)
  • si je fais une demande de réservation d'un objet:
    pour moi (2) => Vous avez fais une demande de réservation de l'objet drapeau pirate
    pour le proprio de l'objet (3) => Martouf fais une demande de réservation de l'objet drapeau pirate
  • Si j'accepte une demande:
    pour moi (4) => vous avez accepté la demande de réservation de l'objet Drapeau pirate
    pour le locataire (5)=> Martouf a accepté votre demande de réservation de l'objet Drapeau pirate
  • si je fais un changement dans une réservation:
    pour les deux (6)=> la réservation de l'objet drapeau pirate a été modifiée
  • (7) pour une notification de transaction financière

Les champs createur et modificateur de l'objet notification sont mis à jour automatiquement, c'est l'id de session qui est utilisé. Ainsi on sait toujours qui est à l'origine de l'élément déclencheur d'une notification.

Pour savoir à qui est destiné la notification, on utilise le champ evaluation, dans lequel on place l'id de l'utilisateur concerné. Celui qui doit évaluer ! (c'était plutôt un oubli de ce champ, où plutot je m'étais dit que l'on pouvait faire une relation plusieurs à plusieurs.. mais ce sera plus facile à gérer avec un champ directe dans la table)

Il ne faut pas oublier le champ Etat qui est à 0 par défaut. On place l'etat à 1 si l'info est lue.

Voir pour faire un petit bouton ajax pour dire "info lue.."

copier pour régner

Copier pour régner....

Cultural Evolution: Conquering by Copying ... un concours informatique qui prouve que la meilleure stratégie de survie dans le processus d'évolution.. c'est la copie !

Voici un article à propos ce concours...

https://linuxfr.org/2010/04/21/26767.html

C'est pas étonnant en fait.. l'instinct de mimétisme dirige le monde !

ça me fait penser aussi à ce qui est écrit dans "l'alternative nomade"
http://blog.tcrouzet.com/alternative-nomade/

Dans ce livre il y a un chapitre qui parle des stratégies de collaboration. ça va plus loin que la simple copie... c'est "qui copier" et "à qui laisser une accès à ses infos".

Une des théories présentées montre que c'est la collaboration éthnocentriste qui gagne. En testant plusieurs types de collaboration:

  • celui qui partage tout
  • celui qui partage rien
  • celui qui partage qu'à ses semblables

...et bien c'est celui qui ne partage que pour ses semblables qui gagne.

ça me fait tout à fait penser à la composante virale de la licence GPL.
Tu as accès à tout... mais si tu donnes tout

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