Mensuel Shaarli
March, 2023

27 mars 2023 - 09:45
1 minutes
(Keystone-ATS)
Les tests de mise en service de la centrale de réserve temporaire sise à Birr (AG) avec du diesel sont terminés. Elle ne devrait toutefois pas être exploitée ce printemps, la situation étant jugée stable en matière d'approvisionnement énergétique.
D'autres tests suivront en avril avec du gaz, indique lundi l'Office fédéral de l'énergie (OFEN). Cette centrale, qui restera disponible jusqu'au printemps, pourra injecter de l'électricité dans le réseau en cas d'urgence.
La Confédération a signé en septembre dernier un contrat avec l'entreprise GE Gas Power pour construire cette centrale à Birr. Celle-ci doit afficher une puissance totale de près de 250 mégawatts (MW).
Outre celle de Birr, deux autres centrales de réserve ont été prévues: la centrale thermique existante de Cornaux (NE) et une centrale qui fonctionne au gaz naturel à Monthey (VS).
jusqu'en 2007... "money as debt" = 68 publications
Au total (2023) "money as debt" = 591 publications
=> 88,5% des publications datent d'après la crises des subprimes.
p3.
https://archive.ph/4vZYl#selection-1585.0-1621.283
ZEIT: Man kann aber doch plausibel finden, wie man in früheren Umständen gehandelt hat, und es angesichts der Ergebnisse trotzdem heute für falsch halten.
Merkel: Das setzt aber voraus, auch zu sagen, was genau die Alternativen damals waren. Die 2008 diskutierte Einleitung eines Nato-Beitritts der Ukraine und Georgiens hielt ich für falsch. Weder brachten die Länder die nötigen Voraussetzungen dafür mit, noch war zu Ende gedacht, welche Folgen ein solcher Beschluss gehabt hätte, sowohl mit Blick auf Russlands Handeln gegen Georgien und die Ukraine als auch auf die Nato und ihre Beistandsregeln. Und das Minsker Abkommen 2014 war der Versuch, der Ukraine Zeit zu geben.
Anm. d. Red.: Unter dem Minsker Abkommen versteht man eine Reihe von Vereinbarungen für die selbst ernannten Republiken Donezk und Luhansk, die sich unter russischem Einfluss von der Ukraine losgesagt hatten. Ziel war, über einen Waffenstillstand Zeit zu gewinnen, um später zu einem Frieden zwischen Russland und der Ukraine zu kommen.
Sie hat diese Zeit hat auch genutzt, um stärker zu werden, wie man heute sieht. Die Ukraine von 2014/15 ist nicht die Ukraine von heute. Wie man am Kampf um Debalzewe (Eisenbahnerstadt im Donbass, Oblast Donezk, d. Red.) Anfang 2015 gesehen hat, hätte Putin sie damals leicht überrennen können. Und ich bezweifle sehr, dass die Nato-Staaten damals so viel hätten tun können wie heute, um der Ukraine zu helfen.
ZEIT: Beim ersten öffentlichen Auftritt nach dem Ende Ihrer Kanzlerschaft haben Sie erklärt, Sie hätten schon 2007 erkannt, wie Putin über Europa denkt, und dass die einzige Sprache, die er versteht, Härte sei. Wenn diese Erkenntnis so früh da war, warum haben Sie eine Energiepolitik betrieben, die uns von Russland so abhängig gemacht hat?
Merkel: Es war uns allen klar, dass das ein eingefrorener Konflikt war, dass das Problem nicht gelöst war, aber genau das hat der Ukraine wertvolle Zeit gegeben. Natürlich kann man jetzt die Frage stellen: Warum hat man in einer solchen Situation noch dem Bau von Nord Stream 2 zugestimmt?
ZEIT: Ja, warum? Zumal es schon damals sehr heftige Kritik am Bau der Pipeline gab, zum Beispiel von Polen und den USA.
Merkel: Ja, man konnte da zu einer unterschiedlichen Meinung kommen. Worum ging es? Zum einen legte die Ukraine sehr viel Wert darauf, auch weiter Transitland für russisches Gas zu bleiben. Sie wollte Gas durch ihr Gebiet und nicht durch die Ostsee leiten. Heute wird ja manchmal so getan, als ob jedes russische Gas-Molekül des Teufels war. So war das nicht, das Gas war umkämpft. Zum anderen war es auch nicht so, dass die Bundesregierung die Genehmigung von Nord Stream 2 beantragt hatte, das haben die Firmen getan. Für die Bundesregierung und für mich ging es also im Ergebnis darum, zu entscheiden, ob wir als politischen Akt ein neues Gesetz machen, um die Genehmigung von Nord Stream 2 ausdrücklich zu versagen.
ZEIT: Was hat Sie daran gehindert?
Merkel: Zum einen hätte eine solche Versagung in Kombination mit dem Minsker Abkommen aus meiner Sicht das Klima mit Russland gefährlich verschlechtert. Zum anderen ist die energiepolitische Abhängigkeit entstanden, weil es weniger Gas aus den Niederlanden, aus Großbritannien und begrenzte Fördermengen in Norwegen gab.
ZEIT: Und es gab den vorgezogenen Ausstieg aus der Kernenergie. Auch von Ihnen initiiert.
Merkel: Richtig, und dazu parteiübergreifend die Entscheidung, auch in Deutschland weniger Gas zu fördern. Man hätte sich entscheiden müssen, teureres LNG aus Katar oder Saudi-Arabien zu kaufen, die USA standen erst später als Exportnation zur Verfügung. Das hätte unsere Wettbewerbsfähigkeit deutlich verschlechtert. Heute wird unter dem Druck des Krieges so gehandelt, was ich unterstütze, aber damals wäre das eine viel massivere politische Entscheidung gewesen.
ZEIT: Hätten Sie diese Entscheidung dennoch treffen sollen?
Merkel: Nein, zumal es dafür überhaupt keine Akzeptanz gegeben hätte. Wenn Sie mich um Selbstkritik bitten, gebe ich Ihnen ein anderes Beispiel.
ZEIT : Mais on peut trouver plausible la manière dont on a agi dans des circonstances antérieures et considérer malgré tout que c'est faux aujourd'hui au vu des résultats.
Merkel : Mais cela suppose aussi de dire quelles étaient exactement les alternatives à l'époque. J'ai considéré que la discussion de 2008 sur l'adhésion de l'Ukraine et de la Géorgie à l'OTAN était une erreur. Ces pays n'avaient pas les conditions nécessaires pour cela, et les conséquences d'une telle décision n'avaient pas été pensées jusqu'au bout, aussi bien en ce qui concerne les actions de la Russie contre la Géorgie et l'Ukraine que pour l'OTAN et ses règles d'assistance.
Et l'accord de Minsk de 2014 était une tentative de donner du temps à l'Ukraine.
NDLR : les accords de Minsk sont une série d'accords pour les républiques autoproclamées de Donetsk et de Louhansk, qui se sont détachées de l'Ukraine sous l'influence de la Russie. L'objectif était de gagner du temps via un cessez-le-feu afin de parvenir ultérieurement à une paix entre la Russie et l'Ukraine.
Cette dernière a également profité de ce temps pour devenir plus forte, comme on le voit aujourd'hui. L'Ukraine de 2014/15 n'est pas l'Ukraine d'aujourd'hui. Comme on l'a vu avec la bataille pour Debaltseve (ville de cheminots dans le Donbass, oblast de Donetsk, ndlr) début 2015, Poutine aurait pu facilement la déborder à l'époque. Et je doute fort que les pays de l'OTAN auraient alors pu faire autant qu'aujourd'hui pour aider l'Ukraine.
ZEIT : Lors de votre première apparition publique après la fin de votre mandat de chancelier, vous avez déclaré que vous aviez compris dès 2007 comment Poutine pensait de l'Europe et que le seul langage qu'il comprenait était la dureté. Si cette prise de conscience a eu lieu si tôt, pourquoi avez-vous mené une politique énergétique qui nous a rendus si dépendants de la Russie ?
Merkel : Nous savions tous qu'il s'agissait d'un conflit gelé, que le problème n'était pas résolu, mais c'est précisément ce qui a donné à l'Ukraine un temps précieux. Bien sûr, on peut maintenant se poser la question : Pourquoi a-t-on encore approuvé la construction de Nord Stream 2 dans une telle situation ?
ZEIT : Oui, pourquoi ? D'autant plus qu'il y avait déjà à l'époque de très vives critiques sur la construction du gazoduc, par exemple de la part de la Pologne et des Etats-Unis.
Merkel : Oui, on pouvait avoir des avis différents sur la question. De quoi s'agissait-il ? D'une part, l'Ukraine tenait beaucoup à rester un pays de transit pour le gaz russe. Elle voulait faire passer le gaz par son territoire et non par la mer Baltique. Aujourd'hui, on fait parfois comme si chaque molécule de gaz russe était le diable. Ce n'était pas le cas, le gaz était disputé. D'autre part, ce n'est pas le gouvernement fédéral qui a demandé l'autorisation du Nord Stream 2, ce sont les entreprises qui l'ont fait. Pour le gouvernement fédéral et pour moi, il s'agissait donc en fin de compte de décider si nous allions faire une nouvelle loi comme acte politique pour refuser explicitement l'autorisation de Nord Stream 2.
ZEIT : Qu'est-ce qui vous a empêché de le faire ?
Merkel : D'une part, un tel refus, combiné aux accords de Minsk, aurait selon moi dangereusement détérioré le climat avec la Russie. D'autre part, la dépendance énergétique est apparue parce qu'il y avait moins de gaz en provenance des Pays-Bas, de la Grande-Bretagne et des quantités limitées de production en Norvège.
ZEIT : Et il y a eu l'abandon anticipé de l'énergie nucléaire. Vous l'avez également initié.
Merkel : C'est vrai, et en plus la décision, prise par tous les partis, de produire moins de gaz en Allemagne également. Il aurait fallu se décider à acheter du GNL plus cher au Qatar ou en Arabie saoudite, les Etats-Unis n'étant disponibles que plus tard comme pays exportateur. Cela aurait considérablement dégradé notre compétitivité. Aujourd'hui, sous la pression de la guerre, on agit ainsi, ce que je soutiens, mais à l'époque, cela aurait été une décision politique beaucoup plus massive.
ZEIT : Auriez-vous quand même dû prendre cette décision ?
Merkel : Non, d'autant plus que cela n'aurait pas du tout été accepté. Si vous me demandez de faire mon autocritique, je vais vous donner un autre exemple.
...
Une ex-chancelière ne devrait pas dire ça… Dans une interview au journal « Die Zeit », l’ancienne dirigeante allemande explique que les accords de Minsk n’étaient qu’un moyen pour l’Ukraine de se renforcer militairement afin de se préparer à un conflit inévitable.

- structure dissipative (maintient l'entropie basse dans son organisme)
- auto-catalyse (reproduction)
- homéostasie (capacité à maintenir son intégrité "corporelle")
- apprentissage (apprendre de ses erreurs et évoluer)

L'argument de la simulation avancé par Bostrom suggère que nous vivons peut-être à l'intérieur d'une simulation informatique sophistiquée. Si les civilisations post-humaines ont finalement la capacité et le désir de générer de telles simulations à la Bostrom, alors le nombre de réalités simulées dépasserait largement la seule réalité de base, indiquant ostensiblement une forte probabilité que nous ne vivions pas dans cette réalité de base. Dans ce travail, nous soutenons que, puisque l'hypothèse selon laquelle de telles simulations sont techniquement possibles n'est pas prouvée, les calculs statistiques doivent prendre en compte non seulement le nombre d'espaces d'état, mais aussi l'incertitude intrinsèque du modèle. Cela est possible grâce à un traitement bayésien du problème, qui est présenté ici.
En utilisant la moyenne des modèles bayésiens, il est démontré que la probabilité que nous soyons des sims est en fait inférieure à 50 %, tendant vers cette valeur dans la limite d'un nombre infini de simulations. Ce résultat est globalement indifférent, que l'on tienne compte du fait que l'humanité n'a pas encore donné naissance à de telles simulations ou que l'on n'en tienne pas compte. Comme on l'a vu ailleurs, si l'humanité commençait à produire de telles simulations, cela changerait radicalement les probabilités et rendrait très probable le fait que nous soyons en fait des simulateurs.

Condamnée en début d'année à Toulouse et à Cahors pour une série d'infractions routières, la jeune femme de 34 ans était recherchée pour exécuter sa peine. Elle a été interpellée le 18 septembre dernier dans le sud du Tarn, où un rassemblement du mouvement complotiste One Nation était organisé.
Connue sur les réseaux sociaux sous le nom d'Alice Pazalmar, elle est une figure emblématique du mouvement complotiste "One Nation", dénoncé pour ses dérives sectaires. Alice Martin-Pascual, âgée de 34 ans, a été interpellée le 18 septembre dernier par la gendarmerie sur la commune de Viviers-lès-Montagnes, au sud de Castres.
Elle était inscrite au fichier des personnes recherchées depuis plusieurs mois. Non pas pour ses activités au sein du mouvement One Nation mais pour mettre en exécution les peines d'emprisonnement prononcées à son encontre en début d'année par les tribunaux correctionnels de Toulouse et de Cahors.
Elle avait en effet été condamnée à des peines respectives de 6 mois de prison ferme et de 4 mois avec sursis suite à une série d'infractions routières : conduite sans assurance, sans permis, fausses plaques d'immatriculation, refus des dépistages, etc. Deux précédents sursis de 3 et 6 mois avaient également été révoqués. Mais la jeune femme ne s'était pas présentée aux audiences.
C'est donc à Viviers-lès-Montagnes, où un rassemblement d'adeptes du mouvement One Nation était organisé du 16 au 18 septembre, qu'Alice Martin-Pascual a été interpellée. Placée quelques heures en retenue judiciaire par les gendarmes de la compagnie de Castres, elle a ensuite été incarcérée à la maison d'arrêt de Seysses en Haute-Garonne.
alors je cherche à comprendre comment ça fonctionne vraiment.....
→ et bien je crois qu'ils ont donné la réaction de l'aide au département marketing. Ils ont placé tous les mots et expression du marketing pour recevoir des fonds de plein d'organisation philanthropique. Mais j'ai toujours pas compris le fonctionnement.
"Plus qu'une application. Notre application primée aide les conducteurs à économiser du temps et de l'argent depuis 2001. Mais ce que nous faisons ne s’arrête pas là. En réalité, nous aidons à construire des villes plus intelligentes et plus agréables à vivre - une place de stationnement à la fois. Grâce à la technologie, nous brisons les barrières, contribuant à améliorer l'expérience en ville. Notre objectif est de créer un scénario dans lequel l'offre et la demande stationnement soient équilibrées, non pas en raison de places de stationnement supplémentaires ou de voitures en moins, mais grâce à une technologie prédictive qui relie les personnes aux places disponibles. En bref, nous rendons la vie urbaine plus facile."
"Plus qu'une application." → slogan quand t'as pas de slogan.
"Notre application primée" → argument d'autorité pour dire c'est mieux que les autres
"nous aidons à construire des villes plus intelligentes" → le concept de "smartcities" ça fait bien pour les subventions des villes..
"plus agréables à vivre " → faut bien flatter le côté écolo quand tu veux vendre une app pour les bagnoles..
"Grâce à la technologie, nous brisons les barrières," → ouais.. moi aussi j'ai envie de pirater la barrière du parking...
"améliorer l'expérience en ville" → c'est sûr que ça fait rêver.. moi je me réserve chaque week-end une nouvelle expérience dans ce parc d'attraction qu'est LA ville..
"Notre objectif est de créer un scénario dans lequel l'offre et la demande stationnement soient équilibrées, non pas en raison de places de stationnement supplémentaires ou de voitures en moins"
→ Alors on rentre dans le coeur de l'app.. un scénario... pour jouer sur l'offre et le demande.
.. et après le gloubiboulga qui montre qu'ils ont peur de l'image de la bagnole en ville.. "non pas en raison de places de stationnement supplémentaires ou de voitures en moins"
" grâce à une technologie prédictive qui relie les personnes aux places disponibles." → allez... faut pas qu'on parle que de bagnole.. faut aussi parler de l'humain !! ... aah zut.. avec le lgbtqia+++ on peut plus mettre homme ou femme.. faut qu'on trouve un mot épicène qui heurte personne... ah ben... "personne" c'est bien.
"En bref, nous rendons la vie urbaine plus facile."→ ah ben voilà leur slogan.... pourquoi avoir mis "bien plus qu'un app" ???

LE CAIRE, 2 mars (Reuters) - Un couloir caché de neuf mètres de long a été découvert près de l'entrée principale de la Grande Pyramide de Gizeh, vieille de 4 500 ans, et cela pourrait conduire à d'autres découvertes, ont déclaré jeudi des responsables des antiquités égyptiennes.
La découverte à l'intérieur de la pyramide, la dernière des sept merveilles du monde antique encore debout, a été faite dans le cadre du projet Scan Pyramids qui, depuis 2015, utilise des technologies non invasives, notamment la thermographie infrarouge, les simulations 3D et l'imagerie par rayons cosmiques, pour scruter l'intérieur de la structure.

Des preuves de l'utilisation d'outils en acier en Europe à la fin de l'âge du bronze
Des chercheurs ont découvert que des outils en acier étaient utilisés dans la péninsule ibérique à la fin de l'âge du bronze, il y a 2 900 ans.
Une étude internationale a mené une analyse géochimique sur des stèles de piliers en pierre trouvées dans la péninsule ibérique, révélant que les gravures sur la paroi rocheuse ont été créées à l'aide d'acier trempé.
Cette hypothèse est corroborée par l'analyse métallographique d'un ciseau en fer de la même époque trouvé à Rocha do Vigio, qui présente la teneur en carbone nécessaire pour être classé comme acier.
Jusqu'à récemment, on supposait que les habitants de la région n'avaient pas les compétences et les connaissances nécessaires pour produire de l'acier au début de l'âge du fer, et certainement pas à la fin de l'âge du bronze, qui ne s'est répandu que par le contact et la conquête des Romains. L'âge du bronze ibérique a commencé vers 1800 avant J.-C. et s'est achevé avec l'âge du fer ibérique au cours du 9e siècle avant J.-C..
Le Dr Ralph Araque Gonzalez, archéologue de l'Université de Fribourg, a déclaré : "Le ciseau de Rocha do Vigio et le contexte dans lequel il a été trouvé, montrent que la métallurgie du fer, qui inclut la production et la trempe de l'acier, étaient probablement des développements indigènes de petites communautés décentralisées en Ibérie, et non dus à l'influence de processus de colonisation ultérieurs."
Les résultats de l'étude, publiés dans le Journal of Archaeological Science, ont porté sur l'analyse de piliers de stèles en grès quartzeux silicaté. "Tout comme le quartzite, il s'agit d'une roche extrêmement dure qui ne peut pas être travaillée avec des outils en bronze ou en pierre, mais seulement avec de l'acier trempé", explique Gonzalez.
Un examen plus approfondi du ciseau de Rocha do Vigio révèle qu'il est constitué d'un acier hétérogène mais étonnamment riche en carbone. Pour confirmer leurs résultats, les chercheurs ont réalisé une expérience impliquant un tailleur de pierre professionnel, un forgeron et un fondeur de bronze, et ont tenté de travailler des exemples de grès de quartz silicaté en utilisant des burins de différents matériaux.
Le tailleur de pierre a été incapable de travailler la pierre avec les ciseaux en pierre ou en bronze, ou même avec un ciseau en fer à pointe non trempée. "Les habitants de la fin de l'âge du bronze en Ibérie étaient capables de tremper l'acier. Sinon, ils n'auraient pas été capables de travailler les piliers", conclut Araque Gonzalez à la suite de l'expérience.

Cet article décrit les résultats préliminaires de notre analyse des données de numérisation de l'artefact en granit, publiées le 19 février 2023 par l'équipe de unchartedx.com. Pour une présentation de l'objet lui-même, et un peu plus de contexte sur la façon dont il a été numérisé, veuillez consulter les premiers paragraphes de mon analyse initiale.
« Je trouve opportun de souligner à quel point c'est complètement ridicule. Nous avons affaire à un vase en pierre d'origine supposée ancienne, et nous proposons maintenant, qu'un modèle CAO purement mathématique, devrait en quelque sorte correspondre à l'objet réel avec une tolérance de moins de 75 millièmes de millimètres. »
Et le second :
« Sur la base de la meilleure compréhension que nous avons actuellement de l'objet, et de la connaissance des limites fondamentales normales de la physique et des lois de la nature, nous devons conclure :
- que cet objet a été fabriqué à l'aide d'un système de fabrication soustractive hautement sophistiqué, à partir d'un solide morceau de granit.
- que le système de fabrication nécessite, au minimum, une technologie mécanique sophistiquée et des composants de haute précision.
- que le système de fabrication aurait nécessairement été guidé par un système de contrôle automatisé, capable de lire le dessin en entrée et de produire les mouvements requis en sortie.
- qu'une « machine de Turing » (https://fr.wikipedia.org/wiki/Machine_de_Turing) d'une sophistication considérable, aurait très probablement été employée pour créer et opérer sur le dessin, et pour finalement le transférer au système de fabrication.
Il est impossible d'attribuer la production de cet artefact à quelqu'un qui ne possède pas, au minimum, le niveau de sophistication technologique et les capacités mentionnées ci-dessus. Cela soulève des questions très intéressantes concernant l'origine de l'objet, que nous espérons pouvoir explorer dans des travaux futurs. »
Le lancement récent de constellations de satellites en orbite basse crée une menace croissante pour les observations astronomiques effectuées à l'aide de télescopes terrestres1,2,3,4,5,6,7,8,9,10 qui a alarmé la communauté astronomique 11,12,13,14,15,16. Les observations affectées par les satellites artificiels peuvent devenir inutilisables pour la recherche scientifique, ce qui entraîne le gaspillage d'une fraction croissante du budget de la recherche en infrastructures coûteuses et en efforts d'atténuation. Nous rapportons ici les premières mesures, à notre connaissance, de la contamination par des satellites artificiels sur des observations faites à partir d'une orbite terrestre basse avec le télescope spatial Hubble. Avec l'aide de volontaires d'un projet de science citoyenne (www.asteroidhunter.org) et d'un algorithme d'apprentissage profond, nous avons analysé les archives des images du télescope spatial Hubble prises entre 2002 et 2021. Nous avons constaté qu'une fraction de 2,7% des expositions individuelles avec un temps d'exposition typique de 11 minutes sont traversées par des satellites et que la fraction des traînées de satellites dans les images augmente avec le temps. Cette fraction dépend de la taille du champ de vision, du temps d'exposition, du filtre utilisé et du pointage. Avec le nombre croissant de satellites artificiels actuellement prévus, la fraction des images du télescope spatial Hubble traversées par des satellites augmentera au cours de la prochaine décennie et nécessitera une étude et une surveillance plus approfondies.
Art. 10a Dérogations à la loi sur la fusion
1 Concernant les transactions selon la loi du 3 octobre 2003 sur la fusion (LFus)2 entre
des banques surveillées par la FINMA qui sont d’importance systémique ou font par-
tie d’un groupe financier d’importance systémique au sens de l’art. 7 LB et qui sont
actives sur le plan international ou leurs sociétés de groupe, dans la mesure où cela est
nécessaire à la protection de l’économie suisse et du système financier suisse, les
règles suivantes s’appliquent:
a. l’exécution de telles transactions ne nécessite pas de décision de la part des
assemblées générales des sociétés concernées si les transactions s’effectuent
avec l’accord de la FINMA;
b. les art. 11, 14, 15 et 16 LFus ne s’appliquent pas si les transactions s’effec-
tuent avec l’accord de la FINMA;
c. il est possible, avec l’accord de la FINMA, de déroger à d’autres exigences en
matière de transactions fixées dans la LFus si les circonstances particulières
l’exigent; en pareil cas, la FINMA consulte au préalable les autorités canto-
nales du registre de commerce concernées ainsi que l’Office fédéral du re-
gistre du commerce.
2 Les décisions de la FINMA sont contraignantes pour les autorités du registre du
commerce.

Le 23 septembre dernier, un chômeur a remporté un jackpot de 6 millions d'euros, en jouant une grille supplémentaire au Loto, alors qu'il avait l'habitude de toujours jouer les mêmes numéros.
Ce demandeur d'emploi cochait depuis des années les mêmes cases, chaque samedi, sur une modeste grille à 2,20 euros. Mais ce samedi 23 septembre, il s'est senti en veine. L'homme venait ainsi de recevoir un SMS d'une agence d'intérim qui lui réclamait son CV, et qui lui confirme qu'elle était intéressée par son profil. Il décide alors de s'offrir une deuxième grille, et coche cette fois les numéros correspondant au numéro de téléphone de l'agence. En guise de numéro chance, le futur gagnant avait choisi la date de naissance de son enfant.
Résultat du tirage, le chanceux a obtenu la coquette somme de 6 millions d'euros. Pas sûr que l'heureux gagnant accepte la mission proposée par l'agence d'intérim, mais il a d'ores et déjà indiqué qu'il ne comptait pas s'acheter de Ferrari, de yacht ou autre villa de luxe. Il compte simplement "profiter de la vie et investir dans dans l'immobilier", a-t-il confié à la Française des Jeux.

Jean-Marc Hauth nous explique le cycle de l'eau en 7 minutes, pourquoi et comment favoriser une meilleure infiltration de l'eau dans les sous-sols, avant de vouloir la remonter par des pompages/forages

La banque californienne a annoncé mercredi 8 mars sa liquidation et la restitution de tous les dépôts. Après le scandale FTX en novembre 2022, c’est la première institution bancaire emportée par la déroute des cryptomonnaies.
Profitant de sa résidence en Suisse, il a non seulement noué d’étroites relations avec les Seydoux suisses de Vaulruz adeptes comme lui de généalogie, mais aussi consulté les archives d’état et celles de plusieurs cantons.
Ses travaux de 2007 étayés par la consultation des documents originaux ont eu le mérite de nous rattacher de manière certaine, au berceau Seydoux foisonnant autour de Vaulruz, à travers François (1768-1819) et André (1735-1795) ce dernier enfant illégitime.
Par contre-coup, devenaient concevables : le départ vers la France, le mariage de François hors de son canton d’origine, la conversion au protestantisme.

-la carrière n'est pas une carrière de roche mère car il n'y a pas de roche mère à portée de la surface, mais il s'agit plutôt d'une gravière (et d'un endroit où les formations calcaires sont faibles) composée de roches et de gravats de pierre résultant du broyage de puissantes forces de soulèvement tectonique. Il n'est donc pas possible d'extraire des blocs gigantesques d'un substrat rocheux introuvable.
~la face inférieure de la Pierre du Sud ; pas de fixation au sol.
Il y a une ligne autour de la soudure entre le bloc et le sol, et non pas une absence de ligne (ce qui serait le cas si le bloc et le "substratum" formaient une seule masse ininterrompue). Cette ligne de séparation révèle une vérité que personne n'a osé explorer, car ses implications sont énormes.
Mais avant de l'éclairer, il convient de noter un fait tout aussi important : les blocs et la plate-forme de Baalbek sont antérieurs de très, très longtemps à l'avènement des machines motorisées et des outils en acier trempé permettant de fendre la pierre dure du substrat rocheux. Rien dans la théorie des "blocs extraits" (présentée comme un fait) ne résiste à l'examen.
Pour extraire des blocs de la roche, il faut séparer une section d'une paroi rocheuse. Pour ce faire, il faut
des outils en acier trempé, y compris des coins en acier qui n'existaient pas,
ou le forage de longs trous profonds dans une ligne
ou un système de sciage à câble incrusté de diamants ("type scie à ruban"),
une paroi rocheuse, qui n'existait pas,
et un moyen de dégager le fond de la roche,
-ainsi que le fendage vertical d'un côté de la paroi rocheuse.
Provenance de Lyfe : Agents chimiques autonomes survivant grâce à l'apprentissage associatif
Stuart Bartlett, David Louapre
Nous présentons une étude de référence sur des agents chimiques autonomes qui font preuve d'un apprentissage associatif d'une caractéristique environnementale. L'apprentissage associatif a été largement étudié en sciences cognitives et en intelligence artificielle, mais il est le plus souvent mis en œuvre dans des systèmes très complexes ou soigneusement conçus, tels que les cerveaux d'animaux, les réseaux neuronaux artificiels, les systèmes informatiques d'ADN et les réseaux de régulation génétique.
La capacité d'encoder des corrélations environnementales et de les utiliser pour faire des prédictions est un critère de résilience biologique et sous-tend une pléthore de réponses adaptatives dans la hiérarchie vivante, allant des espèces animales proies anticipant l'arrivée des prédateurs aux systèmes épigénétiques des micro-organismes apprenant les corrélations environnementales. Étant donné la présence omniprésente et essentielle des comportements d'apprentissage dans la biosphère, nous avons cherché à déterminer si des structures dissipatives simples et non vivantes pouvaient également faire preuve d'apprentissage associatif. Inspirés par la modélisation antérieure de l'apprentissage associatif dans les réseaux chimiques, nous avons simulé des systèmes simples composés d'espèces chimiques à mémoire à long et à court terme capables d'encoder la présence ou l'absence de corrélations temporelles entre deux espèces externes.
La capacité d'apprendre cette association a été mise en œuvre dans les taches de réaction-diffusion de Gray-Scott, des modèles chimiques émergents qui présentent des caractéristiques d'autoréplication et d'homéostasie. Grâce à cette nouvelle capacité d'apprentissage associatif, nous démontrons que des motifs chimiques simples peuvent présenter un large répertoire de comportements semblables à ceux de la vie, ouvrant ainsi la voie à des études in vitro de systèmes d'apprentissage chimique autonomes, potentiellement pertinents pour la vie artificielle, les origines de la vie et la chimie des systèmes.
La réalisation expérimentale de ces comportements d'apprentissage dans des systèmes de protocellules pourrait faire progresser une nouvelle direction de recherche en astrobiologie, puisque notre système réduit considérablement la limite inférieure de la complexité requise pour l'apprentissage émergent.

Je soutiens qu'au moins l'une des propositions suivantes est vraie : (1) l'espèce humaine est très susceptible de s'éteindre avant d'atteindre un stade "posthumain" ; (2) toute civilisation posthumaine est extrêmement peu susceptible d'effectuer un nombre important de simulations de son histoire évolutive (ou de ses variations) ; (3) il est presque certain que nous vivons dans une simulation informatique. Il s'ensuit que la croyance selon laquelle il existe une chance significative que nous devenions un jour des posthumains qui effectuent des simulations de leurs ancêtres est fausse, à moins que nous ne vivions actuellement dans une simulation. Je discute de certaines conséquences de ce résultat.

Alice M., antisystème et covido-sceptique, a été arrêtée dans le Tarn, alors qu'elle était recherchée à la suite d'une condamnation pour une série d'infractions routières.
Coup d'arrêt pour la fondatrice d'un groupuscule conspirationniste, lié notamment à l'enlèvement d'une petite fille. Alice M., figure du mouvement One Nation, a été interpellée par des gendarmes le 19 septembre dernier, à Viviers-lès-Montagnes, au sud de Castres, puis incarcérée à la maison d'arrêt de Seysses, en Haute-Garonne, a appris Le Figaro de sources bien informées ce mercredi 28 septembre.


• Linguistique → sensibilité à la signification et ordre des mots
• Logicomathématique → séquence et raisonnement, reconnaitre des pattern
• musicale → sensibilité, mélodie, intonation, rythme, ton
• corporelle et kinesthésique → utilise son corps avec aisance et coordination, manipule adroitement des objets
• Spatiale → perçoit le monde avec précision, (re)-crée ou transforme ce monde
• Naturaliste → reconnait et classe la flore et la faune d'un environnement.
• Interpersonnelle → comprends les gens et relation entre les gens
• Intrapersonnelle → conscient de ses émotions pour mieux se connaitre et comprendre les autres. Capacité de se fixer des buts.
• Existentielle → chercher à en savoir plus sur le but de la vie. Quel est le sens de tout ça ?

Basé sur:
https://www.nature.com/articles/s41586-023-05786-2
Le télescope spatial Webb a découvert des galaxies très lointaines qui semblent avoir grandi bien plus vite que ce que prévoit la théorie.
Vey, Tristan
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Si la Nasa a investi plus de 10 milliards de dollars dans le JWST (James Webb Space Telescope), c'était avant tout pour cela : trouver et caractériser les premières galaxies de l'univers, c'est-à-dire les plus lointaines. Celles dont la lumière a mis si longtemps à nous parvenir, plus de 13 milliards d'années, que nous les voyons telles qu'elles étaient dans la prime jeunesse de l'Univers, ce qui correspond aux cinq premières années à l'échelle d'une vie humaine. Quand bien même il s'agissait de la mission première de ce titanesque télescope spatial (6,5 mètres de diamètre), la communauté astrophysique ne peut que s'enthousiasmer aujourd'hui devant les premiers résultats scientifiques produits sur la question.
Dans un article paru la semaine dernière dans Nature , une équipe est en effet allée à la pêche dans les premières données « lointaines » glanées par le télescope, un programme d'observation appelé « Cosmic Evolution Early Release Science » , ou Ceers. Celui-ci visait une zone de ciel déjà observée par le télescope Hubble et dans laquelle ce dernier... ne voyait pas grand-chose. Soit parce que les objets qui s'y trouvaient étaient trop peu brillants, car trop lointains, soit parce que leur lumière était trop décalée vers le rouge (plus un objet est lointain, plus sa lumière est étirée par l'expansion de l'univers, au point de sortir du spectre visible).
Avec sa sensibilité record et sa capacité à voir dans l'infrarouge, le JWST a très exactement été pensé pour débusquer ces « invisibles » . Et là, surprise : parmi la multitude, les astronomes mettent au jour six objets dont l'éclat et la couleur laissent penser qu'il s'agit de galaxies très anciennes, mais bien plus massives que prévu par les modèles cosmologiques. Dans un article paru dans The Conversation , le premier auteur de la publication dans Nature , l'astrophysicien Ivo Labbe, de la Swinburne University of Technology de Melbourne, raconte : « (Lorsque) j'ai lancé le logiciel d'analyse sur cette petite tête d'épingle, il m'a craché deux nombres : 13,1 milliards d'années et 100 milliards de masses solaires ; j'ai failli en recracher mon café. Nous venions de découvrir l'impossible. Des galaxies impossibles, trop précoces, trop massives. »
« Ce sont des travaux vraiment intéressants » , analyse François Hammer, astronome à l'Observatoire de Paris, spécialiste de l'évolution des galaxies et récent auteur du livre Voyage de la Terre aux confins de l'Univers (Éditions Odile Jacob, 2023). « Mais soulignons bien, comme les auteurs le font eux-mêmes dans leur papier, qu'il ne s'agit que de galaxies candidates pour le moment, il faut donc rester prudent. » Leur distance, et donc leur très jeune âge, n'a pas été formellement confirmée.
Un bébé quasar
Aucun mécanisme ne permettrait aujourd'hui d'expliquer la formation de galaxies aussi massives, aussi tôt dans l'histoire de l'univers. Nous les voyons telles qu'elles étaient 600 à 750 millions d'années après le big bang. Leurs masses sont comprises entre quelques dizaines et une centaine de milliards de masses solaires. Soit quelque part entre les nuages de Magellan et notre galaxie (la Voie lactée), qui sont beaucoup plus âgés. « Pour produire de telles galaxies aussi rapidement (dans l'histoire de l'Univers), il faut presque que tout le gaz disponible à cette époque soit transformé en étoiles, avec une efficacité proche de 100 % » , écrit Ivo Labbe.
Ces galaxies semblent en outre contenir des étoiles relativement « vieilles » . « Plus une galaxie est jeune, plus elle émet dans le bleu » , explique François Hammer. « Or la lumière de ces galaxies est plus rouge que ce à quoi on s'attendait. Ce serait une autre surprise. À moins qu'elles ne contiennent des étoiles jeunes entourées de poussières, qui absorbent le bleu. »
Dans tous les cas, seule la spectroscopie permettra d'en savoir plus. Les scientifiques vont analyser très précisément la lumière émise par chaque galaxie pour dresser sa « carte d'identité » lumineuse, son spectre. Cela permettra de déterminer très précisément leur décalage vers le rouge, c'est-à-dire leur distance, et donc leur âge. Cela permettra également de déterminer leur composition. « Si plusieurs de ces galaxies candidates voient leur taille et leur distance confirmées, ce serait une révolution pour la cosmologie » , estime François Hammer. « Il faudrait probablement abandonner notre modèle actuel. Mais c'est bien parce que les conséquences seraient aussi profondes qu'il faut des preuves supplémentaires. » Le mois dernier, le JWST a déjà pu réaliser un premier spectre de l'un de ces candidats. « Il s'agissait en fait d'un bébé quasar » , a reconnu Ivo Labbe. Soit la lumière émise par de la matière s'effondrant sur un trou noir supermassif. Un objet intéressant en soi, mais pas la galaxie lointaine et massive espérée. Reste encore cinq candidats pour bouleverser notre vision du cosmos. TV

Le Soleil est entré dans son 25ème cycle d’activité en décembre 2019. Son prochain pic d’activité devrait être enregistré en juillet 2025 et jusque-là, le nombre de tempêtes solaires devrait croître. Mais est-ce dangereux pour nous ? Pour notre système planétaire ? Pour la Terre ? À la fin du mois dernier, le 28 octobre, l’éruption solaire qui se produisit inquiéta l’espace d’un instant plusieurs analystes. Car l’éjection fut crachée par notre étoile dans notre direction, envoyant vers le Sud de la Terre un colossal nuage de particules qui nous frôla de peu.

Le vert, la couleur la plus courante, est émis lorsque les particules entrent en collision avec l’oxygène présent. Lorsqu’elles ont beaucoup d’énergie, elles pénètrent plus profondément dans l’atmosphère et vont interagir avec l’azote, et les aurores seront plutôt violettes »
Vu dans la conférence:
Uniterre sonne l’alarme : pour garantir notre alimentation à long terme, il est urgent de favoriser l’accès à la terre. Or – tandis que les rangs des écoles d’agriculture se remplissent – les jeunes, les femmes, les néo-paysan·nes et en particulier les collectifs qui rêvent de faire de l’agriculture leur activité principale se heurtent à des obstacles juridiques et systémiques souvent infranchissables. Notre nouvelle publication marque le momentum politique.
Communiqué de presse, Lausanne, le 9 février
Plus de 120 personnes se sont pressées vendredi 3 février à l’Espace Dickens, à Lausanne, pour le vernissage de « La terre à celleux qui la cultivent », une brochure de plus de 70 pages consacrée à l’accès collectif à la terre en Suisse. Un succès à la hauteur du travail que la Commission Jeunes d’Uniterre consacre depuis plusieurs années à ce sujet. Et à la hauteur des attentes et des besoins de toute une frange de la population paysanne, rurale ou néo-rurale, composée de jeunes familles, d’agriculteur·rices fraîchement diplomé·es ou de collectifs, qui cherchent à s’installer et se heurtent à l’absurdité du système.
Les obstacles auxquels ils font face sont innombrables : Des normes et calculs UMOS qui empêchent de valoriser des produits à haute valeur écologique et sociale, un droit foncier rural ancré dans une tradition conservatrice et patriarcale de la propriété privée, des coûts d’installation rédhibitoires quand on est pas « fils de », des prix de vente qui ne couvrent pas les coûts de production, le méprisant « vous faites de l’agriculture de loisir » craché par certains services, l‘impossibilité du morcellement qui pourrait faire émerger de petites fermes, les lourdes et coûteuses exigences qui se dressent à chaque fois qu’il s’agit de recouvrer un minimum d’autonomie boulangère, énergétique ou fromagère, même à une échelle microscopique…
Au fil de la soirée, et de la brochure, des collectifs de tout le pays ont témoigné de ces bâtons mis dans leurs roues bien lancées. Ce sont pourtant elles et eux qui nous nourriront demain, pour autant que l’on sorte un jour de l’impasse écologique et sociale de l’agro-industrie. Du moins nous l’espérons. Les cinq chapitres de la brochure – constituer un collectif, accéder à la terre, financer son projet, distribuer sa production et fonctionner au quotidien – tâchent d’apporter des éléments de réponse pour réussir à produire dans un système opaque. Un système à cause duquel, chaque jour, entre deux et trois fermes mettent à jamais la clé sous le paillasson, dans un silence politique fracassant.
Heureusement, comme a conclu un membre d’une ferme d’une douzaine de personnes qui ont l’audace d’essayer de cultiver « sans pesticides et sans patron » : avec assez d’ingéniosité, de malentendus et d’auto-exploitation, certains collectifs arrivent tant bien que mal à faire tourner leurs projets. Au prix d’une grande précarité et d’une absence de filets, comme de reconnaissance, qui finissent hélas aussi par en pousser de nombreux à jeter l’éponge.
« La terre à celleux qui la cultivent » se veut à la fois un hommage à cette débrouille, une boite à outils alternative en construction et un manifeste pour une agriculture véritablement durable, résiliente et souhaitable.
Accès à la terre, Communiqué de presse, Jeunes

La religion c'est des groupes de gens qui passent leur temps à se prouver entre-eux qu'ils ont raison, la science c'est le contraire, c'est des tas de gens qui essayent sans arrêt de se prouver les uns-les-autres qu'ils ont tort, ce qui les fait avancer.
L'un est un dogme, l'autre son exact contraire pour résumer.

Beige: l’argent c’est la survie
Violet: l’argent c’est la sécurité
Rouge: l’argent c’est le pouvoir
Bleu: l’argent c’est le statut
Orange: l’argent c’est la liberté
Vert: l’argent c’est l’égalité
Jaune: l’argent c’est l’utilité
Turquoise: l’argent c’est l’énergie

Tele Ticino 2017. Sergio vs Sergio
Sergio Rossi à gauche, prof d'économie monétaire à l'UNIFR explique à Sergio Ermotti CEO de UBS que non les banques ne font pas de prêt, mais du crédit. Elle créent de la monnaie à partir d'une promesse de remboursement.
On peut être CEO d'une des plus grande banque du monde sans avoir compris la création monétaire.
La monnaie et les systèmes économique est un thème qui me passionne comme la spirale...... chouette les deux ensembles 🙂
Alors j'observe un angle particulier pour cette question: comment je rémunère ?
- Beige... pas d'identité.. donc tout est moi... La notion d'argent est pas trop pertinente vu que c'est surtout un outil de lien entre individus, si pas trop d'individu.. pas de monnaie.
- Violet. Chacun travail en famille. Le pater familia du clan redistribue, ou comme chez les hurons, les femmes redistribuent les ressources de la tribu en fonction des besoins. L'ancienneté compte pour un plus.
- Rouge. Le chef de gang partage le butin à la tête du "client": beaucoup pour moi, un peu pour mes lieutenants favoris.. les miettes pour les autres.
- Bleu. La rémunération se fait en fonction des classes de la hiérarchie sociale. L'administration d'Etat donne un salaire en fonction du niveau d'étude.
- Orange. Le salaire au mérite. Tu réalises les objectifs tu as un salaire et même un bonus si c'est bien. Si tu réalise pas les objectifs, tu mérites pas. T'as rien.
- Vert. On est tous égaux, peu importe le travail réalisé dans l'organisation, on a tous le même salaire.
- Jaune. D'abord, j'assure seul mon autonomie, nourriture, logement. Puis je fonctionne en réseau avec d'autres pour les surplus, vente, troc, don, tout est possible, j'adapte le moyen en fonction de la vision du monde de la personne avec qui j'effectue des transactions.
- Turquoise. La rémunération est une communauté de travail qui donne à ceux qui s'y trouvent la sécurité nécessaire pour exprimer pleinement leur potentiel et réaliser ce qu'ils ont d'unique. La communauté n'est pas exclusive. Un individu peut oeuvrer dans plusieurs communautés.
=> On peut imaginer un revenu de base complété par mille autres critères, mérite, ancienneté, besoins accru, diplôme... etc..
Les DAO qui créent leur propre monnaie pour rémunérer leur membres sont une piste intéressante d'évolution en ce sens.

Le Dr François Lallier y a consacré sa thèse de médecine générale en réalisant une étude rétrospective dont il a tiré un ouvrage (voir encadré). Nous avons interrogé ce jeune médecin généraliste sur le pourquoi de ce choix original, voire « osé » pour un interne – ni religieux, ni mystique –, et sur les résultats de son enquête réalisée selon des critères scientifiques auprès de 120 personnes réanimées d’un arrêt cardiaque de la région rémoise.

Quels sont les numéros les plus tirés au loto ?
Selon les données de la Française des Jeux, les numéros 7, 30, 48, 10, 29 et 26 ont été les plus souvent tirés au loto entre novembre 2019 et mai 2020. Ils ont tous été tirés au sort entre 13 et 15 fois sur ces 7 mois consécutifs. Des statistiques plus globales font également état d’une sélection de 10 chiffres dits « porte-bonheur » qui auraient tendance à sortir plus souvent que les autres. Il s’agit du 41, du 22, du 13, 23, 33, 1, 15, 27, 16 et 32. La boule 41 serait ainsi la plus souvent tirée depuis l’année 2008, avec un taux de sortie de 12,38 %. En ce qui concerne le numéro Chance, le 9, le 8 et le 4 sont les trois chiffres les plus souvent tirés au sort en 2020.
Les constructeurs de la Grande Pyramide de Khéops ont aligné le grand monument sur les points cardinaux avec une précision de plus de quatre minutes d'arc, soit un quinzième de degré.1 La voisine de la Grande Pyramide, la Pyramide de Khéphren, est alignée avec une erreur d'environ 6 minutes, soit un dixième de degré.2 Les constructeurs de la pyramide rouge de Snéfrou à Dahchour ont atteint une précision de 8,7 minutes.3 Ces trois pyramides présentent le même type d'erreur : elles sont tournées légèrement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre par rapport aux points cardinaux.
La manière dont les Égyptiens sont parvenus à atteindre une telle précision a longtemps été débattue. Ces dernières années, quatre des méthodes candidates ont été testées et jugées viables.4 Il s'agit de la méthode de l'étoile polaire proposée par Flinders Petrie,5 de la méthode de l'étoile circumpolaire testée par Joseph Dorner,6 de la méthode du transit simultané proposée par Kate Spence,7 et de la méthode de l'ombre du gnomon solaire suggérée par Martin Isler.8 Pourtant, il existe une méthode simple que les chercheurs ont largement ignorée, peut-être parce qu'ils pensaient qu'elle ne permettait pas d'atteindre la précision requise.9 Il s'agit de la méthode du gnomon solaire ʽequinoctialʼ. Elle utilise une tige verticale pour suivre le mouvement du soleil à l'équinoxe.10

Pour le Dr. Hawass, le coucher du soleil aligné au-dessus du sphinx ne serait donc pas un hasard.
Ceci suggère, selon l'égyptologue, que la statue de 20 mètres de haut et 73 mètres de long a été érigée à cet endroit dans un objectif astronomique et religieux. "Ce phénomène prouve que les archéologues se trompaient quand ils disaient que les Égyptiens avaient trouvé une pierre par hasard et l'avait changée en une statue à visage humain et au corps non-humain", écrit le ministère dans sa publication.
La photo publiée par le ministère égyptiens des antiquités:
https://www.facebook.com/moantiquities/photos/a.979988385380145/2935261899852774/?type=3&theater

La meilleure vidéo que j'ai vu depuis longtemps !!! Un vrai sujet, un vrai panorama fait du point de vue de plusieurs niveaux de réalité. (ça manière d'appeler la spirale dynamique) De l'ouverture à la réflexion, de l'inspiration et de l'humour !
Départ sur le TDI, les possessions.... et hop on se retrouve à méditer sur la nature de la réalité.. Qu'est-ce que LA réalité ? .... Inception, Avatar, Ready Player One, Matrix, ExistenZ, total Recall.... le cinéma abonde de ce thème, et même avant, le temps du rêve aborigène, la Maya hindoue, la caverne de Platon.
Perso, je suis de plus en plus persuadé que l'humain est un récepteur "radio" de la conscience. Les expériences d'ingestion d'enthéogène montrent une réalité objective dans laquelle les participants se rencontrent. L'unus mundu de jung ?
Là il le montre avec Padre pio qui rend la vue à une aveugle de naissance. Avec une madame qui perd la vue dans un accident de voiture, mais son autre personnalité en elle n'a pas été touchée ainsi.. et donc voit !!!
Il y a des doses d'anesthésiants nécessaire qui sont différentes suivant les personnalités qui incarne le corps en question. (enfant ou adulte)
Définitivement la conscience n'émerge pas du corps. Elle s'incarne dans un corps.. et parfois il y en a plusieurs.... ou pire, c'es le démon qui vient...
Bascar montre plusieurs exemple d'artiste qui ont vendu leur âme au diable pour avoir du succès.... Johnny par exemple !
• visuel
• intuitif
• global
• équilibre actif réflexif

l'eau est repoussée par un aimant !

VIVONS-NOUS DANS UNE SIMULATION INFORMATIQUE ?
Je trouve qu’il est difficile d’argumenter contre la possibilité que l’on vive d ans une simulation… NEIL DEGRASSE TYSON – Astrophysicien
J’aime à penser que la Lune est toujours là, même si je ne suis pas en train de la regarder. ALBERT EINSTEIN – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1921
Il se pourrait que nos esprits n’appartiennent pas à l’humanité originelle, mais plutôt à des personnes simulées par les descendants avancés d’une humanité originelle. NICK BOSTROM – Philosophe
Le bon sens qui voudrait que les objets existent de manière objective, indépendamment de notre observation, devient obsolète lorsque l’on considère la physique quantique. NIELS BOHR – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1922
On peut voir des jeux vidéo ultra-réalistes aujourd’hui. Ils deviendront peut-être un jour indiscernables de la réalité. Comment pouvons-nous savoir que ça ne s’est pas déjà produit dans le passé, et que nous ne sommes pas, nous-mêmes, dans l’un de ces jeux vidéo ? ELON MUSK – PDG DE SPACEX
Je veux apporter des preuves concrètes que nous vivons dans une simulation. TOM CAMPBELL – Physicien, essayiste
L’étude du monde objectif nous mène à la conclusion que le contenu de la conscience est l’ultime réalité. EUGENE WIGNER – PRIX NOBEL DE PHYSIQUE 1963
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LE VIRTUEL À L’ÉPREUVE
Pour ce faire, les physiciens sont repartis de l’expérience des doubles fentes, qu’ils ont adaptée à leur problématique. La première expérience consistera à détecter le trajet pris par la particule au sein des fentes 1 ou 2 grâce à un détecteur, mais sans enregistrer le résultat. L’information ne sera donc pas disponible pour l’observateur : dans un monde simulé informatiquement, la décohérence n’aurait pas lieu, une figure d’interférence devrait de ce fait se dessiner sur l’écran.
La seconde expérience, quant à elle, cherchera à décaler dans le temps la destruction de l’information – qui était immédiate dans la manipulation précédente, car non enregistrée. Cette fois, les chercheurs placeront deux détecteurs, respectivement au niveau des fentes et à celui de l’écran. À l’issue du bombardement de photons, les résultats seront enregistrés par les membres de l’équipe sur deux clés USB séparées – la clé « écran », et la clé « fentes ». Là, il y aura bien détection au niveau de la fente, la mesure aura été faite, l’information sera disponible sur une clé USB. Elle devrait normalement provoquer une décohérence et donc l’absence de figure d’interférence.
Mais… si la clé USB fente est détruite avant d’avoir été lue par quelqu’un ? Dans le scénario d’une réalité simulée, l’information contenue n’aurait en fait jamais existé, puisqu’elle n’aurait jamais été soumise à la conscience d’un observateur. Et la lecture des données stockées sur la clé USB « écran » devrait montrer une figure d’interférence, prouvant que ce n’est pas la mesure mais l’observateur qui sélectionne la réalité ! « Les expériences peuvent paraître simples d’un point de vue conceptuel mais elles sont très délicates à réaliser, car elles requièrent de contrôler le nombre de photons émis par unité de temps« , pointe Houman Owhadi.
Des galaxies ayant des masses stellaires aussi élevées que ~ 1011 masses solaires ont été identifiées1-3 jusqu'à des décalages vers le rouge z ~ 6, soit environ un milliard d'années après le Big Bang. Il a été difficile de trouver des galaxies massives à des époques encore plus anciennes, car la région de la rupture de Balmer, qui est nécessaire pour des estimations précises de la masse, est décalée vers le rouge à des longueurs d'onde supérieures à 2,5 μm. Ici, nous utilisons la couverture de 1-5 μm des observations de la version précoce du JWST pour rechercher des galaxies intrinsèquement rouges dans les premiers ≈ 750 millions d'années de l'histoire cosmique. Dans la zone d'étude, nous trouvons six galaxies massives candidates (masse stellaire > 1010 masses solaires) à 7,4 ≤ z ≤ 9,1, 500-700 Myr après le Big Bang, dont une galaxie avec une masse stellaire possible de ~1011 masses solaires. Si elle est vérifiée par spectroscopie, la densité de masse stellaire dans les galaxies massives serait beaucoup plus élevée que celle anticipée par les études précédentes basées sur des échantillons sélectionnés par ultraviolets dans le cadre de repos.
La pyramide de Khéops est l'un des plus grands monuments archéologiques du monde entier, qui recèle encore de nombreux mystères. En 2016 et 2017, l'équipe ScanPyramids a fait état de plusieurs découvertes de vides jusqu'alors inconnus par radiographie cosmique à muons qui est une technique non destructive idéale pour l'investigation de structures à grande échelle. Parmi ces découvertes, une structure en forme de couloir a été observée derrière la zone dite du Chevron sur la face Nord, avec une longueur d'au moins 5 mètres. Une étude dédiée de cette structure était donc nécessaire pour mieux comprendre sa fonction en relation avec le rôle architectural énigmatique de ce Chevron. Nous rapportons ici de nouvelles mesures d'une excellente sensibilité obtenues avec des films d'émulsion nucléaire de l'Université de Nagoya et des détecteurs gazeux du CEA, révélant une structure d'environ 9 mètres de long avec une section transversale d'environ 2,0 m par 2,0 m.
Les stèles ibériques du sud-ouest de l'âge du bronze final (ABF) et du premier âge du fer (EIA) sont depuis longtemps au centre de l'intérêt archéologique. Ces monuments présentent des représentations de figures humaines et animales, des objets tels que des armes, des ornements et des chars. En outre, ils donnent un aperçu des techniques préhistoriques de travail et de sculpture de la pierre. En revanche, les études pétrologiques des roches et les réflexions qui en découlent sur les outils appropriés sont encore l'exception.
En raison du manque d'analyses et d'études technologiques, cette recherche mettra l'accent sur une approche multidisciplinaire impliquant des analyses pétrographiques et métallurgiques, complétées par l'archéologie expérimentale.
Tout d'abord, une détermination lithologique précise des stèles de Capilla (Espagne) a été établie à l'aide de méthodes pétrographiques. Selon les résultats, deux dalles pour des répliques de stèles ont été obtenues à partir de l'affleurement mono-minéral identifié de quartz-sable ("quartzite"). L'expérience a impliqué l'essai de burins fabriqués à partir de tous les matériaux expéditifs qui étaient disponibles dans le FBA-EIA par un tailleur de pierre professionnel. Considérant que de telles roches extrêmement dures nécessitent des outils robustes pour la sculpture, un ciseau en fer longtemps ignoré provenant du site FBA de Rocha do Vigio (Portugal) a été étudié par métallographie et a révélé un acier hétérogène, mais étonnamment riche en carbone.
Les roches analysées sont parmi les plus dures qui puissent être utilisées pour la sculpture, et au cours de l'expérience, des outils en bronze et lithiques ont pu être mis au rebut. Le seul outil qui a montré un effet a été la réplique du ciseau en acier de Rocha do Vigio avec un bord durci. Les traces de travail distinctes ont été comparées aux monuments originaux. Nous émettons l'hypothèse que la production d'acier au carbone ainsi que sa trempe étaient probablement déjà connues lors de la transition FBA-EIA en Ibérie.
Ainsi, seul l'accès à la technologie du fer permettait la fabrication de stèles à partir des lithotypes fréquemment utilisés dans le bassin du Zújar autour de la municipalité de Capilla.

Une série d'explosions à la surface du Soleil pourrait provoquer des aurores boréales (et peut-être aussi des aurores australes) d'ici mardi, tout en perturbant les services de radio et de satellite.
"Un filament magnétique connecté à la tache solaire AR3229 a éclaté le 24 février, produisant une réaction en chaîne d'événements qui pourraient conduire à une tempête géomagnétique sur Terre", a expliqué l'astronome Dr Tony Phillips à Spaceweather.com.
Cet éclatement de la tache solaire AR3229 a déclenché une éruption solaire de classe M (intensité moyenne) de longue durée. Le rayonnement de cette éruption a voyagé à la vitesse de la lumière pour atteindre la Terre en moins de dix minutes et perturber les communications en mer pendant près d'une heure.