Jésus en Inde

Il semblerait que durant sa jeunesse Jésus soit allé voyager et étudier dans le nord de l'Inde.

Cette affirmation à été rapportée par le médecin et grand voyageur russe Nicolas Notovitch dans son livre "La vie inconnue de Jésus-Christ".

Cette affirmation, révélée à la fin du 19ème siècle à fait couler beaucoup d'encre. De nombreuses personnes, et l'église catholique en tête ont catégoriquement refusé de croire à cette histoire.

Cependant, comme le dit Nicolas Notovitch: "Rien historiquement, ou théologiquement ne contredit cette histoire, donc elle est tout à fait plausible."

Mais quelle est exactement cette histoire ?

Et bien, Nicolas Notovitch à découvert dans le monastère Bouddhiste de Himis à Leh au Ladakh, un province du nord de l'Inde, un vieux rouleau écrit en langue Palie.


Ce vieux manuscrit semble vraiment très ancien et pourrait bien dater du temps de Jésus. Ce manuscrit décrit en 200 vers l'histoire de Saint Issa.

L'histoire raconte que Issa est venu en Inde avec des marchands, qu'il à étudié pendant 6 ans les écritures relatives aux grands bouddhas et qu'il passait de nombreuses heures dans des joutes théologiques avec des grands moines bouddhistes.

Ce derniers étaient même très intéressés et étonnés par les réponses aux questions que Issa fournissait.

Puis le manuscrit de Himis décrit le voyage et les enseignements qu'Issa faisait dans tout le nord de l'Inde.

Ce récit ressemble étrangement à ce que les évangiles racontent.
Issa a été souvent chassé et parfois mis en danger de mort par les autorités de certaines villes pour ces propos qui dérangeaient.

De plus le manuscrit décrit le "grand crime qui a été perpétré par Pilate en assassinant Saint Issa".

Le manuscrit de Himis décrit donc la vie de Saint Issa de l'âge de 13 ans à l'âge de 29 ans, la période durant laquelle il a vécu en Inde.

Les évangiles quand à eux décrivent la vie de Jésus de sa naissance jusqu'à l'âge de 12 ans lorsqu'il parlait avec les grands prêtres du temple de Jérusalem. Puis Luc nous dis que Jésus croissait en taille et en sagesse….

Et nous retrouvons Jésus à 30 ans pour son baptême par Jean Baptiste. Puis le récit continue jusqu' à sa mort et sa résurrection.

Les évangiles comportent donc un trou dans la vie de Jésus entre l'âge de 12-13 ans et l'âge de 30 ans. Le rouleau de Himis lui, décrit la vie de Saint Issa de l'âge de 13 ans à l'âge de 29 ans… Tous se coordonne bien !

Il semble donc tout à fait plausible que Jésus ait étudié le Bouddhisme en Inde.
(Note ajoutée en 2024: en fait techniquement plutôt la méditation vipassana qui est l'enseignement du bouddha et pas la religion qui en est issue... un peu comme le Christianisme qui n'est pas exactement l'enseignement de Jésus.)

En effet, le Bouddhisme et le christianisme ont tous deux le même message de tolérance envers les autres. De plus Jésus était un orateur hors pair, il utilisait souvent des paraboles, figures de rhétorique qui sont souvent pratiquées par les moines bouddhistes. Il se serait donc entraîné à l'art de la rhétorique avec des moines bouddhistes.

Certains disent même que Jésus aurait atteint l'éveil comme Bouddha. En effet, Bouddha et Jésus ont les deux décrit le paradis ou Nirvana.

Cependant, l'enseignement de Bouddha est beaucoup plus grand et détaillé que celui de Jésus. Ce dernier étant mort à 33 ans n'aurait en fait certainement pas eu le temps de tout voir et comprendre. Alors que Siddharta Gautama est mort à un âge très avancé et a eu plus de temps dans l'étude de notre univers.

Dans tous les cas, ces deux hommes furent des personnes exceptionnelles dont les enseignements sont toujours très suivi plus de 2000 ou 2500 ans après leurs morts.

Les mouvements de masse

Dans le même ordre d'idées que celui des regroupements humains. Il y a les mouvements de masse.

Un individu tout seul tentera rarement une activité extravagante. Il sera traité de fou.

Cependant, si tout un groupe, et surtout si le groupe est grand, fait cette même activité extravagante, il y aura une foule de gens qui seront prêts à suivre et encourager l'activité.

L'individu seul ne fait partie d'aucun groupe, il est exclu du groupe majoritaire qui ne pense pas la même chose.

Tandis que si la personne extravagante est ralliée par une foule d'autres personnes, le groupe grandi et peut prendre la majorité sur les autres groupes. Les exclus seront donc ceux qui ne font pas l'activité extravagante.

Imaginez un individu tout seul qui marche dans la rue à reculons. Tout le monde le traite de fou.

Cependant, si c'est une foule de dix-mille personnes qui marchent à reculons et qui croise un petit groupe de trois personne marchant normalement, ce sont les trois qui vont se conformer à la masse et également marcher à reculons.

Les gens du marketing connaissent ces phénomènes et les exploitent pour nous forcer à consommer un produit que personne n'aurait acheté.

Les modes se lancent de la même manière. Il suffit de persuader un certain nombre de personnes que tel accessoire est le meilleur qu'il va vous faire admirer de tous, pour que la mode soit lancée.

Le critère fondamental est le nombre de personne persuadée dès le début. Plus le nombre est grand, plus la mode va se lancer très vite et très loin.

Petit exemple:

Une marque veut faire porter le chapeau à tout le monde !

Il faut déjà qu'elle dispose d'un modèle de chapeau que tout le monde peut porter et qui n'est pas si mal, puis il faut trouver un média de communication qui va montrer au plus grand nombre que porter le chapeau c'est bien.

En général, ce sont les agences de publicité qui s'occupent de cela. Cela peut être par exemple, un pub à la télévision.

Lorsque un assez grand nombre de personne pensera que porter le chapeau c'est bien et qu'elles le feront, la mode est lancée.

Un personne qui se balade dans la rue et qui en moins de cinq minutes croise quinze personnes qui portent le chapeau, voudra déjà comprendre ce qu'est cette nouvelle mode, puis si le chapeau lui convient, elle s'en procurera un.

Puis, le bouche à oreille fait son travaille et la mode est lancée…

Le plus dur dans ce processus est de persuader assez de monde au début.

C'est par la densité que l'on y parvient le mieux. Il faut concentrer ses efforts sur le même endroit.

Dans l'exemple des chapeaux, si une pub à la télé fait écouler 50'000 chapeaux, mais répartis sur 1 million d'habitants. La personne qui se balade dans la rue ne rencontre qu'une personne sur cent qui a un chapeaux.

C'est insuffisant, d'une fois à l'autre elle ne fera pas le rapport le bouche à oreilles non plus, et le mouvement de masse n'aura pas lieu.

Toutefois, si à la place de faire passer un spot de télévision, la marque de chapeau est présente dans une manifestation sportive où il fait chaud, elle peut toucher une population directement avec un produit utile et de part la densité, créer un mouvement de masse.

Si, sur les 2000 personnes présentent à la manifestation sportives 200 achètent et portent un chapeau, c'est déjà une personne sur dix qui aura un chapeau. c'est suffisant pour les gens le remarque, que le bouche à oreilles commence et que le mouvement de masse se déclenche.

Avec ce principe seulement 200 chapeaux ont du être écoulé pour faire toucher potentiellement une population de 2000 personnes qui même si elle n'achètent pas auront vu la chose et pourront faire marcher le bouche à oreilles.

Avec plusieurs opérations dans le genre, la marque de chapeau est sûre d'avoir réalisé un beau mouvement de masse.

Dans les sectes, ont utilise beaucoup les mouvements de masse. On estime qu'une activité si elle est réalisée en groupe est plus percutante que si elle avait été faite individuellement.

Les gens ont toujours de bons souvenir d'activités réalisées en groupe. Les grands rassemblements de foule posent toujours de nombreux désagrément, mais il sont toujours très attendu et apprécié.

Des observateurs totalement contraire aux idées Nazi ont racontés que lors des grands rassemblements Nazis de Nuremberg, leur bras se levait tout seul pour saluer Hitler.

En 1936, August Landmesser ne fait pas le salut Nazi lors de la mise à l'eau d'un bateau.

La ferveur de la foule est communicative. Il y avait tellement de monde qui levait son bras en même temps, que la personne qui veut résister au milieu de cette masse doit avoir une volonté énorme pour ne pas céder.

Hitler avait bien compris cela, et il a exploité le phénomène sans scrupules.

C'est ce que l'on appel l'effet "mouton". Le berger montre, la masse suit.

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C'est aussi l'effet "Rhinoceros", comme il se passe dans la pièce d'Eugène Ionesco "Rhinoceros".

A la tête d'un mouvement de masse, il y a le berger, le gourou, l'idole, ou tout autre personne suffisamment influente pour donner une impulsion à un groupe de personnes qui va déclencher un mouvement de masse.

Ce "berger" de l'effet "mouton" remplace très avantageusement une agence de publicité chargée de montrer au monde une nouvelle mode.

L'idole est souvent une personne de "confiance" pour toute un population, tout ce que fait cette personne est "bien", peut, et doit même, être recopié.

Une "star" de cinéma, de la chanson ou du monde sportif est ainsi une source de mode et d'effet de masse considérable.

Si une star porte le chapeau de notre exemple, dans les heures qui suivent, tous ces fans porterons le chapeau.

Et ceci, les marques l'on compris et elles sponsorisent les "stars" pour porter leurs habits de marque.

→ Voir aussi mon résumé du livre "psychologie des foules" de Gustave Lebon. Le livre de chevet de tous les dictateur du 20ème siècle.

Forme de vie habitant le vide spatial

Le vide spatial est tout de même un environnement assez particulier. Comme son nom l'indique, il est vide. Hors, nous sommes habitués, en tant qu'humain à être fait de chair, de matière et à nous entretenir, nous réparer, faire le plein d'énergie en consommant de la nourriture, de la matière.

Cependant, dans l'espace, il y a de la place pour faire et construire ce que l'on veut, mais il n'y a que très peu de matériaux. Le vide ne contient pas de matière, il est vide.

Cela pose un problème fondamental pour faire vivre des êtres vivants tel que les humains dans un milieu pareil.
En effet, on ne peut se permettre de consommer de la matière pour s'alimenter en énergie.

Il faut tout recycler. Toutefois, recycler demande de l'énergie, si celle là même est fournie par les réactions chimiques dues à l'absorption d'aliments, on est pas sortis de l'auberge.

Hors, s'il est une chose qui est présente dans le vide, c'est bien de l'énergie. (Même si Einstein à montré que la masse est équivalent à de l'énergie et inversement, nous n'allons pas nous occuper de cela dans ce contexte.)

En effet, pour autant que l'on se trouve pas trop loin d'une étoile (se qui est déjà très restrictif, mais laisse une marge mouvement relativement grande à l'échelle humaine), le rayonnement de cette étoile peut transmettre suffisamment d'énergie pour qu'un organisme vivant puis vivre.

Cependant, cet organisme vivant ne sera pas forcément des plus vigoureux, il sera même plutôt assez lent, mou, et ne bougera que très peu. Tout cela dans le but d'économiser le plus possible d'énergie.

Mais toute cette passivité apparente cache une extraordinaire vivacité d'esprit.
En effet, je conçois une forme de vie adaptée à l'espace comme ayant une carapace lui permettant de survivre dans le vide.

Cette carapace n'étant pas seulement une armure contre la rudesse de son environnement, mais étant en fait l'interface et le support matériel de toute une espèce qui ne vit que virtuellement dans un univers simulé.

Ainsi, la partie corporelle, matérielle de cette forme de vie est remplaçable, adaptable, et peut se constituer d'une seule comme de centaines de millions de machines, qui simule un environnement pour une forme de vie qui n'est que pure information. Mais qui cependant est une forme de vie.

Cette forme de vie peut avoir conscience ou non de se trouver dans un univers simulé, mémorisé dans des machines dérivant dans le vaste univers.

Cette solutions permet de réduire au minimum la dépense en énergie de toute une forme de vie sans que ces êtres vivants ne se rendent compte qu'ils ne disposent seulement que de ressources limitées.

Vivons nous, nous aussi, dans un univers simulé ?
l'univers en lui même n'est il pas qu'une imbrication d'univers ?

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