Pauvreté de notre langage

Avez-vous remarqué comme nos moyens de communications sont faibles ?

Quand je parle de moyens de communication, je ne parle pas de télécommunication, je ne parle pas du téléphone, de la télévision, du E-mail….

Non, je parle des moyens de communications.

Des moyens que nous utilisons pour transmettre une idée, un concept à un autre être humain.

Les seuls moyen dont nous disposons actuellement sont la parole et l'écrit.

La parole est une modulation de la pression de l'air pour envoyer de l'information à qui est capable de la recevoir.

L'écrit utilise un moyen visuel pour transmettre de l'information.

Donc, nous utilisons uniquement nos sens de la vue et de l'ouïe pour transmettre de l'information à nos semblables. Pourtant nous avons cinq sens !

Dans le cas de l'écrit comme dans le cas de la parole, nous sommes incapables de transmettre directement nos pensées. Nous utilisons un codage de nos pensées.

Lorsque une personne désir transmettre le contenu de sa pensée à une autre, elle codifie sa pensée selon des règles qui forment une langue. Puis, elle transmet ce codage, via la parole, ou via l'écrit à la personne destinataire du message. Le destinataire à pour tâche de reconstituer une pensée à l'aide des informations codées qu'il a reçues.

Cependant, la plupart du temps, le fond de la pensée de l'expéditeur reste souvent très flou. Le codage qui est effectué pour transmettre l'information est bien trop souvent un codage destructeur d'information. Seule une infime partie de l'information d'origine arrive au destinataire.

D'où les difficultés que rencontre souvent les diplomates pour s'entendre.

Grâce aux progrès technologiques, nous avons l'impression que nous nous comprenons mieux, qu'il est plus facile de communiquer actuellement qu'il y a plusieurs siècles.

Toutefois, ce n'est pas vrai. l'évolution de la technologie, n'a pas fondamentalement modifié nos moyens de communications, elle les a étendus.

Le mot télécommunication signifie communication à distance. l'évolution technologie n'a fait que d'augmenter la porté de nos moyens de communication.

Grâce au téléphone, nous pouvons parler avec des gens qui se trouvent à l'autre bout de la planète, mais cela reste de la parole.

Le E-mail ne fait pas mieux, le E-mail agit de la même manière que le téléphone, mais lui emploie le média visuel. Le E-mail reste une communication écrite.

Les seules améliorations que la technologie nous a apportée se situent au niveau de l'image.

Une pensée peut contenir une image. La parole ou l'écrit n'est pas capable de transmettre une image, tout au plus, il est possible de décrire grossièrement ce que représente l'image, mais une quantité phénoménale d'information est tout de même perdue.

Le progrès de la technologie, c'est la photographie. Il est possible via une communication par E-mail ou par MMS de joindre au texte une image.

Le destinataire peut ainsi véritablement voir une image qui pouvait être contenue dans une pensée.

Cependant, cette image n'est qu'une image de substitution. Ce n'est pas la véritable image contenue dans la pensée. Elle peut être très proche, comme n'être qu'une pâle copie.

La technologie, tout en fournissant de plus en plus d'extensions à nos moyens de communications n'améliore pas ceux-ci. Nous parlons à peu de chose près de la même manière depuis des millénaires. Les seuls changement qui sont advenus sont les modifications du codage qui sont utilisés pour transmettre une pensée. Les seuls changement qui sont advenus sont les modifications dans les langues.

Les langues vivent. Il y a des langues vivantes et des langues mortes. Les langues évoluent en même temps que la société.

On parle de langage oral, de langage écrit. On trouve des formes complexes ou des formes très simples comme le langage SMS qui est souvent critiqué par les défenseurs des belles lettres.

Cependant, même un langage complexe, munis de subtiles nuances, mieux adapté pour décrire une pensée que le langage SMS, reste un langage, un code utilisé pour transmettre une pensée.

Le langage s'adapte toujours au canal qui le supporte.

Le langage très abrégé des SMS n'est que le résultat de la taille limitée à 160 caractères d'un SMS. l'acronyme SMS signifie qu'il s'agit d'un système de messages courts.

Ce qui peut choquer, c'est qu'il n'y a aucun précédent d'un moyen de communication si répandu et dont le canal est si limité.

Le canal de transmission d'un SMS est peut-être très faible, mais il fonctionne. Il est possible de transmettre de l'information. La majorité de la population préfère un moyen de communication limité que pas de moyen de communication du tout.

Parmi toutes les langues qui existent, toutes n'utilisent pas les mêmes principes, et surtout les mêmes symboles.

Chaque langue codifie ses propres syllabes de bases, certaines langues en utilises beaucoup, d'autres moins. Mais toutes utilisent le même appareil humain pour générer les sons.

Du point de vue du langage écrit, certains ne sont que la retranscription des sons du langage parlé avec des symboles écrits. d'autres sont dissociés du langage oral et utilisent leur propre symboles pour représenter une idée ou un mot. C'est l'opposition entre les écriture alphabétiques et les écritures pictographiques.

Toutefois, chaque personne utilise souvent autant des symboles que des alphabètes.

Le langage mathématique est certainement le langage qui est le plus universel. c'est le seul langage qui soit écrit de manière identique sur toute notre planète. d'autre langage mathématiques ont existé, et ils ont disparût, ou ont été assimilés au langage actuel.

Le langage mathématique est la plupart du temps écrit. c'est un langage symbolique, pictographique. Cette particularité lui a certainement permis de se diffuser plus facilement. En effet, des mathématiciens de différents pays ne parlant pas la même langue sont capables d'utiliser le même symbolisme écrit, tout en prononçant des mots différents quand ils le lisent !

Malgré tous les langages existant, la plupart sont quand même toujours très réducteurs d'idées.

Une langue est toujours composée d'un compromis entre le fait de pouvoir exprimer avec peu de symboles n'importe quelle idée, ce qui génère souvent des discours longs, ou le fait d'exprimer des idées entières avec un seul symbole, ce qui augmente considérablement le nombre de symboles.

Dans un cas on mise sur la capacité de créer des associations de symboles, et dans L'autre sur la capacité de mémorisation et de comparaison des symboles.

On peut donc remarquer ainsi un lien entre la capacité de traitement et de mémorisation d'un système de communication et le code utilisé pour formater l'information entre les systèmes.

On peut remarquer qu'un ordinateur est plus à l'aise avec la mémorisation de symbole et qu'un humain est quand à lui plus à même de créer des liens et des associations de symboles.

Il est intéressant de remarquer que ces différentes façons de construire un langage sont à la base même de la querelle entre les fabricants de processeurs Intel et Motorola. c'est la querelle entre les processeurs de la famille CISC et de la famille RISC. Un combat entre la philosophie du jeu complexe d'instructions et un jeu réduit d'instructions.

Un processeur est le coeur même d'un ordinateur. Il est constitué de circuits capable de traiter de l'information. Chaque instruction du processeur est un de ces circuits. La guerre qui fait rage entre le Pentium et le PowerPC est la guerre entre beaucoup d'instruction et donc beaucoup de circuit, ou peu d'instruction et un processeur plus simple, mais qui demande d'utiliser plusieurs instructions là ou un processeurs CISC n'en fait qu'une.

Actuellement, il semblerait que pour des questions de diminution de la complexité des circuits, et de consommation d'énergie moindre, le processeurs RISC, donc à jeu réduit d'instructions, est en train de surpasser son rival.

Le langage alphabétique est capable de gérer tout les cas qui peuvent arriver, alors qu'un langage symbolique est obliger d'être mis à jour à chaque nouvelle idée. Cependant, pour les idées fréquemment utilisée, les symboles ont utiles, il permettent de réaliser une compression non destructives de l'information. Les expressions sont des exemples de symbole que l'on crée à l'aide d'une phrase qui à l'origine était construite. A la place de décrire de manière très complexe une pensée que l'on exprime souvent, on attribue une expression symbolique à l'idée.

Le cerveau humain est un réseau de neurones. Il fonctionne sur le principe des associations. Ce sont les liens créé qui permettent de stocker des idées. Penser revient à créer des liens entre les neurones.

Notre façon de penser est donc basée sur l'association, sur le lien. Nos pensées sont structurées de manières associative. Elles sont structurées en réseau et non pas linéairement.

Lorsque nous parlons, nos pensées passent par le filtre de la langue. Celui-ci est obligé de recréer de manière linéaire toute l'idée pour la transmettre. Une langue est une fonction de linéarisation de l'idée.

Lorsque J'écris ce texte, je le formule de façon linéaire. Le lecteur que vous êtes, lisez ce texte de façon linéaire.

Mon idée de base était un réseau d'idée. Ici, je l'exprime de façon linéaire.

Dans la théorie des réseau, on parle de sommets qui sont reliés par des arcs. Chaque réseau peut être parcouru par plusieurs chemins possibles. Ce texte est en fait un parcours possible de mon réseau d'idées. Ce texte est composé de paragraphe, de retour à la ligne et de mots de liaison (mais, cependant, toutefois…). c'est la structure du texte. La structure du texte est en fait le reflet de la structure du réseau d'idée qui est parcouru. Chaque phrase est l'idée qui se trouve à un sommet du graphe. Les mots de liaison, sont les liens, les arcs entre les sommets. Tandis que les retours à la ligne et paragraphes tentent de séparer les différentes parties importantes du réseau, tente d'éviter que le texte suive une boucle dans le réseau et reviennent sur une idée déjà exposée.

Cependant, une même idée peut être exposée plusieurs fois dans le même texte, et ceci, simplement de part le fait qu'elle est l'intersection de deux parcours différents. Cette même idée va donc être exprimée d'une manière en suivant un des parcours du réseau d'idée, et d'une autre manière en suivant un autres parcours. c'est alors au lecteur de faire le lien entre les deux parcours en remarquant que l'idée est identique. Cette construction de phrase permet donc de reconstituer chez le lecteur le réseau d'idée que l'auteur voulait transmettre.

Dans les jeux de mots, ou la poésie, l'auteur tend à relier encore plus que naturellement le texte qu'il écrit. Il tend même à donner plusieurs idées en même temps à l'aide d'une seule phrase. Il utilise pour ce faire des homophones, des connotations, des rimes, des mots à double sens etc…

Ce sont les seuls moyens connus pour véhiculer plusieurs idées avec la même phrase.

Un texte est donc composé d'idées qui sont reliées entre elles par une structure dont les règles sont définies par la langue utilisée.

Souvent ces structures sont longues à exprimer. Lorsque l'on prend des notes, on tend à éliminer ce qui est long et qui n'apporte que peu d'information. On écrit alors les idées et on les relie entre elles par de simples flèches. (Ex: feu → chaud) Cette technique remplace une longue phrase par un simple symbole rapide à écrire.

Pourquoi écrivons nous de longues phrases pour lier nos idées plutôt que de les relier de manière simple ?

Une des réponses qui me vient à l'esprit explique ceci de par le fait que la plupart des langages écrits, le français en tout cas, sont issus des langages oraux.

En effet, le langage parlé est bien plus présent et était présent avant le langage écrit. Le langage écrit à donc été calqué sur le langage oral. Langage dans lequel, pour relier des idées on est obligé de créer des sons. De part la limitation du canal de transmission, le son d'une idée, ou le son de la liaison sont presque de même longueur à dire.

La longueur du son dans le langage parlé est moins un problème que dans le langage écrit, car on est obligé de donner un certain nombre de sons pour permettre une correction d'erreur.

Cependant, dans le langage écrit, on utilise le média visuel, il est possible de transmettre plus vite de l'information de manière visuelle que de manière orale. Une image est susceptible de transporter plus d'information qu'un son.

Il ne faudrait donc pas calquer le langage écrit sur le langage oral.

Il faut donc trouver un moyen d'écrire un texte en limitant les mots de liaison inutiles qui ne font qu'ajouter du bruit dans la transmission d'information.

Une des manière de faire est d'utiliser le diagramme heuristique. Un tel diagramme est constitué de bulles contenant les idées. Ces bulles sont reliées par des arcs, des liens.

On dispose ainsi d'une représentation écrite, qui n'étant pas parfaite, est tout de même plus proche de la notion de réseau d'idées que forme nos pensées.

Ainsi, il est possible de supprimer quelques ambiguïtés qui sont le propre d'un textes. Un texte n'est qu'une des vues possibles du réseau d'idées. Cette vue n'est peut être pas la plus adéquate. Et le texte occulte souvent les autres parcours possibles du graphe.

A l'aide d'un diagramme heuristique, on dispose d'une représentation complète du réseau d'idée. Le lecteur est ainsi à même de parcourir tout seul le réseau d'idée dans tout les sens. Il peut choisir ses propres parcours.

Habituellement, lorsque l'on s'intéresse à un nouveau sujet, on peut lire de la documentation relative à celui-ci. Dans le premier texte, on apprend un point de vue, puis dans un autre texte est exposé un autre point de vue. Pour avoir une idée globale d'un sujet, on est obligé de lire quantité de textes qui présentent tous une vue du même réseau d'idées. c'est l'auteur du texte qui choisit le parcours qu'il va présenter dans son texte.

En présentant le sujet sous la forme d'un diagramme heuristique, le réseau d'idée complet est directement présenté. Il n'est plus nécessaire de le découvrir en lisant quantité de textes.

Il reste un bémol avec une telle manière de concevoir une trace écrite d'une idée. c'est le fait que dans notre société, nous sommes habitués à écrire avec certaine forme. Tout est conçu pour utiliser du texte écrit de manière linéaire. Un page web est conçue pour écrire du texte, mais pas pour faire un diagramme heuristique (quoi que, la page web est le premier document texte à disposer de la notion de lien !). Une lettre officielle n'est pas conçue avec un diagramme heuristique…

En ce qui concerne le langage oral, la création d'une langue adapté à notre forme de pensée par réseau d'idées est plus difficile à réaliser.

Le but est de pouvoir exprimer des idées et de pouvoir les relier entres elles. Actuellement, notre langage ne représente pas directement des idées. Avec des sons nous formons des mots.

Ces mots sont attribués à des concepts, des objets ou des actions. c'est un langage qui est très symbolique. Il faut mémoriser le son qui correspond à tel objet ou idée.

Une des possibilités de langage que nous pourrions créer va dans le sens d'une sorte d'alphabet d'idée. Un certain nombre de sons représentent un certain nombre d'idées de bases. En combinant ces idées, on parvient à créer d'autres idées plus complexes.

Ainsi nos énormes dictionnaires composés de milliers de page n'en comporterons plus qu'une ou deux !

Avec un tel langage, les mots ne sont plus arbitraires, mais ils sont très descriptifs. Les adjectifs ne sont plus utiles, il suffit de compléter le mot avec une autre idée pour ajouter de la précision.

Le plus problématique avec un tel langage, c'est de créer les liaisons entre les sons-idées.

En effet, le langage parlé reste une suite linéaire de sons.

Le moyen d'augmenter le nombre de liaison reste à trouver. c'est peut-être du coté des jeux de mots et de ceux qui en font tout le temps que l'on trouvera la réponse.

Le capitalisme a-t-il échoué ?

On ne peut pas vraiment dire que le capitalisme a échoué. c'est le moins mauvais (non, je ne dirais pas le meilleur !) des systèmes économiques que nous ayons.

Cependant, le capitalisme est bourré de lacunes et de points faibles.

Le capitalisme se base sur le besoin qu'a tout être humain de vouloir accumuler. Dans le capitalisme, le but est de s'enrichir, d'accumuler de l'argent, des richesses.

En marge de cet enrichissement, des valeurs, des objets, des ressources sont fournies aux personnes qui sont capables de les acquérir.

Ce système permet donc globalement de satisfaire tous les besoins et désirs de tout le monde.

Toutefois, le système en lui même à tendance à ne pas être assez équilibré. Du point de vue de la cybernétique, on peut dire du système capitaliste, qu'il n'est pas assez contre-réactionné.

Cela signifie qu'il a tendance à amplifier de manière trop forte la position de chacun. Un riche deviendra toujours plus riche et un pauvre toujours plus pauvre. C'est là que l'état intervient pour appliquer des réactions négative au système tel que les impôts. Sans de telles contre-réactions, le système capitaliste risque de s'emballer et de créer des mouvements d'oscillation (euphorie, récession) qui sont néfastes pour le développent de toute société.

Il faut donc combattre les idées ultra-libérales qui prônent une non intervention totale de l'état dans l'économie capitaliste. Il en va de la survie même du capitalisme.

Ce phénomène d'oscillation est remarquablement observé dans les marchés boursiers qui sont certainement les marchés dans lesquels l'état intervient le moins.

Il est en effet par rare d'observer de subites "bulles spéculatives" suivie de violent "Krash" !

De plus ce système est imparfait de par le fait qu'il ne tient compte que du point de vue financier. Le rendement du capitalisme est un rendement monétaire.

Tout l'aspect écologique ou humain est occulté.

Or, le système capitaliste étant basé, sur l'accumulation, donc sur la croissance, est obligé de tirer ses ressources de quelques part. Ce quelque part, ce sont les ressources naturelles de notre planète et les ressources intellectuelles et physiques des humains. On observe donc que le capitalisme pour sa propre survie a besoin des paramètres écologique et humain.

Il serait donc temps, pour assurer la pérennité de notre civilisation et du capitalisme, de tenir compte des facteurs humain et écologique. Il faut donc que les entreprises qui font d'énormes bénéfices arrêtent de licencier d'un coté pour dé-localiser leur production dans un pays où la main d'oeuvre exploitée est financièrement moins onéreuse. Il faut donc freiner la course à la consommation qui d'un coté pille les ressources naturelles de notre planète et de l'autre la pollue.

Abolition de l’héritage

La révolution de 1789 a abolit l'héritage de la classe sociale. Actuellement, dans les pays démocratiques les chefs d'état ne sont pas désignés de père en fils (sauf chez les états-uniens avec la famille Bush !).

Chacun débute dans la vie avec les même chance de grimper dans l'échelle sociale.

Cependant, actuellement, lorsque une personne meurt, tous ses biens et sa fortune sont légués à ses héritiers.

L'héritage est le moyen pour les riches de perpétuer de génération en génération leur emprise sur le monde.

Donc, le problème n'a pas été résolu !

L'article premier de la déclaration des droits de l'homme nous dit:

"Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune."

Ce texte à beau avoir été écrit il y a plus de 200 ans, il n'est toujours pas respecté !

Il y a toujours une distinction de classe entre les gens à la naissance.

Le moyen de remettre les compteurs à zéro pour tout le monde est l'abolition de l'héritage financiers.

Chacun est libre de se constituer une fortune, mais il doit le faire lui même.

Il faut mettre un terme aux agissements de ceux qui constituent leur fortune en investissant avec une fortune reçue en héritage.

Construisons un avenir où tout le monde débute sa vie avec une égalité de chance.

Abolissons l'héritage !

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