Univers

Dans l'optique de créer une forme de vie artificielle, je me suis posé quelques questions:

  • qu'a besoin une forme de vie ?
  • Comment la modéliser au mieux ?
  • Quelle part "Créer" et quelle part doit être laissée à la charge de l'évolution ?

Pour répondre à la première question, je dirais qu'une forme de vie (en tout cas pour nous) est composée de matière. Mais qu'est ce que la matière ?…. c'est une propriété de l'univers… et qu'est ce que l'univers ???

Ou la… on se lance dans une discussion philosophique…

Tout cela pour dire que finalement avant toute chose, il faut modéliser l'environnement de la forme de vie. Donc, il faut jouer à Dieu et modéliser un univers.

Démocratie

Il est étrange de remarquer que le pays au monde qui défend le plus sa démocratie et qui, de plus veut imposer la démocratie au reste du monde… est aussi celui qui prône le plus la liberté économique et les empires économiques.

Vous aurez certainement reconnu ce pays, et si ce n'est pas le cas, je parle des états-unis.

En effet, je trouve étrange de défendre à tout pris la démocratie, qui signifie pouvoir au peuple, tous les individus naissent égaux et etc…

Et d'un autre coté de défendre le capitalisme et de prôner la loi du marché à toutes les sauces.

La loi du marché est tout sauf démocratique, c'est la loi de la jungle, cela crée des empires financiers. Les empires ne sont pas des organisations démocratiques.

En fin du compte, ce sont les empires financiers qui dirigent, ils prennent le pas sur l'état démocratique, pour diriger le monde et les gens.
Certaines entreprises, et même beaucoup, dictent à leurs employés jusqu'à l'habillement qu'ils doivent porter. Est-ce vraiment démocratique ?

Même les états se laissent dicter par les empires financiers, ils fournissent des terrains, des avantages fiscaux, et toutes sortes d'avantages qui ne rendent pas égaux en droit et en devoir les individus.
Et tout ceci dans le but de maintenir des places de travail dans une région.

Cependant, une fois les cadeaux pris et la région moins attrayante, l'empire ferme sa petite sucursale régionale et part sous des latitudes plus avantageuses, là où de nouveaux pigeons, très content de voir arriver des places de travail, vos lui offrir une foule de cadeaux…
Le schéma se répète, l'empire est toujours gagnant face à la démocratie.

En effet, l'état est attaché à une région, un morceau de terre, alors qu'un empire est mondial, il est la représentation parfaite de la globalisation des marchés dont on parle sans cesse.

Seul l'empire semble survivre au niveau mondial. La fragile démocratie mondial qui émerge gentiment sous l'égide de l'ONU n'a véritablement aucun pouvoir.

Récemment, les états-unis mené par George W. , ont encore outre passé l'avis de cette démocratie mondiale pour aller démocratiser la dictature Iraqienne.

C'est le comble, baffouer le principe de la démocratie pour aller mettre en place par la force une démocratie !

Ce pays n'est plus à une contradiction près !

Histoire de l’argent

Histoire de l'argent, ou pourquoi le capitalisme est il le seul système économique en vigueur.

D'où vient l'argent, comment ce fait-il que les expériences communistes n'aient pas été très concluantes, pourquoi le système capitaliste semble t-il le seul système que les humains sont capables de suivre ?

Pleins de questions intriguantes aux quelles J'aimerai réfléchir.

D'où vient l'argent ?

Il y a for longtemps, les hommes vivaient en tribu. Ils vivaient en autarcie. Ils mangeaient ce qu'ils cueillaient, ou ce qu'ils chassaient. Puis, des tribus ont eu des contacts avec d'autres et les hommes ont commencés à échanger des victuailles et du matériel.

Un sanglier était échangé contre quatre lièvres, et un lièvre contre deux oiseaux. l'équité de l'échange était facile à voir, il se faisait en fonction du poids des victuailles.

Puis, un jour, un chasseur très habile réussit à attraper un petit oiseau bleu dont la chair était tellement bonne que tout le monde voulait en manger.

Le seul problème résidait dans le fait que seul le chasseur habile était capable de chasser l'oiseau bleu. Cette position lui conférait donc une position supérieur par rapport aux autres. Il pouvait, échanger un petit, un minuscule oiseau bleu, contre une montagne de sanglier.

L'humanité venait de découvrir que la rareté peut faire la valeur d'une chose. Un troc entre deux parties ne pouvait plus se faire au seul poids des objets échangés, la rareté de ceux-ci entrait également en compte.

Le troc entre un sanglier et trois ou quatre lièvres était toujours délicat. Un sanglier est très lourd et ne se déplace pas facilement. Alors qu'un petit oiseau bleu peut facilement être transporté partout et qu'il à plus de valeur qu'un sanglier.

Plus les gens se sont mis à voyager et à avoir des contacts avec d'autres, plus ces mêmes personnes ont préférées toutes transporter un petit oiseau bleu avec elles et l'échanger contre une montagne de sanglier au moment voulu que de transporter en permanence une énorme cargaison de sangliers.

Les objets rares sont donc devenus une monnaie d'échange. Un des matériaux les plus rares, donc possédant le plus de valeur est l'or. Une petite quantité d'or est devenue une monnaie d'échange reconnue par tous et avec laquelle on peut tout acheter.

Afin de clarifier la valeur d'un morceau d'or, et de permettre une comparaison plus facile entre différents morceaux. Les puissants du monde ont inventés la pièce de monnaie. Une quantité fixe d'or qui est reconnue par tous.

Cependant, l'or, malgré sont rapport masse valeur avantageux, est tout de même un des métaux les plus lourd. Posséder une grande fortune en or reste tout de même très lourd à transporter.

Un jour, un petit malin très riche ne voulait pas transporter tout son argent avec lui. Cependant, sans argent sur lui, il était toujours embêté pour acheter de choses. c'est là qu'une fois, pour payer, à la place de donner des pièces d'or à un marchand, il lui à signé une reconnaissance de dette sur un morceau de papier. Le papier avait acquit la même valeur que la somme de pièce d'or restée dans le coffre fort de notre petit malin. Le marchand aurait pu aller chez notre ami malin rechercher la quantité d'or qui lui était due, mais trouvant ce moyen de payement pratique, il préféra échanger le morceau de papier contre de la marchandise chez un autre marchand. Puis la reconnaissance de dette voyagea encore plus loin, et nombre de personnes furent très intéressées d'avoir elles aussi un morceau de papier représentant autant de valeur.

Notre petit malin disposant donc d'un coffre fort très sûr, décida de ne faire ses paiements plus que sur des morceaux de papier et de garder l'or chez lui à disposition des gens qui voudrait échanger leur billet contre son équivalent en or. La première banque était née.

Toute la fortune circulant sous forme de billet représente la fortune en or contenue dans les coffres de la banque. On fit de même avec les pièces de monnaie. La pièce où le billet n'est plus la valeur elle même, elle représente une valeur. Il faut donc que tout le monde aie une complète confiance en la banque qui émet les billets ou les pièces. Il faut que tout le monde reconnaissent que ces pièces et billets représentent une valeur. Si tout le monde n'a pas confiance ce système ne fonctionne pas. Cela il ne faut pas l'oublier. Tout est histoire de confiance.

Plus tard, en jouant au Monopoly, on a remarqué que seuls les billets sont présents dans le jeu. Aucune trace de la couverture en or des billets du jeu. Pourtant le Monopoly fonctionne bien, on peut acheter et vendre sans problème. c'est grâce à ce genre de réflexions que l'on s'est rendu compte de l'inutilité des gigantesques réserves d'or contenues dans les banques.

l'argent n'a donc plus de valeur en lui même, l'argent ne devient plus qu'un vecteur d'information dont le support est un morceau de papier, une pièce dans un alliage métallique, ou plus récemment des bits échangés sur un réseau informatique. l'argent ne sert plus donc qu'a échanger des chiffres contenu dans des mémoires représentant des comptes bancaires. l'argent est un étalon pour pouvoir échanger des objets ou des services.

Parallèlement, pour contourner les banques qui émettent des billets représentant la valeur de l'or dans leur coffre, d'autres petits malins ce sont dit qu'une masse d'or n'était pas la seule valeur que l'on peut représenter sous forme de morceaux de papier. n'importe quelle valeur peut être représentée.

Un des petits malins qui avait eu cette réflexion déclara que son entreprise avait besoin d'argent, il proposa donc de diviser la valeur de son entreprise et de la représenter sous forme de morceau de papier représentant une part de l'entreprise. l'action était née. d'autre gens pouvaient acheter une action et la revendre.

Cependant, la valeur d'une entreprise n'est pas des plus facile à déterminer. Dans un premier temps, on peut se baser sur la valeur des outils, des bâtiments, propriétés de l'entreprise, puis on compte sur les fonds propres de l'entreprise et surtout sur le bénéfice que celle-ci réalise, ou réalisera. En effet, le bénéfice que réalisera l'entreprise est le principal facteur qui peut faire qu'une action voit sa valeur augmentée.

Lorsque nombre d'entreprises furent disponibles sous forme d'actions, pleins de financiers se dirent qu'il y avait un potentiel pour gagner de l'argent dans la variation de valeur des actions. Ils commencèrent donc à se réunir pour s'échanger des actions, donc des parts d'entreprises, donc des parts de pouvoir de décision dans l'entreprise. La bourse était née.

Dans la logique même du financier, il faut s'enrichir, il faut donc que l'action ait plus de valeur quand le financier la revend qu'au moment où il l'a achetée. Donc idéalement, une action ne doit pas perdre de valeur.

Un actionnaire lorsqu'il achète une action, achète une part de l'entreprise, par la même, il obtient un pouvoir de décision au sein de l'entreprise. Il va donc utiliser son pouvoir de décision dans le but que son action augmente de valeur jusqu'au moment où il la revendra.

Le but de l'actionnaire n'est donc pas directement le bien être de l'entreprise, sauf, si la valeur de l'action peut augmenter ainsi.

Avec un tel raisonnement, des actionnaires peuvent faire couler une entreprise corps et âme tant que la valeur de l'action ne perd pas de valeur. Si c'était le cas, l'actionnaire se dépêche de revendre ses actions, tant pis pour l'entreprise, tant que l'on peut réaliser un bénéfice sur les actions.

La valeur qu'est l'entreprise n'est pas primordiale pour l'actionnaire, ce qu'il veut lui, c'est faire un bénéfice sur l'augmentation (souvent à cours terme) de la valeur de l'action qui a été réalisée grâce à la spéculation.

Dans le cas de la bourse, l'action, donc le bout de papier est encore très liée à la valeur qu'il représente, donc l'entreprise. La bourse "Monopoly" n'existe pas, la couverture en or qui à été supprimée dans le cas des billets de banque existe toujours dans le cas de la bourse. Personne ne penserait à supprimer les entreprises.

Cependant, les actionnaires d'une entreprise ont plus pour objectif leur propre enrichissement que le bien être de l'entreprise. l'actionnaire est utile pour obtenir à court terme une somme d'argent qui peut lancer la construction d'une entreprise. Mais à long terme, l'actionnaire est dangereux pour l'entreprise. Il ne fait pas corps avec elle, il ne voit que son propre profit à court terme.

En observant le secteur des supermarchés en Suisse, on observe que les géants sont Migros et Coop. Ces deux molosses "bouffent" tous leur concurrents, Migros a acheté Globus qui avait acheté ABM. Coop a acheté l'EPA Radio TV Steiner, inter discount etc..

Il ne reste bientôt plus donc que Coop et Migros, et fait intéressant, ce sont les seuls de tous les magasins cité ci-dessus qui sont des coopératives. Les autres étaient des SA. Cela démontre que la coopérative qui est à l'abri de l'actionnaire est mieux dirigée, plus efficace et que les bénéfices ne disparaissant pas dans les poches des actionnaires, sont utilisés pour racheter les concurrents !

De plus, la Migros redistribue une somme monumentale chaque année pour les besoins de la culture, de l'éducation et des sociétés locales. (Ecole club Migros, Pour-cent culturel).

De son coté, la Coop se préoccupe également de l'écologie en ayant créé un ligne de produit Bio.\nOn remarque donc aisément que les colosses oranges, comme on les appel, ne se préoccupent pas que de leur rendement financier, mais également du bien être général de la société, de la qualité de vie.

Les financiers actuels ne se préoccupent d'une entreprise que sous la vision du cash-flow sans se préoccuper du reste et notamment du work-flow. Les actionnaires ne voient pas l'entreprise, son savoir faire, sa culture, ses objectifs, son étique, les gens qui forme son esprit. Ils ne voient que les chiffres et les tendances qui pourraient faire augmenter à court terme la valeur de l'action. Cette politique fonctionne jusqu'au moment où l'entreprise est tellement démantelée qu'elle n'est plus efficace et que la valeur de l'action stagne. A ce moment là, les actionnaires revendent leurs actions et vont vampiriser une autre entreprise.

Le seul moyen de contenter tout le monde est de reprendre le principe du Monopoly et de découpler la bourse et les actionnaires qui adorent la spéculation pour s'enrichir, des entreprises et entrepreneurs qui aiment produire des choses, se dépasser techniquement et la culture d'entreprise.

Il suffit de laisser tranquille la valeur qu'est l'entreprise et de faire vivre la bourse par elle même. On a réussi à supprimer la couverture en or des billets de banque, on doit certainement pouvoir établir un système de spéculation sans qu'aucune entreprise ne soit derrière. Un des problèmes qui réside dans ce système est la confiance que doivent avoir les actionnaires en leur actions qui ne représentent plus de valeur refuge. c'est la même confiance que celle que tout le monde a dans un billet de banque qui pourtant ne vaut rien.

Lors de la disparition de la couverture en or des billets de banque, personne n'a rien remarqué. En effet, il y a en général un seul organisme par pays, voir même maintenant pour plusieurs pays, qui émet des billets. Il suffit que cet organisme fasse disparaître sa couverture en or pour que le système soit changé.

Dans le cas de la bourse, et c'est ce qui fait sa popularité, toute les responsabilités sont réparties, chaque entreprise émet ses actions. Il y a beaucoup plus d'entreprise en bourse que de banque qui émettent des billets. Donc l'inertie du système est beaucoup plus grande.

Un autre des problèmes d'un système à spéculation sans entreprise comme valeur, est la détermination du cours de l'action. Comment déterminer la valeur d'une chose qui n'existe que par son nom ?

Comment conférer aux actionnaires un certain pouvoir sur le cours de l'action ?

Une fois ces problèmes résolu, il est quasi certain que tous les financiers envieux de faire des entrées d'argents rapidement utiliseront ce nouveau moyen. En effet, ce doit être le moyen qui correspond le plus au modèle ultra libéral vers lequel tend le capitalisme. Cependant, on peut ce poser la question, quelle pourraient être les conséquences d'un moyen trop facile de gagner de l'argent ? Les gens continueront-ils à travailler ?

→ Société unique qui redistribue les gains perdu lors de la spéculation en bourse libre.

l'accumulation → capitalisme

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