Notes à propos du livre intelligence dans la nature de Jeremy Narby

Notes à propos du livre intelligence dans la nature de Jeremy Narby

Jeremy Narby est l'antropolgue auteur du livre, le serpent cosmique, dans lequel il décrit les transes chamaniques à l'ayahusaca des indiens de l'amazonie péruvienne. Les chamanes tirent leur savoir de ces transes où il converses avec la nature. Ils y voient le serpent cosmique qui est une représentation de l'adn.

Dans le livre L'intelligence dans la nature, Jermey Narby tente de savoir ce qu'est l'intelligence et quels sont les organismes qui sont doués d'intelligence. Ceci afin de comprendre quelle entité peut ainsi transmettre son savoir durant les transes chamaniques.

Voici mes notes à propos de ce livre:

  • but du livre: trouver des arguments scientifique à la théorie du serpent cosmique.
  • biologiste moléculaire, Dr Pia Malnoe.
  • Etude des organisme plutôt que des molécules
  • Il y a des moisisures qui sont capables de résoudre des labyrinthes. (j'en ai déjà entendu parler dans le peuple des connecteurs de Thierry crouzet. Il parle d'auto-organisation)
  • en japonnaie le terme de "chi-sei" (tchi sei) décrit cette intelligence de la nature. Litérralement la capacité de savoir de la nature.
  • Il y a des oiseaux intelligents. Les aras mangent de l'argile pour détoxifier leur corp de la nourriure encore trop verte qu'ils mangent.
  • Les aras crient "au loups" Ils trompent leur congénère avec des faux cris d'alerte !
  • les pigeons sont capables de reconnaitre des tableaux de van gogh et de chagall.
  • Quand les chamanes parlent avec la nature, ils disent qu'il parlent  le langage des oiseaux. Dans de nombreuses religions, on parle de langage des oiseaux.
  • le maitre des animaux est l'entité qui gère ce que les humains ont le droit d'exploiter. Il y a des limites.
  • la mère des plantes répond aux questions sur le fonctionnement des plantes. Des biochimistes suisse ont eu des réponses précise sur leur recherches.
  • le propriétaire des animaux décide si on a le droit de s'installer à un endroit.
  • les plantes et les animaux n'ont pas la parole, mais tout le reste !
  • un chamane ne craint pas la mort, son initiation de chamane l'a fait passé très prs de la mort, donc il la connait.
  • A propos de l'origine de la vie: le hasard et le créateur sont deux visions de la foi !
  • Le hasard est là comme réservoir de diversité.
  • chaque personne, plante, animal, gros caillou a une ame.
  • La mère des.... est une ame collective, de groupe (tana-ashi) propriétaire = mère
  • des chamanes peuvent se transformer en Jaguar, ils transforment leur ame.
  • dans les grottes de lascaux, il y a 17000 ans des gens ont peint des hommes à tête d'oiseaux.
  • les chimpanzés, daupins, et oiseaux ont des langages.
  • Les perroquets sont capables de reconnaitre jusqu'à 300 objets et des notions comme grand, petit.
  • Ils apprennent en regardant un autre apprendre. Ils copient.
  • les fourmis utilisent des anti-biotiques pour protéger leur cultures de champignons.
  • Qu'est ce que l'intelligence ? C'est prendre des décisions.
  • les abeilles sont capable de décider, de choisir un chemin dans un labyrithe qui est caractérisé par une marque de couleur.
  • Les couleurs jaune et bleu atirent les abeilles, car dans la nature, les fleurs qui ont le plus de nectar sont de cette couleur. Mais elles sont aussi capable de changer de couleur, d'apprendre. Elle ne sont donc pas préprogrammées.
  • Par contre elles sont préprogrammées pour s'envoler vers le haut, vers le soleil, dès qu'elles ont du nectar.
  • Donc elles sont capable de faire un labyrinthe dans un sens pour aller chercher de la nourriture, mais pas de revenir par le même chemin, mais dan l'autre sens !
  • Est ce que ces comportement sont du à des phénomène d'émergence d'auo-organisation, ou de l'intelligence individuelle ?
  • => c'est souvent un mélange des deux.
  • Le cerveau d'une abeille < 1 million de neurones. p.78 Le corps central de ce cerveau = 170 000 neurones.
  • la cuscute est une plante qui se déplace !
  • L'origine du cerveau est une concentration de neurones autour de la bouche.
  • Chez les nématodes (Caenorhabditis elegans) sur leurs 959 cellules, ~300 sont des neurones en anneau autour de la bouche.
  • Monique zetka
  • un poulpe a 500 millions de neurones, 200 fois moins que les humains.
  • David stenhouse: L'intelligence c'est un comportement adaptatif qui varie au cours de la vie d'un individu. p.103
  • selon cette définition, les plantes sont intelligentes.
  • les plantes communiquent entre leur cellule en changeant les taux de calcium.
  • les amibes unicellulaire sont aussi capable de résoudre des labyrinthes ! Et ceci avec une seule cellule ! Comment elles pensent ?
  • Les papillons ont des cellules photosensible sur le sexe !
  • Ils voient avec 6 couleurs de bases et un récepteur large bande (nous seulement 3: rvb)
  • la frontière entre l'organisme vivant et la machine est très floue
  • la vie s'adapte pour survivre. Les machines ne s'adaptent pas.
  • (réflexion perso: les virus informatiques sont ils vivants ? ils tente de survivre non ? mais ils sont préprogrammés ! D'après moi, ils ne vivent pas dans le même monde. Ils vivent dans un monde numérique fait de 1 et de 0)
  • l'intelligence semble être partout, mais souvent cette intelligence n'est pas consciente. La conscience, c'est arrête étroite au sommet d'une montagne d'intelligence.
  • notre cerveau est composé de neurones qui s'interconnectent via des synapses. Nous avons 100 milliards de neurones qui chacun peuvent faire 10 000 connexions.
  • Notre estomac a aussi des neurones. 100 millions ! Donc penser avec ses tripes n'est pas qu'une expression !
  • Il y a plusieurs couche de cerveau. Un cerveau émotionnel est souvent le premier à traiter l'information, avant le cortex réfléchi. C'est pour des réflexes de survie.
  • Nous pensons d'abord, émotionnellement, avec notre corps et nous couche cérébrales de base. Les mêmes que les animaux.
  • des ions ca+ servent à communiquer entre les neurones comme chez les plantes !
  • le neurone qui veut communiquer déclenche une une impulsion électrique qui attires les ions Ca+, qui entrainent un afflux de neuro transmetteurs via les synapses dans les neurones voisins où une nouvelle impulsion électrique est déclenchée.
  • Les synapses se renforcent voir se duplique si on les utilises.
  • Qu'est ce que le savoir, la mémoire ?
  • Il semble que c'est un arrangement particulier des neurones.
  • contrairement à une idée reçue, de nouveaux neurones peuvent être fabriqués ! (au moins pour un type de mémoire: la peur !)
  • donc utiliser son cerveau le rajeuni ! (c'est pour ça qu'il semble que les personne atteintes de dégénérescence du cerveau (ou alzeihmer) on souvent regardé plus la TV que d'autres. La tv abruti, écrouter à ce propos l'émission dans médialogues sur la rsr)
  • Comment se forme le moi ?
  • physiquement, le cerveau est réparti, il n'y a pas de centre qui héberge le moi. (encore un effet d'émergence ?)
  • jusqu'où va l'intelligence ?
  • Les protéines sont-elles intelligentes ? p168
  • Thomas Ward nous dit que selon la définition de l'intelligence, on peut dire que oui !
  • Les protéines sont là pour reconnaitre des éléments chimiques et communiquer avec. Elles peuvent réparer des cellules ou leur dire de mourir, Elles communiquent et réparent l'ARN et l'ADN.

Notes perso:

  • Ceci me fait penser au jeu de la vie. Il y a des formes qui ont des fonctions différentes. Le jeu de la vie est même une machine de Turing, il est possible de la programmer et de faire des calcul avec.
  • En ce qui concerne les chamanes. Les transes à l'ayahuasca me font penser au début du mouvement hippie avec le groupe de Timothy Leary qui voulait "voir dieu en face" grâce au LSD.
  • => prendre contact avec Jeremy Narby pour savoir si il a déjà observer les similitudes entre les transes LSD, mescaline, psylocibine et les transes chamaniques.

recette pour écrire une histoire à succès

Quelques idées pour écrire une histoire (roman ou film) à succès

En observant les livre à succès, il y a quand même quelques constantes, décorticons quelques recettes de base.

  • Tous les grands mythes ont la même structure, c'est la théorie du monomythe de Joseph Campell. C'est sur ce principe qu'à été conçu la saga de star wars et c'est aussi l'histoire que l'on retrouve dans des succès comme Matrix ou le seigneur des anneaux. => le héro doit accepter un appel à l'aventure, il traverse des épreuves, il réalise le but ce qui lui permet de mieux se connaitre lui même, il retourne à la vie ordinaire, fort de son expérience supplémentaire il vit mieux et améliore le monde.
  • Le Thriller, la conspiration, le combat entre société secrète, le héro qui est en cavale toute l'histoire contre une force inconnue qu'il découvre au fil de l'histoire. Le spécialiste de ce genre d'histoire c'est Dan Brown avec les conspirations religieuses comme dans le célèbre Da-vinci code. L'auteur a écrit un roman qui se situe dans un cadre réel (les lieux existent réellement et son connus). Comme c'est une conspiration, il est normal que personne n'ait jamais rien vu. Il y a donc une ambiguité. C'est une histoire vraie ou un roman ? Beaucoup de gens veulent vérifier eux mêmes.
  • le livre philisophique. Comme dans le monomythe de Campell. Le héro est transformé... mais en même temps, c'est un conte philisophique où l'auteur cherche à convertir non pas son héro, mais le lecteur lui-même. C'est le genre de livre comme l'alchimiste ou l'homme qui voulait être heureux. D'une manière générale, ces livres sont courts et facile à lire.
  • Ecrire des phrases courtes pour maintenir le suspens. C'est le cas de croisade qui a été écrit sur twitter, donc avec des phrase de maximum 140 caractères. Les phrases courtes sont la norme dans la presse. Le ; a ainsi quasi disparu !
  • Ecrire une histoire lisible à plusieurs niveau. Ainsi l'histoire est adaptée aux enfants comme aux adultes. Ainsi qu'aux gens plus ou moins cultivés. C'est le principe que l'on retrouve dans le dessin animé de Aladdin fait par Disney, ou toute la série des BD d'Astérix dont le sénario a été fait par Uderzo.
  • Des personnages dans lesquels ont peut s'identifier. Si un livre comporte une diversité de personnages aux caractères différents. Chacun peut s'identifier à l'un ou l'autre. Il y a donc un public potentiel plus large. C'est le cas de la saga d'Harry Potter. Le sondage sur facebook "êtes vous plutôt: Ron, Hermione, ou Harry" le prouve.
  • L'histoire qui ne se lit pas la même chose la première ou les fois suivante. C'est une histoire qui a une chute à la fin qui change la manière de voir tout l'histoire. C'est le cas d'histoires comme Le dixième cercle, Fight Club, le 6ème sens.
  • Je ne sais pas si ça permet de construire une histoire à succès, mais moi j'aime bien quand un livre est construit de manière originale déjà rien que sur la forme. C'est souvent le cas des livres de Bernard Werber ou les parties du livres sont découpée par exemple en coeur, carreau, trefle, pique... au début de la partie trèfle... on se retrouve dans l'herbe, au début de la partie pique... un darre d'un insecte transperce.... au début de la partie carreau, on regarde aux travers des carreaux d'une fenêtre... De même il y a souvent plusieurs histoire en parrallèle contée dans des chapitres courts. Souvent au passage d'un chapitre on a l'impression de continuer le chapitre précédent alors que c'est un tout autre contexte. Exemple: un incendie se déclare à la fin d'un chapitre... la fumée passe sous la porte... Le chapitre suivant commence: Les flammes se propageaient à la fourmillière... on est passé du monde des humains à celui des fourmis....
    Sur la forme, le roman La horde du contrevent est un des livres les plus atypiques que j'ai rencontré. Les personnages marchent à contrevent tous le roman, ainsi la numérotation des pages est à contresens de l'habitude. On commence à la page 700 pour terminer à la page 0 ! C'est l'histoire d'une horde de 23 personnages. Chacun a un symbole qui le représente. Ainsi à chaque paragraphe la personne qui parle est indiquée par son symbole en marge.

Voici un article de Thierry Crouzet, auteur de Croisade dont je parle ci-desssus. Il analyse justement Croisade au travers du filtre des critères définis par l'étude de James W. Hall qui a listé les critères communs des 12 livres qui ont eu le plus de succès aux USA.

La recette proposée par James W. Hall ressemble pas mal à celle que j'avais également trouvée ! En tant que grand lecteur, je sais ce qu'il me plait autant que si j'étais un prof de littérature ! 😛

Voici également le lien vers la page du site de Jean-Pierre Goux qui a retrouvé les idées de bases qui ont fait son roman: Siècle bleu que j'ai lu l'année dernière et que j'ai adoré !

Notes à propos du livre foules intelligentes smart mobs de Howard Rheingold

Notes à propos du livre de Howard Rheingold, Foules intelligentes (smart mobs)

  • L'auteur, Howard Rheingold, est un spécialiste pour observer le monde et extrapoler ce qu'il peut devenir après l'adoption massive d'uen nouvelle technologie.
  • Vers 2000, l'auteur observe la foule qui traverse le carrefour de shibuya au japon. C'est le lieu le plus densément connecté du monde. Il y a des milliers de passant qui se croisent et certains se baladent avec les yeux rivé sur leur téléphone. Une nouvelle ère est là.
  • Au japon, au début des années 2000, c'est la révolution i-mode. Pour la première fois, il y a des millions de personnes qui sont connectées à internet et interagissent.
  • Takeshi Natsuno a compris comment emmener avec lui un géant des télécom "standard" (NTT DoCoMo) dans le monde de l'internet.
  • Le i-mode est une sorte de portail géant de services internet qui sont accessibles via des sites web "captifs" accessibles gratuitement ou non. Les partenaires de DoCoMo proposent des services et sont rétribués aux 2/3 en tout cas du revenu. Ainsi de nombreux services ont vu le jour pour tout et n'importe quoi.
  • (remarques personnelles: Actuellement le i-mode a été supplanté par l'internet libre et non captif. Cependant, j'observe que Apple est exactement en train de refaire la même chose avec les iPhones. Les applications sont également payantes et rétribuées selon la même proportion. Apple jouant le rôle de distributeur que jouait à l'époque DoCoMo. L'histoire se répète 10 ans plus tard !)
  • Ce qui marche super bien au Japon, et dans la plupart des pays du monde (sauf aux usa), c'est le système de SMS. Ce qui était au début un gadget pour envoyer quelques caractères dans une trame vide de la voie de signalisation est devenu un des principaux service des télécoms, ainsi que toute une culture.
  • L'auteur a observé les débuts du SMS tant au japon qu'en finlande et il y a vu les mêmes comportement chez les jeunes.
  • Le SMS est là pour maintenir un lien avec sa communauté. (de 3 à 5 personnes)
  • Le SMS est un moyen de créer un lieu privé pour ses amis sans que les parents ne soient présent dans ce lieu.
  • Cet aspect est particulièrement vrai au japon où les maisons sont très petites, où la hiérarchie familliale laisse peu de liberté aux jeunes. D'une manière générale, les japonnais vivent beaucoup dans des lieux publics ou très peuplés. Le téléphone mobile permet donc de créer un lieu privé pour sa propre communauté.
  • Aux USA, les gens vivent dans de grandes maisons privés, se déplace dans des voitures privées (contrairement aux métros bondés de Tokyo). Ainsi les Etats-uniens ressente moins le besoin d'avoir des lieux privés. Ils en ont déjà. Donc le SMS a moins pris.
  • Surtout le SMS est techniquement moins bon aux USA surtout à cause de la politique de tarification et l'incompatibilité entre les différents opérateurs ! Ceci du à une culture de compétition et d'intérêts privé. Les Etats-uniens ne savent pas collaborer !
  • Avoir une téléphone mobile c'est appartenir à la tribu du pouce !
  • La relation au temps change pour les membres de la tribu du pouce. Le temps est devenu coulant. (j'avais déjà écris un article à ce propos il y a quelques mois...) Quand une communauté est tout le temps connectée, tout le monde est tout le temps là. Il n'y a pas besoin de prévoir de rendez-vous. Il suffit de demander à l'autre où il se trouve si l'envie d'une rencontre physique se fait sentir. Ainsi, le tabou n'est plus d'arriver en retard, le tabou est d'être déconnecté !
  • En japonnais, on parle de Keitai pour désigner les téléphones. En finlande on parle de känny, un diminutif du mot main.
  • Au japon, c'est l'i-mode qui est à la mode. En finlande, c'est le berceau de la culture libre, de Linux, de l'IRC.
  • Marc A. Smith est un spécialiste des communautés virtuelles. Il définit que l'avenir est aux biens communs.
  • Les communautés virtuelles permettent de partager des ressources plus facilement que ce qu'on faisait auparavant.
  • Le biens communs sont des bien que tout le monde a le droit d'utiliser, même si l'on a pas contribuer à la création du bien.
  • Marc Smith fait remonter l'origine du concept de bien commun au temps des chasseurs dans la savane. Quand des chasseur par la ruse et la collaboration ont enfin réussi à chasser des grands animaux, il y a tout de suite eu beaucoup trop de nourriture à disposition pour les seuls chasseurs. La conservation de la viande étant impossible, on a autorisé les gens qui n'avaient pas contribué à la chasse à également profiter de cette nourriture. Ainsi on a fait profiter toute une communauté d'un bien commun. Ce partage a été profitable à tous étant donnée que les plus faible en chasse ont également pu survivre et contribuer par d'autres manière qui avant n'étaient pas encouragées.
  • Dans la gestion de tout bien commun, il peut y avoir des problèmes. Elinor Ostrom a étudié de nombreux cas de gestion de biens communs dans le monde entier et particulièrement dans la gestion des Alpages et des systèmes d'irigation dans le Haut-valais en Suisse.
  • Dans toute gestion de bien commun qui fonctionne on remarque qu'il y a des règles claires qui définissent le fonctionnement. Il y a une surveillance mutuelle pour éviter les abus, il y a un système où les gardiens reçoivent une prime si ils trouvent un resquilleur. Dans tout ces cas de gestion de bien commun. On observe que la réputation est une valeur importante. Les gens font attention à leur image.
  • Voici les valeurs des hackers de années 1960. Avant que le nom de hacker soit connoté négativement. Hacker devrait toujours se traduire par bidouilleur. L'accès aux ordinateurs devrait être illimité et intégral. Si vous rencontrez un problème, n'attendez pas qu'on le résolve pour vous. Toute information devrait être gratuite. Méfiez vous de l'autorité, faites avancer la décentralisation.
  • Selon ces dernières valeurs, les hacker ont tout inventé dans le domaine de l'informatique et des réseaux. (unix, internet, le web, wikipedia..) Ce sont des valeurs de collaboration de mise en commun de ressources pour le bien de tous. Dans les réseaux, c'est surtout le fait de relayer les messages des autres. Chacun n'est pas obligé d'avoir son propre réseau. Il est possible d'utiliser le reseau des autres pour ses propres utilisations. Mais pour ça il faut participer au bien commun, il faut aussi donner pour recevoir.
  • Pour illustrer les bénéfices de la collaboration, il existe de nombreux jeu, dont le très connu dilemme du prisonnier et ses variantes, la poule mouillée, etc..
  • Robert Axelrod a observé dans un concours de jeu de collaboration que la meilleure stratégie est le Donnant-donnant.
  • On retrouve cette stratégie dans beaucoup de comportement sociaux. Et même dans l'évolution des espèces.
  • ...
  • Dans la même veine d'outils de collaboration. L'étape suivante après, les OS, l'internet, le web, c'est l'étape du grid computing: le concept de partage de puissance de calcul. Ce concept a été popularisé surtout par le projet SETI@home. Il y a de nombreux ordinateurs qui ne font rien dans le monde, qui sont en quasi vieille, qui ne sont pas utilisé à leur plein potentiel. Donc on partage des données et l'on réparti la puissance de calcul. Actuellement, il existe de nombreux cluster de calcul dans tous les gros datacenter. Mais il faudrait développer ce concept à tout ordinateur. Mais pour ça, c'est toujours un problème d'accepter la collaboration. Si je t'aide en te fournissant de la puissance de calcul quand je peux, toi aussi tu me rendras la pareil quand j'en aurai besoin. Toujours la stratégie du donnant-donnant.
  • L'étape suivante qui est observé est le p2p. Les partages d'information de pair à pair. C'est napster qui a popularisé le principe. Le problème c'est que cette nouvelle façon de partager des informations sur son disque dur via un réseau entre en conflit avec les lois sur le droit d'auteur qui ne sont pas conçue pour une telle technologie. Encore une fois, on a un bon principe technique, mais une règle sociale qui empêche le principe collaboratif de bien fonctionner.
  • Là où la collaboration fonctionne, c'est là où il n'y a pas besoin d'un altruisme très développé pour que le sytème fonctionne.
  • Des services comme les p2p sont pénalisés souvent car il y a peu de gens qui mettent à disposition et beaucoup qui veulent profiter. C'est la tragédie des biens communs.
  • Ces dernières années de nouveaux services sont apparus qui arrivent à utiliser un système collaboratif de telle manière que la tragédie des biens communs ne soit pas la règle.
  • C'est surtout dans le domaine de la gestion de l'information par recommandation d'article pouvant intéresser les gens en observant des habitudes d'autres personne que ce principe de collaboration fonctionne. L'auteur cite des applications comme celle d'Amazon ou eBay.
  • Cory Doctorow est fan de figurines Disey qu'il achète sur eBay. Après avoir expérimenté les requêtes très compliquées que le système de recherche a de la peine à exécuter. Il a développé des scripts simples qui observent ce que cherchent les gens qui s'intéressent aux mêmes objets. Ainsi le système propose des objets auxquel Cory n'avait même pas pensé.
  • Depuis ces temps anciens, le concept s'est bien développé avec des sites qui n'existaient pas au moment où le livre a été écrit.
  • Last.fm est certainement un des plus efficace. Automatiquement la musique que l'on écoute est "scrobblée", elle est transformée en statistique. Puis l'application est capable de proposer une radio composée uniquement de musique susceptique d'être appréciée de l'utilisateur.
  • Facebook uses et abuse presque de système de recommandation. Il y a toujours, les gens que vous connaissez certainement, les photos de vos amis que vous n'avez pas encore regardé. Les posts les plus populaires écrits par vos amis. Sans oublier, la publicité bien ciblée ! Grâce aux interactions des utilisateurs le système est capable de connaitre les habitudes et goûts des utilisateurs.
  • Google suggest propose déjà des résultats avant d'avoir fini de taper une requête et ceci basé sur les habitudes des autres utilisateurs et son propre historique.
  • Il y a une quantité d'information grandissante qui est disponible. Encore faut-il pouvoir la filtrer et l'afficher.
  • Dans les années 1980 et 1990. On parlait de développer la réalité virtuelle. De créer des mondes où tout est possible.
  • (pas non plus dans le livre) Des mondes comme Second Life et World of Warcraft sont des beaux exemples de mondes virtuels. Si le second semble toujours bien se porter et avoir du succès grâce aux sénario intéressant qui s'y passent. Second life, est complètement devenu has been. Il n'y a rien à faire dans un monde virtuel.
  • L'avenir est à la réalité augmentée. Superposer des informations à la réalité.
  • L'auteur ne parle pas de google maps, mais tout converge vers un tel concept. C'est la première étape. On est capable de tout géolocaliser. Avec en plus des téléphones intégrant tous des gps. Géolocaliser une information est devenu facile.
  • L'étape suivante est la présentation. L'auteur n'a pas non plus vu d'iPhone au moment où il a écrit ce livre. Mais l'on voit déjà sur ces bêtes des applications qu'il décrit: Le traducteur en direct via la caméra de l'appareil.
  • On voit que l'auteur décrit des choses qui arrive. Un bon exemple est l'application iPhone: iPie qui aide à couper des gâteaux en parts égales. Couper en 7 ou 9, c'est pas facile. Ainsi l'application superpose un cercle découpé en parts égales au dessus de l'image de la réalité. La réalité augmentée devient la réalité.
  • Ceci me fait penser au livre Rainbows end. (Rainbows end: texte intégral en anglais.) dans lequel les gens ont des vet'inf ils portent des ordinateurs comme des habits. Ils portent également des lentilles de contacts qui permettent d'afficher cette réalité augmentée. Ce livre permet d'explorer ce que peut devenir un société utilisant ce genre de technologies. Il y a des gens qui se téléportent. Qui apparaissent au milieu de nul part. Des ados qui vivent dans des skins d'une réalité parallèle... le monde d'harry potter... etc... intéressant à lire. On est pas loin de cette réalité.

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