Tu viens changer le monde avec nous ?

décroissance pour notre salut.jpgTu veux rester toute ta vie à subir le système ?

Si ce n'est pas le cas, viens avec nous changer le monde !

Tout prochainement, en collaboration avec Théo Buss (journaliste, théologien, formateur d'adulte), j'organise un cours à l'université populaire sur le thème de la décroissance.

La décroissance est un nom dont on entend de plus en plus parler ces derniers temps...

La décroissance ça t'effraye ? ..... C'est souvent la question que posent les journalistes quand on évoque la décroissance dans les médias......  mais la décroissance ce n'est pas effrayant du tout !

La décroissance c'est quoi ?

penser un autre monde.jpgSous le vocable de décroissance on trouve de nombreux sujets (économie, monnaie, agriculture, écologie, énergie, transports, réduction du temps de travail....). Mais pour faire bref, la décroissance c'est le  projet d'une nouvelle société post-capitaliste.

Les objecteurs de croissance sont des gens qui ne croient plus au dogme de la croissance économique infinie pour résoudre tous les problèmes.

Il existe d'autres manières de faire pour avoir une vie plus heureuse. En suisse, le objecteur de croissance ont précisé dans un manifeste du ROC-Suisse, ce que représente la décroissance pour eux.

Inscris toi au cours à l'université populaire

Une partie grandissante de la population est prête à faire quelque chose pour changer notre civilisation, mais elle ne sait pas comment s'y prendre. Alors que faire ?

Le but de ce cours est de trouver des pistes pour savoir concrètement que faire !

Dans un premier temps nous allons étudier certaines pistes existantes, des alternatives à notre système actuel. Puis, collaborativement, par un atelier exploratoire, nous tenterons de trouver des solutions à partir des connaissances et expériences de chacun: réseaux de solidarité, transports peu énergivores, réduction des nuisances...

Bienvenue à la décroissance sélective pour améliorer notre qualité de vie.

Le cours que nous proposons aura lieu à l'université populaire à:

Alors inscris toi !

Si la décroissance ça ne te parle toujours pas... voici en vrac quelques notes que j'ai écrites sur les sujets qu'aborde la décroissance. Tu y verras peut être un peu plus claire !

Alors à bientôt lors de notre cours !

Avant-Maintenant

On continue dans la série de comparaisons Avant-Maintenant avec une photo du faubourg du lac à Neuchâtel.

La première photo a été prise en 1918 par Victor Attinger et la seconde en 2009 par moi-même.

distribution de patates 1918.jpg

Vous pouvez retrouver toutes les photos de cette série dans la galerie des photos avant-maintenant.

Cette photo est une des rares de la collection de Victor Attinger que l'on puisse dater. En effet, le fait que tout ces gens soient à cet endroit avec des charettes nous permet de savoir qu'ils attendaient qu'on leur distribue des patates, comme ça se faisait à Neuchâtel, en 1918 à la fin de la première guerre mondiale.

facebook et la politique

Comment facebook influence la politique

L'espace public évolue de tout temps, avec les réseaux sociaux on est passé à une étape plus loin.

L'effet de ces changements d'espace public c'est une transformation de la manière dont les discussions politiques se font.

Stéphane Aguiton a donné une conférence très intéressante à ce propos.

Cette conférence de Stéphane Aguiton peut ête écoutée sur le site immediat.tv.

paysage politique suisse.JPG

Pour ne pas devoir réécouter toute la conférence, voici un résumé des idées qui y sont présentées.

  • L'espace public est le lieux où l'on peut tous participer à des conversations
  • Les conversations publiques sont souvent des conversations politiques
  • Pendant très longtemps, pour s'adresser à un grand nombre de personne, il fallait être présent sur place
  • Les journaux sont apparu, et de rares personnes se sont mis à parler et avoir une grande tribune
  • les journaux parlent des grands problèmes, de la politique et des personnes connues de tous
  • puis est arrivée la photographie. Il a été possible pour la première fois de montrer à large échelle un visage.
  • En même temps c'est posé la question de la redéfinition de l'espace public.
  • La jurisprudence a déterminer que l'on a le droit à rester tranquille chez soi et de pas se faire tirer le portrait et publier dans une journal. A quelques excéption près.
  • Une exception est le fait de se trouver dans une scène d'intérêt public. Si vous vous trouvez sur la photo historique de l'assassinat d'une personne connue, vous ne pouvez pas demander à ne pas être publié !
  • En revanche, chez soi tranquille, on n'a pas le droit de vous publier le portrait.
  • Toute la caste de journalistes et photographes qui sont tous des professionnels, savent se qu'ils ont le droit de faire où non.
  • L'arrivée de l'internet va tout remettre en cause encore une fois. Il est possible pour tout le monde, à très faible coût de créer un média !
  • Tout le monde peut devenir journaliste et/ou photographe. L'espace d'exprssion public qui était limité à de rares personnes s'agrandit.
  • C'est l'idée du média alternatif. Mais on reste dans l'idée qu'une personne diffuse son point de vue à tout le monde. On reste dans l'idée que ce point de vue est un sujet public. Un sujet politique.
  • Avec l'arrivée des réseaux sociaux, on change encore la notion d'espace public.
  • Sur facebook, le quidam parle au quidam. La publication n'a jamais été aussi facile.
  • Il se crée alors plusieurs type de conversations. Des conversations privée.. même si elles sont dans un espace qui est public pour tous ces "amis", et des conversations ouvertes avec qui veut des conversations plus politique.
  • même si tout le monde voit une conversation privée, rares sont les gens qui vont s'insérer dedans. Il y a une sorte de pudeur, j'ai vu, mais j'ai pas regardé..
  • Stéphane Aguiton parle de petite et grande respiration pour différentier ces conversations. Sur facebook, c'est un doux mélange permanent.
  • Stéphane Aguiton prétend que facebook est un nouvel espace, mais pas un nouveau comportement. Il y a quelques décennies, les jeunes parlaient de la même manière, mais en général en allant discuter avec ses voisins, ou dans la rue.
  • actuellement, les jeunes se cantonnent à facebook aussi par ce que leur parents ont peur qu'ils sortent dans la rue... à cause de la circulation dangereuse, de l'insécurité ou du méchant pédophile qui traine dans le quartier...
  • Il y a 30 ans, quand on avait une idée politique, on allait dans un réunion politique pour en discuter, on rencontrait des gens. Puis on décidait d'agir, par une manifestation ou autres..
  • actuellement, on peut directement annoncer sur son statut facebook.... "fait chier le résultat des dernières votations.." Cette petite phrase à pour effet de lancer tout de suite une conversation. Et souvent on débouche sur une action... "bon alors, on va manifester demain pour montrer notre mécontentement de la votation sur les minarets..."
  • L'acte de manifester est là tout de suite et l'on a pas besoin de passer par la case, j'appartient à un groupement politique.
  • Il est possible d'agir avant de savoir quelle couleur politique on a, avant d'avoir une étiquette, trotskiste, maoiste, socialiste, libéral, radical, écolo..
  • Donc les générations plus anciennes ont de la peine à comprendre. Les jeunes, on les voit à une manif, et après plus...
  • Il y a donc un sentiment de désengagement de la politique pour un regarde d'une ancienne génération. Mais ce n'est pas le cas. On loupe juste l'étape "se trouver une étiquette" avant d'agir.
  • Il y a de nombreuses alliance de circonstances qui se font sur facebook, et de nombreux groupes. Rien n'est fixe. On n'est pas catégorisé à vie dans un groupe.
  • Voilà l'évolution de la politique actuellement...

Navigation au sein des articles

1 2 3 21 22 23 24 25 26 27 65 66 67
Remonter