notes à propos du livre l’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle

Notes à propos du livre l'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle

L'homme qui voulait être heureux, Laurent Gounelle, sur amazon.

  • Nous filtrons la réalité avec nos croyances.
  • Pense que tout est possible, comment te vois tu ? Quelle serait ta vie ? Quelles seraient tes envies ?
  • écris tout ce qui t'empêche de réaliser ton rêve d'une vie heureuse.
  • On finira par le payer ce beau temps... Réflexion typiquement calviniste. Mais pourquoi penser ainsi ? ça n'a aucun sens !
  • Conte du bûcheron: Je n'ai pas le temps de m'arrêter pour aiguiser ma scie, je dois scier moi...
  • On serait surpris de remarquer que la plupart des gens vous veulent du bien. Ils veulent vous aider. En demandant de l'aide, on n'essuie rarement un échecs ! Personne ne vous dit Non !
  • La plupart des gens qui réussissent, réussisent car ils savent demander de l'aide.
  • on ne peut pas agir durablement contre ses valeurs sans en tomber malade ! (p.137)
  • Les folies sont les seules chose que l'on ne regrette jamais. Oscar Wilde
  • On apprend mieux en expérimentant soi-même qu'en écoutant le récit de quelqu'un.
  • L'effet placebo fonctionne même pour des maladies qui ne sont pas à priori psychologique. Pourquoi ne pas étudier plus l'effet de l'esprit sur notre corps ?
  • Dans l'évangile de Matthieu, il est dit que Jésus guérit les aveugles. Il ne guérit pas de lui même. Il demande aux aveugles si ils le croient capable de les guérir. Et leur dit: Qu'il soit fait selon votre foi !
  • les chanceux sont chanceux, car ils savent voir les opportunités qu'on leur offre.

ne rêves pas ta vie, vis tes rêves

Mes réflexions

  • La réalité n'est que l'illusion, a plus communément acceptée.
  • Ne te demande pas ce que tu va faire DANS la vie, mais ce que tu vas faire DE ta vie.
  • Refaits tes choix. Prends le temps de réfléchir à tes habitudes.

Bibliographie à propos de la décroissance

<- retour au sommaire: La décroissance, un nouveau projet de société

Bilbliographie à propos de la décroissance

De nombreuses sources d'information existentent autour d'un sujet aussi vaste que la décroissance. D'une manière général je mémorise mes sources sur le web à l'aide de l'outils delicious.

Ma liste brute de sources concernant la décroissance est donc disponible par ici et en constante évolution:

http://www.delicious.com/martouf/décroissance

Comme cette liste contient vraiment toute sans une hiérarchisation très claire, l'idée de cette page est de faire une catégorisation par thèmes et types de ces différentes sources d'information.

Bibliographie et éditeurs de brochure, de film, d'audio

Economie et monnaie

Consommation collaborative

Allocation universelle / revenu de base

Energie

Anti-Pub

Articles à propos de la décroissance et les sujets connexes

Groupement d'Objecteurs de croissance

Agriculture

Transports

Vidéos

Enregistrements audio de conférences

Flyer du ROCNE

Documents distribués sur papier pendant les cours à l'université populaire

Livres

  • Olivier Abel: L'amour des ennemis, Albin Michel, Paris, 2002
  • Paul Ariès: La décroissance, un nouveau projet politique, Golias, Villeurbanne, 2007
  • Jean-Paul Besset: Comment ne plus être progressiste... sans devenir réactionnaire, Fayard, Paris, 2005
  • Jean-Claude Besson-Girard: Decrescendo Cantabile, Petit manuel pour une décroissance harmonique, Parangon, Lyon,2005
  • Pierre Bourdieu et alii: Les perspectives de la protestation, Syllepse, Paris, 1998
  • Cornelius Castoriadis: Une société à la dérive, Entretiens et débats l974-1997, Coll. La couleur des idées, Seuil, Paris, 2005
  • Vincent Cheynet: Le choc de la décroissance, Seuil, Paris, 2008 Christian Comeliau (éd.): Brouillons pour l'avenir – Contributions au débat sur les alternatives, Collection Enjeux, PUF/Paris et IUED/Genève, 2003
  • Nicholas Georgescu-Roegen: La décroissance, Sang de la terre, Paris, 19791,2006
  • André Gorz: Capitalisme, socialisme, écologie. Désorientations, orientations, Galilée, Paris, 1991
  • Jean-Claude Guillebaud: L'homme est-il en voie de disparition? Les grandes conférences, Editions Fides, Montréal, 2004
  • Ivan Illich: Oeuvres complètes, Fayard, Paris, Tomes 1 & 2, 2004, 2005
  • Serge Latouche: Le pari de la décroissance, Fayard, Paris, 2006,  Petit traité de la décroissance sereine, Mille et une nuits, Paris, 2007
  • Stéphane Lavignotte: La décroissance est-elle souhaitable? Ed. Textuel, Paris, 2009 Croître et décroître, article in Foi et Vie, Revue de culture protestante, N° 5, décembre 2006, p. 60-76
  • Amin Maalouf: Le dérèglement du monde, essai, Grasset, Paris, 2009
  • Donella Meadows, Jürgen Randers, Dennis Meadows: Limits to Growth – The 30 year Update, Chelsea Green Publishing Company, White River Junction, Vermont (USA), 2004. Il s'agit du troisième rapport des auteurs du fameux rapport au Club de Rome « Halte à la croissance » (1972: The Limits to Growth). Un résumé en français est disponible.
  • Yves Paccalet: L'humanité disparaîtra, bon débarras! Essai, Arthaud, Paris, 2006
  • Raimon Panikkar: « Alternative à la culture moderne », Interculture (Montréal), N° 77, 1982
  • Majid Rahnema: Quand la misère chasse la pauvreté, Fayard/Actes Sud, Paris, 2004
  • Gilbert Rist: Le développement, Histoire d'une croyance occidentale, Presses de Sciences po, Paris, 19961, 20012, 20073
  • Arundathy Roy: « Défaire le développement, sauver le climat », L'Ecologiste,
    N° 6, 2001
  • Michel Serres: Le temps des crises, Le Pommier, coll. « Manifestes! », Paris,
    2009
  • Vandana Shiva: Le Terrorisme alimentaire. Comment les multinationales affament le tiers-monde, Fayard, Paris, 2001
  • Patrick Viveret: Comment sortir des logiques guerrières?
  • BIEN-suisse: le financement d'une revenu de base inconditionnel
  • Stéphane Laborde, Théorie relative de la monnaie V2.0
  • Essais de persusasion, John Maynard Keynes. (Il explique en 1931, que l'avenir est à l'abondance et la diminution du temps de travail !)

histoire des grandes conversions religieuse

Histoire des grandes conversions religieuses

Comment se fait il qu'à certains moment de l'histoire des gens changent de religion ?

Il y a beaucoup de contexte différents. Mais tentons de trouver les facteurs semblables.

Conversion et prosélytisme

Quand on parle de conversion religieuse, cela signifie déjà que l'on parle de religion particulière. Les religions monothéïste sont plus à même d'avoir de nouveaux adeptes ou d'en perdre. Pour des religions polythéistes comme l'hindouisme, la conversion ne signifie pas la même chose. Il y a tellement de dieux que chacun peut adorer à un moment où à un autre, un dieu différent. Chacun peut avoir ses dieux préférés, fêter les fêtes d'un dieux mais pas d'un autre, et tout ça sans jamais changer de religion. Ce sera toujours de l'hindouisme.

L'hindouisme est d'ailleurs capable d'absorber en son sein d'autres religions et d'autres dieux. C'est ce qui s'est passé dans le nord de l'Inde avec l'islam. De nombreux saint musulmans sont également vénéré par des hindous. Là il y a changement et mélange de religion.. mais pas conversion !

Le prosélytisme est aussi particulier à certaines religions. Certaines religion n'en font pas du tout. Dans le judaïsme par exemple, il n'y a pas de prosélytisme. Dans le christianisme, quand on voit le nombre de missionnaires qui sont allés évangéliser les "sauvages", là on remarque qu'il y a du prosélytisme.

Akhénaton et le monothéisme

On considère souvent que le pharaon Amenhotep IV est à l'origine du monothéisme. Difficile d'en être certain. Mais ce qui est sur, c'est qu'il a, durant son règne, imposé un dieu unique à tout son peuple. Il a converti toute la population d'Egypte à une nouvelle religion.

Cette conversion n'a duré que le temps de son règne (~20 ans), ensuite, le peuple est revenu à l'ancien culte.

Ici, on remarque clairement que la conversion est le fait d'un dirigeant politique qui l'impose à son peuple.

Les dieux guerriers

Dans l'histoire ancienne du monothéisme, il y a souvent un dieu par peuple et c'est souvent un dieu guerrier ou un dieu en l'honneur de qui on gagne une guerre.

Les conversions se font lors des guerres. Si un peuple soumet un autre, il va lui imposer son dieu. Mon dieu est plus fort que le tiens, lui il nous a fait gagner la bataille.

L'ancien testament donne de nombreux exemple de ce genre de bataille entre dieux par l'intermédiaire de leur peuple. (ou l'inverse..)

La bible nous parle souvent d'un dieu Baal qui est un faux dieu et qu'il ne faut suivre que le dieu unique, le dieu des hébreux.

Si l'on se fie à d'autre source que la bible, on découvre qu'il n'y a pas qu'un seul Baal. Il y a de nombreux dieux qui ont ce terme dans leur nom. Ceci tout simplement, car Baal, signifie quelque chose comme: seigneur. Il est donc normal que tous les autres dieux que celui des hébreux s'appellent Baal.

Un des Baal les plus connu est certainement Baal-Zebub, qui a donné Belzébuth.

Ainsi, chaque région avait son dieu, son Baal local. A cette époque, c'est donc surtout les combats entre peuples qui ont forcé des gens à se convertir. Souvent les chefs guerriers choisissaient le dieu qui leur permettait de vaincre leur ennemis.

Constantin impose le christianisme

En synthétisant ce que nous avons vu précédement. On remarque que c'est souvent la volonté d'un souverain politique qui impose une conversion. Une des raisons de ce choix est souvent une raison guerrière. Ce dieu nous a fait, ou nous fera gagner contre nos ennemis.

Dans l'histoire du Christianisme, c'est également ainsi que cela se passe. Souvent on nous conte l'histoire des origines du Christianisme, mais il ne faut pas oublier que c'est surtout par un décrêt de l'empereur romain Constantin que le continent européen est devenu chrétien.

C'est juste avant la bataille du pont de Milvius que Constantin a une vision du symbole du Christ. Bien que païen, il fait inscrire ce symbole sur les boucliers de son armée. Puis, il remporte la victoire sur son adversaire Maxence malgré le fait qu'il avait une armée inférieure en nombre. Constantin attribuera cette victoire au Dieu des chrétiens et ainsi fera la promotion du christianisme.

Le monde romain deviendra chrétien, puis l'europe entière, et une bonne partie des terres que les européens vont coloniser.

Encore une fois, on remarque que c'est en remerciement de la victoire dans une bataille qui semblait perdue qu'un dirigeant politique a imposé une religion à son peuple.

Le début du Christianisme

Pour résumer:

  • L'attente d'un messie par les juifs
  • Un agitateur politique qui annonce un nouveau royaume lors d'une période de domination par un empire extérieur.
  • un message religieux de salut facilité

Jésus de Nazareth est un des personnage les plus influent de l'histoire de l'humanité. Il a ouvert toute une ère nouvelle. On peut simplement penser que cet homme a diffusé une nouvelle manière de penser et une compréhension différente de la nature divine et que cela a suffit a convertir de millions de personnes à sa religion.

Tout autant respectable que soit la personne et la nature de Jésus, je trouve que ce n'est pas suffisant pour permettre la conversion en masse d'un empire entier à une religion.

Comme nous l'avons vu plus haut, ce n'est que 300 ans après la prédication de Jésus que l'empire romain a été converti par son dirigeant au christianisme.

Christianisme, qui d'ailleurs a été totalement simplifié et institutonalisé au moment de sa popularisation par décrêt impérial.

Le grand succès de la conversion au christianisme est donc plutôt due à un décrêt impérial.

Cependant, d'autres facteurs ont fait que de son vivant Jésus a tout de même eu beaucoup de succès et converti de nombreuses personnes dans une pensée qui devait devenir le christianisme.

Du point de vue religieux, le fait que les juifs attendent un messie favorise l'arrivée de Jésus et de ses idées. Pour les nouveaux Chrétien Jésus est ce messie.

Du point de vue politique, on oublie souvent que l'époque de Jésus était une époque d'occupation. L'empire romain occupait la palestine. De nombreux groupes politiques existaient afin de tenter de se libérer de l'envahisseur. Jésus était probablement vu comme un agitateur politique qui proposait un nouveau royaume !

Ce sont de multiples facteurs qui ont fait du Jésus historique et de ses idées novatrices une figure qui a inspiré de nombreuses personnes.

En tout premier lieu Paul qui, même si il n'a jamais connu Jésus, a créé et géré les premières communautés chrétiennes. Ce qui les a maintenues et renforcées jusqu'à ce que le christianisme devienne religion d'Etat.

Le début de l'Islam

  • Le monothéisme.
  • Une religion avec des règles simple à vivre

Le début du Bouddhisme

  • un sage qui annonce une voie spécifique d'atteindre l'état de béatitiude.

Navigation au sein des articles

1 2 3 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38
Remonter