recette pour écrire une histoire à succès

Quelques idées pour écrire une histoire (roman ou film) à succès

En observant les livre à succès, il y a quand même quelques constantes, décorticons quelques recettes de base.

  • Tous les grands mythes ont la même structure, c'est la théorie du monomythe de Joseph Campell. C'est sur ce principe qu'à été conçu la saga de star wars et c'est aussi l'histoire que l'on retrouve dans des succès comme Matrix ou le seigneur des anneaux. => le héro doit accepter un appel à l'aventure, il traverse des épreuves, il réalise le but ce qui lui permet de mieux se connaitre lui même, il retourne à la vie ordinaire, fort de son expérience supplémentaire il vit mieux et améliore le monde.
  • Le Thriller, la conspiration, le combat entre société secrète, le héro qui est en cavale toute l'histoire contre une force inconnue qu'il découvre au fil de l'histoire. Le spécialiste de ce genre d'histoire c'est Dan Brown avec les conspirations religieuses comme dans le célèbre Da-vinci code. L'auteur a écrit un roman qui se situe dans un cadre réel (les lieux existent réellement et son connus). Comme c'est une conspiration, il est normal que personne n'ait jamais rien vu. Il y a donc une ambiguité. C'est une histoire vraie ou un roman ? Beaucoup de gens veulent vérifier eux mêmes.
  • le livre philisophique. Comme dans le monomythe de Campell. Le héro est transformé... mais en même temps, c'est un conte philisophique où l'auteur cherche à convertir non pas son héro, mais le lecteur lui-même. C'est le genre de livre comme l'alchimiste ou l'homme qui voulait être heureux. D'une manière générale, ces livres sont courts et facile à lire.
  • Ecrire des phrases courtes pour maintenir le suspens. C'est le cas de croisade qui a été écrit sur twitter, donc avec des phrase de maximum 140 caractères. Les phrases courtes sont la norme dans la presse. Le ; a ainsi quasi disparu !
  • Ecrire une histoire lisible à plusieurs niveau. Ainsi l'histoire est adaptée aux enfants comme aux adultes. Ainsi qu'aux gens plus ou moins cultivés. C'est le principe que l'on retrouve dans le dessin animé de Aladdin fait par Disney, ou toute la série des BD d'Astérix dont le sénario a été fait par Uderzo.
  • Des personnages dans lesquels ont peut s'identifier. Si un livre comporte une diversité de personnages aux caractères différents. Chacun peut s'identifier à l'un ou l'autre. Il y a donc un public potentiel plus large. C'est le cas de la saga d'Harry Potter. Le sondage sur facebook "êtes vous plutôt: Ron, Hermione, ou Harry" le prouve.
  • L'histoire qui ne se lit pas la même chose la première ou les fois suivante. C'est une histoire qui a une chute à la fin qui change la manière de voir tout l'histoire. C'est le cas d'histoires comme Le dixième cercle, Fight Club, le 6ème sens.
  • Je ne sais pas si ça permet de construire une histoire à succès, mais moi j'aime bien quand un livre est construit de manière originale déjà rien que sur la forme. C'est souvent le cas des livres de Bernard Werber ou les parties du livres sont découpée par exemple en coeur, carreau, trefle, pique... au début de la partie trèfle... on se retrouve dans l'herbe, au début de la partie pique... un darre d'un insecte transperce.... au début de la partie carreau, on regarde aux travers des carreaux d'une fenêtre... De même il y a souvent plusieurs histoire en parrallèle contée dans des chapitres courts. Souvent au passage d'un chapitre on a l'impression de continuer le chapitre précédent alors que c'est un tout autre contexte. Exemple: un incendie se déclare à la fin d'un chapitre... la fumée passe sous la porte... Le chapitre suivant commence: Les flammes se propageaient à la fourmillière... on est passé du monde des humains à celui des fourmis....
    Sur la forme, le roman La horde du contrevent est un des livres les plus atypiques que j'ai rencontré. Les personnages marchent à contrevent tous le roman, ainsi la numérotation des pages est à contresens de l'habitude. On commence à la page 700 pour terminer à la page 0 ! C'est l'histoire d'une horde de 23 personnages. Chacun a un symbole qui le représente. Ainsi à chaque paragraphe la personne qui parle est indiquée par son symbole en marge.

Voici un article de Thierry Crouzet, auteur de Croisade dont je parle ci-desssus. Il analyse justement Croisade au travers du filtre des critères définis par l'étude de James W. Hall qui a listé les critères communs des 12 livres qui ont eu le plus de succès aux USA.

La recette proposée par James W. Hall ressemble pas mal à celle que j'avais également trouvée ! En tant que grand lecteur, je sais ce qu'il me plait autant que si j'étais un prof de littérature ! 😛

Voici également le lien vers la page du site de Jean-Pierre Goux qui a retrouvé les idées de bases qui ont fait son roman: Siècle bleu que j'ai lu l'année dernière et que j'ai adoré !

Notes à propos du livre foules intelligentes smart mobs de Howard Rheingold

Notes à propos du livre de Howard Rheingold, Foules intelligentes (smart mobs)

  • L'auteur, Howard Rheingold, est un spécialiste pour observer le monde et extrapoler ce qu'il peut devenir après l'adoption massive d'uen nouvelle technologie.
  • Vers 2000, l'auteur observe la foule qui traverse le carrefour de shibuya au japon. C'est le lieu le plus densément connecté du monde. Il y a des milliers de passant qui se croisent et certains se baladent avec les yeux rivé sur leur téléphone. Une nouvelle ère est là.
  • Au japon, au début des années 2000, c'est la révolution i-mode. Pour la première fois, il y a des millions de personnes qui sont connectées à internet et interagissent.
  • Takeshi Natsuno a compris comment emmener avec lui un géant des télécom "standard" (NTT DoCoMo) dans le monde de l'internet.
  • Le i-mode est une sorte de portail géant de services internet qui sont accessibles via des sites web "captifs" accessibles gratuitement ou non. Les partenaires de DoCoMo proposent des services et sont rétribués aux 2/3 en tout cas du revenu. Ainsi de nombreux services ont vu le jour pour tout et n'importe quoi.
  • (remarques personnelles: Actuellement le i-mode a été supplanté par l'internet libre et non captif. Cependant, j'observe que Apple est exactement en train de refaire la même chose avec les iPhones. Les applications sont également payantes et rétribuées selon la même proportion. Apple jouant le rôle de distributeur que jouait à l'époque DoCoMo. L'histoire se répète 10 ans plus tard !)
  • Ce qui marche super bien au Japon, et dans la plupart des pays du monde (sauf aux usa), c'est le système de SMS. Ce qui était au début un gadget pour envoyer quelques caractères dans une trame vide de la voie de signalisation est devenu un des principaux service des télécoms, ainsi que toute une culture.
  • L'auteur a observé les débuts du SMS tant au japon qu'en finlande et il y a vu les mêmes comportement chez les jeunes.
  • Le SMS est là pour maintenir un lien avec sa communauté. (de 3 à 5 personnes)
  • Le SMS est un moyen de créer un lieu privé pour ses amis sans que les parents ne soient présent dans ce lieu.
  • Cet aspect est particulièrement vrai au japon où les maisons sont très petites, où la hiérarchie familliale laisse peu de liberté aux jeunes. D'une manière générale, les japonnais vivent beaucoup dans des lieux publics ou très peuplés. Le téléphone mobile permet donc de créer un lieu privé pour sa propre communauté.
  • Aux USA, les gens vivent dans de grandes maisons privés, se déplace dans des voitures privées (contrairement aux métros bondés de Tokyo). Ainsi les Etats-uniens ressente moins le besoin d'avoir des lieux privés. Ils en ont déjà. Donc le SMS a moins pris.
  • Surtout le SMS est techniquement moins bon aux USA surtout à cause de la politique de tarification et l'incompatibilité entre les différents opérateurs ! Ceci du à une culture de compétition et d'intérêts privé. Les Etats-uniens ne savent pas collaborer !
  • Avoir une téléphone mobile c'est appartenir à la tribu du pouce !
  • La relation au temps change pour les membres de la tribu du pouce. Le temps est devenu coulant. (j'avais déjà écris un article à ce propos il y a quelques mois...) Quand une communauté est tout le temps connectée, tout le monde est tout le temps là. Il n'y a pas besoin de prévoir de rendez-vous. Il suffit de demander à l'autre où il se trouve si l'envie d'une rencontre physique se fait sentir. Ainsi, le tabou n'est plus d'arriver en retard, le tabou est d'être déconnecté !
  • En japonnais, on parle de Keitai pour désigner les téléphones. En finlande on parle de känny, un diminutif du mot main.
  • Au japon, c'est l'i-mode qui est à la mode. En finlande, c'est le berceau de la culture libre, de Linux, de l'IRC.
  • Marc A. Smith est un spécialiste des communautés virtuelles. Il définit que l'avenir est aux biens communs.
  • Les communautés virtuelles permettent de partager des ressources plus facilement que ce qu'on faisait auparavant.
  • Le biens communs sont des bien que tout le monde a le droit d'utiliser, même si l'on a pas contribuer à la création du bien.
  • Marc Smith fait remonter l'origine du concept de bien commun au temps des chasseurs dans la savane. Quand des chasseur par la ruse et la collaboration ont enfin réussi à chasser des grands animaux, il y a tout de suite eu beaucoup trop de nourriture à disposition pour les seuls chasseurs. La conservation de la viande étant impossible, on a autorisé les gens qui n'avaient pas contribué à la chasse à également profiter de cette nourriture. Ainsi on a fait profiter toute une communauté d'un bien commun. Ce partage a été profitable à tous étant donnée que les plus faible en chasse ont également pu survivre et contribuer par d'autres manière qui avant n'étaient pas encouragées.
  • Dans la gestion de tout bien commun, il peut y avoir des problèmes. Elinor Ostrom a étudié de nombreux cas de gestion de biens communs dans le monde entier et particulièrement dans la gestion des Alpages et des systèmes d'irigation dans le Haut-valais en Suisse.
  • Dans toute gestion de bien commun qui fonctionne on remarque qu'il y a des règles claires qui définissent le fonctionnement. Il y a une surveillance mutuelle pour éviter les abus, il y a un système où les gardiens reçoivent une prime si ils trouvent un resquilleur. Dans tout ces cas de gestion de bien commun. On observe que la réputation est une valeur importante. Les gens font attention à leur image.
  • Voici les valeurs des hackers de années 1960. Avant que le nom de hacker soit connoté négativement. Hacker devrait toujours se traduire par bidouilleur. L'accès aux ordinateurs devrait être illimité et intégral. Si vous rencontrez un problème, n'attendez pas qu'on le résolve pour vous. Toute information devrait être gratuite. Méfiez vous de l'autorité, faites avancer la décentralisation.
  • Selon ces dernières valeurs, les hacker ont tout inventé dans le domaine de l'informatique et des réseaux. (unix, internet, le web, wikipedia..) Ce sont des valeurs de collaboration de mise en commun de ressources pour le bien de tous. Dans les réseaux, c'est surtout le fait de relayer les messages des autres. Chacun n'est pas obligé d'avoir son propre réseau. Il est possible d'utiliser le reseau des autres pour ses propres utilisations. Mais pour ça il faut participer au bien commun, il faut aussi donner pour recevoir.
  • Pour illustrer les bénéfices de la collaboration, il existe de nombreux jeu, dont le très connu dilemme du prisonnier et ses variantes, la poule mouillée, etc..
  • Robert Axelrod a observé dans un concours de jeu de collaboration que la meilleure stratégie est le Donnant-donnant.
  • On retrouve cette stratégie dans beaucoup de comportement sociaux. Et même dans l'évolution des espèces.
  • ...
  • Dans la même veine d'outils de collaboration. L'étape suivante après, les OS, l'internet, le web, c'est l'étape du grid computing: le concept de partage de puissance de calcul. Ce concept a été popularisé surtout par le projet SETI@home. Il y a de nombreux ordinateurs qui ne font rien dans le monde, qui sont en quasi vieille, qui ne sont pas utilisé à leur plein potentiel. Donc on partage des données et l'on réparti la puissance de calcul. Actuellement, il existe de nombreux cluster de calcul dans tous les gros datacenter. Mais il faudrait développer ce concept à tout ordinateur. Mais pour ça, c'est toujours un problème d'accepter la collaboration. Si je t'aide en te fournissant de la puissance de calcul quand je peux, toi aussi tu me rendras la pareil quand j'en aurai besoin. Toujours la stratégie du donnant-donnant.
  • L'étape suivante qui est observé est le p2p. Les partages d'information de pair à pair. C'est napster qui a popularisé le principe. Le problème c'est que cette nouvelle façon de partager des informations sur son disque dur via un réseau entre en conflit avec les lois sur le droit d'auteur qui ne sont pas conçue pour une telle technologie. Encore une fois, on a un bon principe technique, mais une règle sociale qui empêche le principe collaboratif de bien fonctionner.
  • Là où la collaboration fonctionne, c'est là où il n'y a pas besoin d'un altruisme très développé pour que le sytème fonctionne.
  • Des services comme les p2p sont pénalisés souvent car il y a peu de gens qui mettent à disposition et beaucoup qui veulent profiter. C'est la tragédie des biens communs.
  • Ces dernières années de nouveaux services sont apparus qui arrivent à utiliser un système collaboratif de telle manière que la tragédie des biens communs ne soit pas la règle.
  • C'est surtout dans le domaine de la gestion de l'information par recommandation d'article pouvant intéresser les gens en observant des habitudes d'autres personne que ce principe de collaboration fonctionne. L'auteur cite des applications comme celle d'Amazon ou eBay.
  • Cory Doctorow est fan de figurines Disey qu'il achète sur eBay. Après avoir expérimenté les requêtes très compliquées que le système de recherche a de la peine à exécuter. Il a développé des scripts simples qui observent ce que cherchent les gens qui s'intéressent aux mêmes objets. Ainsi le système propose des objets auxquel Cory n'avait même pas pensé.
  • Depuis ces temps anciens, le concept s'est bien développé avec des sites qui n'existaient pas au moment où le livre a été écrit.
  • Last.fm est certainement un des plus efficace. Automatiquement la musique que l'on écoute est "scrobblée", elle est transformée en statistique. Puis l'application est capable de proposer une radio composée uniquement de musique susceptique d'être appréciée de l'utilisateur.
  • Facebook uses et abuse presque de système de recommandation. Il y a toujours, les gens que vous connaissez certainement, les photos de vos amis que vous n'avez pas encore regardé. Les posts les plus populaires écrits par vos amis. Sans oublier, la publicité bien ciblée ! Grâce aux interactions des utilisateurs le système est capable de connaitre les habitudes et goûts des utilisateurs.
  • Google suggest propose déjà des résultats avant d'avoir fini de taper une requête et ceci basé sur les habitudes des autres utilisateurs et son propre historique.
  • Il y a une quantité d'information grandissante qui est disponible. Encore faut-il pouvoir la filtrer et l'afficher.
  • Dans les années 1980 et 1990. On parlait de développer la réalité virtuelle. De créer des mondes où tout est possible.
  • (pas non plus dans le livre) Des mondes comme Second Life et World of Warcraft sont des beaux exemples de mondes virtuels. Si le second semble toujours bien se porter et avoir du succès grâce aux sénario intéressant qui s'y passent. Second life, est complètement devenu has been. Il n'y a rien à faire dans un monde virtuel.
  • L'avenir est à la réalité augmentée. Superposer des informations à la réalité.
  • L'auteur ne parle pas de google maps, mais tout converge vers un tel concept. C'est la première étape. On est capable de tout géolocaliser. Avec en plus des téléphones intégrant tous des gps. Géolocaliser une information est devenu facile.
  • L'étape suivante est la présentation. L'auteur n'a pas non plus vu d'iPhone au moment où il a écrit ce livre. Mais l'on voit déjà sur ces bêtes des applications qu'il décrit: Le traducteur en direct via la caméra de l'appareil.
  • On voit que l'auteur décrit des choses qui arrive. Un bon exemple est l'application iPhone: iPie qui aide à couper des gâteaux en parts égales. Couper en 7 ou 9, c'est pas facile. Ainsi l'application superpose un cercle découpé en parts égales au dessus de l'image de la réalité. La réalité augmentée devient la réalité.
  • Ceci me fait penser au livre Rainbows end. (Rainbows end: texte intégral en anglais.) dans lequel les gens ont des vet'inf ils portent des ordinateurs comme des habits. Ils portent également des lentilles de contacts qui permettent d'afficher cette réalité augmentée. Ce livre permet d'explorer ce que peut devenir un société utilisant ce genre de technologies. Il y a des gens qui se téléportent. Qui apparaissent au milieu de nul part. Des ados qui vivent dans des skins d'une réalité parallèle... le monde d'harry potter... etc... intéressant à lire. On est pas loin de cette réalité.

notes à propos du livre l’homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle

Notes à propos du livre l'homme qui voulait être heureux de Laurent Gounelle

L'homme qui voulait être heureux, Laurent Gounelle, sur amazon.

  • Nous filtrons la réalité avec nos croyances.
  • Pense que tout est possible, comment te vois tu ? Quelle serait ta vie ? Quelles seraient tes envies ?
  • écris tout ce qui t'empêche de réaliser ton rêve d'une vie heureuse.
  • On finira par le payer ce beau temps... Réflexion typiquement calviniste. Mais pourquoi penser ainsi ? ça n'a aucun sens !
  • Conte du bûcheron: Je n'ai pas le temps de m'arrêter pour aiguiser ma scie, je dois scier moi...
  • On serait surpris de remarquer que la plupart des gens vous veulent du bien. Ils veulent vous aider. En demandant de l'aide, on n'essuie rarement un échecs ! Personne ne vous dit Non !
  • La plupart des gens qui réussissent, réussisent car ils savent demander de l'aide.
  • on ne peut pas agir durablement contre ses valeurs sans en tomber malade ! (p.137)
  • Les folies sont les seules chose que l'on ne regrette jamais. Oscar Wilde
  • On apprend mieux en expérimentant soi-même qu'en écoutant le récit de quelqu'un.
  • L'effet placebo fonctionne même pour des maladies qui ne sont pas à priori psychologique. Pourquoi ne pas étudier plus l'effet de l'esprit sur notre corps ?
  • Dans l'évangile de Matthieu, il est dit que Jésus guérit les aveugles. Il ne guérit pas de lui même. Il demande aux aveugles si ils le croient capable de les guérir. Et leur dit: Qu'il soit fait selon votre foi !
  • les chanceux sont chanceux, car ils savent voir les opportunités qu'on leur offre.

ne rêves pas ta vie, vis tes rêves

Mes réflexions

  • La réalité n'est que l'illusion, a plus communément acceptée.
  • Ne te demande pas ce que tu va faire DANS la vie, mais ce que tu vas faire DE ta vie.
  • Refaits tes choix. Prends le temps de réfléchir à tes habitudes.

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