Histoire de l’argent

Histoire de l'argent, ou pourquoi le capitalisme est il le seul système économique en vigueur.

D'où vient l'argent, comment ce fait-il que les expériences communistes n'aient pas été très concluantes, pourquoi le système capitaliste semble t-il le seul système que les humains sont capables de suivre ?

Pleins de questions intriguantes aux quelles J'aimerai réfléchir.

D'où vient l'argent ?

Il y a for longtemps, les hommes vivaient en tribu. Ils vivaient en autarcie. Ils mangeaient ce qu'ils cueillaient, ou ce qu'ils chassaient. Puis, des tribus ont eu des contacts avec d'autres et les hommes ont commencés à échanger des victuailles et du matériel.

Un sanglier était échangé contre quatre lièvres, et un lièvre contre deux oiseaux. l'équité de l'échange était facile à voir, il se faisait en fonction du poids des victuailles.

Puis, un jour, un chasseur très habile réussit à attraper un petit oiseau bleu dont la chair était tellement bonne que tout le monde voulait en manger.

Le seul problème résidait dans le fait que seul le chasseur habile était capable de chasser l'oiseau bleu. Cette position lui conférait donc une position supérieur par rapport aux autres. Il pouvait, échanger un petit, un minuscule oiseau bleu, contre une montagne de sanglier.

L'humanité venait de découvrir que la rareté peut faire la valeur d'une chose. Un troc entre deux parties ne pouvait plus se faire au seul poids des objets échangés, la rareté de ceux-ci entrait également en compte.

Le troc entre un sanglier et trois ou quatre lièvres était toujours délicat. Un sanglier est très lourd et ne se déplace pas facilement. Alors qu'un petit oiseau bleu peut facilement être transporté partout et qu'il à plus de valeur qu'un sanglier.

Plus les gens se sont mis à voyager et à avoir des contacts avec d'autres, plus ces mêmes personnes ont préférées toutes transporter un petit oiseau bleu avec elles et l'échanger contre une montagne de sanglier au moment voulu que de transporter en permanence une énorme cargaison de sangliers.

Les objets rares sont donc devenus une monnaie d'échange. Un des matériaux les plus rares, donc possédant le plus de valeur est l'or. Une petite quantité d'or est devenue une monnaie d'échange reconnue par tous et avec laquelle on peut tout acheter.

Afin de clarifier la valeur d'un morceau d'or, et de permettre une comparaison plus facile entre différents morceaux. Les puissants du monde ont inventés la pièce de monnaie. Une quantité fixe d'or qui est reconnue par tous.

Cependant, l'or, malgré sont rapport masse valeur avantageux, est tout de même un des métaux les plus lourd. Posséder une grande fortune en or reste tout de même très lourd à transporter.

Un jour, un petit malin très riche ne voulait pas transporter tout son argent avec lui. Cependant, sans argent sur lui, il était toujours embêté pour acheter de choses. c'est là qu'une fois, pour payer, à la place de donner des pièces d'or à un marchand, il lui à signé une reconnaissance de dette sur un morceau de papier. Le papier avait acquit la même valeur que la somme de pièce d'or restée dans le coffre fort de notre petit malin. Le marchand aurait pu aller chez notre ami malin rechercher la quantité d'or qui lui était due, mais trouvant ce moyen de payement pratique, il préféra échanger le morceau de papier contre de la marchandise chez un autre marchand. Puis la reconnaissance de dette voyagea encore plus loin, et nombre de personnes furent très intéressées d'avoir elles aussi un morceau de papier représentant autant de valeur.

Notre petit malin disposant donc d'un coffre fort très sûr, décida de ne faire ses paiements plus que sur des morceaux de papier et de garder l'or chez lui à disposition des gens qui voudrait échanger leur billet contre son équivalent en or. La première banque était née.

Toute la fortune circulant sous forme de billet représente la fortune en or contenue dans les coffres de la banque. On fit de même avec les pièces de monnaie. La pièce où le billet n'est plus la valeur elle même, elle représente une valeur. Il faut donc que tout le monde aie une complète confiance en la banque qui émet les billets ou les pièces. Il faut que tout le monde reconnaissent que ces pièces et billets représentent une valeur. Si tout le monde n'a pas confiance ce système ne fonctionne pas. Cela il ne faut pas l'oublier. Tout est histoire de confiance.

Plus tard, en jouant au Monopoly, on a remarqué que seuls les billets sont présents dans le jeu. Aucune trace de la couverture en or des billets du jeu. Pourtant le Monopoly fonctionne bien, on peut acheter et vendre sans problème. c'est grâce à ce genre de réflexions que l'on s'est rendu compte de l'inutilité des gigantesques réserves d'or contenues dans les banques.

l'argent n'a donc plus de valeur en lui même, l'argent ne devient plus qu'un vecteur d'information dont le support est un morceau de papier, une pièce dans un alliage métallique, ou plus récemment des bits échangés sur un réseau informatique. l'argent ne sert plus donc qu'a échanger des chiffres contenu dans des mémoires représentant des comptes bancaires. l'argent est un étalon pour pouvoir échanger des objets ou des services.

Parallèlement, pour contourner les banques qui émettent des billets représentant la valeur de l'or dans leur coffre, d'autres petits malins ce sont dit qu'une masse d'or n'était pas la seule valeur que l'on peut représenter sous forme de morceaux de papier. n'importe quelle valeur peut être représentée.

Un des petits malins qui avait eu cette réflexion déclara que son entreprise avait besoin d'argent, il proposa donc de diviser la valeur de son entreprise et de la représenter sous forme de morceau de papier représentant une part de l'entreprise. l'action était née. d'autre gens pouvaient acheter une action et la revendre.

Cependant, la valeur d'une entreprise n'est pas des plus facile à déterminer. Dans un premier temps, on peut se baser sur la valeur des outils, des bâtiments, propriétés de l'entreprise, puis on compte sur les fonds propres de l'entreprise et surtout sur le bénéfice que celle-ci réalise, ou réalisera. En effet, le bénéfice que réalisera l'entreprise est le principal facteur qui peut faire qu'une action voit sa valeur augmentée.

Lorsque nombre d'entreprises furent disponibles sous forme d'actions, pleins de financiers se dirent qu'il y avait un potentiel pour gagner de l'argent dans la variation de valeur des actions. Ils commencèrent donc à se réunir pour s'échanger des actions, donc des parts d'entreprises, donc des parts de pouvoir de décision dans l'entreprise. La bourse était née.

Dans la logique même du financier, il faut s'enrichir, il faut donc que l'action ait plus de valeur quand le financier la revend qu'au moment où il l'a achetée. Donc idéalement, une action ne doit pas perdre de valeur.

Un actionnaire lorsqu'il achète une action, achète une part de l'entreprise, par la même, il obtient un pouvoir de décision au sein de l'entreprise. Il va donc utiliser son pouvoir de décision dans le but que son action augmente de valeur jusqu'au moment où il la revendra.

Le but de l'actionnaire n'est donc pas directement le bien être de l'entreprise, sauf, si la valeur de l'action peut augmenter ainsi.

Avec un tel raisonnement, des actionnaires peuvent faire couler une entreprise corps et âme tant que la valeur de l'action ne perd pas de valeur. Si c'était le cas, l'actionnaire se dépêche de revendre ses actions, tant pis pour l'entreprise, tant que l'on peut réaliser un bénéfice sur les actions.

La valeur qu'est l'entreprise n'est pas primordiale pour l'actionnaire, ce qu'il veut lui, c'est faire un bénéfice sur l'augmentation (souvent à cours terme) de la valeur de l'action qui a été réalisée grâce à la spéculation.

Dans le cas de la bourse, l'action, donc le bout de papier est encore très liée à la valeur qu'il représente, donc l'entreprise. La bourse "Monopoly" n'existe pas, la couverture en or qui à été supprimée dans le cas des billets de banque existe toujours dans le cas de la bourse. Personne ne penserait à supprimer les entreprises.

Cependant, les actionnaires d'une entreprise ont plus pour objectif leur propre enrichissement que le bien être de l'entreprise. l'actionnaire est utile pour obtenir à court terme une somme d'argent qui peut lancer la construction d'une entreprise. Mais à long terme, l'actionnaire est dangereux pour l'entreprise. Il ne fait pas corps avec elle, il ne voit que son propre profit à court terme.

En observant le secteur des supermarchés en Suisse, on observe que les géants sont Migros et Coop. Ces deux molosses "bouffent" tous leur concurrents, Migros a acheté Globus qui avait acheté ABM. Coop a acheté l'EPA Radio TV Steiner, inter discount etc..

Il ne reste bientôt plus donc que Coop et Migros, et fait intéressant, ce sont les seuls de tous les magasins cité ci-dessus qui sont des coopératives. Les autres étaient des SA. Cela démontre que la coopérative qui est à l'abri de l'actionnaire est mieux dirigée, plus efficace et que les bénéfices ne disparaissant pas dans les poches des actionnaires, sont utilisés pour racheter les concurrents !

De plus, la Migros redistribue une somme monumentale chaque année pour les besoins de la culture, de l'éducation et des sociétés locales. (Ecole club Migros, Pour-cent culturel).

De son coté, la Coop se préoccupe également de l'écologie en ayant créé un ligne de produit Bio.\nOn remarque donc aisément que les colosses oranges, comme on les appel, ne se préoccupent pas que de leur rendement financier, mais également du bien être général de la société, de la qualité de vie.

Les financiers actuels ne se préoccupent d'une entreprise que sous la vision du cash-flow sans se préoccuper du reste et notamment du work-flow. Les actionnaires ne voient pas l'entreprise, son savoir faire, sa culture, ses objectifs, son étique, les gens qui forme son esprit. Ils ne voient que les chiffres et les tendances qui pourraient faire augmenter à court terme la valeur de l'action. Cette politique fonctionne jusqu'au moment où l'entreprise est tellement démantelée qu'elle n'est plus efficace et que la valeur de l'action stagne. A ce moment là, les actionnaires revendent leurs actions et vont vampiriser une autre entreprise.

Le seul moyen de contenter tout le monde est de reprendre le principe du Monopoly et de découpler la bourse et les actionnaires qui adorent la spéculation pour s'enrichir, des entreprises et entrepreneurs qui aiment produire des choses, se dépasser techniquement et la culture d'entreprise.

Il suffit de laisser tranquille la valeur qu'est l'entreprise et de faire vivre la bourse par elle même. On a réussi à supprimer la couverture en or des billets de banque, on doit certainement pouvoir établir un système de spéculation sans qu'aucune entreprise ne soit derrière. Un des problèmes qui réside dans ce système est la confiance que doivent avoir les actionnaires en leur actions qui ne représentent plus de valeur refuge. c'est la même confiance que celle que tout le monde a dans un billet de banque qui pourtant ne vaut rien.

Lors de la disparition de la couverture en or des billets de banque, personne n'a rien remarqué. En effet, il y a en général un seul organisme par pays, voir même maintenant pour plusieurs pays, qui émet des billets. Il suffit que cet organisme fasse disparaître sa couverture en or pour que le système soit changé.

Dans le cas de la bourse, et c'est ce qui fait sa popularité, toute les responsabilités sont réparties, chaque entreprise émet ses actions. Il y a beaucoup plus d'entreprise en bourse que de banque qui émettent des billets. Donc l'inertie du système est beaucoup plus grande.

Un autre des problèmes d'un système à spéculation sans entreprise comme valeur, est la détermination du cours de l'action. Comment déterminer la valeur d'une chose qui n'existe que par son nom ?

Comment conférer aux actionnaires un certain pouvoir sur le cours de l'action ?

Une fois ces problèmes résolu, il est quasi certain que tous les financiers envieux de faire des entrées d'argents rapidement utiliseront ce nouveau moyen. En effet, ce doit être le moyen qui correspond le plus au modèle ultra libéral vers lequel tend le capitalisme. Cependant, on peut ce poser la question, quelle pourraient être les conséquences d'un moyen trop facile de gagner de l'argent ? Les gens continueront-ils à travailler ?

→ Société unique qui redistribue les gains perdu lors de la spéculation en bourse libre.

l'accumulation → capitalisme

Idées pour créer une religion

Chaque personne fait partie d'un certain clan, sous l'emblème d'un totem.

La population des sociétés primordiales est partagée en divers genres ou clans, dont chacun possède une fonction sociale spécifique, avec ses compétences propres, ses privilèges, ses devoirs, ses contraintes, ses interdits.

L'appartenance à un clan, à une "classe", n'est pas établie par hasard, ni même par filiation : elle résulte d'une distribution naturelle des membres du groupe au sein du tissu social.

Les clans constituent des groupes exogamiques : chacun adhère au clan dont les tendances correspondent à sa nature intime.

Chaque clan détient son mana, sa force diffuse et impersonnelle, son pouvoir "magique" d'action au sein de la communauté. Chacun a son emblème, son modèle, son totem, marque symbolique de son mana et signe de reconnaissance sociale, d'appartenance communautaire.

L'échange d'informations est une des principales cérémonies. Un repas, est un action nécessaire à tout le monde, c'est donc un moment parfait pour une cérémonie. Et ceci, est valable dans le cas où le repas est un apéros comme dans le cas où c'est un festin.

Réalité

  • Définition du granddictionnaire:
    Ensemble des objets concrets ou abstraits qui peuvent être appréhendés, conçus ou imaginés.
  • La réalité n'est que l'interprétation que se fait notre cerveau de notre environnement sur la base des informations fournies par nos sens.

Peut-on alors considérer une illusion comme la réalité ?

Je pense que oui! La réalité qu'on pourrait appelée réelle, n'est que l'illusion la plus communément acceptée de tous. Nous parlons souvent de réalité en lui ajoutant un adjectif indiquant de quelle réalité il est question. Nous avons par exemple la réalité économique, la réalité physique, la réalité du marché du travail, la réalité démographique etc…

Le mot réalité est toujours utilisé pour faire référence à ce que l'on sait dans un domaine. Ce dont on est au courant. Cette connaissance reste cependant toujours limitée à nos sens, à l'outil dont on dispose pour acquérir des données dans le milieu que l'on désire connaître. Ce qui entraîne que la réalité n'est pas forcément vraie, elle n'est donc pas la réalité !

Cette réflexion mène tout droit à cette incohérence, la réalité n'est pas la réalité.

Mais qu'est donc alors la réalité ?

La réalité n'est que ce que l'on croit être notre environnement, l'illusion que l'on se plaît à croire comme étant la vrai nature de ce qui nous entoure.

Chacun et chacune est conditionné depuis sa plus prime enfance par les sens dont nous disposons. Ce conditionnement nous fait voir les choses d'une certaine manière et nous emprisonne dans une certaine logique dont nous ne pouvons sortir.

La réalité n'est qu'un modèle de notre environnement qui nous permet d'y évoluer innocemment sans devoir appréhender la véritable nature de ce qui nous entoure.

Cependant, l'humain étant un être vivant et le vivant accumulant toujours, l'homme depuis la nuit des temps a voulu savoir ce qu'il y avait au delà de sa réalité.

La curiosité, puis ce que l'on a appelé "science" a tenté et tente encore d'aller toujours plus loin dans l'étude de notre environnement. La science pousse la réalité au delà de ses limites.

L'humanité connaît de mieux en mieux son environnement, mais celui-ci reste toujours caché à l'humain. Les connaissances environnementales de l'humain augmentent, mais l'humain en lui même n'a toujours pas les sens nécessaires pour appréhender cette nouvelle réalité.

Personne ne "voit" les ondes électromagnétique en dehors du spectre visible, personne n'entend les ultra-son, personne ne distingue la nature atomique de la matière, personne ne distingue plus des trois dimensions spatiale auxquelles nous sommes habitués.

Même les noms que nous donnons à ces grandeurs physiques reflètent notre vision de la réalité. Le terme "ultra-son" signifie que nous parlons des sons qui ont une fréquence supérieur à la fréquence maximale que nous sommes capable d'entendre.

Par opposition au terme "infra-son" qui signifie que ces sons ont une fréquence inférieur à la fréquence minimum que notre oreille perçoit. La remarque peut être la même pour la lumière. La lumière n'est que le spectre des ondes électromagnétique délimité par les infra-rouge et les ultra-violet.

La science nous apprend donc à repousser les limites de la réalité, et notre corps nous emprisonne dans une réalité qui est figée depuis que l'humain existe.

Ce corps même et les sens qui le compose sont tellement conditionnés à cette réalité qu'il sont incapables de survivre dans un autre environnement.

Un astronaute qui part en mission en orbite autours de la terre est complètement dérouté par son corps et par ses sens. l'état d'apesanteur n'est pas une grande modification de la réalité, cependant déjà, notre oreille interne ne sait plus ou elle en est. Nos réflexes sont inadaptés à cet environnement.

Heureusement, notre cerveau est capable d'assimiler les nouvelles données fournies par les sens et de les interpréter de façon à ce que nos réflexes s'adaptent à l'environnement.

Ne pas subir le monde → on a toujours le choix → On vit ce que l'on veut → Se créer sa propre réalité → se créer ses propres souvenirs → se créer ses propres activité extraordinaires,

Navigation au sein des articles

1 2 3 225 226 227 228 229
Remonter