comment générer un pdf à partir d’une page web

Comment générer un pdf à partir d'une page web

Il est souvent utile de pouvoir générer un pdf à partir d'un contenu web.

Il existe de nombreuses solutions plus ou moins bonne.

Tout d'abord, il faut savoir que l'html+css et le format pdf sont quand même passablement différents. Il va donc être facile de convertir du contenu dans un format ou dans l'autre. Mais il ne va pas être simple d'avoir la même mise en page dans les deux cas.

Traditionnellement, le pdf est souvent utilisé pour faire des documents que l'on exporte d'un site web. L'exemple typique c'est la facture qui est générée après un achat sur un site de e-commerce.

Pour concevoir ce genre de document, on conçoit un canevas tout fait où il suffit de remplir les données de la marchandises achetée et les données du client.

Pour ce genre d'application on utilise traditionnellement des applications comme pdflib.

Pour faire plus léger, en php, et totalement gratuit, d'autres alternatives on été crées. Il s'agit par exemple de TCPDF.

Cette bibliothèques est utilisée dans de nombreux cms pour exporter directement un pdf à partir d'une page. Bien que le résultat ne soit pas si mal, il est toujours frustrant. Le résultat n'est pas pareil que l'original web.

Ce script est capable de comprendre une partie d'html, mais comprendre les styles css par dessus est trop compliqué.

Une nouvelle idée est apparue: créer un moteur qui interprète le html+css comme n'importe quel navigateur web et sortir l'affichage au format pdf.

C'est ce que fait l'application prince-xml.

Prince est capable de comprendre de nombreuse grammaire xml et de les transformer en pdf. Le résultat est totalement différent de ce qu'un tcpdf est capable de faire ! C'est nettement mieux.

Google utilise cette solution pour générer des pdf à partir de document google docs... Si google n'a pas mieux maison... c'est que le produit est vraiment bien !

Il reste un petit bémole à cette solution qui est probablment la meilleures, c'est que pour une utilisation serveur, il faut une license qui est passablement chère... 3000 dollars australiens.. gloups. Même si le soft vaut certainement son prix... c'est quand même hors de prix pour beaucoup.....

Voilà qu'une nouvelle réflexion s'est faite..... Quand j'imprime une page web depuis safari sur mon mac, directement je peux exporter l'impression en pdf.... on ne peut pas utiliser le soft qui fait ça ??

Et effectivement, en creuseant de ce côté il y a moyen de faire quelque chose. Les basses couche de safari, webkit, sont opensource. Il reste juste les hautes couches applicative à bidouiller, mais le plus dur est fait, comprendre le html+css qui est vraiment de plus en plus complexe.

C'est ainsi qu'est née l'application wkhtmltopdf, c'est une application opensource qui est maintenant à maturité. Elle permet très simplement de faire juste ce qu'on lui demande, manger de l'html+css pour en resortir un pdf.

Personnellement, je suis assez bluffé. Pas mal du tout. Les petits à côté sont sympa aussi. Ce que j'aime beaucoup, c'est la génération automatique de la table des matières et le fait de pouvoir ajouter directement une page de titre.

Voici la commande qui permet de générer un fichier pdf à partir d'une page web tout en ajoutant au début du document une page de table des matières qui a pour titre "Table des matières".

  • wkhtmltopdf -t --toc-header-text "Table des matières" monfichier.html monfichier.pdf

Voilà, j'ai maintenant tout ce qu'il me faut pour avoir un traitement de texte complet dans un simple navigateur web.

C'est ce que j'utilise ici pour écrire ces lignes.

Un couplage de tinyMCE pour la partie écriture wysiwyg, puis j'enregistre et gère mes documents l'application web que j'ai codée, puis j'exporte les documents que j'écris à l'aide de wkhtmltopdf.

Merveilleux !

Pourquoi s'ennuyer avec M$ office... ou même openoffice... qui sont des suite bureautique de plus en plus lourdes pour ne pas faire grand chose de plus qu'il y a 15 ans dans le traitement de texte !

facebook et la politique

Comment facebook influence la politique

L'espace public évolue de tout temps, avec les réseaux sociaux on est passé à une étape plus loin.

L'effet de ces changements d'espace public c'est une transformation de la manière dont les discussions politiques se font.

Stéphane Aguiton a donné une conférence très intéressante à ce propos.

Cette conférence de Stéphane Aguiton peut ête écoutée sur le site immediat.tv.

paysage politique suisse.JPG

Pour ne pas devoir réécouter toute la conférence, voici un résumé des idées qui y sont présentées.

  • L'espace public est le lieux où l'on peut tous participer à des conversations
  • Les conversations publiques sont souvent des conversations politiques
  • Pendant très longtemps, pour s'adresser à un grand nombre de personne, il fallait être présent sur place
  • Les journaux sont apparu, et de rares personnes se sont mis à parler et avoir une grande tribune
  • les journaux parlent des grands problèmes, de la politique et des personnes connues de tous
  • puis est arrivée la photographie. Il a été possible pour la première fois de montrer à large échelle un visage.
  • En même temps c'est posé la question de la redéfinition de l'espace public.
  • La jurisprudence a déterminer que l'on a le droit à rester tranquille chez soi et de pas se faire tirer le portrait et publier dans une journal. A quelques excéption près.
  • Une exception est le fait de se trouver dans une scène d'intérêt public. Si vous vous trouvez sur la photo historique de l'assassinat d'une personne connue, vous ne pouvez pas demander à ne pas être publié !
  • En revanche, chez soi tranquille, on n'a pas le droit de vous publier le portrait.
  • Toute la caste de journalistes et photographes qui sont tous des professionnels, savent se qu'ils ont le droit de faire où non.
  • L'arrivée de l'internet va tout remettre en cause encore une fois. Il est possible pour tout le monde, à très faible coût de créer un média !
  • Tout le monde peut devenir journaliste et/ou photographe. L'espace d'exprssion public qui était limité à de rares personnes s'agrandit.
  • C'est l'idée du média alternatif. Mais on reste dans l'idée qu'une personne diffuse son point de vue à tout le monde. On reste dans l'idée que ce point de vue est un sujet public. Un sujet politique.
  • Avec l'arrivée des réseaux sociaux, on change encore la notion d'espace public.
  • Sur facebook, le quidam parle au quidam. La publication n'a jamais été aussi facile.
  • Il se crée alors plusieurs type de conversations. Des conversations privée.. même si elles sont dans un espace qui est public pour tous ces "amis", et des conversations ouvertes avec qui veut des conversations plus politique.
  • même si tout le monde voit une conversation privée, rares sont les gens qui vont s'insérer dedans. Il y a une sorte de pudeur, j'ai vu, mais j'ai pas regardé..
  • Stéphane Aguiton parle de petite et grande respiration pour différentier ces conversations. Sur facebook, c'est un doux mélange permanent.
  • Stéphane Aguiton prétend que facebook est un nouvel espace, mais pas un nouveau comportement. Il y a quelques décennies, les jeunes parlaient de la même manière, mais en général en allant discuter avec ses voisins, ou dans la rue.
  • actuellement, les jeunes se cantonnent à facebook aussi par ce que leur parents ont peur qu'ils sortent dans la rue... à cause de la circulation dangereuse, de l'insécurité ou du méchant pédophile qui traine dans le quartier...
  • Il y a 30 ans, quand on avait une idée politique, on allait dans un réunion politique pour en discuter, on rencontrait des gens. Puis on décidait d'agir, par une manifestation ou autres..
  • actuellement, on peut directement annoncer sur son statut facebook.... "fait chier le résultat des dernières votations.." Cette petite phrase à pour effet de lancer tout de suite une conversation. Et souvent on débouche sur une action... "bon alors, on va manifester demain pour montrer notre mécontentement de la votation sur les minarets..."
  • L'acte de manifester est là tout de suite et l'on a pas besoin de passer par la case, j'appartient à un groupement politique.
  • Il est possible d'agir avant de savoir quelle couleur politique on a, avant d'avoir une étiquette, trotskiste, maoiste, socialiste, libéral, radical, écolo..
  • Donc les générations plus anciennes ont de la peine à comprendre. Les jeunes, on les voit à une manif, et après plus...
  • Il y a donc un sentiment de désengagement de la politique pour un regarde d'une ancienne génération. Mais ce n'est pas le cas. On loupe juste l'étape "se trouver une étiquette" avant d'agir.
  • Il y a de nombreuses alliance de circonstances qui se font sur facebook, et de nombreux groupes. Rien n'est fixe. On n'est pas catégorisé à vie dans un groupe.
  • Voilà l'évolution de la politique actuellement...

La décroissance

Qu'est ce que la décroissance ?

La décroissance est un nom dont on entend de plus en plus parler ces derniers temps... la décroissance c'est l'idée d'une nouvelle société post-capitaliste.

Les journalistes aiment bien dire que la décroissance ça effraye..  Comme le mouvement est encore très jeune et mouvant, il est difficile a définir. Je vais tenter ici de mettre en vrac toutes les idées auxquelles se rattachent les partisans de la décroissance.

En suisse romande, les partisans de la décroissance se regroupent en Réseaux d'Objecteurs de Croissance. Des ROCs. La vitrine de ces mouvements c'est le site www.decroissance.ch

Pour clarifier un peu ce qu'est et ce que veut le ROC, un manifeste du ROC-Suisse a été écrit.

Les ROCs organisent régulièrement des café décroissance. Ce sont des conférences sur des sujets autour de la décroissance.

Dans le domaine de la décroissance, il y a quelques conférencier/écrivains qui deviennent des références. La plupart des Objecteur de croissance ont lu les livres ou suivi les débat des ces nouveaux penseurs.

Dans ces penseurs connus, il y a par exemple:

Sur le site web de lachaine.ch il est possible d'obtenir les enregistrements audio et/ou vidéos de plusieurs conférences très intéressantes où l'on retrouve certains des penseurs cités ci-dessus:

Pour avoir un aperçu global allons voir la définition de la décroissance sur wikipedia.

Et sinon, voici une longue liste non exhaustive et en vrac de quelques idées que j'ai extraites de livres, conférences et réflexions autour de la notion de décroissance.

  • Pour savoir ce qu'est la décroissance il faut savoir ce qu'est la croissance.
  • les différentes sortes de croissances (linéaire, géométrique, exponentielle) wikipedia: croissance ou décroissance exponentielle.
  • Une croissance exponentielle infinie n'est pas possible: aucun phénomène ne peut croître indéfiniment car sa croissance est limitée par le milieu dans lequel se trouve la population. Le premier à avoir soulevé un tel problème fut le pasteur Thomas Malthus (1766 - 1834), bien que ses prévisions sur la croissance de la population humaine ne se soient pas réalisées.
  • les catastrophes favorisent le PIB. L'enseignement le plombe.
  • Tous les facteurs humains sont présentés comme des charges dans notre société.
  • Notre système économique a pour but de transformer des ressources naturelles en déchets.
  • ajouter la composante spirituelle. Il faut se changer soi même pour changer le monde.
  • Le terme de décroissance a une connotation négative. Mais c'est justement pour éviter que comme ça c'est passé pour le développement durable, le terme soit repris et instrumentalisé par le capitalisme. Quand le but du capitalisme est d'augmenter la croisssance... il ne peut pas être décroissant !
  • La publicité est le moteur du consumérisme et donc du capitalisme. Nous sommes habitués à rendre les termes sexy selon les canons de la publicité. Mais comme la décroissance s'accompagne de la fin de la culture publicitaire, pas besoin de suivre les règles de la pub !
  • La fin du dollar http://www.clubic.com/actualite-261308-franck-biancheri-leap-e2020-effondrement-dollar-actualite.html
  • suivre les chiffres des statistiques de http://www.worldometers.info/fr/
  • L'agriculture, le nerf de la guerre. L'agriculture contractuelle de proximité comme solution. Voir le film solutions locales pour une désordre global.
  • La décroissance est liée à une notion économique mais il ne faut pas oublier la notion sociale. La fin de l'esclavage du travail pour le productivisme.
  • On vit mieux en ayant plus de temps, pas en produisant plus !
  • Utiliser un rasoir électrique pour se raser plus vite, et être plus vite au boulot pour fabriquer des rasoirs encore plus rapides.
  • Je travaille pour payer la voiture qui me permet d'aller travailler.
  • La publicité est le moteur de la consommation. Les médias vivent de la pub, ils sont donc souvent pris au piège.
  • Que peut on faire de mieux pour l'afrique ? - Arrêter de piller ses ressources naturelles. Donc arrêter également le commerce de ressources naturelle. C'est une forme de pillage. (café décroissance Latouche Püttgen, relaté le lendemain avec Jaques Grinwald)
  • Pourquoi y a-t-il un prix nobel d'économie ? pourquoi pas d'écologie ? => c'est la banque national de suède qui a créé ce prix. ça renforce faussement que l'économie est une science.. mais c'est plutôt de la sorcellerie.
  • Il y a 2 manières de présenter la décroissance: d'après son nom.. un PROBLEME économique de ressources, ou par un projet d'une nouvelle société humaine où l'on a du temps.
  • Il faut être capable de s'émerveiller du monde que l'on a. Nous n'avons pas besoin d'en créer un autre par dessus, de refaire une couche.
  • Le discours écologiste, est un discours moralisateur. Il culpabilise et mets mal à l'aise.
  • La pub utilise un message très simple, elle parle comme aux enfants de 2 ans... et elle agit sur les mêmes mécanisme comme le montre le sondage qui demande de qualifier des marque: est une marque qui m'aide à me sentir gai et heureux de vivre. => C'est donc bien ce que recherche ces marques... mais la décroissance et l'écologie semble avoir une discours d'emmerdeur, de moralisateur. Il faut présenter le côté joie de vivre de la décroissance.
  • La décroissance ne propose pas de vivre «moins» mais «mieux», avec «moins de biens et plus de liens». selon: http://www.ladecroissance.net/?chemin=charte
  • Paul Ariès: La société de consommation est très forte. On baigne dedans depuis des décenies et on en veux encore. Les sociétés qui n'ont jamais connu ce mode de vie ne veulent que ça ! => donc il faut trouver quelque chose d'au moins aussi fort et enviable pour remplacer la consommation. Et c'est la gratuité. Les espaces publics, les services publics. Les liens associatifs et amicaux. => être pour l'idée du revenu de vie. Et le payer en monnaie locale ou en droit de tirage sur des bien publics. (eau, électricité)
  • Paul Ariès: On ne changera pas le monde en culpabilisant les gens. On changera le monde en leur donnant le désir de changer.
  • Je mange pour être en forme sans avoir les formes (slogan de l'insutrie du bio dans le sens de l'aliment qui purifie selon Paul Ariès)
  • Il faut distinguer l'usage du mésusage. (l'eau pour boire et l'eau de piscine) Toujours Ariès. La décroissance est pour la gratuité du bon usage et la cherté du mésusage.
  • Avec l'arrivée de l'homme aux limites de la biosphère, la gauche est devenue aphone ! ... elle ne sait plus comment conscilier ses valeurs qui passent par le productivisme avec la notion d'environnement. En revanche, la droite n'a aucune problème. Le développement durable est là ! On continue le productivisme, mais il est vert ! (encore Ariès)
  • Selon Paul Ariès, il est important d'avoir des limites. Dans le capitalisme on nous fait croire qu'il n'y aucune limite à rien. Il n'y a pas de limite de salaire, mais on parle de salaire minimum, on ne cherche pas à mieux partager le gâteau, on cherche à le faire grossir ! Il faut que l'on apprenne à retrouver ses limites. La loi est souvent la première limite à laquelle on se confronte dans sa vie quotidienne.
  • Les aborigènes suivent les chants de leurs ancêtres, ce sont des cartes du monde. Ils accumulent l'information et non les biens.
  • Frydman, Carola, Saks, Raven E. ont fait une étude entre 1936 et 2005 pour faire un indice de comparaison entre les salaires les plus élevés et le salaire moyen. http://en.scientificcommons.org/55967194 On observe que dans les années 1940-70 la différence est de 35x et dans les années 1980 un décrochement se fait pour atteindre les 130x dans les années 2000. Hervé Kempf parle de cette étude.
  • Nicholas Georgescu-Roegen, est à la base de l'idée de décroissance. C'était un économiste mathématicien qui a étudié l'influence de l'entropie dans le système économique. Il a remarqué que ses collègues ne faisait qu'observer le système économique. La roue qui tourne. Il a montré que le moteur de l'économie est en fait très concrètement un moteur thermique. Donc l'économie dépend des lois de la thermique. Il dresse un constat alarmant. Il faut intégrer l'environnement dans le calcul du fonctionnement de l'économie. Il ne faut pas gaspiller nos ressources. L'entropie est ce qui fait qu'un glaçon qui fond dans un verre ne pourra jamais redevenir un glaçon.
  • Latouche parle des relation nord sud. Du colonialisme du développement. Il faut apporter l'électricité aux sauvages qui vient au fin fond de l'afrique où il n'y a rien ! Alors que finalement, tous les grands penseurs du siècles des lumières qui sont la base des valeurs de notre civilisation n'avaient pas l'électricité ! Quand on demande à Serge Latouche qu'est ce qu'il veut que l'on fasse en afrique, il répond: qu'on arrête de piller l'afrique.
  • Hervé Kempf parle surtout de la manière dont le capitalisme a transformé le monde. Le capitalisme n'est pas un système économique. C'est une philosophie individualiste. Ce qui compte dans le capitalisme, c'est son propre profit. Tout ce qui en découle, c'est la compétition personnelle, écraser les autres, la hiérarchie à son propre profit, la marchandisation à outrance (la pornographie, le trafic d'organe, la prostitution, le quasi esclavage...) Une société capitaliste est une société qui n'existe pas, c'est une somme d'indidividu. (C'est Margret Thatcher qui disait ça !) Le capitalisme transforme la société pour la faire disparaitre, pour libéraliser tous les services publics, pour faire l'apologisme du chacun sa maison, chacun sa voiture, chacun son iPhone, chacun ça TV écran plat, chacun chez soi. On ne veut plus de groupes, les cafés se meurent, les associations se vident, les familles éclatent.... l'individu est tout !
  • Pour sauver la planète, sortez du capitalisme. L'idée est de montrer que cette philosophie capitaliste n'a pas d'avenir. Qu'elle est sur le déclin. Elle a eu du succès ces 20 dernières années car c'est le seul modèle qui restait après l'effondrement du communisme. Cependant, depuis, on a remarqué que la capitalisme n'apporte pas le bonheur et qu'il pose de nombreux problèmes autant écologiques que financiers.
  • L'idée pour contrer cette philosphie individualiste capitaliste, c'est de créer des projets de collaboration. Il faut créer des réseaux, des coopératives, il faut arrêter d'abrutir les gens tout seul devant leur TV en retournant dans les bistrots discuter, parler politique. Des projets comme wikiepdia, montrent qu'il est possible à large échelle de faire des projets de collaboration.
  • Le modèle d'avenir c'est collaborer plutôt que de se concurrencer.
  • Il y a des comportements à changer. Prendre l'avion comme le bus c'est une mauvaise idée. Le quart des émissions de CO2 du canton de Genève sont dues au carburant des avions ! .... depuis 2000, c'est une augmentation de 50% du traffic aérien qui a été constatée ! De plus les autorités genevoises ne peuvent rien faire. Elles doivent suivre les directives du plan de la confédération qui dit que la gestion de l'aéroport doit s'adapter à la demande du traffic aérien !
  • Les anglais testent une idée de carte de rationnement qui autoriserait un voyage en avion tous les 5 ans. Ces cartes pourraient se vendre. Ainsi les personnes qui ne prennent pas l'avion pourraient les vendres aux riches qui veulent voyager beaucoup en avion !
  • L'association utopimages crée des films pour la décroissance. Il est possible de les commander en DVD ou de les voir sur le web.
  • Ma liste de bookmarks delicious à propos de la décroissance.
  • La décroissance est un mot obus selon Paul Ariès
  • La décroissance c'est un beau projet d'avenir. Un projet de recentrage sur des valeurs humaines, une sortie du capitalisme pour un monde meilleur. Une manière de retrouver un sens à la vie qui souvent n'existe plus ! (petite phrase que j'ai écrite dans un mail et que j'ai retrouvée quelques temps plus tard sur un statut facebook avec plein de like.. faut croire que ça plait !)

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