Voici la recette des chaussons aux pommes héritée de notre grand-mère.
Pour les pommes, il y a deux techniques qui s'affrontent.... mettre de la purée de pommes... (comme dans la vidéo) ou mettre directement des lamelles de pommes.
Voici un certain nombre de mes meilleures recettes de cuisine…
Voici la recette des chaussons aux pommes héritée de notre grand-mère.
Pour les pommes, il y a deux techniques qui s'affrontent.... mettre de la purée de pommes... (comme dans la vidéo) ou mettre directement des lamelles de pommes.
L'alimentation des humains à beaucoup changée au cours du temps.
Il y a eu l'époque des chasseurs cuilleurs. Donc je suppose que la viande était fréquente... mais est-ce vraiment la réalité ? ... à creuser.
Puis il y a eu toute la période depuis l'invention de l'agriculture jusqu'il y a 50 ans.
Durant toute cette période de près de 10 000 ans. La viande n'était pas très courrante. Elle était consommée épisodiquement.
Puis le niveau de vie des gens a augmenté... et l'on a commencé manger beaucoup plus de viande et de protéine animales dérivée comme les oeufs, le lait, les fromages, etc..
Après 50 ans de cet exercice dans le monde occidental, on se rend compte que finalement l'exès de protéine animale n'est pas la panacées comme on le croyait. Il semble bien que plus on mange de protéine animal plus on a de problème cardio vasculaire ! (retrouver le documentaire à ce propos...)
Donc voilà, il semble donc bien que l'on mange trop de protéine animale. (ce qui ne m'étonne pas trop)
Comme je n'ai jamais été tellement fan de viande, ça ne me dérange pas du tout d'être végétarien.
En fait, je suis végétarien quand j'achète et cuisine moi-même et je suis omnivore quand je mange un peu partout. C'est ce que les suisses-allemand appellent "flexi-vegi" ! Mais je ne connais pas le nom en francais.... et après de nombreuses recherche, je crois qu'il n'y pas de mot.
En gros, je ne suis pas du genre à faire une crise quand il y a 3 mini lardon dans des roesti ou du jambon sur ma pizza.
Bref... Vu le nombre de fois que je ne mange pas chez moi et que l'on me donne de la viande. Je ne risque pas d'avoir des carence en protéine...
... mais là aussi c'est un mythe et c'est là que je voulais en venir.
Pendant 10 000 ans, des humains on vécu sur cette planète sans manger de la viande tous les jours, il ne sont pas tous morts de faim !
Même si une certaines science pense que si l'on ne mange pas de viande on va avoir des carrances, ce n'est pas vrai.
Voilà un exemple des méfaits de la science analytique. Une science qui découpe tout (racine du mon analyse: délier)
Petit rappel sur nos besoins alimentaires.
Nous mangeons des acides aminés car nous en sommes composés. Nous avons besoins d'une vingtaine d'acides aminés. Pour certain, tout va bien. A l'image des plantes, nous arrivons à les synthétiser à partir des atomes de base.
Mais pour 8 acides aminés. Nous sommes obligé d'aller les cherchers ailleurs.
Ces 8 acides aminés indispensables doivent être présents dans notre nourriture. Il s'agit de l'isoleucine, la leucine, la lysine, la méthionine, la phenylalanine, le tryptophane, la valine et la thréonine.
L'apport de ces 8 acides aminés doit être équilibré pour que notre corps puisse les assimiler. Nous devons manger ces éléments en même quantité et en même temps (plus ou moins sur une journée). Si un élément manque. C'est un facteur limitant. C'est la plus petite quantité qui limite la quantité globale.
C'est comme si je dois embouteiller du vin... j'ai besoin de bouteilles et de bouchons. Si je n'ai que 10 bouchons et 500 bouteilles.. je ne pourrai livrer au final que 10 bouteilles fermées. Le reste ne sert à rien.
La quantité de bouchon est un facteur limitant.
Ainsi, les scientifiques spécialiste de l'analyse on séparé et comparé chaque type de protéine séparément et conclu que les protéine animales sont les plus proches de la protéine idéal qui est parfaitment équilibrée et donc la plus nourrissante. (la protéine la plus proche de l'idéale est le lait maternel)
Il s'en est suivi des campagnes de gavage d'enfant au lait de vaches.... aux oeufs, à la viande..... mais c'était occulter toute une autre approche.
L'approche holitistique du problème.
Il est possible de manger plusieurs protéine en même temps. Nous ne sommes pas obligé de trouver une seule protéine qui fait tout !!!
Donc il est possible de combiner plusieurs protéine végétale et d'avoir aussi bien, vois mieux qu'avec des protéines animales !
Si l'on observe la cuisine traditionnelle partout dans le monde. C'est ce que l'on fait. On couple toujours une céréale et une légumineuse !
Voilà donc le secret (connu partout depuis des millénaires) qui permet de manger sans viande et sans carences alimentaires.
Surout, c'est également un moyen de réduire son empreinte écologique. Sachant qu'il faut 15kg de protéine végétale pour faire 1kg de viande de boeuf.... ou mieux 4 kg de protéine végétale pour faire 1kg de poulet...
Donc autant manger directement les protéines végétale. Là je crois que l'on aura une véritable révolution verte qui n'aura pas usurper son nom.
Il est temps maintenant de passer à la pratique. Je vais commencer à expérimenter plusieurs recette sur ce principe.
J'ai envie de manger des choses bonnes, pratique et simple à faire.
Donc voilà où en sont mes expérimentations. Je ne sais pas si je vais dans la bonne direction. Mais ce sera l'occasion de tester.
En parrallèle:
C'est très bon !
Lorsque l'on est en camp scout, on aime bien manger. Cependant, il n'est pas toujours facile de réaliser tous les menus, sachant que l'on a une cuisine qui n'as pas tous les ustensils standards d'une cuisine.
Mais avec un peu d'imagination, d'expérience et de volonté, on arrive à se faire une cuisine de camp qui n'a absolument rien à envier à une cuisine agencée. Expérience faite, on arrive souvent, même, à faire une cuisine de camp bien plus pratique et efficace pour faire à manger pour 100 personnes, que les cuisines de certaines salles polyvalentes qui sont censée faire l'affaire !
Voici ici, une explication sur la réalisation d'un four de camp, construit avec un tonneau.
Tout d'abord, il faut faire une tranchée dans la terre un peu plus étroite que le tonneau.
Dans une pente c'est mieux. Ainsi tu peux accéder plus facilement dans le foyer pour mettre du bois. Sinon tu seras obligé de couper ton bois très petit.
Puis, tu poses le tonneau.
Il faut garder un espace derrière pour mettre une cheminée. Le tirage est un grand plus.
Pour faire tenir le tuyau de la cheminée, on utilise des clous de charpentier que l'on plante dans la terre au fond. Le tuyau est posé dessus.
La première fois que l'on avait fait un four avec cheminée, c'était la terre qui tenait la cheminée, et quand elle sèche elle se rétracte et plouf... le tuyau tombe et la cheminée ne sert plus à rien !
De plus elle est très chaude... et tu ne peux pas la toucher. (parfois même il y avait des flammes qui sortaient de la cheminée !)
Après avoir installé le tonneau et la cheminée, tu peux mettre la terre que tu as sortie du trou sur le tonneau. Ça crée la masse d'inertie du four.
Comme la terre sèche, il est utile de mettre quelques pierres aux endroits stratégiques pour ne pas que ça s'effondre.
Dans le four, on utilise une grille à grillade pour poser ce que tu veux cuire.
Comme le four est fermé, mais qu'il n'a pas de vitre, il n'est pas facile de voir à l'intérieur où en est la cuisson de son gâteau préféré... pour éviter de tout brûler, on a installé une sonde de température. (un thermomètre avec une tige pour les rôtis certainement, acheté pas cher à la coop)
Pour avoir l'affichage permanent de la température, j'avais fait un petit trou sur le côté du four et la sonde est glissée dedans.
Comme on le voit sur la photo, le thermomètre indique 218 °C.
Le but était de rester autour des 220°C pour cuire notre gâteau.
Pour contrôler la température, il faut déjà faire un bon feu avec plein de feuillus pour faire des bonnes braises. Là tu as une bonne base de chaleur stable. Puis tu ajoutes un petit peu de sapin pour augmenter rapidement la température et comme ça brûle vite la température se module en fonction de l'apport de bois de conifère !
C'est un four très très efficace. Tout autant qu'un four normal de cuisine. Même un peu trop, quand tu fais un bon feu il était facile d'atteindre les 400°C dans le four ! (même si théoriquement le thermomètre n'était pas censé être capable d'afficher cette valeur.. il l'était quand même !)
Il est recommandé d'avoir une lampe frontale pour aller observer ce que tu cuis dans le four... vu qu'il n'y a pas de lumière dedans c'est pratique ! Sinon tu dois toujours sortir le truc pour voir si c'est cuit. Et donc tu perds du temps et tu refroidis ton four en le laissant ouvert !
Durant le camp, nous avons fait plusieurs pains, des tresses, des gâteaux, des sèches. C'était très pratique.
Pour aller plus loin, voici encore un article sur scoutwiki, l'encyclopédie scoute, à propos de la construction d'un four: