Il existe 10 types de personnes. Les personnes qui comprennent le binaire et les personnes qui ne le comprennent pas. Si cette phrase te faire rire, t’es un geek…
Picasa est en voie d'abandon. Google photo a maintnant aussi un logiciel de synchronisation. Donc je vais voir que faire pour lancer la migration de picasa à google photos.
Il me manque de la documentation. Donc je fais des essais.
Mon organisation habituelle est d'avoir un dossier photos par année.
2014
2015
2016
…
Puis j'ajoute des dossiers avec "l'événement" du moment ou des dossiers de tris particuliers.
Picasa observe tout mon dossier photos et son arborescence.
Je synchronise au cas par cas le dossier de "l'évenment".
=> picasa me crée un album photo par dossier.
Comment je fais la migration vers "google photos" ?
Par défaut, il veut synchoniser tout mon dossier images ! … non….
J'ai quelques questions auxquelles la documentation ne répond pas.
=> Est-ce que si je synchronise mon dossier "2016" google photos va envoyer à nouveau toutes les photos des dossiers qui sont là dedans ?
Est-ce qu'il est capable de voir que ce sont des photos déjà synchronisées ?
J'aimerai éviter de devoir envoyer à nouveau 35 Go de photos faites dans l'année…
=> J'ai fait un test. J'ai synchronisé quelques dossiers.. et je vois que l'envoi se fait à nouveau ! … Et aussi que le ça décompte mon quota d'espace ! Donc je vois que google photos ne détecte pas les photos déjà synchronisées.
Je peux voir les photos synchronisées avec l'url suivante:
=> Je vais donc devoir synchroniser au cas par cas mes dossiers photos. Au lieu de cocher la case "synchroniser" sur picasa. J'ajouterai un dossier à synchroniser dans les préférences de l'uploader de google photos.
Quand à la question des albums. Je fais un test.
Après upload des albums nouvellement synchronisé, je ne vois pas de nouveaux albums dans ma liste:
Par contre je vois que certains ont été rems en avant, comme quand on ajoute une photo à un ancien album.
J'ai créé un dossier "test" dans lequel j'ai ajouté plusieurs sous dossier avec des photos diverse et variée dedans. Des vidéos aussi, qui étrangement ne passaient pas avec picasa.
J'y ai mis des photos qui était déjà sur mon compte et d'autre toutes neuves.
Je constate qu'il n'y a aucun album qui est créé automatiquement à partir d'un dossier ! ;-(
Les vidéos qui ne passaient pas avec picasa ont été envoyée avec succès.
J'ai un dossier qui est le doublon d'un autre dossier. Je ne vois aucune indication qu'il a été synchronisé.
Donc il semble que rien ne s'est passé.
J'ai changé le nom du dossier. J'ai vu l'icone de synchronisation bouger. Mais rien de plus.
Comment ajouter des photos à un album ?
Le moyen que je vois, c'est de récupérer à chaque fois la liste des photos fraichement ajoutées:
Il y a 20 ans, en 1995 j'ai vu pour la première fois un "Natel D" un téléphone numérique GSM. C'était une révolution, nous l'avions en camp scout. C'était la première fois qu'étant perdus au milieu d'une forêt, nous avions un lien direct avec le reste du monde.
Le Natel D est le premier téléphone numérique en GSM qui était disponible en Suisse. Il est sorti en 1993, mais il a fallu attendre au moins 1995 pour que la couverture du territoire soit suffisante pour que ce soit utilisable. Voici un reportage de la RTS au moment de la sortie du Natel D.
C'était ma première expérience avec cette technique disruptive qui a changé notre société.
Des régions entières qui n'avaient même pas le téléphone ont été couvertes par la téléphonie mobile: le monde s'est rétréci.
Cette nouvelle technique est dite disruptive, car elle produit une véritable rupture avec le monde d'avant.
Il y a des effets partout, dans tous les domaines.
Un exemple simple que j'ai observé chez les jeunes générations: le rendez-vous clair et précis pour passer une soirée entre amis ne se fait plus.
Il y a des plans changeants… toute une discussion en "temps réel" avec plusieurs groupes et du papillonnage pour aller voir un moment un groupe, un moment un autre. Les lieux ne sont pas prévus à l'avance.
"- Je t'appelle tout à l'heure pour préciser où l'on sera.."
À l'autre bout de mon monde, chez les bergers d'Afrique de l'Ouest, plus besoin de faire des heures de marches avec son troupeau pour aller vendre quelques têtes au marché. Les transactions se font directement par SMS et seule la livraison se fait. Par ce même principe, des banques pratiquant par SMS se sont mises en place.
Puis l'arrivée des smartphones a confirmé le fait que le monde est vraiment petit. Il est possible à tout moment d'avoir toute sa tribu dans sa poche.
Ainsi une technique disruptive est une même technique qui s'applique en masse partout dans le monde et qui induit partout des ruptures avec la manière de vivre d'avant.
Quelle est la prochaine technique disruptive ?
Selon moi… d'ici 5, 10 ans… la voiture autonome sans chauffeur va révolutionner notre société. Voici pourquoi…
Les Google cars
Après quelques vagues tâtonnements et prototypes isolés, c'est en 2010 que l'histoire de la voiture autonome s'est accélérée lorsque Google a annoncé avoir développé un équipement qui permet de rendre une voiture autonome et que leur flotte avait déjà roulé ainsi plus de 800 000km !
Cette annonce relance l'imaginaire, bien que le système de l'époque n'est pas totalement autonome, le parcours nécessite d'être préalablement fait une fois. Ensuite, la voiture est capable de le refaire en tenant compte de la signalisation.
Seul "bug" majeur, la voiture reconnait toutes les signalisations sauf celle d'un policier qui gesticule au milieu de la rue. Donc on espère que les feux ne tombent pas en panne !
Au fil du temps le seul frein qui retient les google cars de se balader sur les routes n'est plus un problème technique, mais un problème légal.
Un problème légal plutôt que technique
Du coup, s'enclenche un processus de légalisation de la conduite pour les robots.
Séduits par l'opportunité des retombées économiques et de la baisse annoncée du nombre d'accidents, de nombreux États adaptent leur législation.
Aux USA, en mai 2012, l'État du Nevada est le premier État des USA à avoir adapté sa législation routière aux véhicules autonomes et à avoir homologué un véhicule: une Toyota Prius modifiée pour Google. (Avec 150 000$ d'équipement supplémentaire, dont la moitié pour uniquement le radar laser.)
Cependant, cette législation n'est pas totale, elle requiert qu'un conducteur humain soit prêt à reprendre le volant à tout moment.
Dans la foulée, la Floride, le Michigan et la Californie ont également autorisé les essais de voitures autonomes sur leurs routes. Une dizaine d'autres états des USA sont en train de légiférer sur le sujet et dans 9 autres l'autorisation a été refusée.
La stratégie du constructeur français est d'assurer la sureté et donc de progresser pas à pas vers un véhicule de plus en plus autonome, mais pas directement du 100% autonome.
Ainsi l'automatisation a déjà commencé avec l'automatisation du parcage.
Cette stratégie me fait penser que c'est peut-être une formulation pour ne pas avouer qu'ils sont largués techniquement !? … Google et les constructeurs allemands ont des voitures autonomes qui roulent vraiment !
Mais cette automatisation progressive n'est pas stupide.
Dans cette vision on peut imaginer que des véhicules autonomes soient autorisés en premier sur les autoroutes. C'est un environnement qui ne présente pas trop de surprise et qui est largement maitrisé par les véhicules autonomes. De plus, on sait que la monotonie des autoroutes est justement le danger pour les conducteurs humains. Il semble qu'un tiers des accidents mortels en France soit dû à la fatigue sur les autoroutes.
Les concepteurs de l'application controversée de covoiturage / taxi, Uber se sont aussi lancés dans la course des voitures autonomes, et on comprend la stratégie. La source de leur ennui est justement la concurrence déloyale entre les chauffeurs de taxi professionnels et les chauffeurs amateurs.
Si la flotte de taxi Uber n'a plus de chauffeur, fini les ennuis …. ou pas !
Nous reviendrons ci-dessous sur les conséquences sociales de la voiture autonome.
"One more thing…" La rumeur dit qu'Apple prépare en secret une iCar… (ou iMove..)
On avait déjà eu ce genre de rumeurs fantaisistes qui annonçaient la sortie d'un iPhone…. ça a été démenti par Apple… mais quelques années plus tard l'iPhone a fait un raz de marée...
Google reprend la tête de la course
Face à cette concurrence internationale, Google reprend la tête de la course en poussant le concept de la voiture autonome encore plus loin: la bulle.
Google ne fait pas un prolongement de ce qu'est une voiture en l'automatisant, mais réfléchi à ce que va devenir la mobilité du futur avec ce genre de techniques, et donc le mieux était de concevoir depuis le début une véritable auto-mobile (une voiture qui roule toute seule dans le vrai sens de "auto")
Voici un vidéo des essais de Google cars.. (mai 2014)
En poussant le concept encore plus loin, Google se heurte à nouveau à une limite légale. Toutes les législations nécessitent qu'un humain puisse reprendre le contrôle du véhicule à tout moment.
Les enjeux des véhicules autonomes dépassent largement le domaine des transports. Comme ça l'a été avec les appareils photo au moment du passage au numérique, ce ne sont pas forcément les entreprises traditionnelles du domaine qui sont les plus à même de définir ce que sera la mobilité du futur.
Pourquoi Swisscom, une entreprise de télécommunication s'intéresse à la voiture autonome ?
Swisscom a envie de développer un internet mobile des objets. Un internet dans lequel les objets eux-mêmes envoient des informations. Par exemple, on peut imaginer que les places de parc indiquent si elles sont libres où non. Ainsi une voiture autonome qui arrive sur un parking peut directement réserver son emplacement et se parquer sans perdre du temps à tourner en rond dans le parking.
Swisscom se projette comme gestionnaire de ce genre de ressources. Ainsi on peut imaginer un partage beaucoup plus souple et à grande échelle des places de stationnement dans une ville entière. La voiture étant autonome, elle peut vous laisser juste devant la porte et aller se parquer à quelques centaines de mètres plus loin dans une place qu'elle aura négociée suivant les critères que vous lui aurez donnés. (Temps de stationnement, fourchette de prix, distance pour économise le carburant, etc..)
Que vont devenir les agents de police ?
Ça me fait penser aux gags de Gaston Lagaffe qui trouve toujours un moyen, une invention, pour piéger l'agent Longtarin qui s'apprête à lui mettre une contravention pour dépassement du temps de stationnement.
Et oui, d'ici 5 ans votre voiture ira peut-être elle même changer de place de parc toutes les heures pour éviter une contravention !
Une telle gestion d'information n'est pas le métier de base des constructeurs automobile. Ainsi on comprend pourquoi des opérateurs de télécom se pressent aux créneaux.
Swisscom se projette dans le futur et tente de savoir quel rôle pourra avoir un véhicule s'il n'est plus nécessaire de le conduire ?
Est-ce que la voiture deviendra un espace de travail ? Un cinéma ?
Du coup, il faut concevoir la technique qui permettra de fournir des films à haut débit sur toutes les routes !
On retrouve ici un concept qui est déjà en vigueur depuis quelques années dans les cars postaux suisses qui sont tous équipés de wifi gratuit pour les passagers.
De plus l'enjeu de la voiture autonome est aussi très lié à la cartographie. Swisscom annonce qu'ils font de la cartographie des positions anonymisées des téléphones mobiles afin d'améliorer leur couverture.
La guerre de la cartographie bat son plein pour être maître de la mobilité du futur !
Les données sont continuellement mises à jour par des camping-cars bourrés de caméras qui scannent les panneaux de signalisation.
Pourquoi un camping-car ? .. et bien par ce que le chauffeur doit bien dormir à un moment donné !
Si le véhicule pour se déplacer tout seul, plus besoin d'humain, plus besoin de camping-car...
Google a collecté déjà beaucoup de données avec son projet streetview. On peut imaginer que ça peut intéresser le géant de l'information de s'étendre dans le domaine de la cartographie, de se libérer de ses fournisseurs et d'avoir une flotte entière de google cars qui cartographient automatiquement le monde entier !
Et à l'avenir Uber se voit bien remplacer la Poste, Fedex et DHL par un service de livraison automatique. Qui gagnera les drones d'Amazon ou la voiture autonome ? (ou encore.. le coursier à vélo 😛 )
La guerre des véhicules autonomes est lancée.
Conséquences sur les emplois
Les conséquences sur le remaniement du monde des transports va surtout se faire sentir pour les emplois qui sont liés aux transports… et il y en a pas mal.
Au niveau mondial il semble que près de 30% des emplois sont dans le secteur des transports !!
Dans ce tas, on peut compter les camions, les autocars, les livreurs en tous genres (La poste), les taxis, mais aussi les véhicules des magasiniers dans les gros entrepôts, et aussi les énormes camions utilisés dans les mines à ciel ouvert. Le secteur des transports est très vaste.
Les ingénieurs spécialisés en robotique sont très recherchés.. mais pour 1 emploi d'ingénieur créé, ce sera 300 chauffeurs de taxi qui vont perdre leur emploi !
Que va-t-on faire des 80% de gens qui se font piquer leurs emplois par des robots, mais qui n'ont pas les compétences nécessaires pour retrouver un emploi ?
Moi, j'ai une proposition.... J'y viendrai un peu plus bas...
Les taxis ne sont de loin pas le seul domaine concerné. Les chauffeurs poids lourds ont de gros soucis à se faire.
Les chauffeurs font des milliers de km au volant, souvent sur l'autoroute. Il ne font rien de très compliqué 99% du temps. C'est au chargement et au déchargement qu'il faut de la main-d'oeuvre. Le pilotage de camion ne pose aucun souci technique.
Depuis mai 2015, le premier camion autonome roule sur les routes du Nevada !
Actuellement, comme pour les voitures, un chauffeur est requis pour reprendre la main en cas de besoin. Mais d'ici 10 ans, c'est quasi certains que les chauffeurs ne seront plus nécessaires !
Autre effet collatéral… s'il n'est plus nécessaire de savoir conduire une voiture pour l'utiliser. Alors qui aura encore besoin de permis de conduire ? Qui va apprendre à conduire ?
Le secteur des transports est peut-être la "Goutte d'eau qui va mettre le feu aux poudres" 😛 qui va massivement mettre des gens au chômage et faire plonger tout le système.
Il est grand temps de modifier la manière dont on intègre tout le monde dans notre société. Actuellement l'emploi est autant une source de revenu pour vivre qu'une place sociale. Dans notre société, sans emploi, on est rien.
Ces temps je m'intéresse de plus en plus au Revenu de Base Inconditionnel qui est une manière élégante de garantir tout le monde d'avoir un revenu qui permet de vivre et ainsi d'aller sereinement dans un monde où l'emploi est rare.
Ainsi on éviterait peut-être des tensions comme celle des chauffeurs de taxi qui manifestent contre Uber dans de nombreuses villes.
Si l'on donne à chacun(e), via un Revenu de Base Inconditionnel, les moyens en temps et en argent de se créer son propre emploi, il est possible de dynamiser le tissu économique pour aller vers l'avenir, pour traverser cette crise de l'automatisation.
Un des gros objectifs de la voiture sans chauffeur, c'est de supprimer les risques d'accident. En 40 ans, le nombre de morts sur les routes a beaucoup diminué. La sécurité des véhicules s'est bien améliorée. Mais il reste un seuil incompressible.
Ils vont certainement trouver de nouveaux risques à assurer… Là aussi il y a du chamboulement en vue.
Le véhicule autonome, un pas vers l'économie de fonctionnalité ?
Un des objectifs de Uber est d'être meilleur marché que le fait de posséder son propre véhicule.
Ainsi on arrive directement dans l'économie de fonctionnalité. Une économie basée sur le fait de vendre un service, une solution, plutôt qu'un objet.
Au passage, l'économie de fonctionnalité permet de supprimer l'obsolescence programmée. Une entreprise qui fournit un service à tout intérêt à avoir du matériel fiable et efficace sur le long terme et qui se répare.
Le SwissPass vient de sortir en été 2015… c'est un abonnement CFF pour tous les transports publics en Suisse… et il est possible de charger sur la même carte un abonnement à la coopérative mobility qui donne accès a divers types de véhicules partout en Suisse.
On peut se demander comment la coopérative mobility va tirer son épingle du jeu avec l'arrivée des voitures autonomes ?
Le mieux pour elle, c'est d'acquérir aussi une flotte de véhicules… mais est-ce qu'elle arrivera à faire concurrence à Uber, Google et autres qui sont aussi les concepteurs des algorithmes et les propriétaires des données des cartes qui guident les véhicules ??
Alors… en 2020 le boum des voitures autonomes ?
On verra…
Dans tous les cas vous retrouverez cet article dans ma rubrique "archéologie du futur", avec mes autres essais de prospective.
Une image c'est avant tout un fichier informatique qui a un nom. L'appareil photo va nommer automatiquement les fichiers avec des variantes selon les marques et modèles d'appareil. On voit souvent des fichiers du style: IMG_5709.JPG ou DSC_1504.jpg
Ensuite, il existe de nombreuses manières d'insérer des données plus précises à l'intérieur de la photo. On parle de Méta-données. (des données sur les donnés)
Il y a plein de formats utilisés.
Les appareils photos enregistre dans le format EXIF tous le contexte dans lequel la photo a été enregistrée. On y trouve notamment la date et l'heure de la prise de vue, ce qui est très pratique pour classer les photos. Mais il y a aussi les données techniques de l'appareil photo, le temps de pose, l'ouverture, la vitesse d'obturation, si le flash était déclenché ou non. On trouve aussi parfois l'information sur l'orientation de la photo, verticale ou horizontale, ce qui permet aux logiciels d'affichage de toujours afficher l'image dans le bon sens. Voir à ce propos mon article qui décrit comment l'orientation exif est codées et comprise par différent logiciel et comment on peut la lire en php. Il y a même parfois dans ces données une mini vignettes et la position GPS de la prise de vue si l'appareil a un GPS.
Puis il y a un autres type de métadonnées que l'on utilise après-coup pour classer les photos.
L'édition de ces données se fait à l'aide d'un logiciel de tri et/ou retouche de photos.
Un des données IPTC. Il y a la possibilité de mettre une note de 1 à 5 pour classer les meilleures photos. Il y un champ permettant de mettre des mots-clés pour décrire la photo. Il y a également des informations à propos de l'auteur de la photo.
Dans ce genre de méta-données, il y a aussi un champ "Légende" qui permet d'indiquer la légende de la photo.
J'ai remarqué que les appareils olympus ont tendance à mettre de la pub olympus dans le champ légende, et ainsi quand ce champ est affiché par un programme d'affichage de photo, il est écrit "olympus" sous chaque images ! C'est ce qui arrive quand on crée une galerie de photo sur facebook.
J'ai également l'habitude d'utiliser les notes (étoile) pour sélectionner mes images.
1 => la photo est peut être nulle, mais il y a une info que je ne trouve pas ailleurs, donc je la garde
2 => intermédiaire que j'utilise peu
3 => une photo qui fera partie d'un diaporama. C'est mon règlage standard pour sélectionner les images à monter
4 => une photo qui est très très bien mais qui a un petit défaut pour être parfaite.
5 => le top !
En complément, j'utilise aussi les "famillie" de couleur du mac qui permettent de faire d'autres sélection plus pertinentes au besoin. Mais cette info et propre au mac et non durablement conservée, ni transmissible. Ainsi c'est peut être juste de manière temporaire pour afiner une sélection particulière d'un diaporama et ensuite exporter les images ailleurs. Je repère aussi également de cette manière une famille de photo qui va servir à composer une image HDR ou un diaporama.