Pourquoi il y a des gens allergique au gluten ?

Pourquoi il y a des gens allergique au gluten ?

J'ai fait la connaissance dernièrement d'un couple de paysans passionnants. Il s'agit de Caroline Richardet et Fabien Thubert, à Pomy.

Ils se sont lancé dans un projet de ferme entièrement bio, mais également une boulangerie.

Ce point mérite une attention toute particulière.

Ils ont fait les choses très bien. En un quart d'heure d'explication, j'ai compris énormément de chose sur l'organisation de notre société.

Les allergies aux gluten sont de plus en plus fréquente dans la population.

On cherche toujours à savoir exactement pourquoi il y a des gens qui ne supportent pas le gluten et d'autres qui le supportent. On traite tous les personnes allergiques comme des malades. Mais est-ce que ce ne serait pas normal ? Est-ce que ce ne serait pas une autres cause le problème ?

C'est cet éclairage nouveau du problème que j'ai eu l'occasion d'aborder.

Fabien et Caroline se sont lancé dans un projet de boulangerie à l'ancienne. Ils sont donc reparti dès le départ:

  • Cultiver du blé ancien !

Ça à l'air tout bête, mais le blé ancien, (jusque dans les années 1950-60) n'est plus du tout pareil que le blé actuel. Il comporte beaucoup moins de gluten !

Ainsi, les personnes plus sensibles au gluten peuvent manger des aliments faits avec des anciennes variétés de blé sans que ça développe des allergies !

champ de blé plaine areuse.jpg

Retrouver du blé ancien, n'est pas si facile. Heureusement, qu'il reste quelques station de recherche comme à Changins qui ont gardé quelques graines d'enciennes variétés !

C'est ainsi que Fabien et Caroline ont pu en 3 ans, à partir d'une poignée de grain de blé ancien, reconstituer les champs de blés qu'ils ont besoin pour faire leur farine, puis leur pain.

Ils cultivent plusieurs sortes d'anciens blé sur le même champ. En favorisant la diversité, les blés sont moins sensibles aux maladies. De plus, chose étrange, les blés anciens font plus de 1,5m de haut... alors que les blés actuels sont tellement malade qu'il ne tiennent plus debout, alors on les bourres d'hormones pour les raccourcir... (un peu le contraire des hormones de croissance !) ainsi ils ne dépassent pas les 50cm !

Et ensuite, avec de telles pratiques, on s'étonne que l'on développe de maladie !

Les blés de Fabien et Caroline sont ensuite transformé en farine dans leur moulin.

C'est un moulin Astrié, avec une belle pierre en marbre qui écrase les grains et les transforme en farine. Celle-ci est tamisée et stockée dans des sac. Juste à côté du local de boulangerie.

Tous les jeudi et vendredi Fabien et Caroline mettent la main à la pâte. Ils font leur pâte dans un grand bac en bois.

Vous pouvez voir le tout en photo par sur leur site web.

Pourquoi faire la pâte à la main, alors qu'il existe des machines ??

Et bien justement, c'est le coeur du problème du gluten. En automatisant, on a besoin d'une pâte qui est très élastique, qui tient les torsions et étirement que les machines lui font subire. C'est pourquoi on a sélectionné des blés qui ont beaucoup plus de gluten, car le gluten est un élément élastique.

Le gluten entre dans de nombreuses compositions d'aliment juste pour cette raison. Pour ses propriétés mécaniques dans un processus de cuisine industrielle.

... et après, encore une fois, on s'étonne qu'il y a de plus en plus d'allergies au gluten.... c'est peut être aussi, par ce qu'il y a de plus en plus de gluten partout !!!

Ainsi Caroline et Fabien façonnent la pâte à la main. Puis forment des pains qu'il font cuire à 300°C dans un four à pain au feu de bois.

Ils peuvent mettre jusqu'à 80 pains à la fois dans leur four !

Il faut chaque jour de production 200 kg de pain. Donc environ 400 pains. (la mode est aux pains de 500g)

Petite précision, pour faire les choses encore plus parfaites, le pain est levé au avec du levain. C'est donc un mélange naturel de farine et d'eau qui s'est mis à fermenté tout seul avec des levures locales qui sont présentes dans l'air.

Ensuite, ce levain est repris chaque jour pour démarrer la nouvelle production de pain. Et chaque jour un bout de pâtes est prélevé pour refaire du levain.

Pour terminer, ces pains sont vendus au marché et à des paniers d'agriculture contractuelle de proximité.

Pour en savoir plus, et trouver ce merveilleux pain, allez visiter le site de Caroline et Fabien:

http://ferme-des-terres-rouges.ch

champ de blé doré plaine areuse.jpg

En terre neuchâteloise...

Au Val de Ruz, la famille Comtesse agit dans la même démarche.

Ils produisent aussi du blé ancien et font leur farine.

Voici leur site web pour en savoir plus:

http://www.agrifeerique.ch

D'ailleurs régulièrement je fais mon propre pain avec leur farine d'épautre que j'achète juste à côté de chez moi, dans le magasin d'un ami agriculteur à la plaine d'Areuse.

Voici une photo du pain que je fais avec cette farine d'épautre issue de l'agriculture féérique.

pain d epautre faible en gluten fait avec de la farine agriculture féérique Comtesse.JPG

Ce que je remarque lors de la fabrication de ce pain, c'est qu'effetivement, la pâte "coule" beaucoup plus qu'avec de la farine qu'on peut acheter à la migros.

Il est assez dur de faire un pain qui a une forme en hauteur, le pain à tendance à prendre la forme de galette.

C'est exactement ce que disait Fabien Thubert. Les blés on été sélectionné pour augmenté leur teneur en gluten afin de pouvoir mécaniser les boulangeries. Avec une telle pâte coulante il faut faire le pain à la main !

Mais je dois dire que j'adore faire ce pain à la main et qu'il est tellement délicieux que maintenant je trouve très fade les pains achetés en grande surface.

Pour en savoir plus, voici un article qui est paru dans le journal l'express en août 2013 à propos de la famille Comtesse et des blés anciens.

Blés anciens_article LExpress

Téléchargez l'article: Blés anciens_article LExpress.pdf

Notes à propos du livre Permaculture 1 de Bill Mollison et David Holmgren

Notes à propos du livre Permaculture 1 de Bill Mollison et David Holmgren

Introduction

Qu'est ce que la permaculture ?

Un mode de culture économisant le travail de l'homme et l'énergie extérieure, obtenant beaucoup de la nature sans la surexploiter, fournissant une grande variété d'aliments de qualité et de produits utiles, convenant particulièrement à l'autosuffisance mais applicable aux exploitations de toutes tailles, autorisant le plus souvent une activité non agricole pendant les trois-quarts de la journée: voilà les caractéristique de la permaculture, telles que ses initiatieurs australiens et ses pionniers américains et européens ont commencé à la pratiquer.

  • la permaculture est l'aboutissement de l'agriculture biologique
  • le permaculteur travail d'abord pour lui, puis il vend des surplus
  • il est indépendant des fluctuations de marché et de la politique des fournisseurs
  • il échange des semences et non des produits
  • il bonifie son terrain
  • il est mieux protégé des aléas climatiques que ne le sont les agriculteurs classiques
  • avant d'être un concept écologique, la permaculture est un concept d'organisation spatiale.
  • 1er principe: la permaculture est une agriculture de la photosynthèse. L'organisation spatiale se fait pour gagner en soleil. Ex: plan d'eau pour réfléchir la lumière solaire, culture sur plusieurs étage, choix de l'emplacement des arbres...
  • 2ème principe: privilégier les plantes pérènnes et celles qui se resèment d'elles même
  • 3ème principe: associer des animaux à la ferme (aussi des poissons) et leur associer des parcours et secteurs précis. Les animaux se nourrissent eux-mêmes tout seuls.
  • variété et complexité. => tout être accompli plus d'une fonction et chaque fonction est accomplie par plusieurs éléments.
  • design et aménagement initial
  • système en équilibre
  • exploitation qui prend très peu de temps
  • donne des aliments de haute valeur diététique mais aussi de nombreuses substances utiles, bois et matières premières organiques
  • ex: un jardin de 70m2 peut fournir 40% de l'alimentation d'un couple pour 5 minutes de travail par jour.
  • La permaculture peut influencer le monde du travail, elle peut réduire le chômage en incitant les gens à travailler à temps partiel.

Histoire (de l'agriculture)

  • la permaculture est tout d'abord destinée aux gens qui achètent pour pas cher des terrains jugé peu fertil par d'autres.
  • p17 livre: 36578707-PermaCulture-1-Bill-Mollison-et-David-Holmgren-FR.pdf
  • on a commencé par produire des plantes à glucides. Le reste (noix, poissons) était directement disponible.
  • des plantes que l'on doit re-semer chaque année. (production végétative)
  • dans les régions autre que celle d'origine de l'agriculture (nord de l'amérique du sud et asie du sud est) les semis marchent moins. => on a cultivé de plus en plus des plantes vivaces. (olivier, figuier, palmier dattier, chataigner) + le lait des animaux + cuillette sauvage
  • augmentation démographique => plus assez de sauvage => vivre uniquement des cultures
  • système global agriculture + élevage => fourni la nouriture et des matières premières
  • => le meilleur modèle pour une permaculture moderne.
  • durant les 3 derniers siècles => on ajoute les énergies fossile à l'agriculture. Charbon et pétrole. On transforme tout.
  • On déplace les produits, on spécialise au détriment de la biodiversité et pérénité.
  • Une économie de marché globale n'est pas compatible avec une agriculture locale stable.
  • avec un apport énergétique extérieur quasi gratuit. Il y a une telle productivité que l'on ne se préoccupe plus de la productivité intrinsèque au système.
  • On gaspille des protéines en nourrissant des animaux. 50% de la production est destinée à nourrir des animaux. (75% il me semble maintenant !)
  • le café et le thé deviennent accessible à l'humain.
  • avec l'agriculture chimique, l'énergie utilisée pour produire des récoltes excède leur apport.
  • l'énergie de l'agriculture ne provient plus de la photosynthèse, mais des énergies fossiles qu'on ajoute dans le système.
  • un effondrement de ce système serait catastrophique. => comme on arrive au bout des réserves de pétrole... il y a un risque !

La permaculture - le futur de l'agriculture

  • favoriser la biodiversité pour créer des systèmes symbiotiques faible consommateur d'énergie.
  • la permaculture est le parachèvement d'un support de vie complet pour l'homme.
  • le fait que la permaculture soit basée sur la permanence la définit.
  • les systèmes de production de plantes permanentes on été peu développés jusqu'ici.
  • favoriser l'arboriculture pour les régions improductives.
  • pommiers, poiriers et cerisiers donnent des fruits à l'étage supérieur et les framboisiers et fraisiers entre les arbres donnent pour l'étage inférieur.
  • penser au territoire agricole en terme d'écologie.
  • considérer les relations, interractions et fonctions énergétiques plutôt que des éléments individuels.
  • possibilité de mise en valeur de la terre à petite échelle
  • utilisation du sol intensive plutôt qu'extensive
  • diversité des espèces, des variétés, de la production, du micro-climat et de l'habitat
  • accent sur un processus évolutif s'étendant sur plusieurs générations
  • emploi d'espèces sauvages (plantes et animaux) comme éléments du système.
  • la permaculture s'adapte là où les autres système ne vont pas. (terres rocheuses, marécageuse, fortes pentes...)
  • le potentiel évolutif est ininterrompu. Contrairement aux cultures qui se resèment chaque année.
  • la diversité est ainsi favorisée et avec elle un équilibre qui évite les épidémies parasitaires.
  • le sol est plus complexe grâce à la préservation de l'humosphère.
  • l'humus est une source de nourriture et d'eau.
  • l'humosphère est une sorte de mulch qui controle l'apparition de plantes pionnières (herbe), protège le sol contre l'érosion, et entretient une faune et flore variées.
  • la diversité structurelle de la permaculture augmente la variabilité des microclimats, ce qui permet un plus grand éventail de plantes.
  • Puis, les plantes aussi changent le microclimat au bénéfice de l'homme et des autres espèces.
  • La diversité peut être favorable directement à la productivité pour l'homme, mais aussi le contraire. Il faut l'accepter. L'important est la stabilité du système.
  • Face à l'instabilité climatique qui nous arrive. La diversité est la meilleures protection pour garantir d'avoir toujours quelques chose qui marche.
  • On ne calcule pas le rendement de la ma même manière. On ne peut pas calculer un rendement par unité de surface pour une même plante si l'on a des plantations complémentaire sur plusieurs étages !
  • Ainsi, la permaculture a certainement un rendement par unité de surface plus faible pour une plante, mais plus grand si on somme les rendements des différentes plantes sur la même surface.
  • la permacuture joue sur la complémentarité pour augmenter le rendement. (poisson brouteur d'algues et poisson mangeur de plancton dans un même étang, pintade et volaille dans la même bassecourt. Mangeuse de pâturage ou de grain.)
  • certaine symbioses sont recherchée. (les ronces favorise la vigne, les abeilles polinisent)
  • en agricutlure traditionnelle on spécialise et on transforme en argent pour acheter aux autres ce que l'on a besoin. En permacutlure on diversifie les cultures pour correspondre à la diversité de nos besoins.
  • les glucides sont facile à obtenir avec des systèmes simples. D'où l'agriculture traditionnelle.
  • mais les produits plus complexes, vitamines, minéraux, etc, ne peuvent être obtenu avec des systèmes simples.
  • Une agricutlure spécialisée doit être mondialisées et ainsi dépend terriblement du système de transport, qui lui dépend du pétrole.
  • Une agriculture mondialisées est aussi monétarisée et donc en concurence de prix avant tout. => On a tendance à favoriser le court terme plutot que le long terme.
  • Une agriculture fondée sur la permaculture peut se focaliser sur la qualité sans détruire la terre nourricière vu qu'elle n'a pas d'impératifs financiers.

Coût énergétiques

  • l'énergie de base de l'agriculture est la photosynthèse
  • cependant avec l'arrivée des énergies fossiles dans le système on change tout.
  • En Australie on estime la valeur calorique fournie par les aliments à 15% - 20% de l'énergie fossile non-renouvelable que l'on injecte dans le système depuis la culture jusqu'à la distribution et la consommation.
  • 90% de l'énergie fossile non renouvelables est utilisée pour le transport, le stockage, la vente et la cuisson des aliments.
  • l'inefficacité du système moderne est effrayante !
  • En permaculture on supprime le transport et le conditionnement. On ne laboure pas. On ne mets pas d'engrais chimique, on ne met pas de pesticipe. Ainsi on effecture une grande économie d'énergie.
  • la mise en place, le design d'un système en permaculture peut prendre des ressources en argent et en énergie, mais ensuite tout fonctionne tout seul.
  • Planter des Oliviers est un coût, mais ce coût est rentable sur le long terme.
  • On favoriser les cultures qui se conservent bien, qui sont faiblement périssables, comme les noix, les racines et les graines. Ainsi l'entreposage sophistiqué n'est plus nécessaire. (pas besoin de frigo quand les carottes reste en terre.... j'ai expérimenté ceci personnellement)

Dépenses de travail

  • p24
  • l'installation d'un système de permaculture est le moment où le travail est le plus grand.
  • les récoltes sont l'autre moment qui demande de la mains d'oeuvre. Mais pas plus que pour d'autres systèmes agricoles.
  • le travail en permaculture est surtout un travail d'observation et de controle. Il y a rarement besoin de déplacer des lourdes charges.
  • Dans l'exemple du jardins guatémaltèques on utilise les animaux pour aider à la récolte. Mais ces animaux se nourrissent librement dans les pâturages, donc on a pas besoin de leur préparer du fourrage.

Diffusion de la culture

  • avec la mondialisation, nous avons à disposition des plantes du monde entier. Ce qui n'était pas le cas de nos ancêtres.
  • la permaculture exige de cultiver une grande variétés de plantes.

Législation suisse en matière d’énergie solaire

Législation suisse en matière d'énergie solaire

Techniquement le solaire ça marche.... mais souvent il y a des barrières légales.... qu'en est il en suisse ?

Dans le solaire il y a plusieurs catégories..

  • photovoltaique
  • thermique

Il y a plusieurs aspects:

  • la pose des panneaux en regarde des lois sur l'aménagement du territoire et de l'urbanisme.
  • la RPC, la rétribution à prix coutant qui est sensée favoriser les énergies renouvellables. (via acceptation du projet par swissgrid)
  • la vente d'énergie par les particuliers est souvent dans un flou étant entre 2 étapes de libéralisation... Normalement c'est le fournisseur historique d'énergie qui est forcé de reprendre l'énergie produite par des particuliers.
  • l'obligation de se connecter au réseau si c'est raisonnablement possible... => à vérifier cet aspect

Pour en savoir plus sur la RPC...

http://www.roger-nordmann.ch/articles/2012.08.01_bilan_RPC.shtml

Nouveautés acceptées le 3 mars 2013 avec l'acceptation de la LAT

http://elections-en-europe.net/2013/03/03/votations-populaires-du-3-mars-2013-en-suisse/

En résumé:

Il sera plus simple de poser des panneaux solaires. Une simple annonce suffira si les panneaux sont suffisamment adaptés aux toits.

http://www.are.admin.ch/themen/recht/04651/index.html?lang=fr

L'extrait de loi détaillé. (selon présentation de Roger Nordmann)

Art. 18a Installations solaires

1 Dans les zones à bâtir et les zones agricoles, les installations solaires suffisamment adaptées aux toits ne nécessitent pas d’autorisation selon l’art. 22, al. 1. De tels projets doivente être simplement annoncés à l’autorité compétente.

2 Le droit cantonal peut:

a. désigner des types déterminés de zones à bâtir où l’aspect esthétique est mineur,dans lesquels d’autres installations solaires peuvent aussi être dispensées d’autorisation;

b. prévoir une obligation d’autorisation dans des types précisément définis de zones à protéger.

3 Les installations solaires sur des biens culturels ou dans des sites naturels d’importance cantonale ou nationale sont toujours soumises à une autorisation de construire. Elles ne doivent pas porter d’atteinte majeure à ces biens ou sites.

4 Pour le reste, l’intérêt à l’utilisation de l’énergie solaire sur des constructions existantes ou nouvelles l’emporte en principe sur les aspects esthétiques.

explications

Rapport commission sur 18a (BO 1.3.2011)

Le contenu du projet d'ordonnance […] : 1: "les installations solaires sont considérées comme suffisamment adaptées aux toits […] sont dispensées d'autorisations si leur épaisseur n'excède pas 20 centimètres, si elles ne dépassent pas le faîte, la base ou les côtés du toit et si, selon les normes techniques actuelles, elles ne sont pas réfléchissantes et sont d'un seul tenant.« […] à savoir ne pas pénaliser les installations thermiques et ne pas favoriser uniquement les installations intégrées stricto sensu, c'est-à-dire celles qui remplacent les tuiles.

Nous avons, en commission, principalement discuté des toits inclinés, mais il était clair qu'il serait aussi judicieux de dispenser d'autorisation les installations sur les toits plats de la zone industrielle, même si les panneaux ne sont pas parallèles au toit […] Le Conseil fédéral aura toute latitude de régler cette question dans l'ordonnance.

Pour le reste, l'administration a encore indiqué: ... [l’ordonnance] indiquera dans quels cas il est obligatoire de passer par une autorisation de construire parce que la zone mérite une attention particulière ou que le bâtiment est un bien culturel d'importance nationale ou cantonale ou qu'il se situe dans un site naturel d'importance cantonale ou nationale. Dans ces cas-là […] il ne sera pas question d'interdire les installations solaires, comme certaines communes le font abusivement sur la base d'une simple notation dans l'inventaire ISOS […] il faudra passer par une autorisation de construire et l'installation devra être conçue de manière à ne pas porter d'atteinte majeure à ces biens ou à ces sites.

Création de société pour favoriser le solaire...

Le concept de la vignette solaire pour couvrir les besoins en énergie de son ordinateur portable ou de son téléphone.

Petit article de ma part à ce propos et à propos du contexte de la libéralisation du marché de l'électricité.

Beaucoup de choses à propos de l'énergie:

.... page à compléter quand j'aurai du temps.....

Les besoins en énergie

.... et sinon l'offensivesolaire.ch. Aide nous à recenser tous les toits de suisse qui pourraient accueilr des panneaux solaires.

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